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Le conte chaud et doux des Chaudoudoux

l était une fois, dans des temps très anciens, des gens qui vivaient très heureux. Ils s’appelaient Timothée et Marguerite et avaient deux enfants, Charlotte et Valentin. Ils étaient très heureux et avaient beaucoup d’amis.

Pour comprendre à quel point ils étaient heureux, il faut savoir comment on vivait à cette époque-là. Chaque enfant, à sa naissance, recevait un sac plein de chaudoudoux. Je ne peux pas dire combien il y en avait dans ce sac on ne pouvait pas les compter. Ils étaient inépuisables. Lorsqu’une personne mettait la main dans son sac, elle trouvait toujours un chaudoudou. Les chaudoudoux étaient très appréciés. Chaque fois que quelqu’un en recevait un, il se sentait chaud et doux de partout.

cailloux

Ceux qui n’en avaient pas régulièrement finissaient par attraper mal au dos, puis ils se ratatinaient, parfois même en mouraient. En ce temps-là, c’était très facile de se procurer des chaudoudoux. Lorsque quelqu’un en avait envie, il s’approchait de toi et te demandait : ” Je voudrais un chaudoudoux “. Tu plongeais alors la main dans ton sac pour en sortir un chaudoudou de la taille d’une main de petite fille. Dès que le chaudoudoux voyait le jour, il commençait à sourire et à s’épanouir en un grand et moelleux chaudoudoux. Tu le posais alors sur l’épaule, la tête ou les genoux, et il se pelotonnait câlineusement contre la peau en donnant des sensations chaleureuses et très agréables dans tout le corps.

Les gens n’arrêtaient pas d’échanger des chaudoudoux. et, comme ils étaient gratuits, on pouvait en avoir autant que l’on en voulait. Du coup, presque tout le monde vivait heureux et se sentait chaud et doux.

Je dis « presque », car quelqu’un n’était pas content de voir les gens échanger des chaudoudoux. C’était la vilaine sorcière Belzépha. Elle était même très en colère. Les gens étaient tous si heureux que personne n’achetait plus ses philtres ni ses potions. Elle décida qu’il fallait que cela cesse et imagina un plan très méchant.

Un beau matin, Belzépha s’approcha de Timothée et lui parla à l’oreille tandis qu’il regardait Marguerite et Charlotte jouer gaiement. Elle lui chuchota : « Vois-tu tous les chaudoudoux que Marguerite donne à Charlotte ? Tu sais, si elle continue comme cela, il n’en restera plus pour toi ». Timothée s’étonna : « Tu veux dire qu’il n’y aura plus de chaudoudoux dans notre sac chaque fois que l’on en voudra un ? » « Absolument, répondit Belzépha. Quand il n’y en a plus, c’est fini ». Et elle s’envola en ricanant sur son balai. Timothée prit cela très au sérieux, et désormais, lorsque Marguerite faisait don d’un chaudoudoux à quelqu’un d’autre que lui, il avait peur qu’il ne lui en reste plus.

Et si la sorcière avait raison ? Il aimait beaucoup les chaudoudoux de Marguerite, et l’idée qu’il pourrait en manquer l’inquiétait profondément, et le mettait même en colère. Il se mit à la surveiller pour ne pas qu’elle gaspille les chaudoudoux et en distribue trop aux enfants ou à n’importe qui.

Puis il se plaignit chaque fois que Marguerite donnait un chaudoudoux à quelqu’un d’autre que lui. Comme Marguerite l’aimait beaucoup, elle cessa d’offrir des chaudoudoux aux autres et les garda pour lui tout seul. Les enfants voyaient tout cela, et ils pensaient que ce n’était vraiment pas bien de refuser des chaudoudoux à ceux qui vous en demandaient et en avaient envie. Mais eux aussi commencèrent à faire très attention à leurs chaudoudoux. Ils surveillaient leurs parents attentivement, et quand ils trouvaient qu’ils donnaient trop de chaudoudoux aux autres, ils s’en plaignaient. Ils étaient inquiets à l’idée que leurs parents gaspillent les chaudoudoux.

La vie avait bien changé : le plan diabolique de la sorcière marchait ! Ils avaient beau trouver des chaudoudoux à chaque fois qu’ils plongeaient la main dans leur sac, ils le faisaient de moins en moins et devenaient chaque jour plus avares. Bientôt tout le monde remarqua le manque de chaudoudoux, et tout le monde se sentit moins chaud et moins doux.

Les gens s’arrêtèrent de sourire, d’être gentils, certains commencèrent à se ratatiner, parfois même ils mouraient du manque de chaudoudoux. Ils allaient de plus en plus souvent acheter des philtres et des potions à la sorcière. Ils savaient que cela ne servait à rien, mais ils n’avaient pas trouvé autre chose ! La situation devint de plus en plus grave. Pourtant la vilaine Belzépha ne voulait pas que les gens meurent. Une fois morts, ils ne pouvaient plus rien lui acheter.

Alors elle mit au point un nouveau plan. Elle distribua à chacun un sac qui ressemblait beaucoup à un sac des chaudoudoux, sauf qu’il était froid, alors que celui qui contenait les chaudoudoux était chaud. Dans ces sacs, Belzépha avait mis des froids-piquants. Ces froids-piquants ne rendaient pas ceux qui les recevaient chauds et doux, mais plutôt froids et hargneux. Cependant, c’était mieux que rien. Ils empêchaient les gens de se ratatiner. À partir de ce moment-là, lorsque quelqu’un disait : « Je voudrais un chaudoudou », ceux qui craignaient d’épuiser leur réserve de chaudoudoux répondaient : « Je ne peux pas vous donner un chaudoudou, mais voulez-vous un froid-piquant ? ».

Parfois, deux personnes se rencontraient en pensant qu’elles allaient s’offrir des chaudoudoux, mais l’une changeait soudain d’avis, et finalement elles se donnaient des froids-piquants. Dorénavant, les gens mouraient presque plus, mais la plupart étaient malheureux, avaient froid et étaient hargneux. La vie devint encore plus difficile : les chaudoudoux qui au début étaient disponibles comme l’air que l’on respire, devinrent de plus en plus rares. Les gens auraient fait n’importe quoi pour en obtenir.

Avant l’arrivée de la sorcière, ils se réunissaient souvent par petits groupes pour échanger des chaudoudoux, se faire plaisir sans compter, sans se soucier de qui offrait ou recevait le plus de chaudoudoux. Depuis le plan de Belzépha, ils restaient par deux et gardaient les chaudoudoux l’un pour l’autre. Quand ils se trompaient en offrant un chaudoudou à une autre personne, ils se sentaient coupable, sachant que leur partenaire souffrirait du manque.

Ceux qui ne trouvaient personne pour leur faire don de chaudoudoux étaient obligés de les acheter et devaient travailler de longues heures pour les gagner.

Les chaudoudoux étaient devenus si rares que certains prenaient des froids-piquants qui, eux, étaient innombrables et gratuits. Ils les recouvraient de plumes un peu douces pour cacher les piquants et les faisaient passer pour des chaudoudoux. Mais ces faux chaudoudoux compliquaient la situation. Par exemple, quand deux personnes se rencontraient et échangeaient des faux chaudoudoux, elles s’attendaient à ressentir une douce chaleur et s’en réjouissaient à l’avance et, au lieu de cela, elles se sentaient très mal. Comme elles croyaient s’être donné de vrais chaudoudoux, plus personne n’y comprenait rien !

Évidemment comment comprendre que ses sensations désagréables étaient provoquées par les froids-piquants déguisés en faux chaudoudoux ? La vie était bien triste ! Timothée se souvenait que tout avait commencé quand Belzépha leur avait fait croire qu’un jour où ils ne s’y attendraient pas, ils trouveraient leurs sacs de chaudoudoux désespérément vides.

