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Vaincre la douleur par l’alimentation

Bonjour, je vous espère en pleine forme. Un petit article, qui ne va pas plaire à tout le monde, sur le rôle de l’alimentation dans de nombreuses maladies. Pourquoi je présume qu’il ne va pas plaire ? Parce que je sais que l’être humain veut que les choses changent mais ne veut lui même rien changer à sa façon de vivre.

La scientifique Jacqueline Lagacé démontre dans son livre que des changements alimentaires permettent de réduire au silence une centaine de maladies.

De quelles maladies s’agit-il ?

Les maladies auto-immunes (de grosses molécules d’origine alimentaire ou bactérienne pénètrent indûment dans l’organisme via l’intestin grêle et déclenchent la fabrication d’anticorps et des réactions immunitaires en cascade. Certains de ces anticorps se retournent contre l’organisme. Ce boomerang immunitaire donne une maladie auto-immune) : maladie de Basedow, maladie coeliaque, maladie de Gougerot-Sjörgen, syndrome de Guillain-Barré, maladie de Horton, narcolepsie, neuropathie périphérique idiopathique, rhumatisme psoriasique, sclérose en plaques, spondylarthrite ankylosante, thyroïdite d’Hashimoto …

Les maladies d’encrassage (des molécules d’origine alimentaire ou bactérienne de plus petite taille pénètrent indûment dans l’organisme via l’intestin grêle. Trop petites pour déclencher la fabrication d’anticorps, elles s’infiltrent dans les tissus et perturbent la communication entre les cellules, c’est pourquoi on les qualifie de polluants cellulaires. Pendant cette période de pollution, elles vont donner les maladies d’encrassage : Alzheimer, arthrose, cancer, cataracte, céphalée de tension, fibromyalgie, glaucome, goutte, infections à répétition, obésité, Parkinson, schizophrénie, stéatose hépatique non alcoolique, vieillissement prématuré, …

Les maladies d’élimination (les polluants cellulaires vont être pris en charge par des globules blancs « nettoyeurs» qui vont leur livrer un combat impitoyable au cours duquel certains vont mourir. Ces cellules mortes seront évacuées vers les émonctoires comme la peau, l’estomac, le côlon, les voies aériennes supérieures (nez, sinus, poumons). Cette évacuation donne lieu aux maladies d’élimination) : acné, asthme, bronchite chronique, cals, cors et durillons plantaires, colite, conjonctivite, œdème de Quincke, psoriasis, rhinite chronique, rhume des foins, urticaire, …

Qu’est-ce qu’une maladie inflammatoire chronique ?

Quand un microbe s’introduit dans l’organisme on voit apparaître des rougeurs. de l’enflure, de la douleur et parfois même de la fièvre. Tout ça disparaît généralement après un certain temps parce que les leucocytes ont réussi à combattre l’infection. Mais lorsqu’on est confrontés à une maladie inflammatoire chronique –la fibromyalgie, l’arthrite, le diabète de type 2, l’asthme, la maladie de Crohn, … – c’est que notre système immunitaire n’arrive pas à éliminer l’agent irritant. Il continue à lutter contre lui pendant des années. Au départ, il y a une inflammation silencieuse, qui se transforme petit à petit en inflammation chronique. Dans certains cas, comme celui de l’arthrose, ça peut prendre de 10 à 30 ans avant d’avoir conscience de la douleur.

Jacqueline Lagacé souffrait d’arthrose du dos depuis l’âge de 30 ans, puis a commencé à souffrir d’arthrose des genoux, d’arthrite des mains à 62 ans. Au début, elle tentait de contrôler les douleurs avec paracétamol et aspirine, mais ses douleurs se sont amplifiées au fil des mois. Au bout de deux ans, en 2006, ses doigts ne pouvaient quasiment plus plier et son pouce gauche était complètement devenu immobile. Les élancements étaient tellement insupportables qu’ils l’empêchaient de dormir. Lorsqu’elle a eu recours à la médecine traditionnelle, il lui a été prescrit un anti-inflammatoire non stéroïdien qui aurait été à l’origine de dizaines de milliers de crises cardiaques.

Même si elle pensait s’alimenter correctement, elle avait l’intuition que l’origine de ses problèmes articulaires était liée au contenu de son assiette. Ayant compris que la médecine traditionnelle ne pouvait pas l’aider, elle a fait des recherches sur le Net et découvert la méthode du Dr Jean Seignalet, un médecin et chercheur français spécialisé en immunologie, en nutrithérapie et en rhumatologie.

