La vie, c’est maintenant tout de suite, ne pense pas à demain, ni même à hier…
N’oublie pas que la meilleure version de toi-même émerge quand tu te permets de vivre L’instant présent pleinement, sans stratégies, sans masque, sans réflexion… Sans rien calculer…
La vie est le meilleur outil pour une véritable reconnexion à soi…
Bien évidemment je ne parle pas de la vie que l’on survole sans même essayer de l’apprécier, ni même de la vie que l’on s’impose avec un rythme effréné, je parle de la vie que l’on accueil et façonne avec nos envies, nos folies…
Tu es le magicien de tes lendemains…
L’alchimiste de tes joies et de tes peines
Le créateur de tes futures heures
Le thérapeute de tes blessures et de tes peurs
Le déclencheur de ton propre bonheur…
Continue de te remplir d’amour le tiens, mais également celui de ceux qui t’entoure…
Accepte d’être aimé, reçoit, accueil et diffuse naturellement cette fabuleuse énergie…
Je vous partage un texte de Charlotte Celier « Aujourd’hui je lâche tout contrôle »
Je n ai plus besoin de tout gérer , tout limiter … je n ai plus besoin de tout superviser ; je n ai plus besoin de mettre des barrières inexistantes ;
Je laisse les choses aller et se produire ,
Je lâche prise sur mes attentes ,
Et si pour une fois , j étais à l image d une plume qui se laisse conduire par le vent ?!
Je comprends que mes problématiques entachent mon présent ,
Je comprends que le contrôle est enfermement,
Je comprends que lutter contre moi-même est une guerre inutile .
Je comprends que ce qui m est renvoyé n est que l’image que je véhicule et nourris .
Aujourd’hui , je respire et je laisse tout aller … je deviens un espace vide pour que l Univers puisse à nouveau se manifester et m envoyer de bonnes choses dans ma vie .
Tout n est pas à comprendre mais simplement à vivre.
je vous partage un texte intéressant de Charlotte Cellier
Prenez soin de vous
Mabelle
Aujourd’hui, nous sommes dans un monde, où dire « tu me manques » est etiquetté de dépendance affective. Dire : »je t aime » de possession ou d’intention déplacée.
Etre triste. En colère, d’insouciant…
Poser une question ou être différent, d’ignorant
On s’est perdu dans beaucoup d’incohérence et d’incompréhension, dans les lectures du soi et du moi, dans notre perception de l’ego, dans le fait de polariser en soi et être dans son êtreté, et non l’individualité .
Beaucoup se sont perdus dans cette notion de liberté, qui n’est pas être seul, l’indépendance n’est pas faire ce que l’on veut, tout fuir mais justement de tout assumer avec authenticité, honnêteté, être qui l’on est entièrement et sans détour aux yeux de tous.
Beaucoup se sont perdus…
Les émotions et les sentiments en totale déchéance.
Confondant froideur et centrage , confondant fuite et silence, confondant honnêteté et parole juste, confondant jugement et vérité dérangeante, mental et introspection.
Beaucoup parle de leur peur du transhumanisme sans se rendre compte qu’ils sont déjà déshumanisés et programmés à ne plus ressentir ou avoir honte de ressentir depuis bien longtemps ne suivant plus leur cœur mais leur raison,faisant preuve de contrôle à chaque seconde.
Je vous partage une petite histoire inspirante ce matin.