Mais écoutez ce qui se passa. Une jeune femme gaie et épanouie, aux formes généreuses, arriva alors dans ce triste pays. Elle semblait ne jamais avoir entendu parler de la méchante sorcière et distribuait des chaudoudoux en abondance sans crainte d’en manquer. Elle en offrait gratuitement, même sans qu’on lui en demande. Les gens l’appelèrent Julie Doudoux. Mais certains la désapprouvèrent parce qu’elle apprenait aux enfants à donner des chaudoudoux sans avoir peur d’en manquer.

Les enfants l’aimaient beaucoup parce qu’ils se sentaient bien avec elle. Eux aussi commencèrent à distribuer à nouveau des chaudoudoux comme ils en avaient envie. Les grandes personnes étaient inquiètes et décidèrent de passer une loi pour protéger les enfants et les empêcher de gaspiller leurs chaudoudoux.

Malgré cette loi, beaucoup d’enfants continuèrent à échanger des chaudoudoux chaque fois qu’ils en avaient envie et qu’on leur en demandait. Et comme il y avait beaucoup d’enfants, beaucoup d’enfants, presque autant que les grandes personnes, il semblait que les enfants allaient gagner. À présent, on ne sait pas encore comment ça va finir.

Est-ce que les grandes personnes, avec leur loi, vont arrêter l’insouciance des enfants ? Vont-elles se décider à suivre l’exemple de la jeune femme et les enfants et prendre le risque en supposant qu’il y aura toujours autant de chaudoudoux que l’on voudra ? Se souviendront-elles des jours heureux que leurs enfants veulent retrouver, du temps où les chaudoudoux existaient en abondance parce qu’on les donnait sans compter ?

Auteur inconnu. Merci à Marc Leroy pour ce partage

Conversation avec votre corps 3

Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**

L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions

Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui

Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master

Carol Look écrit :
Dans la partie 3 de cette série, je vais aborder de nombreux exemples montrant comment, dans le passé, un conflit émotionnel et ses « mauvaises nouvelles » associées peuvent être stockés dans le corps, les maladies, les douleurs et les courbatures.

Commençons par les traumatismes émotionnels qui n’impliquent pas de coupure, d’égratignure, d’ecchymose ni aucun autre signe physique évident.

Supposons que vous vous êtes senti abandonné par vos parents quand ils ont divorcé. Ils étaient si impliqués dans leur combat qu’ils ont laissé les enfants seuls et sans ressources pour parler de leur peur et de leur tristesse. Peut-être étiez-vous pré-adolescent, pas tout à fait en colère encore, et le choc de la nouvelle du divorce de vos parents n’a jamais été discuté avec eux, ni avec un conseiller familial, ni même avec un de vos pairs. (Ceci est très commun.)
– Vous souvenez-vous de l’endroit où vous étiez quand vous avez reçu cette nouvelle ?
– Vous rappelez-vous ce que vous portiez, de la température ce jour-là ? Etiez-vous assis ou debout ? 
– Où est-ce que cette nouvelle s’est stockée dans votre corps? (Sans une réponse claire, il suffit de deviner…) 
– Quelles conclusions sur vous-même et sur la vie avez-vous fait à la suite de cette mauvaise nouvelle ? (du genre « on n’est pas en sécurité quand on aime… ») 

Les clients utilisent souvent des phrases telles que:
– « Je me suis senti comme si j’avais reçu un coup de poing dans l’estomac quand j’ai entendu cela. » 
– « Cela m’a frappé comme si j’avais pris une tonne de briques sur la tête. » 
– « Cela m’a fait sauter en l’air. » 

On peut demander :
– Comment se porte votre estomac maintenant ? 
– Où est passée la tonne de briques ? 
– Quel effet cela fait de sauter en l’air et de retomber ? 

Nos corps sont des lieux de stockage de toutes les trahisons verbales, émotionnelles et mentales.
C’est pourquoi nous devons dégager notre système énergétique des conflits qui y restent stockés. Il est plus que probable que beaucoup de gens ne sont même pas conscients de la façon dont certains chocs précis ont été stockés, comment les mauvaises nouvelles y ont été maintenues, ou comment de vieilles blessures ont été camouflées au lieu d’être guéries.
Comme je l’ai mentionné plus tôt, il n’est pas surprenant que les malaises et les plaintes des adultes puissent être symboliquement attribuées à des douleurs émotionnelles ou à des conflits survenus à un très jeune âge. Supposons que vous soyez stupéfait d’apprendre que vous avez été trahi et que vous avez perdu le soutien d’un ami de confiance, d’un mentor ou d’un patron. Il y a des endroits pratiques pour stocker ces informations et ce traumatisme : ce sont vos genoux et vos jambes… représentant symboliquement l’impression d’être « soutenu », etc (Si l’exemple qui suit ne résonne pas pour vous, choisissez-en un autre vous-même et mettez vos propres mots à la place.)

Point Karate :
– « Même si les mauvaises nouvelles apparemment ont été stockées dans mes genoux, je choisis de les en faire sortir maintenant… » 
– « Même si je ne savais pas où stocker les mauvaises nouvelles ailleurs que là, j’accepte qui je suis et comment je me sens à ce sujet… » 
– « Même si j’ai maintenu ces mauvaises nouvelles dans mon corps, je choisis de les en faire sortir maintenant. » 

Début du sourcil : « Je ne veux pas me souvenir de ces mauvaises nouvelles. » 
Coin externe de l’oeil : « Je sais que j’ai stocké les mauvaises nouvelles dans mes jambes. » 
Sous l’oeil : « Je sens que je dois protéger ces mauvaises nouvelles. » 
Sous le nez : « Je ne me sentais pas soutenu. » 
Centre du menton : « Je ne veux pas rouvrir ces vieilles blessures. » 
Clavicule : « Je me sens blessé par ces mauvaises nouvelles. »
Sous le bras : « Je me sens encore sous le choc et paralysé sur place. » 
Sommet de la tête : « Cela fait des années que je conserve ces mauvaises nouvelles en stock dans mes jambes. » 

Début du sourcil : « Je ne suis pas prêt à les laisser partir. »
Coin externe de l’oeil : « Ou peut-être que je suis prêt… » 
Sous l’oeil : « Je ne veux pas me souvenir des mauvaises nouvelles. » 
Sous le nez : « Je pourrais être en mesure de laisser sortir ces mauvaises nouvelles de mes jambes. » 
Menton : « C’était il y a longtemps. » 
Clavicule : « Il est grand temps de me libérer de ce fardeau. 
Sous le bras : « Je suis prêt à laisser certaines d’entre elles quitter mes jambes. » 
Sommet de la tête : « Je n’ai plus besoin de les retenir plus longtemps dans mon corps. » 

Les « mauvaises nouvelles » représentent souvent un choc pour nous et, bien sûr, c’est aussi un choc pour chacune des cellules de notre corps. Les appels téléphoniques souvent véhiculent des mauvaises nouvelles : un accident, un décès, les mauvais résultats d’un test médical, ou bien un changement dans la vie de la personne. Pensez à un appel téléphonique que vous avez reçu qui a été un choc pour vous (ou pour un de vos clients) :
– Où est-ce que le choc de cette mauvaise nouvelle s’est stocké pour vous ? 
– Est-ce que le temps s’est arrêté pour vous à ce moment-là ? 
– Quels problèmes physiques avez-vous rencontrés depuis ce moment ? 
– Avez-vous déjà réussi à vous en libérer ? 