Si ce médecin est décédé en 2003, son site est constamment mis à jour par les membres de sa famille. Elle a commencé à suivre son régime « hypotoxique » le 10 juin 2007 et, en 10 jours à peine, ses élancements avaient complètement disparu. Trois mois plus tard, elle pouvait bouger un peu son pouce gauche et, après 16 mois de régime, les articulations de ses doigts avaient repris progressivement leur fonctionnement normal.

Cette découverte était trop fantastique pour ne pas être partagée, elle a décidé d’écrire un livre sur le sujet. Grâce à son doctorat en virologie et ses études postdoctorales en immunologie et en bactériologie, elle avait la formation requise pour vérifier dans la documentation scientifique récente le bien-fondé des théories du Dr Seignalet.

Le fait de démontrer que les produits laitiers et la plupart des céréales sont impliqués dans le développement de nombreuses maladies inflammatoires chroniques demande du courage, parce que ça va à l’encontre des diktats alimentaires occidentaux.

Quelles sont les bases de ce régime ?

Elles reposent principalement nos enzymes digestives et sur leur capacité de digérer correctement les aliments. Nos ancêtres se nourrissaient des produits de leur chasse et de leur pêche ainsi que de la cueillette de végétaux non cultivés et, lorsque c’était possible, de miel. Nos enzymes digestives ont donc évolué en fonction de ce type d’aliments. La nourriture qui provient de l’agriculture et de l’élevage – une « innovation » qui date seulement de 10 000 ans – ne représente ainsi qu’environ 1% de l’histoire de l’être humain. Nos enzymes seraient mal adaptées à l’alimentation moderne. Conséquence? Chez certaines personnes, l’intestin grêle devient « hyperméable »(c’est-à-dire qu’il permet le passage dans le sang et les tissus de molécules trop grosses, donc nocives, d’origine alimentaire et bactérienne); ce qui, en cas de fragilité génétique, entraîne le développement de maladies inflammatoires chroniques.

Que devrait-on alors bannir de notre alimentation ?

Pour commencer il faut éliminer tous les produits laitiers, de quelque origine animale que ce soit, Le Dr Seignalet assure que le lait de vache est inadapté aux humains, car les quantités astronomiques de protéines et de calcium qu’il contient servent à faire prendre aux veaux100 kg en un an… Notre organisme n’est pas capable de l’assimiler.

On doit aussi bannir un grand nombre de produits céréaliers (à l’exception du riz, du quinoa, du sarrasin, du sésame et du tapioca), que nous ne pouvons digérer correctement et qui causent dans l’intestin grêle un encombrement de grosses molécules, et, peu à peu, une partie des «bonnes» bactéries sont remplacées par des bactéries pathogènes. Ainsi soumise à un phénomène inflammatoire, la très mince paroi de l’intestin grêle finit par se détériorer, laissant ces molécules la traverser et se déposer dans différents tissus.

Il est donc complètement faux de dire que l’usure de nos cartilages est la cause première de l’arthrose, que cette maladie n’est pas de nature inflammatoire et que c’est normal, avec l’âge, d’en souffrir. Le contraire a été démontré par des travaux de recherche récents et sérieux. Il semble désormais évident que c’est l’inflammation de la capsule articulaire (capsule synoviale) – causée, entre autres, par l’accumulation de glycotoxines – qui entraîne peu à peu une dégradation de la qualité du cartilage, qui devient alors sujet à l’usure. En raison d’une alimentation mal adaptée, l’encombrement provoqué dans les intestins occasionne un encrassage des tissus susceptible d’engendrer des réactions inflammatoires de l’enveloppe de l’articulation.

Comment le régime Seignalet agit-il sur les douleurs chroniques ?

En cessant de manger des aliments qui altèrent l’intestin grêle, on donne la chance à ses parois de se reconstituer et de redevenir imperméables aux grosses molécules. Notre système immunitaire pourra ensuite éliminer les toxines accumulées dans nos tissus. Cela dit, il faut souligner que le régime «hypotoxique» ne guérit pas la maladie, il en permet plutôt la rémission tant qu’il est respecté.

