Le revenu de base, késako ?

L’été dernier j’ai fait une formation avec Pierrre Catelin, un personnage à lui tout seul !

Pierre donne des formations, et est aussi l’auteur de plusieurs livres avec Axelle De Brandt.

 Durant les pauses, Pierre nous a parlé de son intérêt pour le principe du Revenu de Base: un revenu garanti à tout citoyen de façon inconditionnelle et égalitaire et sans contrepartie de travail, qui lui permette de vivre dignement.

C’était la première fois que j’entendais parler de cette idée innovante, qui m’a tout de suite séduite par son potentiel face aux problèmes économiques de notre époque.

 Je tiens à vous transmettre les informations reçues sur le sujet il y a quelques jours.

J’ai en effet reçu un mail d’Axelle me présentant deux médias auxquels elle a participé (un journal et un documentaire) pour (re)découvrir ce concept pertinent pour s’épanouir en tant qu’individu et citoyen.

revenu de base

Depuis quelques semaines, le premier numéro de L’Inconditionnel, un journal sur le Revenu de Base édité, grâce à un crowdfundig, par les Réseaux belge, français et suisse du Revenu de Base, est sorti de presse. Au cours des 20 pages A3 d’articles, vous découvrirez une radiographie du concept sous différentes facettes comme la politique, l’emploi, l’économie, la santé, la société,…

La rédaction a sollicité Axelle pour écrire un article, ce qui a abouti à: Le revenu de base nous rendra-t-il plus heureux?

Ce journal est gratuit, et également téléchargeable sur le site linconditionnel.info
Axelle et Pierre continuent à travailler sur un modèle de financement du Revenu de Base dont les prémices figuraient déjà dans leurs 2 livres.

   

Leur travail se concrétisera par un livre qui est en cours de réalisation, et dont Axelle nous révèle déjà le titre : Le Revenu de Base XXL – Chiffres à l’Appui.

En attendant la sortie du livre (personnellement je l’attends avec impatience), je vous propose de visionner le documentaire néerlandophone « Iedereen een basisinkomen » diffusé fin 2014 sur la chaîne flamande Canvas.

 L’interview a été enregistré au Parlement Fédéral, juste à côté de la salle où se votera la loi instaurant le Revenu de Base en Belgique… Tout un symbole….

En espérant que cette merveilleuse idée devienne très vite réalité, vivez une magnifique journée  Mabelle

Journée internationale de la femme

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Une pensée particulière à toutes les femmes qui sont malades, vivent dans des pays en guerre, ou sont exploitées, violentées, … toutes ces femmes qui souffrent, encore beaucoup trop nombreuses sur cette terre. 

Que cette journée se répercute toute au long de l’année, que la vie de toute les femmes soit douce, qu’elles soient libres de toute souffrance physique et morale, qu’elles soient partout en sécurité et en paix.

Pensez à bien élever vos garçons
qui deviendrons de futurs hommes respectueux du genre féminin. 

Belle & merveilleuse journée a toutes les femmes 
de ce monde – Mabelle

 

Le Reiki n’est-il pas une secte ?

Tout d’abord, voyons la définition du mot « Sectaire ( du latin secta, venant de sequi, suivre ) : Se dit de quelqu’un qui, par intolérance ou étroitesse d’esprit, se refuse à admettre les opinions différentes de celles qu’il professe. »

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En lisant cette définition, comment ne pas se demander quel système politique ou religieux prône la largesse d’esprit, la tolérance, et reconnaît les opinions différentes de celles qu’il professe ?

Mais, revenons au Reiki. Dans son essence, il n’est bien sûr pas sectaire, puisqu’il ne nécessite l’adoption d’aucun système de croyances. Son but n’est pas d’endoctriner ou d’enfermer, mais bien de favoriser l’indépendance et l’autonomie en offrant un outil simple mais puissant.

Le Reiki n’exclut aucune autre thérapie traditionnelle ou alternative. Il en est complémentaire, dans un esprit de respect et de non-jugement.

Malheureusement, le Reiki, vu sa popularité, n’est pas épargné par de nombreux mouvements cherchant l’argent et le pouvoir. Je vous conseille donc d’éviter toute personne cherchant à vous faire convaincre qu’elle détient la véritable et unique manière de pratiquer ou enseigner le Reiki. Ceci n’est d’ailleurs pas seulement valable uniquement pour le Reiki, mais pour toutes les thérapies alternatives, et même dans tous les domaines de la vie.

Il s’agit donc d’être prudent et de savoir faire preuve de discernement.

 Prenez soin de vous –  Mabelle

La meilleure formation d’abondance financière

Et si vous pouviez une fois pour toute obtenir les revenus que vous estimez mériter ?

AAA

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En participant à cette formation extrêmement complète, vous vous autorisez à enfin attirer l’argent que vous souhaitez obtenir. Marcelle vous accompagne pendant 12 semaines pour livrer les secrets de l’abondance financière !

 Cette formation comprend :

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* Des exercices pratiques à mener avant, pendant et après la formation

* Des outils de travail à télécharger et à conserver

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 En suivant la formation AAA, vous vous mettez en condition pour commencer à attirer l’abondance financière, n’hésitez plus – Mabelle

Agir ou accepter

François était travailleur, courageux et tenace. Il cultivait sa terre avec bonheur. Ses champs les plus fertiles s’étendaient le long du fleuve. Il les appelait ses terres du bas.

Sur les terres du milieu, il y avait sa ferme entourée de vergers, de prairies et de quelques cultures.

Sur les terres du haut, plus arides, poussaient des oliviers.

Jacques était un vieil ami. Il avait quitté le village pour parcourir le vaste monde. Il avait bourlingué pendant des années avant de revenir au pays, la peau tannée, la besace pleine de récits merveilleux et d’une bonne dose de sagesse.