Point Karaté :
– « Même si cette information a été un gros choc pour moi, et que je l’ai stockée dans mon cou, j’accepte ce que je suis et ce que j’ai fait de cette information… » 
– « Même si je n’ai pas vu venir le coup, je l’accepte ainsi que l’endroit où j’ai choisi d’enterrer cette information… 
– « Même si je n’étais pas prête à entendre cette mauvaise nouvelle, et qu’elle s’est logée dans mon cou, j’accepte ce que je suis, l’endroit où j’ai mis cette information, et ce que je ressens maintenant. » 

Sourcil : « Je me souviens encore de ce que j’ai ressenti quand j’ai entendu la nouvelle. » 
Coin de l’oeil : « Je me suis gelé intérieurement en l’entendant. » 
Sous l’oeil : « Je me sens si triste quand je repense à cet appel téléphonique. » 
Sous le nez : « Je me souviens d’avoir été tellement choqué, et du fait qu’une partie de moi se sent encore sous le choc. » 
Menton : « Pas étonnant que j’aie une raideur dans la nuque. » 
Clavicule : « J’ai été pris au dépourvu, je ne savais pas quoi faire. » 
Sous le bras : « Je me suis accroché à ce choc et à la peur dans mon cou. » 
Sommet de la tête : « Je ne savais pas quoi faire avec cette information. » 

Sourcil : « Je considère la possibilité de laisser partir ce choc de mon cou. » 
Coin de l’oeil : « Je suis prêt à relâcher une partie du traumatisme émotionnel. » 
Sous l’oeil : « J’ai été pris au dépourvu, et c’est OK. » 
Sous le nez : « Je n’ai pas vu venir le coup, comment aurais-je pu? 
Menton : « Je peux envisager de baisser ma garde à nouveau. » 
Clavicule : « Je ne savais pas quoi faire, mais maintenant je ne peux laisser aller ce problème. » 
Sous le bras : « Je choisis de me libérer de ce choc et de le laisser partir de mon cou et de mon corps. » 
Sommet de la tête : « Je me sens déjà soulagé en laissant partir ces émotions de mon cou. » 

Supposons que vous ayez soudain été éjecté de votre emploi ou de votre mariage… et que vous n’aviez rien vu venir. Où avez-vous « casé » cette information (cette mauvaise nouvelle) tout en essayant de faire bonne figure ? Beaucoup de gens sont complètement pris au dépourvu lorsque leur conjoint ou partenaire annonce qu’il s’en va. Ils se réprimandent eux-même pour le fait de n’avoir pas su voir les signes avant-coureurs, et ils supposent que c’est parce qu’ils ne sont « pas assez bien. » Ces conclusions, ainsi que le choc de la « mauvaise nouvelle », se stockent dans le corps.

Point Karaté :
– « Même si ce fut une surprise totale, et que je ne l’oublierai jamais, j’accepte ce que je suis et ce que je ressens à ce sujet… » 
– « Même si je me reproche d’avoir été laissé pour compte, j’accepte ce que je suis et ce que j’ai fait de cette information… 
– « Même si c’est de ma faute et que je l’ai mérité, je suis encore sous le choc et je ne sais pas quoi faire à ce sujet. » 

Sourcil : « Je ressens encore ce choc dans mon dos. »
Coin de l’oeil : « Je sais que j’ai stocké ce choc dans mon dos. » 
Sous l’oeil : « Je me sens si mal au sujet de cette mauvaise nouvelle. » 
Sous le nez : « Mon dos n’a plus jamais été comme avant. » 
Menton : « Je peux sentir la douleur de l’abandon dans mon dos. » 
Clavicule : « J’ai stocké cette douleur dans mon dos. » 
Sous le bras : « Je ne veux pas la laisser partir. » 
Sommet de la tête : « Je suis encore tellement en colère. » 

Sourcil : « Je suis sous le choc, même après toutes ces années. » 
Coin de l’oeil : « Je ne pouvais pas contrôler ce qui se passait. » 
Sous l’oeil : « Je me sens tellement impuissant, même maintenant. » 
Sous le nez : « Pourquoi est-ce que je n’ai pas vu venir le coup ? » 
Menton : « Je suis en colère parce que cela m’a été annoncé de cette façon. » 
Clavicule : « J’aurais voulu qu’il/elle gère les choses différemment. » 
Sous le bras : « Je ne sais pas comment gérer les mauvaises nouvelles. » 
Sommet de la tête : « Je me suis accroché à ce choc pendant toutes ces années. » 

En cas de doute, on peut ajouter quelques séquences de phrases positives pour aider la personne à accepter ce qui s’est passé et à envisager de passer à autre chose.

Sourcil : « Je suis prêt à travailler pour sortir de ce conflit. » 
Coin de l’oeil : « Je suis disposé à considérer que ce n’était pas ma faute. » 
Sous l’œil : « Et si c’était pour le mieux de toute façon ? » 
Sous le nez : « Je ne suis pas prêt à lâcher prise. » 
Menton : « Je ressens encore la souffrance et l’abandon. » 
Clavicule : « Je ne sais pas comment me libérer de cette douleur dans mon dos. » 
Sous le bras : « Je suis décidé à me détendre et à m’accepter. » 
Sommet de la tête : « Je me sens presque prêt à accepter ce que je suis et comment je gérais les mauvaises nouvelles à l’époque. » 

Sourcil : « J’apprécie mon dos et ce que je suis. » 
Coin de l’oeil : « Je n’ai pas de problème avec la façon dont j’ai enregistré cette information dans mon dos. » 
Sous l’oeil : « J’ai fait du mieux que je pouvais à l’époque. » 
Sous le nez : « Je fais encore du mieux que je peux. » 
Menton : « J’apprécie mon corps. » 
Clavicule : « Je suis plein de reconnaissance envers mon corps pour la protection qu’il me donne. » 
Sous le bras : « J’apprécie mon corps. » 
Sommet de la tête : « Je me sens bien à l’idée de laisser partir certaines de ces douleurs. » 

Restez en ligne pour la quatrième partie de cette série : « Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?

Dr Carol Look, EFT Master (USA)

Trois produits bien-être

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Le bien-être à long terme est l’objectif ultime de Nikken.

Pour mettre tout en oeuvre pour se sentir bien, il faut commencer par se créer des habitudes alimentaires saines.

Pensez couleur : rougeorangejaunevertviolet. Consommez une nourriture fraîche, de saison et colorée : fruits, légumes et salades, riches en nutriments essentiels pour la santé, pour offrir à votre corps ce dont il a besoin.

Malheureusement, très peu de personnes peuvent affirmer qu’elles ont un régime idéal et riche en nutriments tous les jours. Les fast foods sont partout et nous tentent à faire de mauvais choix. Il est vrai qu’ils sont faciles d’accès et qu’il est plus simple d’opter pour les plats préparés et à emporter que de de manger une large sélection d’aliments frais, de saison et colorés tous les jours.

Manger de la nourriture de mauvaise qualité laisse le mécanisme de survie du cerveau activé, ce qui cause des envies constantes, et une suralimentation, avec bien évidemment une inévitable prise de poids et la mise en danger de la santé.

Il est indispensable de prendre conscience des dangers que ces mauvais choix représentent sur la santé à long terme : obésité, diabète, maladies du cœur et cancer sont inextricablement liés à l’alimentation.

Votre corps a des besoins pour fonctionner de manière optimale. Si vous ne mangez pas des aliments variés et de qualité tous les jours, veillez à prendre des compléments alimentaires de qualité, conçus pour apporter les nutriments équilibrés.

Nikken propose aux personnes soucieuses de leur bien-être trois produits phares :

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Le Ciaga contient myrtilles, baies de sureau, mûres, framboises, acai, et extraits de pépin de raisin, des aliments riches en antioxydants et 100% biologiques. Récoltés et préparés pour conserver tous les bienfaits, sans conservateur, arôme artificiel ou édulcorant, il est idéal pour toute la famille.

Le stress pouvant sérieusement affecter la digestion de la nourriture, un plein de vitalité es essentiel pour le système digestif. Lactoferrin est une protéine multifonction essentielle qui se trouve naturellement dans le corps et peut facilement s’épuiser.