La santé est donc un choix qui exige quelques sacrifices. Adieu céréales et produits laitiers, mais bonjour à une capacité normale à se mouvoir. Attention, le régime Seignalet n’est pas le remède miracle à toutes les maladies. Retrouvez la liste des pathologies qui peuvent être améliorées voire réduites au silence par le régime, ainsi que les maladies pour lesquelles le régime ne fonctionne pas dans le livre de Jacqueline Lagacé https://amzn.to/3rYjTy8

Pour éliminer plus rapidement les toxines, retrouver une bonne communication cellulaire, soutenir dans ce processus de retour à une meilleure santé, les molécules de signalisation Redox : http://vd55.com/75k

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Ne passez aucune commande sans me contacter. Les produits sont livrés sans aune information sur leur utilisation.

Prenez soin de vous

Mabelle

S’informer pour prendre une décision éclairée

Bonjour, comment allez-vous ?

Même sans oxyde de graphène, protéine Spike ou virus synthétique, je n’ai pas envie de m’inoculer tous ces poisons.

Et c’est inscrit sur des sites officiels comme le CDC, donc le soit-disant complotisme, ça va bien deux minutes.

Je ne demande jamais à personne de me croire sur paroles, mais surtout de vérifier par vous même.

Calendrier de vaccination de l'enfant : quand le faire vacciner ?

Voici seulement CERTAINS ingrédients des vaccins. Et ceux-ci sont injectés à vos enfants :

◾Formaldéhyde/Formaline – Poison systématique hautement toxique et cancérigène.

◾Betapropiolactone – Produit chimique toxique et cancérigène. Peut causer la mort/lésion permanente après une très courte exposition à de petites quantités. Produit chimique corrosif.

◾Bromure d’hexadécyltriméthylammonium – Peut causer des dommages au foie, au système cardiovasculaire et au système nerveux central. Peut provoquer des effets sur la reproduction et des anomalies congénitales.

◾Hydroxyde d’aluminium, phosphate d’aluminium et sels d’aluminium – Neurotoxine. Comporte des risques d’inflammation/gonflement du cerveau à long terme, de troubles neurologiques, de maladies auto-immunes, d’Alzheimer, de démence et d’autisme. Il pénètre dans le cerveau où il persiste indéfiniment.

◾Thimerosal (mercure) – Neurotoxine. Induit des dommages cellulaires, réduit l’activité d’oxydoréduction, la dégénérescence cellulaire et la mort cellulaire. Lié aux troubles neurologiques, à la maladie d’Alzheimer, à la démence et à l’autisme.

◾Polysorbate 80 & 20 – Franchit la barrière hémato-encéphalique et transporte avec lui l’aluminium, le thimérosal et les virus ; ce qui lui permet de pénétrer dans le cerveau.

◾Glutaraldéhyde – Produit chimique toxique utilisé comme désinfectant pour les équipements médicaux sensibles à la chaleur.

◾Sérum fœtal de bovin – Récolté sur des fœtus de bovins (vaches) prélevés sur des vaches gestantes avant l’abattage.

◾Cellules fibroblastiques diploïdes humaines – cellules fœtales avortées. L’ADN étranger a la capacité d’interagir avec le nôtre.

◾Cellules rénales de singe vert africain – Peuvent être porteuses du virus cancérigène SV-40 qui a déjà contaminé environ 30 millions d’Américains.

◾Acétone – Peut causer des dommages aux reins, au foie et aux nerfs.

◾E.Coli – Oui, vous avez bien lu.

◾ADN du circovirus porcin (porc) de type 1.

◾Cultures de cellules pulmonaires embryonnaires humaines (provenant de fœtus avortés).

Vous pouvez consulter tous ces ingrédients sur le site des CDC. J’encourage tout le monde à faire ses propres recherches. Consultez les fiches signalétiques de ces produits chimiques. Lisez les milliers d’études revues par les pairs qui ont évalué les conséquences biologiques que ces produits chimiques peuvent avoir sur le corps, en particulier lorsqu’ils sont injectés.

Prenez soin de vous

Mabelle

Qu’est ce que la maladie ?

Bonjour, j’espère que vous allez bien.

Je vous partage ce matin un écrit de Marc JASPARD, Chimiste – Biochimiste concernant Pasteur. Je sais que j’ai déjà écrit un, ou plusieurs articles sur cet imposteur, mais un petit rappel ne fait pas de tort. Cela permet également de comprendre que leurs histoires de virus dont il faut se protéger n’est qu’une fiction. Tout ce qu’ils racontent pour nous terroriser, leur permet de nous confiner, de nous séparer, de nous pousser à nous vacciner, … n’est basé que sur un immense mensonge. Quant vous comprendrez cela vous comprendrez la manipulation dont vous êtes victime depuis des années.