Portez vous bien
Mabelle
Il y avait un agriculteur qui cultivait du maïs d’excellente qualité. Chaque année, il remportait le prix du maïs le mieux cultivé. Il y a un an, un journaliste l’a interviewé et a découvert quelque chose d’intéressant sur la façon dont il cultivait le maïs. Le journaliste a découvert que l’agriculteur partageait ses semences avec ses voisins. « Pourquoi partage-t-il ses meilleures graines avec ses voisins s’ils rivalisent avec les siennes chaque année ? » lui a demandé le journaliste. Pourquoi Monsieur? répondit le fermier, tu ne le savais pas ? Le vent ramasse le pollen du maïs mûr et le fait tourbillonner d’un champ à l’autre. Si mes voisins cultivent du maïs de qualité inférieure, la pollinisation croisée dégradera continuellement la qualité de mon maïs. Si je veux cultiver du bon maïs, je dois aider mes voisins à cultiver du bon maïs. Il en va de même pour nos vies. Ceux qui veulent vivre une vie bonne et pleine de sens doivent contribuer à enrichir la vie des autres, car la valeur d’une vie se mesure à la vie qu’elle touche, et ceux qui choisissent d’être heureux doivent aider les autres à trouver le bonheur, car le bien-être de chacun est lié au bien-être de tous
Une petite histoire pour bien commencer la journée
La gomme dit au crayon : Comment vas-tu, mon ami ? Le crayon répondit avec colère : je ne suis pas ton ami… je te déteste … Elle a dit : Avec étonnement et tristesse !!! Pourquoi ? Il a dit : Parce que vous effacez ce que j’écris… Elle a dit : Je n’efface que les erreurs. Elle a dit : Je suis une gomme et c’est mon travail. Il a dit : Ce n’est pas du travail. Elle a dit : Mon travail est aussi utile que le vôtre. Le crayon a dit : Tu as tort et tu es arrogante, car celui qui écrit vaut mieux que celui qui efface… Elle a dit : Effacer l’erreur équivaut à écrire la bonne chose… Le crayon resta silencieux un moment, puis dit avec une certaine tristesse : Mais je te vois diminuer de jour en jour… Elle a dit : Parce que je sacrifie quelque chose de moi-même à chaque fois que j’efface une erreur… Le crayon dit d’une voix triste : Et je sens que je suis plus petite que je ne l’étais… La gomme dit en le consolant : Nous ne pouvons profiter aux autres que si nous faisons un sacrifice pour eux… Alors la gomme regarda le stylo avec une grande sympathie et dit : Me détestes-tu toujours ?… Le crayon sourit et dit : Comment puis-je te détester alors que le sacrifice nous a réunis… ***Chaque jour vous vous réveillez… votre durée de vie diminue d’un jour… Si vous ne pouvez pas être un crayon pour écrire le bonheur des autres, alors soyez une gomme douce avec laquelle effacer leurs chagrins et répandre l’espoir et l’optimisme dans leurs âmes.
Ne permets pas à ton cœur de se laisser envahir par la crainte ou la peur de l’échec, du vide, de la solitude.
Accueille tout avec foi et confiance, prend exemple sur la fleur, qui accueille, la pluie, le vent, la chaleur pour s’épanouir et devenir belle, elle connait sa force intérieure.
Accueille le fait que tu es aimé, guidé et soutenu, si tel est ton choix, par ta force de vie, c’est là que se trouve la source du bonheur pour toi, ouvre la voie à ta conscience divine.
Accueille la transformation qui s’opère autour de toi et en toi. Consens à te séparer de ton vieux personnage, de ta vieille peau, plus vite tu en es dépouillé, plus rapidement, tu vas intégrer l’être d’amour que tu es.
Accueille l’action du pardon pour les autres et envers toi, c’est l’intégration de la grande miséricorde qui agit à travers ton être de lumière, ne t’en prive pas, c’est un cadeau de l’univers.
Accueille l’amour universel, joue, ris, comme un enfant, rend grâce pour l’abondance de bienfaits qui est dans ta vie, honore le divin en toi, tu es un dieu éternel qui brûle d’amour, dispense-le en ne t’oubliant pas, laisse-toi combler, c’est ton droit d’âme de lumière.
Accueille simplement le fait que le ciel communique avec la terre, qu’il n’y a aucune séparation, qu’en ayant ton regard tourné vers l’amour, tu es témoin de sa puissance de réalisation dans les cœurs et sur tous les plans d’ici et d’ailleurs.
Je vous partage ce matin un texte de Laurence Simonnet, en espérant qu’il vous parlera autant qu’à moi.
Prenez soin de vous.
Mabelle
J’ai été trop souvent enfermée et limitée !
Tout d’abord, dans mon corps. Depuis enfant, je me souviens d’être en conscience que je suis plus que ce corps, plus que mon âge et que j’ai accès à d’autres réalités que celle que me proposaient mes parents, ma famille, l’école.
Ensuite, dans la fille que j’étais et qui a subi des moqueries sur sa sensibilité extrême, de son côté fleur de peau, fleur bleue. J’ai cru que je rencontrais une difficulté et non eux. Ils ressemblaient à toutes les autres personnes.
À l’adolescence, quel enfermement ! Ce corps qui s’est transformé, qu’il me faut assumer, montrer, subir les mains baladeuses, hasardeuses, les remarques désobligeantes, les dragues, les blagues à deux sous, les invitations intéressées… Et, pourtant, j’étais en conscience de tout ce qui se déroulait : l’enjeu !