L’orge a été utilisé comme aliment pendant des milliers d’années. Il a été prouvé que les gladiateurs romains mangeaient de l’herbe d’orge pour plus de force et d’endurance.

Les pousses sont récoltées avec soin afin de préserver leurs vertus biologiques.

L’herbe d’orge contient tous les nutriments dont le corps a besoin : magnésium, calcium, fer, phosphore, protéines, fibres, acides aminés. Il contient également de la chlorophylle qui est un détoxifiant naturel.

Le corps adore les super-aliments.Ne l’en privez pas.

Merveilleuse santé – Mabelle

Le conte du petit koala qui croyait que l’amour c’était recevoir des coups

Il était une fois un petit koala qui vivait dans une région très, très reculée de l’Australie. En fait, il faut vous le dire, il vivait dans une maison d’enfants koala, car ses parents ne pouvaient s’occuper de lui.
Toute sa vie, il avait reçu des coups. Tout bébé, tout enfant, il recevait, de la part des autres koalas qui l’entouraient, des coups. Lui, il croyait qu’être aimé, c’était recevoir des coups ! Cela peut vous surprendre mais c’était sa croyance.

koalas
Il avait une façon très particulière de provoquer les autres. Il s’arrangeait pour déclencher en eux de la peur, de l’irritation, de la colère.

Il était très habile pour donner aux autres l’envie … de le taper !

Il y avait dans cette maison d’enfants une jeune éducatrice koala, qui s’occupait de lui, qui le réveillait le matin, l’aidait à faire sa toilette, à s’habiller, le faisait déjeuner…tout ce fait en général une maman ou un papa qui s’occuperait de son enfant.
Eh bien lui, dès le matin, à peine avait-il ouvert un œil qu’il s’arrangeait pour déclencher chez cette éducatrice koala… l’envie de le taper, de le secouer et même de lui tordre le coup.

La bagarre commençait aussitôt, lui aussi rendait les coups, mordait même, griffait. Tout au fond de lui, il croyait que c’était cela s’aimer. Tout petit, un événement dont il n’avait jamais parlé…l’avait beaucoup marqué. Il était entré dans la chambre de ses parents (avant qu’il n’aille en maison d’enfants) et dans l’ombre il avait vu le papa koala qui s’agitait sur la maman koala, le lit remuait très fort, la maman koala gémissait comme si elle avait mal. Le petit koala, lui ne bougeait pas pour ne pas faire de bruit. Il aurait voulu aller défendre sa maman, mais il n’osait pas. Il croyait que le papa koala faisait du mal à sa maman, il aurait voulu l’aider, mais il n’osa pas……

Le lendemain matin, il avait demandé : Qu’est ce qu’ils font les papas dans le lit avec les mamans ?
La mère un peu distraite avait répondu : Tu sais, ils dorment ou ils s’aiment. Des fois ils s’aiment beaucoup…
Ils se font du mal pour s’aimer ? interrogea le petit koala.
Quand on s’aime on a pas mal, avait ajouté la mère en souriant —mange ton yaourt, dépêche-toi.
Et depuis ce jour, malgré ou à cause de ce qu’avait dit sa mère, le petit koala était persuadé que s’aimer, c’était se faire du mal. Et pour cela se donner des coups…
Revenons à la maison d’enfants koala. La jeune éducatrice qui s’occupait de lui avait dit à une amie :
—C’est drôle, j’ai beaucoup d’amour pour lui, mais j’ai peur de le lui donner. J’ai surtout peur qu’il le reçoive mal ou qu’il le refuse.
Un jour elle eut une idée, elle demanda au jeune koala de lui trouver une boite à peur.
Il la regarda tout étonné.
Une boite à peur !
Oui, une boite à peurs, dans laquelle je pourrai mettre toutes les peurs que j’ai en moi, pour ne pas les garder dans ma tête, dans mon ventre, dans mon cœur.

Le lendemain, le petit koala arriva avec un grand carton de frigidaire, qu’il était allé demander au supermarché du coin. Il avait compris que les peurs de son éducatrice étaient très importantes. Elles fut très touchée de ce geste.

 Elle lui dit : J’aimerais t’embrasser sans que tu me donnes des coups. Il acquiesça de la tête.

Elle lui fit, juste au coin de l’œil, là vous voyez, tout près des cils, un long baiser tout doux, tout doux. Tellement doux que le petit koala qui n’avait jamais reçu de baiser aussi doux, sentit une larme couler sur ses joues de koala. Heureusement personne ne l’avait vue, car autrement il se serait mis en colère et aurait donné des coups malgré sa promesse.
Ce jour là, cette éducatrice mit dans le carton à peurs la plus grande des peurs qu’elle avait, celle que son amour ne soit pas reçu par l’autre.
C’était une peur énorme qui prenait toute la place dans le carton.
De temps en temps, elle allait jeter un coup d’œil sur sa peur, dans le carton. Elle voyait bien que c’était une peur très ancienne, vieille comme sa vie.
De son côté, le petit koala avait aussi découvert une boite à peurs pour lui-même. Il commença à mettre ses peurs dedans. Il se sentait plus léger, plus content. Comment dire, il avait envie de donner des baisers, des câlins, même s’il ne savait pas comment cela se faisait. Un jour, il osa demander à la jeune éducatrice : Tu sais, j’aimerais que tu m’apprennes à ne pas aimer…

Elle le regarda toute surprise : A ne pas aimer !
Oui, tu sais, quand on aime trop fort, on se donne des coups, on crie. Moi j’aimerais que tu m’apprennes à ne pas aimer, à ne pas donner des coups, à faire des baisers de peur, comme celui que tu m’as fait l’autre fois, au coin de l’œil…
Vous n’avez aucune idée de l’énergie qu’il avait fallu à ce petit koala pour dire cela. Cela vous paraît simple à vous, quand vous lisez ce conte, mais ce fut terrible, c’était comme si on lui arrachait la peau, à ce koala.
L’éducatrice comprit ce jour-là tout le malentendu qu’il y avait dans la vie de ce petit koala.

Elle lui répondit doucement : Oui, je suis d’accord. Je vais t’apprendre. On va apprendre ensemble, d’ailleurs, car je suis un peu comme toi, je ne sais pas bien aimer. L’autre fois, tu vois, j’avais inventé. Oui, nous allons découvrir tout cela ensemble. Il nous faudra, à toi et à moi, beaucoup de patience…

Je ne vous raconte pas la suite, car vous pouvez l’imaginer vous-même.
Mais ne croyez pas que cela fut facile. Oh non, ils eurent encore beaucoup de bagarres entre eux, car ils étaient l’un comme l’autre encore très maladroits à s’aimer.
J’ai remarqué que cela était très fréquent, cette maladresse à s’aimer chez les koalas, entre parents et enfants, entre adultes aussi. A mon avis ce doit être une des caractéristiques de l’amour chez les koalas !
Ainsi se termine le conte du petit koala qui croyait que s’aimer, c’était se donner des coups et se faire du mal.

Extrait du livre de Jacques Salomé « Contes à guérir, contes à grandir »

 

Conversation avec votre corps 2

Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**

L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions

Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui

Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master

Carole Look écrit :

Dans la deuxième partie de cette série, je vais traiter différentes façons d’aborder la maladie et la douleur stockées dans le corps à partir de traumatismes, du point de vue énergétique. Notez que je ne suis pas médecin et que je ne vous suggère en aucun cas de vous passer des soins médicaux appropriés aux problèmes physiologiques. Je vous propose un point de vue supplémentaire et un puissant moyen d’utiliser EFT en combinaison avec les options médicales.

Nous conservons la mémoire des événements passés dans notre corps autant que dans notre esprit et dans notre champs d’énergie. Les événements du passé ont une « vibration » spéciale. C’est pourquoi ils ont besoin d’être nettoyés à tous les niveaux et je n’ai pas encore trouvé une technique plus élégante et plus complète que l’EFT pour ce processus de dégagement.