Contrairement à ce que croit la majorité, le plus grand menteur franc-mçon Louis Pasteur (1822-1895) n’était pas médecin, ni même biologiste, il n’était que “agrégé-préparateur de chimie” sans que l’on en sache plus sur cette dénomination, et … pas très bon dans sa spécialité. La seule chose qu’on ne peut pas lui enlever : c’était un travailleur acharné. Louis Pasteur fut l’un sinon le seul Français, à avoir bénéficié de la légion d’honneur (1878) de son vivant à titre de “bienfaiteur de l’humanité”. Mais, quand on creuse un peu, on se rend compte que la réalité est bien loin de la légende.

Histoire de Louis Pasteur et de l'Institut Pasteur

La vérité : Pasteur n’a jamais découvert aucun micro-organisme, à l’origine, il n’y croyait d’ailleurs pas, attribuant la maladie à “une faiblesse constitutionnelle” la découverte en incombe à un vrai biologiste : Antoine Béchamp (1816-1908) docteur en sciences, en médecine et en chimie et diplômé en pharmacie, dont en France, le nom est toujours interdit de cité (lire sur Internet le très intéressant article que lui consacre l’encyclopédie en ligne Wikipédia). Antoine Béchamp avait appelé ces structures microscopiques : microzymas, ( 3.1 Antoine Béchamp et la théorie du microzyma). Pasteur les a rebaptisés : microbes “empruntant” ce nom au chirurgien Français Sédillot (1808-1875).qui fut le premier à l’utiliser.

Béchamp ne courait pas après la gloire, Pasteur si ! Béchamp ne fut pas dupe des manœuvres de Pasteur, car il écrivit : “Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie.”

Le théorème pasteurien : L’être humain, créature de Dieu est pure et sans souillure, la maladie ne peut donc être provoquée que par une “faiblesse constitutionnelle” puis, se ravisant, devant la démonstration évidente d’Antoine Béchamp sur l’origine de la maladie des vers à soie (sujet sur lequel ils travaillaient tous les deux), la maladie est provoquée par des “agents” extérieurs. En injectant cet agent dans le corps, on crée une réaction de défense qui protège de la maladie.

De ce théorème (jamais démontré) découle donc le corollaire (pas plus démontré) : pour lutter contre les maladies et les épidémies, il suffit donc de “va**iner” (terme emprunté à Jenner) massivement les populations avec le ou les agents responsables de ces maladies.

A ce stade, on fait tout simplement l’impasse totale des connaissances que nous avons aujourd’hui sur le système immunitaire humain et la génétique en général. Ce raisonnement implique que tous les humains possèdent le même système immunitaire et que celui-ci répond d’une manière identique aux mêmes sollicitations extérieures. L’immunité de troupeau, prônée par Pasteur et ses disciples n’existe tout simplement pas, c’est une hérésie scientifique !

Le mensonge :
Ce théorème induit un deuxième corollaire : chaque “micro-organisme pathogène” est responsable d’une maladie parfaitement identifiée.

Faux : en matière scientifique la causalité unique n’existe pas, tout événement observable est le produit d’un enchaînement de causes. La suppression d’une seule de ces causes rend l’événement impossible !

D’abord, qu’est-ce qu’une maladie ? à ce jour, je n’ai encore rencontré personne qui soit capable de répondre à cette question élémentaire. Les sommités médicales que j’ai pu interroger sur ce sujet, n’ont pu me fournir qu’un sourire gêné en guise de réponse. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie.

Le mensonge :
Pasteur a prétendu avoir vu le virus de la rage avec son petit microscope optique. Pour observer le virus de la rage, il faut un microscope électronique car la taille du virus est inférieure au pouvoir discriminant du microscope optique.

Le mensonge :
les va**ins ont permis de mettre un terme aux grandes épidémies qui dévastaient l’humanité ! La vérité :
Aux 13ème et 14ème siècle, l’Europe fut dévastée par plusieurs épidémies de peste qui tuèrent des centaines de milliers d’individus. Ces épidémies disparurent pour ne jamais revenir, qui a inventé le va**in contre la peste ?

