Mort subite, arrêt cardiaque, c’est normal !

Les vaccinés sont ils complètement dans le déni ? Combien réalisent qu’ils se sont laissé injecter du poison ? Si peu.

Rassurons les, ils croyaient les médias, ne s’imaginaient pas qu’ils pouvaient mentir à ce point … et pourtant … ils le reconnaissent : ils savaient qu’ils mentaient mais l’ont fait malgré tout https://www.facebook.com/anna.rocca.1044/videos/2253349748336314/

Ils croyaient à la bienveillance de leurs dirigeants puisque, après tout, c’est le peuple qui les a élu pour les représenter et pourquoi voudraient ils la mort de ceux qui les ont mis au pouvoir ?

Ils nous traitaient de complotistes puisque tout portait à leur faire croire que nous étions des dingues, des personnes dangereuses qui risquaient par notre refus de se laisser injecter un truc inconnu mettait leurs vies en danger, la vie de leurs parents, la vie de leurs enfants. Puisque les non vaccinés étaient interdits de restaurant et autres sorties, c’était pour eux la preuve qu’il fallait se méfier de nous et ne surtout pas nous écouter puisque des médecins de plateau et politiciens (non vaccinés et avec des nombreux intérêts) disaient bien que le « vaccin » était sûr, protégeait et était essentiel à leur survie et celle de leur famille. Les complotistes remplissaient les cliniques soit-disant. Malheureusement ce sont les injectés qui remplissent les cliniques, quand ils ont le temps de s’y rendre, beaucoup meurent avant

Il y a eu peu de décès en 2020 pendant que les médias sortaient des chiffres bidons tous les jours, malgré le fait que les personnes âgées ont été euthanasiées, que beaucoup de malades (toutes maladie confondues) n’ont pu recevoir aucun soin. Par contre, à partir des injections, les cliniques recevaient les malades, les décès sont principalement dus aux injections

https://lepointcritique.fr/2024/09/16/explosion-activite-funeraire-france-depuis-mars-2020/?fbclid=IwY2xjawFudE9leHRuA2FlbQIxMQABHZlGEH8vf0uaHzY0dthk-FprZAWEpR8KXr9bR0W9QG6hAtkv0McNASy8EQ_aem_LbbsnY3XIPItgfR3tSNQtA

Par ailleurs, depuis l’année dernière, les pompes funèbres ont constaté un doublement du nombre d’enfants morts-nés. Par moment il ne savent plus où mettre les corps car ils sont trop nombreux. Le nombre de places pour les tout petits dans les chambres funéraires étant très limité, ils sont obligés de les entasser dans les tiroirs frigorifiques normalement destinés aux morceaux de corps démembrés, des bras, des jambes. Ils n’ont pratiquement plus le droit de les déclarer en « morts-nés » car cela nécessite un certificat de naissance puis un certificat de décès, ce qui laisse des traces. Ils doivent les déclarer dans un nouveau concept de « nés sans vie », ce qui permet qu’il n’y ait aucune trace officielle de ces bébés. (La seule chose que l’on voit, c’est la « baisse » de la natalité comme dans le tableau ci-dessus en Allemagne où 200.000 enfants de moins sont nés en 30 mois.) Ils ont des consignes d’incinérer un maximum, car l’inhumation traditionnelle permet toujours des autopsies post mortem. Il ne faut laisser aucune trace.

Il faut bien que les médias parlent de quelques uns car ils sont sportifs et bien connus du public, mais tous les autres, ils meurent anonymement et personne n’en parle

Pas un jour ne se passe sans qu’un jeune meure de

Dis ta foutue vérité

J’ai vu des miracles se produire, quand les gens disent la vérité. Pas la « belle » vérité. Pas la vérité qui cherche à plaire ou à réconforter. Mais la vérité sauvage. La vérité féroce. La vérité qui dérange. La vérité tantrique. La foutue vérité. La vérité que tu as peur de dire.

L’horrible vérité sur toi que tu caches pour « protéger » les autres. Pour éviter d’être «trop». Pour éviter d’avoir honte et de te sentir rejeté. Pour éviter d’être vu. La vérité de tes sentiments les plus profonds. La rage que tu as ressassée, dissimulée, maîtrisée. Les terreurs dont tu ne veux pas parler. Les pulsions sexuelles que tu as essayé d’engourdir. Les désirs primaires que tu ne peux supporter de formuler.

Les défenses se décomposent enfin, et ce matériel «dangereux» émerge du plus profond de l’inconscient. Tu ne peux plus le retenir. L’image du «bon garçon» ou de la «gentille fille» s’évapore. Celle du «parfait», de «celui qui a tout compris», de l’évolué : ce sont des images qui brûlent.

Tu trembles, tu transpires, tu es au bord des vomissements. Tu penses que tu pourrais en mourir, mais finalement tu la dis cette putain de vérité, cette vérité dont tu as profondément honte. Pas une vérité abstraite. Pas une vérité « spirituelle », soigneusement formulée et conçue pour prévenir l’offense. Pas une vérité habilement emballée. Mais une vérité humaine désordonnée, enflammée, bâclée. Une vérité sanglante, passionnée, provocatrice, sensuelle. Une vérité mortelle, indomptée et sans fard. Et fragile, collante, suante, vulnérable. La vérité de ce que tu ressens. La vérité qui permet à l’autre de te voir à l’état brut. La vérité qui fait haleter, qui fait battre ton cœur. C’est la vérité qui te libérera.

J’ai vu des dépressions chroniques et des angoisses permanentes s’effacer du jour au lendemain. J’ai vu s’évaporer des traumatismes profondément enracinés. J’ai vu de la fibromyalgie, des migraines à vie, de la fatigue chronique, des maux de dos insupportables, des tensions corporelles, des troubles de l’estomac, disparaître, ne jamais revenir. Bien sûr, les «effets secondaires» de la vérité ne sont pas toujours aussi dramatiques. Et nous n’entrons pas dans notre vérité avec un résultat en tête. Mais pense aux énormes quantités d’énergie nécessaires pour réprimer notre sauvagerie animale, engourdir notre nature farouche, réprimer notre rage, nos larmes et notre terreur, soutenir une fausse image, et faire semblant d’être «bien».

Pense à toute la tension dans le corps, et aux dommages causés à notre système immunitaire, quand nous vivons dans la peur de  » nous montrer ». Prends le risque de dire ta vérité. La vérité dont tu as peur. La vérité dont tu crois que le monde dépend. Trouve une personne sûre – un ami, un thérapeute, un conseiller, toi -même – et laisse-les entrer. Laisse-les te tenir alors que tu te brises. Laisse-les t’aimer alors que tu pleures, rages, trembles de peur, que tu es en plein gâchis.

Dis ta putain de vérité à quelqu’un – cela pourrait simplement te sauver la vie, te guérir du plus profond de toi et te connecter à l’humanité d’une manière que tu n’avais jamais imaginée. »

Auteur du texte : ◦ ○ 💛 ○ ◦ Jeff Foster …..⭐️