Après avoir vu votre médecin et entendu le diagnostic, quel est le sens que vous en tirez ? Pouvez-vous le relier à des contributeurs émotionnels ? Qu’est-ce que votre corps essaie de dire ? Et surtout, êtes-vous prêt(e) à écouter ?
Nous avons tous eu des traumatismes du passé légers ou graves (des événements réels tels que des accidents de voiture, chutes, coups, agressions, etc) ou bien des conflits émotionnels encore non résolus (ils seront abordés dans les parties 4 et 5).

Choisissez une partie de votre corps qui pour vous a une certaine vulnérabilité au stress. Peut-être que votre ventre se manifeste en cas d’excès de travail dans votre emploi, peut-être que la région de vos reins vous gène lors d’un conflit conjugal, ou alors votre peau éclate quand un problème vous « pourrit la vie ». Supposons que votre corps ait créé des connexions pour vous. Je vous invite à réfléchir comme un détective pour découvrir ce que vous avez besoin de libérer de manière à ramener le confort physique dans votre vie. (Même le fait de se rappeler que vous aviez ce confort autrefois peut changer votre vibration dans la bonne direction.)
1. Quel est le « traumatisme » qui est logé dans cette partie du corps et pourquoi essaie-t-il d’attirer votre attention?
2. Avez-vous négligé quelque chose? 
3. Avez-vous ignoré le besoin de prendre un engagement ou une décision? 

Un client vient se plaindre (à vous) de maux de dos sévères. Il suppose que le problème a commencé après une blessure sportive, mais le médecin n’a trouvé aucun dommage structural concret après son traitement médical. Il n’y a plus d’autre traitement disponible en dehors du repos, des analgésiques, ou d’une intervention chirurgicale risquée qui a mauvaise réputation. Vous n’êtes pas médecin, alors vous n’êtes pas autorisé à traiter la maladie ou la blessure, mais vous pouvez commencer à poser des questions :
1. Aviez-vous déjà ce mal de dos avant la blessure sportive ?
2. Pourquoi pensez-vous que cette douleur continue après toutes ces années ? 
3. Qui ou quoi est représenté par cette douleur ? 
4. S’il n’y a pas de dégâts visibles sur les radiographies, quelle est cette « information » au sujet de la blessure ou de l’accident qui est toujours stockée dans votre dos ? 

La douleur était physique et affective, mais les blessures sont encore « actives », même si la blessure date de plusieurs années. Quel message peut bien être transmis par ce mal de dos? Qu’est-ce que la personne devrait « entendre » ? Essayez ces phrases de départ et ces rappels en les utilisant comme guide pour le tapotage :

Point Karaté :
– « Même si j’ai ignoré ce message de mon dos, je choisis d’y porter attention maintenant… 
– Même si j’ai peur d’écouter le message de mon dos, je suis ouvert(e) et disposé(e) à écouter maintenant… 
– Même si je sais qu’il ya quelque chose que j’ai besoin d’entendre à travers cette douleur, ce n’est pas seulement la blessure. Je reconnais que j’ai eu peur et je suis maintenant ouvert(e) à cette information. 

Sourcil : « J’ai peur d’écouter ce message. » 
Coin de l’oeil : « Je sais que mon dos a stocké le traumatisme depuis ____ (date). » 
Sous l’oeil : « Je me sens tellement inquiet à l’idée d’aborder ce sujet à nouveau. » 
Nez : « Je sais que mon dos tente d’attirer mon attention. » 
Menton : « Je ne veux pas « aller là ». » 
Clavicule : « Mais mon dos m’emmène là. » 
Sous le bras : « Je peux faire face à ce traumatisme à nouveau. » 
Sommet de la ête : « Je veux savoir pourquoi mon dos « parle » pour moi. » 

Sourcil : « Je suis ouvert à l’information qui est à cet endroit. » 
Coin de l’oeil : « Je suis prêt et disposé à écouter. » 
Sous l’oeil : « J’ai peur mais je sais que je peux gérer l’information. » 
Nez : « Je sais quelles émotions je stocke en moi, mais je voulais les ignorer. » 
Menton : « Pas étonnant que mon dos me fasse mal. » 
Clavicule : « Je suis prêt à exprimer et à libérer les traumatismes. » 
Sous le bras: « Je n’ai pas besoin de stocker plus de douleur. » 
Sommet de la tête : « Je suis libre d’y renoncer si c’est ce que je choisis. » 

Les allergies sévissent dans notre société. Quand le corps souffre d’une allergie, il estime qu’il existe un attaquant extérieur et il rassemble toutes ses forces (l’écoulement nasal, le larmoiement, etc) pour combattre l’agresseur. Supposons que vous regardiez votre vie pour voir si des « attaques » réelles ou supposées peuvent se manifester par des allergies. Bien que vous puissiez utiliser le fait que le taux de pollen dans l’air est élevé comme un moyen de légitimer vos allergies, je vous encourage à chercher des causes sous-jacentes et des conflits émotionnels. Est-ce que d’autres « attaques » vous viennent à l’esprit?

Point Karaté :
– « Même si je suis allergique à tellement de choses, je choisis d’accepter le fait que mon corps essaie de me protéger… » 
– « Même si les allergies me rappelent une attaque antérieure, celle que je voulais oublier, je choisis d’accepter cette réponse de mon corps… 
– « Même si je me souviens à quelles attaques mon corps est en train de répondre, j’accepte les allergies et j’accepte la réponse de mon corps. » 

Sourcil : « J’ai été attaqué il ya plusieurs années. » 
Coin de l’oeil : « Je retiens toujours cette peur dans mon corps et dans les allergies. »
Sous les yeux : « J’avais oublié cette attaque, mais mon corps se souvient. » 
Nez : « Je combats cette attaque par mes allergies. » 
Centre du menton : « Cela fait très longtemps et je suis prêt à ressentir la douleur maintenant. » 
Clavicule : « Je me souviens de l’attaque, comme si c’était hier. » 
Sous le bras : « J’ai eu si peur. » 
Tête : « Pas étonnant que mon système veuille me protéger. » 

Sourcil : « Je suis prêt à me libérer du besoin de protection. » 
Coin de l’oeil: « Je suis prêt à me protéger moi-même maintenant. » 
Sous les yeux: « Je suis plus en sécurité que je ne l’étais à l’époque. » 
Sous le nez : « Je choisis de me protéger d’une façon nouvelle. » 
Centre du menton : « Je comprends comment mon corps essayait de prendre soin de moi et je l’apprécie. » 
Clavicule : « Je suis prêt à laisser partir les allergies. » 
Sous le bras: « Je sais pourquoi j’avais besoin des allergies. » 
Tête : « Maintenant je n’en ai plus besoin. » 

Prenez un autre « événement » physique, comme un accident de voiture par exemple. Pourquoi la douleur est-elle toujours là, 20 ans après ? Quel que soit le diagnostic initial, pensez en termes énergétiques. Pourquoi voudriez-vous encore vous accrocher à cela ?
Il est très commun de s’accrocher à la douleur physique pour des raisons émotionnelles. Nous l’avons tous fait, mais il est possible de débrouiller cet amalgame et de passer à autre chose, grâce à l’EFT.
J’ai eu plusieurs clients qui ont été impliqués dans des accidents de voiture, puis qui ont eu peur de « laisser aller » ou d’oublier le traumatisme de l’accident. Ils croyaient que la douleur les aidait à rester vigilants sur la route car il leur rappelait ce qui pouvait arriver en cas de manque d’attention.