Le mensonge :
la variole a été éliminée de la surface de la Terre grâce au va**in.
La vérité :
c’est l’OMS elle-même, pourtant entièrement à la solde des labos pharmaceutiques qui, en 1980, lança un appel à tous ses adhérents pour arrêter les va**-nations antivarioliques et détruire les souches virales encore détenues dans certains labos. Les dernières campagnes de va**-nation s’étaient toutes soldées par une poussé épidémique quel que soit le pays où eut lieu cette campagne !

Le mensonge :
Les va**ins sont inoffensifs et les accidents qu’on attribue aux va**ins ne sont que de tristes coïncidences.

La vérité :
les va**ins sont des médicaments au même titre que les autres molécules de la pharmacopée et, à ce titre, ils sont dangereux et toxiques. Les médicaments tuent en moyenne 20 000 personnes par an en France, et les va**ins ne tueraient personne ? C’est un miracle, et dans les labos, les miracles, ça n’existe pas !

Ce que contient réellement un va**in : une partie dite “atténuée” d’un virus ou bactérie que l’on croit responsable d’une maladie, des éléments de manipulations génétiques comme les ARN ou ADN double brin. Des traces protéiques du milieu de culture, car on ne sait pas filtrer totalement la fraction va**inale. Ce qui veut dire que si les protéines de culture sont polluées pour une raison ou une autre, le va**in le sera aussi. Il contient également des adjuvants tels l’hydroxyde d’aluminium qui se révèle un redoutable toxique puisqu’il est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique. Le cerveau est le seul organe humain qui soit stérile et qui doit le rester, y introduire un produit chimique amène des a**idents graves.

Pourquoi retrouve-t-on des traces d’aluminium dans les plaques amyloïdes de la maladie d’Alzheimer ? Les coupes qui servirent en 1906 à Alzheimer à décrire la maladie qui porte son nom existent toujours, elles ont été examinées de nouveau avec nos techniques modernes et il n’y a aucune trace d’aluminium dans ces coupes. L’aluminium trouvé dans les cerveaux (examen post-mortem) analysés est … celui des va**ins !

On y trouve aussi des traces de formaldéhyde, cancérogène de 1ère classe, des sels de mercure (stabilisants) le mercure est un neurotoxique reconnu, personne ne peut le mettre en doute.

 La va**-nation est devenue une religion, on y croit sans voir et sans preuve “Heureux celui qui croira sans avoir vu” et ce sont les opposants, majoritairement des scientifiques qui passent pour des illuminés, membres de sectes inavouées.

Ce fut Claude Bernard qui arbitra le match : Pasteur vs Béchamp et, à la fin de sa vie, il eut cette phrase remarquable : “ Béchamp a raison, le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout, Pasteur est fou !” Sur la fin de sa vie, Pasteur eut un AVC qui le laissa hémiplégique, il perdit complètement la raison et se lança dans des théories encore plus folles et plus fausses que celles de ses débuts !

L’organisme humain est une merveille d’équilibre, entre ses propres cellules et des cellules étrangères, virus et autres bactéries, c’est la rupture de cet équilibre qui provoque ce que l’on appelle “maladie” le système immunitaire n’est pas un jouet. Va**iner un bien-portant et l’on en fait un malade chronique !

Le mensonge :
le tétanos, la rage, la poliomyélite ont été endigués par la va**-nation !

La vérité :
ces trois maladies sont des maladies sans immunité, les toxi-infections ne passent pas par la voie sanguine.

Le mensonge :
la va**-nation ROR a permis de supprimer les maladies infantiles !

La vérité :
ces maladies dites “infantiles” servent à la maturation du système immunitaire de l’enfant pour en faire un adulte en bonne santé. Avec le ROR on a créé des souches mutantes de la rougeole et des adultes qui l’avaient eu enfants, l’attrapent sous une forme “aggravée” au contact de leurs enfants va**inés.

Le mensonge :
Nos enfants deviendront centenaires !

La vérité :
les centenaires d’aujourd’hui sont des personnes qui sont nées dans les années 1910, époque où il n’y avait pas de va**-nations obligatoires ! On en reparlera dans quelques années.

Toutes les études internationales arrivent à la même conclusion : les enfants à jour des va**-nations obligatoires sont globalement en plus mauvaise santé que ceux qui n’ont jamais été va**inés.

Le mensonge :
il faut va**iner les personnes fragiles pour les protéger.