Le fleuve, bon an mal an, sortait de son lit et fécondait les terres du bas puis se retirait. François l’appelait son allié.

Cette année-là, les eaux gonflèrent plus que de coutume. Un flot tumultueux envahit les terres du bas et submergea bientôt les terres du milieu. François mit ses bêtes à l’abri sur les terres du haut et rejoignit sa ferme à la nage.

inondations

Réfugié à l’étage, il voyait les flots grossir inexorablement. La peur commença à étreindre son coeur, mais il ne voulut pas abandonner sa maison.

L’eau monta encore. Il se retrouva sur le toit, serrant contre lui quelques objets.

Jacques veillait au grain. Il connaissait bien son ami: il était si obstiné qu’il se serait laissé emporter par les flots plutôt que de quitter ses biens.

Jacques dirigea sa barque vers la ferme.

– Monte, dit-il. Les eaux vont t’emporter.

– Pas question, elles finiront bien par se retirer. Je ne quitterai pas mon toit.

– Fuir vaut mieux que risquer la mort. Pour faire face au danger, il vaut parfois mieux l’éviter, s’en éloigner, partir.

François décida de suivre Jacques. Il s’installa dans une grange qu’il possédait sur les terres du haut. Les jours passèrent. Les eaux ne baissaient toujours pas.

D’alliée, la nature était devenue hostile.

François sentit monter en lui une profonde colère contre les éléments déchaînés, qui se transforma vite en un désir puissant d’affronter et de combattre ce nouvel ennemi. Il réussit à convaincre les hommes du village de mener ce combat avec lui. Ensemble, ils réussirent à construire des digues et de solides murs pour séparer les eaux des terres du milieu et regagnèrent ainsi une partie de leurs vergers et de leurs champs.

Mais les terres du bas restaient sous les eaux. Le terrain y était instable, les digues s’affaissaient.

Jacques voyait François lutter sans succès.

– Laisse tomber, lui dit-il, cesse ce combat vain et épuisant.

– N’y compte pas, répliqua François. Je ne suis pas un lâche.

– Au contraire, dit Jacques. Tu as fait tout ce que tu pouvais pour sauver tes terres. Tu as lutté avec courage et ténacité. Mais la nature est plus forte que nous. Changer les choses ne dépend plus de toi. Aie la sagesse d’arrêter ce combat.

– Me résigner, rétorqua François, jamais.

– Reconnaître ton impuissance et cesser d’épuiser tes forces dans une lutte vaine n’est pas de la résignation, dit Jacques, mais une façon de commencer à faire le deuil de tes terres du bas, à abandonner ton rêve de tout récupérer et à accepter cette nouvelle réalité. Si tu ne réussis pas à l’accepter tu pourrais effectivement sombrer dans la résignation ou le désespoir, et passer ton temps à ruminer ton impuissance et ta frustration ou à regretter ce que tu as perdu.

– Mais les flots se retireront peut-être, rétorqua François, dans un dernier effort pour s’accrocher à cette réalité à laquelle il tenait tellement. Ou nous finirons par trouver un moyen de construire des digues plus solides.

– Si cela arrive et si entre temps tu as réussi à faire le deuil de tes terres, dit Jacques, ton bonheur de les retrouver sera d’autant plus grand.

– Je pense que tu as raison, dit François, même si ce que tu suggères me paraît très dur.

– Oui, répondit Jacques, le chemin de l’acceptation est très difficile. Il demande autant de courage et de ténacité que la lutte contre les éléments.

La tristesse t’envahira souvent. Sache l’accueillir, car elle t’aidera à avancer et te permettra de mesurer le chemin parcouru.

Quand elle te quittera, tu seras arrivé à destination.

François estima une fois encore que son vieil ami faisait preuve de sagesse et décida d’accepter la perte de ses terres. Cela fut long et difficile, mais il y parvint.

N’étant plus obsédé par la récupération de ses terres, il put consacrer toutes ses forces à valoriser ses champs, ses vergers et ses prairies du milieu et du haut.

Il retrouva sérénité, entrain et joie de vivre.

Quelques mois plus tard, Jacques dit à son ami qu’il s’apprêtait à faire un long voyage pour rendre visite à un vieux compagnon d’aventure.

– Si tu veux, tu peux m’accompagner, dit Jacques. Tu mérites un peu de repos, après le travail ardu que tu as accompli ces derniers mois.

François y consentit et ils partirent pour un pays lointain retrouver le vieil ami de Jacques. On l’appelait Archimède. C’était un vieil homme original et ingénieux. En toute circonstance, il trouvait un moyen de se tirer d’affaire.

Un jour, Jacques suggéra à François d’accompagner Archimède au marché. Ils traversèrent un village qui attira l’attention de François car il ressemblait étrangement au sien. Un fleuve le traversait, bordé de champs et de prairies. Mais ce qui l’intrigua surtout, ce fut un groupe d’hommes occupés à travailler dans les eaux peu profondes longeant les berges du fleuve.

– Que font-ils, demanda François ?

– Ils ont fixé sur le fond du fleuve des nasses pour attraper des poissons, répondit Archimède.

Alors François comprit que Jacques, par l’intermédiaire d’Archimède, lui avait une nouvelle fois tendu la perche. Il rentra chez lui, reconquit ses terres du bas, qui étaient devenues les hauts fonds du fleuve, en y installant des nasses pour y prendre des poissons. Et le fleuve redevint son allié.

Texte de Charles Brulhart, Janvier 2006

Il est bien inutile de vouloir lutter en permanence, il s’agit d’accepter les limites de notre maîtrise des choses, des événements et du monde. Et de lâcher-prise.

Merveilleuse journée – Mabelle