Puis vint la jeune femme si naïve avec juste l’envie de vivre cet Amour qu’elle contactait dans son cœur, qui coulait en elle de la Source. Naïve, je n’imaginais même pas que la prison de l’adolescence que je quittais avec joie, allait m’enfermer dans une prison dorée.
Et, me voilà, mère de deux filles… 1ᵉʳ déclic.
Une nouvelle porte s’ouvre dans ma conscience. Je demande à les accompagner dans ce que je ressens au fond de mon Cœur, de mon âme. Je re-découvre tout ce qu’enfant, je voyais, je vivais, aspirais, étais. Tout était là, inscrit en mon cœur. Tout m’est revenu, tout s’assembla : le puzzle du Grand Plan. J’avais retrouvé mes ailes.
J’ai élevé mes filles avec d’autres réalités tout en conservant bien les pieds sur Terre. Les laissant explorer les Mondes que je connaissais et dont personne n’avait pu m’accompagner, me guider enfant. Je les initiais, je me guérissais. Enfin !
Je me sentais alors de plus en plus vivante, vivifiée malgré cette prison dorée.
Alors, j’ai commencé à rêver de liberté, d’espaces, de découvertes, d’envies, de beauté, de besoins.
2ᵉ déclic : je peux me libérer moi-même et divorcer.
Démarches, logement, écoles… Tout était d’une justesse, guidée, accompagnée, j’avais déployé mes ailes.
J’ai semé des graines d’amour et d’éveil dans les cœurs des personnes se présentant à moi tant en formation qu’en consultations. J’ai enseigné, transmis depuis plus de 26 ans.
J’ai continué à distribuer mes semences d’Amour et d’éveil à chaque instant parfaitement aligné à ce que je suis.
Divorcée, j’ai pris conscience, à nouveau, de mon enfermement. Je donnais mes stages chez moi, je consultais chez moi, je recevais chez moi… Bref, je ne sortais jamais et je travaillais toujours.
3ᵉ déclic : je peux sortir de ma zone de confort. Oui, mais…
Mon corps, je l’avais totalement oublié, dénigré, laissé pour compte. Il avait des kg en trop, il faisait du « sur place », il était coincé. J’ai oublié que j’étais une femme avec ses envies, ses désirs, ses plaisirs…
4ᵉ déclic : je suis un TOUT, et je peux emporter mon corps dans mon aventure. Changements d’alimentation, reprise de la marche quotidienne. Je me suis mise à l’aimer, mon corps qui deviendra mon meilleur ami qui ne ment jamais. Il retranscrit la vérité de l’instant et sans détour.
Je ressentais tout grâce à lui, mais je n’avais pas compris son utilité dans mon développement personnel de femme.
5ᵉ déclic : je me suis enfermée toute seule.
Par peurs, par différence, par confusion, je me suis protégée.
Aujourd’hui, les murs sont devenus des grillages, et les grillages sont devenus des tremplins sur lesquels je prends mon envol vers la liberté.
Je suis la seule à pouvoir me libérer, à m’affranchir de mes prisons physiques, émotionnelles, mentales et même spirituelles.
Je me choisis et je reste en conscience de tous les choix que je prends afin de rester libre.
Aujourd’hui encore, je reste dans l’optique de me libérer davantage, de sortir des chemins battus, de m’autoriser encore davantage à être plus libre, plus moi : à transgresser certaines règles figées et fixées.
6ᵉ déclic : je peux tout et en tout temps de l’instant où je reste en accord avec ce qui vibre en moi et dans le respect.
Je me libère !
Je me libère de tout jugement ou croyance imposé par les autres. Je me libère de mes chaînes invisibles.
Accorde-toi aussi le droit d’être qui tu es et d’oser enfin rayonner !
Bonjour, je vous espère en pleine forme. Je vous partage ce matin un texte d’Alejandro Jodorowsky.
Ils t’appelleront « bizarre » ou « dingue » parce que tu es née avec le don de voir les choses autrement, différemment, et cela leur fait peur!
Ils t’appelleront « intense » parce que tu l’es, car tu es née avec la valeur bien mise pour te permettre de tout essayer pleinement, et cela les intimide.
Ils t’appelleront « égoïste » parce que c’est le cas, oui tu as découvert que tu es la chose la plus importante dans ta vie et cela ne leur convient pas.
Ils t’appelleront de nombreuses façons, avec beaucoup de jugements, pendant longtemps.
Mais surtout, reste immobile en toi et dans ce que tu veux, et je te promets qu’un jour, ils t’appelleront pour te dire : « Merci d’Exister! »
Prenez soin de vous. Mabelle
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience