Archives de catégorie : Coaching de vie

Pour guérir

Bonjour, je t’espère en forme.

Pour guérir, il faudra parler des fausses couches.

Pour guérir, il faudra parler des infidélités.

Pour guérir, il faudra compter la violence, les abus et les maltraitance.

Pour guérir, il faudra exprimer la haine, la jalousie et la rage.

Pour guérir, il faudra reconnaître et compter ces amours frustrées qui n’ont jamais pu être.

Pour guérir, il faudra parler des arnaques, des vols et des dettes.

Pour guérir, il faudra parler des exclus et des ′′ méchants ′′ de chaque histoire.

Pour guérir, il faudra parler des vivants et des morts.

Pour guérir, il faudra parler de dépendances et de duels bloqués.

Pour guérir, il faudra enterrer tous les bébés et enfants morts de mon histoire.

Pour guérir, il faut pleurer et compter les douleurs.

Pour guérir, il faut raconter les secrets et les dévoiler.

Pour guérir, il faut être prêt à dire la vérité et rien que la vérité.

Après tout, reconnaître que c’était juste ′′ ma ′′ vérité selon mon histoire. Et quand tout cela arrivera, tu réaliseras qu’il n’y avait rien à guérir. Que tout était là exprimé en forme de symptôme, pour que tu transcendes cette histoire.

Pour guérir, il faut que tu saches qu’il n’y a rien à guérir mais tout à intégrer.

Pour guérir, il faut intégrer dans notre quotidien les ordres de l’amour.

Accepter tout comme il est et tout ce qu’il s’est passé. Nous ouvrir à la réconciliation.

Accepter tout le monde comme ils sont.

Comprendre que nous sommes tous un, mobilisés par quelque chose de plus grand qui est le mouvement de l’esprit et que tout est bien et parfait.

Prends soin de toi

Mabelle

Etes vous trop perfectionniste ?

Bonjour, je vous espère en pleine forme

Un perfectionniste est une personne qui refuse d’accepter toute norme inférieure à la perfection.

En psychologie, le perfectionnisme est un trait de personnalité qui se caractérise par “le fait qu’une personne s’efforce d’être irréprochable et se fixe des standards de qualité excessivement élevés, accompagné par une auto-critique permanente et draconienne, tout en s’inquiétant du jugement des autres.”

Le perfectionnisme n’est pas une fatalité. Il existe différentes solutions pour le surmonter. Voici quelques astuces qui vous aideront à accepter l’imperfection pour enfin avancer vers vos objectifs, de manière efficace et apaisée.

– Changez vos standards

– Créez une checklist

– Cassez le cycle de rumination

– Fixez vous des objectifs réalistes

– Apprenez à demander de l’aide

– Célébrez les succès, même les plus petits

– Déléguez et lâchez prise

– Arrête de te comparer

– Ne soyez pas trop rigide sur les procédés et les résultats

– Se rappeler que l’échec peut être une étape

– Avancez à votre rythme

– Ne soyez pas trop rigide sur les procédés et les résultats

– Définissez des limites de temps et faites des pauses

Prenez le temps d’inclure ces nouvelles façons d’agir dans votre quotidien. Commencez par ce qui vous parle le plus, puis avancez à partir de là. Progressivement, vous verrez votre vie changer pour le mieux, vous découvrirez à quel point il est plus sain et bénéfique de vivre un perfectionnisme modéré plutôt que de l’utiliser à tort et à travers.

Prenez soin de vous

Mabelle

Honnêteté, justesse et pardon

Bonjour,

Je vous espère en pleine forme.

Je vous partage ce matin un texte de Joeliah

Dans notre vie, mettre en action le rayon blanc de l’honnêteté dans son quotidien et de la justesse, peut faire le même effet qu’un manteau de neige qui s’installe dans un champ et donner une nouvelle vision des choses, basée sur la pureté.

La pureté et justesse donnent envie de vivre en paix avec tout ce qui est.

Idem pour un pardon sincère.

Aussi, comme la neige transforme un paysage ; pardonner, c’est accepter de passer à autre chose.

C’est donner la priorité à son bien-être au détriment d’un événement involutif.

C’est libérer une ou des personnes, de son champ d’action et ne plus laisser le pouvoir à l’ancien, pour choisir en son âme et conscience de passer à autre chose d’évolutif.

Pardonner est un choix conscient d’amour pour soi avant tout.

C’est se donner la chance de vivre autre chose, de se créer une nouvelle réalité sans bourreau et sans victime.

C’est reprendre son pouvoir et axer sa vision de vie sur des choix plus élevant et sympathique.

C’est accepter de reconnaitre son pouvoir d’attraction et de changer la charge émotionnelle pour cesser d’attirer la même chose pesante.

C’est élever sa fréquence.

Pardonner permet de libérer les connexions neuronales et de changer de câblage dans le cerveau.

De ce fait, les neurones habitués à capter les circuits mémoriels liés au regret, à la rancune ou rancœur, ne recevant plus d’informations et n’en transmettant plus, libèrent une grande partie d’énergie utilisée et apportent un regain de vitalité.

Une vision plus claire des choses s’ensuit.

D’autres connexions axées sur la paix et la joie d’être libre apportent d’infinies nouvelles possibilités et il n’est pas rare qu’une personne qui vient d’effectuer un vrai pardon libératoire guérisse d’une grave maladie (mal à dit exprimé par le corps) et retrouve une excellente santé.

N’oublions pas que le corps est l’extension de l’âme qui elle-même est une manifestation du grand Esprit, de la Source d’expression de Tout ce qui Est.

En acceptant de se transformer, nous insufflons un nouvel avenir, car tout se joue au moment présent.

Nous pouvons faire alors un choix de vivre de manière plus juste, honnête, droite et paisible, en accord avec notre juste nature et alors, les bienfaits affluent dans notre vie.

Belle libération.

Prenez soin de vous

Mabelle

Les traumas transgénérationnels

Il est reconnu que les expériences traumatisantes peuvent être transmises à travers les générations. Ce phénomène est appelé transmission intergénérationnelle du traumatisme ou traumatisme transgénérationnel.

Cela signifie que les expériences traumatisantes vécues par un ancêtre peuvent influencer les membres de sa famille même des décennies plus tard.

Le trauma est un impact, un transfert pour lequel la douleur émotionnelle, physique ou sociale dont souffre une personne à un moment donné se transmet.

Le traumatisme transgénérationnel peut se manifester de diverses manières: de l’anxiété, des terreurs nocturnes, une mauvaise humeur, une hypervigilance et des flashbacks…

La personne peut aussi éprouver des émotions comme la honte, la culpabilité qui l’empêche de s’épanouir dans sa vie, sans qu’elle puisse en trouver la cause dans son vécu.

La victime de traumatisme transgénérationnel peut donc rencontrer des difficultés à se projeter dans l’avenir. Elle est amenée à vivre des situations personnelles, familiales ou professionnelles qui se répètent sans pouvoir leur donner du sens.

Des thérapeutes sont spécialisés dans ce domaine, ils peuvent vous aider à comprendre et avancer dans la vie sans devoir porter les valises de ceux qui vous ont précédé.

Prenez soin de vous

Mabelle

La mémoire du corps

Bonjour, je vous espère en forme.

Le corps a une mémoire d’éléphant. Les expériences traumatiques, qui entraînent une multitude d’émotions désagréables telles que la colère, le stress, l’anxiété, la peur ou encore la frustration, se gravent dans la mémoire du corps.

Chaque expérience vécue se grave dans cette mémoire du corps, de la petite enfance à l’âge adulte.

C’est la raison pour laquelle certaines douleurs peuvent apparaître sans que l’on n’en comprenne immédiatement les raisons, traduisant en réalité des émotions refoulées.

Cette fameuse mémoire a une influence non négligeable sur notre corps au quotidien.

Ces blessures invisibles peuvent s’enraciner dans différentes parties de notre organisme, influençant notre bien-être physique, émotionnel et énergétique.

Ainsi, être à l’écoute de notre corps, identifier la localisation de nos souffrances pour tenter d’en comprendre le sens, peut être une première étape vers la guérison, à la fois physique et mentale.

Comprendre ces mécanismes et travailler sur ces zones permet de retrouver une paix intérieure et une vie plus harmonieuse.

Prenez soin de vous

Mabelle

L’amour ce n’est pas ça

Bonjour,

Si si tu as eu un(e pervers(e) narcissique dans tes relations, j’espère que tu en es sorti(e) depuis bien longtemps. Si ça n’est pas le cas, ce texte te parlera, et pourra peut-être t’aider à comprendre que l’amour ce n’est pas ça, que tu n’as rien fait de mal et t’aider à aller de l’avant. Tu es plus que cette personne te dit, beaucoup plus, beaucoup mieux, tu mérites de vivre en paix et loin de lui/elle.

Au début, tout semble parfait. Il ou elle est attentionné, doux, presque trop beau pour être vrai. Chaque mot est un baume sur tes blessures, chaque regard une promesse silencieuse. Tu t’abandonnes, bercé par l’illusion d’un amour absolu. Mais petit à petit, quelque chose change.

Ce ne sont pas des coups, ni des cris. C’est pire. C’est un poison lent qui s’infiltre dans ton âme, qui te fait douter de tout, surtout de toi. Une remarque anodine, puis une autre. Un reproche déguisé en conseil bienveillant. “C’est pour ton bien”, “je t’aime plus que tout”, “sans moi, tu serais perdu”. Alors tu baisses la tête, tu t’adaptes, tu t’excuses même d’être qui tu es.

Et puis, il y a ces moments de lumière, ces instants où il ou elle redevient celui ou celle qui t’a tant charmé. Juste assez pour te faire espérer, pour te retenir. Tu te persuades que c’est passager, que l’amour demande des efforts, des sacrifices. Mais l’amour, le vrai, ne t’éteint pas. Il ne te fait pas douter de ta valeur.

Le jour où tu ouvres les yeux est brutal. Parce que voir la vérité en face, c’est admettre que tu as été pris au piège. C’est ressentir la colère, la honte, la douleur. Mais c’est aussi la première étape vers la liberté. Tu n’es pas faible d’avoir aimé. Tu n’es pas naïve d’avoir cru. Mais tu es fort de choisir de partir, de te reconstruire.

Et un jour, tu te relèves, plus fort que jamais. Tu réapprends à t’aimer, à faire confiance à ton instinct. Tu redécouvres la beauté d’un amour qui ne blesse pas, qui ne contrôle pas. L’amour n’est pas une cage dorée. C’est un vent doux qui te porte sans jamais t’éteindre.

Alors relève-toi. Le pire est derrière toi, et la lumière t’attend. Tu vas y arriver, je crois en toi

Mabelle

La blessure de rejet

Bonjour, je vous partage un article de Marie Chauderon

Une personne qui porte une blessure d’âme du rejet en blessure fondamentale a du mal à créer le lien. Elle a du mal à s’engager, à aller vers l’autre. Elle a beaucoup de mal avec le contact.

Bien souvent, elle n’est pas tactile, pas démonstrative, pas expressive.

Elle ne parle jamais de ses émotions ni de ses sentiments. Elle peut paraître distante, froide.

Elle peut sembler ennuyeuse, éteinte, transparente, voir inexistante.

Absente.

Elle est silencieuse et solitaire.

Elle porte avec elle sans cesse sa tristesse, sa mélancolie.

Elle est un peu voûtée comme pour s’excuser d’exister.

Elle est habillée toujours de couleurs sombres pour éviter d’attirer le regard.

Par protection, l’inconscient a pris le pouvoir de sa morphologie. Sa maigreur lui permettra ainsi d’être moins visible des « prédateurs ».

Elle fait toujours les choses seule. Elle ne demande jamais l’aide de personne.

Depuis toute petite, depuis qu’elle a senti qu’elle n’était pas désirée, qu’elle dérangeait, qu’elle n’avait pas sa place, elle s’est enfermée dans son Monde et depuis, elle fait tout pour ne pas se faire remarquer.

Elle est extrêmement timide.

Elle n’a pas connu l’échange du regard sécurisant avec sa mère lors de ses premiers mois d’existence.

Elle n’a senti que rejet et hostilité.

Elle n’a pas vibré non plus la reconnaissance agréable des visages familiers.

Elle n’a pas été rassurée dans ses peurs et ses inquiétudes.

On n’a pas joué avec elle. Elle était là, laissée pour compte.

Depuis toute petite, depuis ses premiers mois, elle apprend toute seule à trouver ses ressources en elle pour apprivoiser tant bien que mal toutes les sensations et émotions de son Monde Intérieur.

Si vous avez une connaissance, un partenaire, un collègue de travail qui vibre cette blessure, sachez que si vous voulez préserver le lien, il est essentiel de respecter son rythme, de ne pas lui mettre la pression.

Aussi, ne la jugez pas. Elle a déjà énormément souffert. Elle fait comme elle peut. Personne ne lui a appris à Être. C’est ce qu’on lui a toujours reproché : Être. De manière consciente ou inconsciente.

Évitez de trop soliciter une personne qui a la blessure d’Âme du rejet en blessure fondamentale car elle se sentira trés vite envahie, « agressée », étouffée. Elle s’en ira.

N’oubliez pas qu’elle n’a pas appris à créer le lien. Par protection elle a plutôt appris à se couper du lien, celui-ci étant bien trop douloureux.

Ne lui en voulez pas si elle ne vous appelle pas, si elle ne prend pas de vos nouvelles. Ce n’est pas contre vous. C’est juste que ça ne fait pas partie de son shéma. C’est la blessure du rejet qui veut ça.

Depuis toute petite, elle est seule.

Face à trop de rejet bien trop souffrant, elle s’est coupée du Monde extérieur. C’était sa seule échappatoire pour moins souffrir.

Elle n’attend plus rien de ce Monde Extérieur. Elle le fuit.

Son silence ne veut absolument pas dire qu’elle ne vous aime pas. Seulement elle a toujours fait sans contact. Elle a appris bien malgré elle à ne pas en avoir besoin. Du coup, aujourd’hui, elle n’y songe même pas, ou si peu.

Elle sait trop combien ce lien est dangereux, douloureux et qu’il n’attire que rejet. C’est ce qu’elle a toujours connu enfant. Ce faisant, elle continuera de le fuir.

Rappelez vous qu’une personne qui porte en elle la blessure d’Âme du rejet en blessure fondamentale n’a jamais vécu la fusion avec sa mère ni aucune autre personne. Elle a grandi dans sa solitude.

Si vous l’étouffez, elle fuira.

Ce n’est pas contre vous, c’est la blessure c’est tout.

Ne mettez jamais la pression a une personne qui a la blessure d’Âme du rejet. Vous la perdriez. Laissez lui du temps pour venir à son rythme.

Si vous tenez à elle, soyez patient. Vous l’aiderez ainsi à apprivoiser ses peurs.

Prenez soin de vous – Mabelle

Toutes les batailles ne méritent pas d’être livrées

Bonjour, je vous espère en forme.

Helen Mirren a dit un jour :

« Avant d’entrer dans une dispute avec quelqu’un, demandez-vous : cette personne est-elle mentalement assez mûre pour comprendre ce qu’est une perspective différente ? Car si ce n’est pas le cas, cela ne sert strictement à rien. »

Parfois, peu importe à quel point vous exposez vos idées avec clarté, l’autre ne vous écoute pas pour comprendre, mais simplement pour réagir.

Image par Gerd Altmann de Pixabay

Son esprit est figé dans sa propre vision du monde, incapable ou refusant d’envisager un autre point de vue. Insister ne fait alors que vous épuiser.

Il existe une différence entre un échange constructif et un débat stérile.

Une conversation avec quelqu’un d’ouvert d’esprit, qui valorise la réflexion et l’apprentissage, peut être enrichissante, même en cas de désaccord.

Mais tenter de raisonner avec quelqu’un qui refuse de voir au-delà de ses croyances, c’est comme parler à un mur.

Peu importe la logique ou la vérité que vous lui présentez, il détournera vos propos, les minimisera ou les rejettera.

Non pas parce que vous avez tort, mais parce qu’il n’est pas prêt à envisager une autre réalité que la sienne.

La maturité ne se mesure pas à qui remporte une dispute, mais à la capacité de reconnaître quand un débat n’a tout simplement pas lieu d’être.

C’est comprendre que votre paix intérieure vaut bien plus que le besoin d’avoir raison face à quelqu’un qui a déjà décidé de ne pas changer d’avis.

Toutes les luttes ne méritent pas votre énergie.

Toutes les personnes ne méritent pas vos explications.

Parfois, la plus grande preuve de sagesse est de s’éloigner.

Non pas parce que vous n’avez rien à dire, mais parce que vous savez que certaines oreilles ne sont pas prêtes à entendre, qu’il n’y aura aucun dialogue constructif mais seulement un débat stérile.

Et cela ne vous appartient pas.

Prenez soin de vous

Mabelle