La vérité :
toute personne atteinte d’un déficit immunitaire ou souffrant d’une pathologie auto-immune est une contre-indication majeure à toute forme de va**-nation ! Pour qu’une va**-nation soit réellement efficace, il faudrait faire un groupage HLA à chaque individu pour connaître l’état exact de ses défenses immunitaires. Trop cher ! Répondent les autorités dites “compétentes” et on vit avec les a**idents va**inaux qui ne sont officiellement que de la faute à pas de chance ou à des coïncidences malencontreuses.

Tous ces cas d’autisme soudain, d’hyperactivité, de cancers infantiles ne seraient dus qu’à des problèmes environnementaux? L’air pollué ? La malbouffe ? Disons que ça se cumule et comme l’on ne connaît pas les synergies entre tous ces éléments, la prudence voudrait qu’on arrête les frais et que l’on ne sacrifie plus nos enfants et petits-enfants sur l’autel du profit industriel !

En conclusion : le principe de la va**-nation de masse ne repose sur aucune base scientifique indiscutable et démontrée.

Merci à l’auteur de cet article qui me paraît très clair et démontre le ridicule de la situation actuelle. Je tiens à préciser que ceci est valable pour les vaccins, et que si on s’y prend rapidement il est possible d’atténuer les effets des métaux lourds introduits dans le corps. Par contre, les injections qui se font actuellement n’ont de vaccin que le nom puisqu’elles ne contiennent que des produits très toxiques dont personne ne connaît les dangers exacts et toutes les personnes qui l’acceptent servent de cobayes à une expérimentation à l’échelle mondiale. Le nombre de morts augmente chaque jour ainsi que celui des personnes victimes d’effets secondaires, plus ou moins graves. Nous ne savons encore rien des effets à moyen et long terme.

Plus d’infos sur Béchamp ici :

https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/polymorphisme-microbien/

Prenez soin de vous

Mabelle

Manger des pommes

Pour rester en bonne santé, il suffit souvent de bien utiliser les produits qui nous entourent. Manger des pommes régulièrement serait par exemple une excellente idée à laquelle nous ne pensons pas assez souvent.

Manger des pommes fait partie du quotidien de nombreux consommateurs, mais connaissons-nous tous les bienfaits de la pomme ? La pomme est excellente pour la santé mais également pour la ligne.

Caractériser la diversité des variétés anciennes de pommier conservées en  France - Jardins de France

La pomme régule les problèmes de transit

La pomme est un fruit riche en fibres, qui facilitent le transit intestinal et réduisent le risque de constipation. Pour cela, il faut la manger crue avec la peau. En cas de diarrhées, en revanche, pelez votre pomme. Elle aura alors un effet radical. La pectine qu’elle contient est une fibre soluble qui peut en effet retenir jusqu’à 20 fois son volume d’eau.

La pomme réduit les risques de cancer

La pomme est également un allié contre le cancer. Elle contient en effet d’importants niveaux de catéchines et de quercétine, des antioxydants qui agissent contre la prolifération de cellules cancéreuses. Ces antioxydants se trouvent principalement dans la peau, alors pensez à acheter des pommes bio ou lavez-les bien avant de les consommer.

La pomme combat le mauvais cholestérol

Les pommes sont capables de réduire significativement les taux de mauvais cholestérol et d’augmenter légèrement les taux de bon cholestérol. C’est grâce à la pectine que les pommes empêchent les graisses de s’agglutiner dans les artères. Presser la pomme en jus permettrait de lutter encore plus efficacement contre le mauvais cholestérol.

La pomme est un allié minceur

La pomme serait par ailleurs recommandée pour toutes les personnes qui cherchent à perdre du poids. Elle est en effet un excellent coupe-faim. Manger deux pommes par jour permettrait par conséquent de perdre du poids. Le sentiment de satiété qu’elle procure réduit les grignotages ainsi que notre appétit pendant les repas.

La pomme réduit les risques de diabète

Manger des pommes serait également utile pour réduire les risques de diabète. Les fibres, à l’instar de la pectine, freinent la pénétration des sucres dans le sang et stabilisent ainsi les taux de glycémie. Selon les résultats d’une étude américaine, manger une pomme par jour permettait de réduire de 28 % le risque de développer un diabète de type 2.

La pomme est bonne pour les os

Plusieurs études ont montré que la consommation de fruits riches en antioxydants, comme la pomme, entraînait une augmentation de la masse osseuse et une plus grande résistance des os. En règle générale, la consommation de fruits entraîne une meilleure densité minérale osseuse.

La pomme permet de mieux dormir

Manger des pommes rend nos nuits plus paisibles. Parce qu’elle est riche en phosphore, la pomme prévient les problèmes de sommeil comme l’insomnie. Elle lutte également contre l’anxiété et favorise la détente. Manger une pomme avant de se coucher est donc recommandé.

La pomme réduit le risque d’AVC

Selon une étude menée par des chercheurs néerlandais et publiée dans Stroke, le Journal de l’American Heart Association, consommer régulièrement des poires et des pommes permet de réduire de 52 % les risque d’AVC (accident vasculaire cérébral). Une pomme par jour suffirait pour prévenir de manière efficace les AVC.

La pomme réduit le risque de maladie neurodégénérative

La pomme est également recommandée pour avoir une bonne santé cérébrale car elle contient un antioxydant, la quercétine, qui protège efficacement les cellules du cerveau. Elle permet également de conserver une bonne mémoire et de prévenir les maladies neurodégénératives comme Alzeihmer ou Parkison.

La pomme est excellente pour la santé bucco-dentaire

La pomme est enfin indispensable pour conserver une bonne hygiène bucco-dentaire. Elle favorise en effet la production de salive. Or la salive protège les dents des bactéries et permet de lutter contre le développement de caries.

Avec ou sans pomme, prenez soin de vous

Mabelle

Les Oméga 3

oméga

Les Oméga 3 sont à la mode ces dernières années, mais que sont-ils exactement ?

Ils font partie de la famille des acides gras. Les graisses ont généralement la réputation d’être néfastes pour la santé. Cependant, concernant les Oméga 3, cette affirmation mérite d’être nuancée. Les Oméga 3 sont des acides gras essentiels, c’est-à-dire l’un des deux types d’acides gras indispensables au bon fonctionnement de notre organisme, au même titre que les vitamines et les minéraux.

Le terme « essentiels » signifie que notre corps ne sait pas les synthétiser, ils doivent donc être fournis en quantité suffisante par l’alimentation. Or ils sont trop rarement présents dans nos assiettes !

besoins en oméga

Les Inuits du Groenland, ont un faible taux de maladies cardio-vasculaires malgré une alimentation riche en gras. Leur secret ? Leur alimentation est principalement constituée de poisson gras, riche en Oméga 3.

Le taux de maladies cardio-vasculaires, comme notamment l’infarctus, est en effet beaucoup plus faible chez eux par rapport aux autres groupes d’Esquimaux ayant une alimentation plus occidentale contenant beaucoup de viande riche en acides gras saturés.

Quels sont les principaux bienfaits des Oméga 3

 – Ils sont indispensables à la croissance et au développement optimal du cerveau des bébés. Il est donc essentiel que les femmes enceintes ou allaitantes consomment des Oméga 3 en suffisance. L’ajout d’acide alpha-linolénique (précurseur d’Oméga 3) dans le lait pour nourrissons est d’ailleurs imposé par la loi.

– Ils jouent un rôle bénéfique sur la mémoire, la concentration et les facultés d’apprentissage. De plus en plus d’études prouvent qu’une carence en Oméga 3 ou un déséquilibre du rapport Oméga 3 et Oméga 6 peuvent favoriser la survenue du TDAH, de la dyslexie, de troubles locomoteurs, de l’autisme…

– De plus en plus de scientifiques sont convaincus qu’une consommation suffisante d’Oméga 3 contribue à prévenir la démence et la maladie d’Alzheimer.

– Ils assurent une meilleure gestion du stress, améliorent l’humeur, et permettent de lutter contre la dépression (dans les pays gros consommateurs de poisson, comme le Japon, les dépressions sont beaucoup moins fréquentes).

– Ils diminuent les douleurs rhumatismales, notamment de l’arthrite rhumatoïde (les Oméga 3 ont des propriétés anti-inflammatoires et améliorent la résistance immunitaire)

arthrite

– Ils contribuent à tonifier les membranes cellulaires

– Ils permettent la production de cytokines qui défendent l’organisme contre les agressions extérieures

– Ils adoucissent la peau, sont particulièrement utiles dans le traitement de l’eczéma et du psoriasis

– Ils favorisent la perte de poids

– Ils améliorent les performances physiques en augmentant le niveau d’énergie

– Ils participent au bon fonctionnement du système cardio-vasculaire. Quand on sait qu’il s’agit d’un des principales causes de mortalité dans les pays occidentaux, et un problème de santé majeur dans le monde, on voit ici l’importance d’un apport suffisant de ces précieux acides gras essentiels. Notre alimentation occidentale se caractérise par un rapport Oméga 6/Oméga 3 de 15/1, ce qui vraiment excessif. Ce rapport devrait être de 5/1.

– préviennent la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins, diminuent les triglycérides présents dans le sang, favorisent la diminution de la pression artérielle.

– contribuent à stabiliser le rythme cardiaque

rythme cardiaque

– rendent les globules rouges plus flexibles, ils peuvent ainsi mieux oxygéner tous les tissus

– améliorent le fonctionnement des reins, contribuant ainsi à réduire à rétention d’eau et la pression artérielle

 Les meilleures sources d’Oméga 3

 Certaines huiles végétales (lin, noix, canola) sont sources d’Oméga 3, comme les graines dont elles sont tirées (chanvre, chia).

Cependant, les poissons gras en sont la meilleure source. En réalité, même s’ils sont appelés poissons gras, ils présentent un assez faible taux de gras et ceux-ci sont principalement des gras essentiels. Ils sont très faibles en gras saturés.

Il est bon de savoir que la majorité du saumon frais vendu dans le commerce, sous le nom de saumon de l’atlantique, est en fait du saumon d’élevage. Ces poissons présentent un taux de contamination aux métaux lourds plus élevés que ceux retrouvés chez les poissons sauvages. Même si ces taux sont inférieurs aux doses considérées comme toxiques par les organismes de santé, mieux vaut rester prudent, et privilégier des types de poissons moins contaminés, comme le saumon sauvage du Pacifique ou de l’Alaska.

 Les sardines constituent également un bon choix. D’après un test pratiqué sur 6 échantillons de différentes marques de sardines, on retrouve dans 100 gr de sardines entre 1,3 et 3,3 grammes d’Oméga-3. Les sardines fraîches sont encore plus riches en Oméga 3, puisque l’on y retrouverait de 3 à 6 grammes par 100 gr.

 La meilleure manière de consommer des Oméga 3 consiste à adopter une alimentation équilibrée. Il est donc recommandé de prendre deux ou trois repas de poisson gras par semaine, et de consommer des huiles et graines où ils sont présents. Beaucoup d’entre nous le savent, mais, qui le fait ? Les Oméga 3 sous forme de suppléments sont efficaces, mais ne remplacent pas une saine alimentation. Alors, à vos casseroles pour de nouvelles recettes de poisson !

 Sachez cependant que plusieurs semaines d’utilisation peuvent s’écouler avant que les effets salutaires des Oméga 3 commencent à se manifester.

Existe-t-il des effets secondaires à la supplémentation en Oméga 3 ?

Les Oméga 3 sont généralement très tolérés. Les effets secondaires possibles sont d’ordre digestif : nausées, mauvaise haleine, et rots. Pour éviter ces désagréments :

– Commencez avec une capsule par jour, puis augmentez après quelques jours.

– Prenez vos capsules pendant un repas.

– Évitez de prendre votre supplément avec des boissons ou aliments irritants tels que café, ou jus d’agrumes.

Les Oméga 3 Nikken

Se basant sur la maxime d’Hippocrate, « Que la nourriture soit votre remède », Nikken combine les meilleures avancées de la science avec tout ce que la nature offre de plus sain.
Le complément alimentaire Kasai® Nikken est à base d’huile de poisson et de bourrache, il contient à la fois les huiles oméga 3 et oméga 6, qui ne peuvent pas être synthétisées dans l’organisme et doivent donc être obtenues par la consommation d’aliments.

oméga nikken

L’huile Oméga 3 provient de sardines et d’anchois des côtes péruviennes.

Riche en nutriments, l’huile de poisson de Kasai® Huiles oméga est extrêmement pure, obtenue par une technologie de purification et de concentration unique développée au cours de nombreuses années de recherche, et d’expérience de fabrication.

Pour un effet optimal, votre corps a besoin de 250 mg d’huile d’Oméga 3

Deux gélules d’Huiles Oméga contiennent :
ePa 97,9 mg (acide eicospentaenoïque)
DHa 64,97 mg (acide docosahexaenoïque)
gla 11,00 mg (acide gamma-linolénique)

 Prenez soin de vous, de votre santé – Mabelle