Point Karaté :
– « Même si je me suis accroché à la douleur de cet accident pendant trop longtemps et que j’ai peur d’y renoncer, je m’aime et je m’accepte profondément et complètement de toute façon… » 
– « Même si les médecins disent que j’aurai mal là jusqu’à la fin de ma vie, je suis disposé à considérer que je n’en ai pas besoin… » 
– « Même si je m’accroche à cette douleur physique pour des raisons émotionnelles, j’accepte qui je suis et ce que je ressens au sujet de ce qui s’est passé. » 

Sourcil : « J’ai peur de renoncer à la douleur, je ne veux pas qu’on oublie ce qui s’est passé. » 
Coin de l’oeil : « J’ai été traumatisé par l’accident. » 
Sous l’oeil : « J’ai besoin de m’en souvenir et de faire attention. » 
Nez : « L’accident a été si bouleversant. » 
Menton : « Je n’oublierai jamais cet accident, et mon corps n’oubliera pas non plus. » 
Clavicule : « Je ne veux pas laisser la douleur partir. » 
Sous le bras : « Elle m’accompagne depuis si longtemps. » 
Tête : « J’ai peur de laisser partir la douleur, même si c’est ce que je veux. » 

Sourcil: « Je pourrais être capable de laisser la douleur partir maintenant. » 
Coin de l’oeil : « Je suis à l’écoute de mon corps et je sais ce dont j’ai besoin. » 
Sous l’oeil : « Et si je pouvais me dégager d’une partie de cette douleur ? » 
Nez : « Je n’ai pas besoin de me souvenir de la douleur. » 
Menton : « Je suis disposé à travailler sur le traumatisme et sur la peur. » 
Clavicule : « Je sais que mon corps se sent mieux maintenant. » 
Sous le bras : « Je n’ai pas besoin de retenir la douleur plus longtemps. » 
Tête : « Je me sens prêt à laisser partir cette ancienne douleur de l’accident. » 

Dans la troisième partie de cette série, je vais aborder plusieurs exemples de traumatismes émotionnels du passé qui peuvent être stockés dans des parties du corps.

Restez en ligne,

Dr Carol Look, EFT Master (USA)

Le troisième Chakra

Le 3ème Chakra (Manipura, signifie « la cité des Joyaux »)

est situé juste sous le sternum, au point de rencontre des côtes, au niveau du plexus solaire, d’où son nom de Chakra Solaire.

Il est relié à l’estomac, au pancréas, au foie, à la vésicule biliaire, à la peau, aux yeux, au système nerveux

Il est associé à la couleur jaune or, et à l’élément Feu symbolisant la lumière, la chaleur, l’énergie et l’activité ainsi que la purification sur le plan spirituel.

chakra 3

Son rôle

-il régule tout le système digestif et le système thermique

-c’est par lui que nous assimilons l’énergie solaire qui nourrit notre corps physique. Il est le siège des énergies, dirige l’énergie vitale dans le corps vers les autres chakras.

-il est, en grande part, responsable de la qualité de nos relations aux autres. L’estime de soi, l’affirmation dans un groupe et l’ouverture aux autres en dépendent.

-il est aussi le centre des émotions, du stress, responsable de notre bonne humeur car notre état d’âme dépend en grande partie de la quantité de lumière qu’il laisse pénétrer en nous.

Un 3ème Chakra trop actif provoque

-un égo surdimensionné, donnant des personnes orgueilleuses, vaniteuses

-des tendances autoritaires envers soi et les autres

-une puissante volonté d’agir, suractivité de manière désordonnée, immodérée

-perfectionnisme

-la volonté de toujours avoir raison (même si cela n’est pas le cas), de tout dominer, tout contrôler

-une tendance à l’insatisfaction, l’irritabilité, voire agressivité, colère et haine

-un manque d’estime pour soi et les autres

-un manque d’intérêt et même de respect pour l’autre, de l’impolitesse et un manque de capacité d’écoute

-comme le 3ème Chakra concerne tout le système digestif, y sont liés vomissements, diarrhée, gastrite, pancréatite, cirrhose et autres troubles du foie et de la vésicule biliaire, troubles intestinaux, et aussi circulatoires

-les personnes sont obsédées par l’alimentation et les régimes

Un 3ème Chakra bloqué provoque

-un manque de confiance en soi, de la timidité.

-un manque de combattivité, menant à l’abandon des projets dès les premières difficultés, avec doute au sujet de ses capacités

– la personne s’efface, n’arrive pas à prendre sa place dans la vie, à se mettre en valeur

-la personne est passive, indécise, n’arrive pas dire non, enfoui ses propres désirs, se soumet aux ordres des ordres, avec peu d’instinct de révolte

-dans les situations difficiles, elle se sent mal à l’aise, ce qui provoque nervosité, défauts de coordination des mouvements, et prise de mauvaises décisions

-le blocage amène également des troubles digestifs tels qu’ulcère, voire cancers stomaco-biliaires, une surconsommation de nourriture, voire de substances nocives

Un 3ème Chakra bien ouvert

Un Chakra solaire bien équilibré correspond souvent à un être mâture, qui a foi en lui et dans les autres, sait aller de l’avant et prendre des décisions efficaces.

La personne infatigable peut mener à bien plusieurs actions de front.

La méditation est le meilleur moyen de développer ce Chakra, car elle permet à la fois de travailler la respiration, la concentration, et l’attention sur le moment présent.

Le concept-clé du Chakra

« je crée, j’agis, je réalise mes objectifs. »

Témoignages sur l’eau vivante Nikken

stop

Ma fille de 18 mois à l’époque, souffrait de constipation chronique et ne savait pas expulser ses selles, il fallait toujours le faire de façon manuelle. Dès que j’ai utilisé mon filtre à eau PiMag, j’ai d’abord remarqué qu’elle buvait plus que d’habitude. Mais, le plus merveilleux, c’est qu’au bout de 2 – 3 jours, elle allait à selle tout à fait normalement. Fini toutes ses douleurs. Jasmine Zeevaert +32 476 95 50 83

Suite à une soirée informative des produits Nikken, j’ai acheté le filtre à eau pour mon fils de 5ans 1/2 qui était systématiquement constipé. Après quelques jours, il me redemandait la « bonne eau » comme il disait et, depuis, il n’est plus constipé. Christine Hausoul, de Saive

Avant je ne buvais qu’un à deux verres d’eau sur toute une journée.Depuis que je bois l’eau dynamisée Nikken, je bois presque deux litres d’eau sur la journée. Je la trouve très légère et très digeste. Jocelyne Plessers +32 4 257 60 21

Conversation avec votre corps

Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**

Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui

Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master

L’intégralité de la série se présente de la sorte :

Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions

Carole Look écrit :

Chaque fois que nous avons été traumatisés, blessés, trahis ou qu’on a eu peur, notre corps a enregistré les émotions et sensations à un niveau énergétique et cellulaire. Comme le dit le célèbre spécialiste des traumatismes Bessel Van der Kolk, « votre corps garde le score en mémoire ».
A la suite de cette introduction, les parties 2 et 3 de cette série porteront sur les traumatismes et les conflits stockés dans le corps, en les considérant sous l’angle énergétique. Les parties 4 et 5 traiteront des manifestations actuelles d’un traumatisme au niveau de la peau et des diagnostics du moment présent, et les parties 6 et 7 porteront sur les réponses de notre corps concernant notre avenir. (S’il vous plaît, notez que je ne suis pas médecin, et que je ne fais donc que PROPOSER des moyens énergétiques pour traiter le corps avec l’EFT comme étant des COMPLEMENTS aux soins médicaux appropriés.)

Lorsque nous avons un accident de voiture, les contusions ou fractures sont tangibles, physiques, visibles à l’œil nu et douloureuses au toucher. Lorsque nous nous sommes coupés avec un couteau ou brûlés dans la cuisine, les cicatrices peuvent durer indéfiniment, apportant la preuve que oui, nous avons souffert mais que nous sommes venus à bout d’une difficulté quelconque. Mais quand on nous a crié dessus et harcelés, quand nous avons été abandonnés ou menacés, nous n’avons pas de « cicatrice » visible que nous pouvons regarder ou montrer aux autres. Notre corps néanmoins en gardé d’excellents enregistrements de ces incidents dans nos circuits électro-magnétiques et nos champs d’énergie.

Entrons dans l’EFT

EFT est ma technique énergétique préférée pour traiter tous les conflits émotionnels et les traumatismes à plusieurs niveaux – émotionnel, spirituel, physique et électrique. Ainsi, quand vous avez été malmené par votre supérieur hiérarchique, le « traumatisme » ne peut pas être simplement éliminé par la psychothérapie traditionnelle sans laisser une trace électrique. Des impressions ont été reçues au-delà du processus rationnel du mental, et quand votre ami ou collègue vous dit, « il était dans un mauvais jour » ou « il fait ça avec tout le monde » cela n’aide pas effacer l’enregistrement électrique qui a été causé par l’incident. Si nous voulons vraiment nous « recâbler », EFT est l’outil adéquat.

Réfléchissez au recadrage positif de cette phrase : le « recâblage » du cerveau. Nous n’avons pas besoin d’un nouveau cerveau, nous n’avons pas besoin d’être réparés parce que nous sommes pas endommagés. Nous avons toutes les pièces nécessaires, nous avons juste besoin de refaire les connexions pour que les impulsions électriques se produisent en réponse aux bons stimuli. Nous avons tous les ingrédients maintenant, nous avons juste besoin de faire de nouvelles connexions, de percevoir et d’interpréter différemment.
C’est ce que dit la déclaration de découverte de l’EFT :

« La cause de toute émotion négative est une perturbation du système énergétique du corps. »

Continuons donc en effaçant ces perturbations et afin d’accueillir la guérison à un niveau profond parce qu’elle est à notre disposition.
Commençons.

La première étape consiste à établir des rapports avec votre corps d’une manière authentique et pleine d’amour, comme vous pouvez le faire avec un ami ou avec un nouveau client qui vient pour un rendez-vous. Soyez gentil, écoutez en profondeur, soyez ouvert et prenez le temps de communiquer. Trop de gens ignorent les messages de leur corps, ou ne reconnaissent même pas le fait que leurs organes sont en train de communiquer avec eux !

Les points suivants m’aident dans mon approche de mes clients quand ils le veulent travailler sur les fondements affectifs de problèmes physiques.

(Gardez à l’esprit le fait que je ne suis pas médecin. Je ne m’occupe pas du traitement de la maladie, mais seulement des conflits émotionnels sous-jacents et des vibrations qui contribuent à provoquer la maladie.) 

1. La douleur est un signal : La douleur est un signal brillant et fort, riche en informations. Nous avons besoin de l’entendre sinon nous risquons de voir ce signal s’amplifier pour attirer notre attention. La douleur est souvent un processus inconscient. Les conflits se manifestent à travers le corps (soma) à partir de tension émotionnelles du mental (psyché) et c’est pourquoi nous développons des maladies psychosomatiques. Les maladies ou maux de tête sont réels, cependant l’origine en est un conflit psychologique et non pas des microbe, virus ou bactéries.

2. Il y a des indices symboliques : Souvent, le corps a stocké des informations dans des organes particuliers pour des raisons symboliques. Notre corps est beaucoup plus génial que l’on pense et parfois il tente d’attirer notre attention d’une manière humoristique ou évidente. Ce n’est pas inhabituel, en cas de problème d’épaule, d’être relié à l’impression de « porter le poids du monde sur ses épaules », pour les jambes, les genoux et les pieds, d’être relié à des difficultés pour « aller de l’avant », ou que des problèmes de peau reflètent une irritation profonde et des problèmes qui « bouillonnent sous la surface ».

3. Les traumatismes et les conflits usent le système immunitaire : Gary Craig le disait dans son DVD « Maladies Graves », toutes ces blessures, ressentiments et conflits que nous avons réprimés, supprimés ou évités nous font mal et ponctionnent notre énergie et la force de notre système immunitaire, faisant de nous des « cibles » évidentes pour des maladies ou des vulnérabilités structurelles. Quand nous avons perdu la paix, même à un haut niveau de performance, nous finissons par développer un problème physique parce que nous n’avons plus d’espace psychique dans lequel stocker le stress.

4. Il faut choisir de traiter les effets ou les causes : Mon opinion personnelle est que nous passons beaucoup trop de temps à des soins de guérison tout en ignorant la cause de nos maux physiologiques. Chaque maladie a une vibration. Nous perdrions beaucoup moins de temps et d’argent et nous gagnerions plus de santé et de vitalité si nous considérions les vibrations ou les causes de nos problèmes en les traitant avec l’EFT. Cela ne signifie pas que nous n’avons pas besoin du médecin lorsque nous avons une maladie grave. Cela signifie qu’en envoyant des pilules ou de la chirurgie à notre corps, nous n’obtiendrons qu’un soulagement temporaire si nous n’abordons pas la vibration sous-jacente.

J’aime me poser les vraies questions, j’adore poser à mes clients des questions qui stimulent les connexions énergétiques que l’esprit conscient peut ne pas percevoir. J’aime aussi les déclarations comme ci-dessous dans lesquelles on n’a qu’à « remplir les espaces blancs ». Construisez vos propres phrases, écrivez-les rapidement, et vous pourriez être surpris par ce qui va vous apparaître. Voici quelques-uns de mes exemples favoris:

1. Si mon/ma/mes _____________ (dos, jambe, reins… etc.) pouvai(en)t parler, il(s) me dirai(en)t que j’ai négligé ______________________.
2. Mon ______________ douloureux représente mon conflit au sujet de (ou dans ma relation avec) ___________ (nom de la personne).
3. Mes conflits et blessures concernant les relations amoureuses semblent être stockées dans mon/ma/mes ______________.
4. Les soucis d’argent semblent toujours se montrer dans mon/ma/mes _______________.
5. Mes problèmes de colère m’ont toujours causé des douleurs ou de l’inflammation dans mon/ma/mes ____________________________.
6. La peur semble se manifester physiquement à travers mon/ma/mes ________________.
7. Quand je me sens sous-estimé, j’ai une douleur dans mon/ma/mes _______________.
8. Quand je me sens menacé dans mon travail et que je me sens mis en compétition, j’ai tendance à ressentir de l’inconfort dans mon/ma/mes ________________________.
9. Quand je suis épuisé et surmené, je remarque une gêne dans mon/ma/mes _____________.
10.Lorsque je rencontre des problèmes avec ma famille, j’ai une poussée de _______ dans ________________.

Je pense que nous serions beaucoup plus efficaces si nous passions du temps et déployions de l’énergie pour traiter les causes vibratoires du problème, (sa base fondamentale) plutôt que pour traiter les effets (ce qui en résulte), et si nous traitions cette cause vibratoire avec l’EFT afin de rester en bonne santé plus longtemps. Les problèmes sont causés par des vibrations et nous avons le pouvoir de changer nos vibrations (c’est ce que nous faisons grâce à nos pensées et nos émotions).

Pourquoi ne pas mettre davantage l’accent là où nous avons le plus de pouvoir?

Restez à l’écoute pour les parties suivantes de cette série qui porteront sur les traumatismes qui sont stockés dans le corps.

Dr Carol Look, EFT Master (USA)

Code de conduite du praticien Reiki

En tant que Maître praticien Reiki, j’adhère à un code éthique. Il est principalement issu du code édité par la Corporation Européenne des Praticiens Reiki.

Energie dans les mains

 Obligations Générales

 I -1 – Justification de la Lignée

Le Maître praticien Reiki doit justifier de la lignée Reiki Usui par un document, diplôme, attestation…signé(e) de son Maître Reiki, et mentionnant la filiation de celui-ci.

 I – 2- Il s’engage à respecter l’enseignement de Mikao Usui

Le Maître praticien Reiki s’engage à vivre dans l’Esprit du Reiki, notamment à travers la pratique des 5 grands principes. De ce fait, il s’engage à travailler toujours avec Honnêteté, Respect, Conscience et Amour.

 I – 3 – Le Maître praticien Reiki adapte sa pratique au consultant.

Le Maître praticien est à l’écoute des besoins de la personne, avec le plus grand respect, attention et bienveillance. Il tend à avoir une écoute active et empathique.

 I – 4 – Conduite d’Accompagnement en pédagogie.

Le Maître praticien accompagne chaque personne à sa demande, dans la découverte de son chemin de vie. Il l’encourage à développer ses compétences, et ses talents dans une perspective d’autonomie, de responsabilité et d’évolution. Le Maître praticien Reiki incitera la personne à faire appel à son libre-arbitre, à son discernement et à son potentiel personnel pour devenir acteur de sa vie.

 I – 5 – Formation professionnelle : Formation initiale, Formation continue.

Le Maître Praticien Reiki passe lui-même par un processus d’ouverture et d’évolution personnelles. Il a souci d’optimiser ses connaissances et ses acquis. Le Maître praticien Reiki aura à cœur de poursuivre son processus individuel de formation professionnelle; par tous moyens à sa convenance, autodidaxie, séminaires, stages, conférences, formation qualifiante, e-learning…

 II – Devoirs du Maître praticien Reiki vis à vis de ses consultants

 II – 1 – Attitude juste.

Face à une personne désireuse de mieux-être ou en quête de clarté, d’authenticité ou en difficulté particulière le Maître praticien Reiki saura, par une attitude juste, faire preuve d’humilité sans s’ingérer ni interférer dans la vie du receveur, l’encourageant à prendre l’initiative sur le chemin de sa vie.

 II – 2 – Traitements et Initiations.

Le Maître praticien Reiki traitera les personnes demandant des traitements ou des initiations avec le plus grand respect vis-à-vis de leur dignité, de leurs besoins et de leurs valeurs individuelles. Il aura le respect de l’individu dans ses dimensions physique, psychique, morale et spirituelle.

 II – 3 – Respect physique.

Une session de Reiki se donne par imposition des mains (aussi par massage, tapotements, souffle, acupression, mudra particulier… à partir du niveau 2) sur un receveur vêtu, les vêtements ne gênant ni la pratique du Reiki ni son efficacité – il est toutefois recommandé d’avoir des vêtements « relax » et « non serrants » . En cas de nécessité, elle peut se donner sans contact physique.

 II –4 – Respect des valeurs.

Le Maître Praticien déclare en son âme et conscience que le Reiki n’est ni une religion ni une secte, la personne recevant le traitement ou les initiations est libre de ses croyances et convictions.

 II – 5 – Respect de la confidentialité, Secret professionnel et Anonymat.

Le Maître praticien Reiki et l’Enseignant Reiki respectent la confidentialité des informations reçues de la personne pendant une session, un traitement ou une initiation de Reiki, quelle qu’en soit leur nature. Le secret professionnel s’étend à tout ce qui a été vu, entendu ou compris au cours de la pratique ou des initiations. Il préserve l’anonymat des personnes qui le consultent ou l’ont consulté.

 II – 6 – Accueil et Qualité des soins.

Le Maître Praticien Reiki fournit un endroit agréable, adapté, confortable et sécurisant. Il se rend à domicile si la personne ne peut se déplacer. Par une brève description, il informe la personne de ce qui se passe pendant une session de Reiki.

 II –7– Relation de pairs entre les deux parties.

Le Maître praticien se doit d’attirer l’attention du consultant sur sa responsabilité propre, sur la nécessité d’une coopération active et permanente, et sur ses capacités d’autonomie.

 II –8– Devoir de réserve.

Conscient de la relation spécifique qui le lie à ses consultants, le Maître praticien observe une attitude de réserve en toutes circonstances.

 II –9– Devoir de suivi.

Le Maître praticien Reiki au service de la personne se doit d’assurer la continuité de son accompagnement ou d’en faciliter les moyens.

 II – 10 –Liberté de l’engagement du praticien Reiki.

Le Maître praticien Reiki n’est jamais tenu de s’engager dans une pratique de soins ou d’initiations Reiki. Dans le cas de refus il se doit néanmoins de conseiller un autre praticien ou intervenant.

 II – 11 – Rapport à la médecine.

Le Reiki système énergétique peut compléter avantageusement un programme de soins de santé en accélérant leurs effets ou en limitant les effets secondaires de certains traitements. Il ne se substitue pas non plus à ceux-ci. Le praticien ne pose pas de diagnostic, ne donne pas de prescription et en aucun cas il ne modifie le traitement médical ou psychologique d’une personne qui vient le consulter.

 II – 12 – Autres compétences professionnelles du Maître praticien.

Le Maître praticien peut cependant, s’il possède d’autres connaissances et compétences dans différents domaines de thérapie et /ou d’accompagnement et en prouvant son professionnalisme, les mettre au service de la personne (naturopathie, fleurs de Bach, coaching, réflexologie, accompagnement, massage, médecine chinoise, …)

 II – 13 – Rémunération du praticien – Honoraires.

Chaque praticien Reiki fixe lui-même ses honoraires en conscience et selon un des principes du Reiki, gagner honnêtement sa vie par une juste rémunération.

Le Maître Praticien Reiki précisera clairement avant la session, le contenu, la durée, le coût des séances.

Le Maître Praticien Reiki précisera clairement le coût et modalités des initiations.

Dans les deux cas, durant l’entretien préalable, un contrat verbal ou écrit pourra être établi entre les parties si nécessaire.

 III – Rapports du Maître praticien Reiki à ses confrères, aux autres professionnels de la santé et aux institutions.

 III– 1 Le fait pour un Maître praticien Reiki, d’être lié à un centre de soins, de formation, à un lieu de vie ou appartenir à des structures sociales ou associatives ne saurait porter atteinte à l’application des présentes règles déontologiques.

 III – 2 – Utilisation du nom.

Nul n’a le droit dans un texte informatif ou publicitaire, d’utiliser les noms et titres d’un Maître praticien Reiki sans son autorisation expresse et son accord écrit.

 III – 3 – Droit de réserve et Règles de confraternité.

Le Maître praticien Reiki est tenu au droit de Réserve vis à vis de ses confrères et des autres professionnels de la santé. Il cherchera à établir des relations honnêtes et harmonieuses entre toutes les parties. Les divers degrés de Reiki ne constituent en aucun cas une hiérarchie entre les praticiens. L’initiation à la maîtrise du Reiki ne donne aucun pouvoir, mais toutes les responsabilités.

 III – 4 – Information sur son exercice.

Toute information du public (articles, publications, émissions radio ou télédiffusées, enseignes, annonces payantes, conférences, documents pédagogiques, …) doit être exprimée d’une manière simple et honnête (personnalité du praticien ou de l’Enseignant Reiki, nature des soins fournis et résultats escomptés).

 III – 5 – Pratique et Fiscalité.

 Le Maître Praticien Reiki se conforme aux règles fiscales et droit du pays où il pratique.

Excellente journée à tous et toutes – Mabelle

Note de Anthony Chaplin

ChaplinAnthony Chaplin est directeur général de

Nik kenEurope

Avec Nikken nous avons une vision : offrir une meilleure qualité de vie aux individus à travers le monde. Nous nous consacrons à faire de votre maison un havre de bien-être, un lien où vous pouvez vous reposer et récupérer de la tension et du stress du quotidien.

Nikken offre une gamme complète de produits innovants et de haute technologie, tous conçus dans le but d’améliorer le bien être dans tous les domaines de la vie quotidienne – une solution complète de bien être pour retrouver un équilibre.

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Merveilleuse journée – Mabelle