Archives de catégorie : Coaching de vie

Honnêteté, justesse et pardon

Bonjour,

Je vous espère en pleine forme.

Je vous partage ce matin un texte de Joeliah

Dans notre vie, mettre en action le rayon blanc de l’honnêteté dans son quotidien et de la justesse, peut faire le même effet qu’un manteau de neige qui s’installe dans un champ et donner une nouvelle vision des choses, basée sur la pureté.

La pureté et justesse donnent envie de vivre en paix avec tout ce qui est.

Idem pour un pardon sincère.

Aussi, comme la neige transforme un paysage ; pardonner, c’est accepter de passer à autre chose.

C’est donner la priorité à son bien-être au détriment d’un événement involutif.

C’est libérer une ou des personnes, de son champ d’action et ne plus laisser le pouvoir à l’ancien, pour choisir en son âme et conscience de passer à autre chose d’évolutif.

Pardonner est un choix conscient d’amour pour soi avant tout.

C’est se donner la chance de vivre autre chose, de se créer une nouvelle réalité sans bourreau et sans victime.

C’est reprendre son pouvoir et axer sa vision de vie sur des choix plus élevant et sympathique.

C’est accepter de reconnaitre son pouvoir d’attraction et de changer la charge émotionnelle pour cesser d’attirer la même chose pesante.

C’est élever sa fréquence.

Pardonner permet de libérer les connexions neuronales et de changer de câblage dans le cerveau.

De ce fait, les neurones habitués à capter les circuits mémoriels liés au regret, à la rancune ou rancœur, ne recevant plus d’informations et n’en transmettant plus, libèrent une grande partie d’énergie utilisée et apportent un regain de vitalité.

Une vision plus claire des choses s’ensuit.

D’autres connexions axées sur la paix et la joie d’être libre apportent d’infinies nouvelles possibilités et il n’est pas rare qu’une personne qui vient d’effectuer un vrai pardon libératoire guérisse d’une grave maladie (mal à dit exprimé par le corps) et retrouve une excellente santé.

N’oublions pas que le corps est l’extension de l’âme qui elle-même est une manifestation du grand Esprit, de la Source d’expression de Tout ce qui Est.

En acceptant de se transformer, nous insufflons un nouvel avenir, car tout se joue au moment présent.

Nous pouvons faire alors un choix de vivre de manière plus juste, honnête, droite et paisible, en accord avec notre juste nature et alors, les bienfaits affluent dans notre vie.

Belle libération.

Prenez soin de vous

Mabelle

Les traumas transgénérationnels

Il est reconnu que les expériences traumatisantes peuvent être transmises à travers les générations. Ce phénomène est appelé transmission intergénérationnelle du traumatisme ou traumatisme transgénérationnel.

Cela signifie que les expériences traumatisantes vécues par un ancêtre peuvent influencer les membres de sa famille même des décennies plus tard.

Le trauma est un impact, un transfert pour lequel la douleur émotionnelle, physique ou sociale dont souffre une personne à un moment donné se transmet.

Le traumatisme transgénérationnel peut se manifester de diverses manières: de l’anxiété, des terreurs nocturnes, une mauvaise humeur, une hypervigilance et des flashbacks…

La personne peut aussi éprouver des émotions comme la honte, la culpabilité qui l’empêche de s’épanouir dans sa vie, sans qu’elle puisse en trouver la cause dans son vécu.

La victime de traumatisme transgénérationnel peut donc rencontrer des difficultés à se projeter dans l’avenir. Elle est amenée à vivre des situations personnelles, familiales ou professionnelles qui se répètent sans pouvoir leur donner du sens.

Des thérapeutes sont spécialisés dans ce domaine, ils peuvent vous aider à comprendre et avancer dans la vie sans devoir porter les valises de ceux qui vous ont précédé.

Prenez soin de vous

Mabelle

La mémoire du corps

Bonjour, je vous espère en forme.

Le corps a une mémoire d’éléphant. Les expériences traumatiques, qui entraînent une multitude d’émotions désagréables telles que la colère, le stress, l’anxiété, la peur ou encore la frustration, se gravent dans la mémoire du corps.

Chaque expérience vécue se grave dans cette mémoire du corps, de la petite enfance à l’âge adulte.

C’est la raison pour laquelle certaines douleurs peuvent apparaître sans que l’on n’en comprenne immédiatement les raisons, traduisant en réalité des émotions refoulées.

Cette fameuse mémoire a une influence non négligeable sur notre corps au quotidien.

Ces blessures invisibles peuvent s’enraciner dans différentes parties de notre organisme, influençant notre bien-être physique, émotionnel et énergétique.

Ainsi, être à l’écoute de notre corps, identifier la localisation de nos souffrances pour tenter d’en comprendre le sens, peut être une première étape vers la guérison, à la fois physique et mentale.

Comprendre ces mécanismes et travailler sur ces zones permet de retrouver une paix intérieure et une vie plus harmonieuse.

Prenez soin de vous

Mabelle

L’amour ce n’est pas ça

Bonjour,

Si si tu as eu un(e pervers(e) narcissique dans tes relations, j’espère que tu en es sorti(e) depuis bien longtemps. Si ça n’est pas le cas, ce texte te parlera, et pourra peut-être t’aider à comprendre que l’amour ce n’est pas ça, que tu n’as rien fait de mal et t’aider à aller de l’avant. Tu es plus que cette personne te dit, beaucoup plus, beaucoup mieux, tu mérites de vivre en paix et loin de lui/elle.

Au début, tout semble parfait. Il ou elle est attentionné, doux, presque trop beau pour être vrai. Chaque mot est un baume sur tes blessures, chaque regard une promesse silencieuse. Tu t’abandonnes, bercé par l’illusion d’un amour absolu. Mais petit à petit, quelque chose change.

Ce ne sont pas des coups, ni des cris. C’est pire. C’est un poison lent qui s’infiltre dans ton âme, qui te fait douter de tout, surtout de toi. Une remarque anodine, puis une autre. Un reproche déguisé en conseil bienveillant. “C’est pour ton bien”, “je t’aime plus que tout”, “sans moi, tu serais perdu”. Alors tu baisses la tête, tu t’adaptes, tu t’excuses même d’être qui tu es.

Et puis, il y a ces moments de lumière, ces instants où il ou elle redevient celui ou celle qui t’a tant charmé. Juste assez pour te faire espérer, pour te retenir. Tu te persuades que c’est passager, que l’amour demande des efforts, des sacrifices. Mais l’amour, le vrai, ne t’éteint pas. Il ne te fait pas douter de ta valeur.

Le jour où tu ouvres les yeux est brutal. Parce que voir la vérité en face, c’est admettre que tu as été pris au piège. C’est ressentir la colère, la honte, la douleur. Mais c’est aussi la première étape vers la liberté. Tu n’es pas faible d’avoir aimé. Tu n’es pas naïve d’avoir cru. Mais tu es fort de choisir de partir, de te reconstruire.

Et un jour, tu te relèves, plus fort que jamais. Tu réapprends à t’aimer, à faire confiance à ton instinct. Tu redécouvres la beauté d’un amour qui ne blesse pas, qui ne contrôle pas. L’amour n’est pas une cage dorée. C’est un vent doux qui te porte sans jamais t’éteindre.

Alors relève-toi. Le pire est derrière toi, et la lumière t’attend. Tu vas y arriver, je crois en toi

Mabelle

La blessure de rejet

Bonjour, je vous partage un article de Marie Chauderon

Une personne qui porte une blessure d’âme du rejet en blessure fondamentale a du mal à créer le lien. Elle a du mal à s’engager, à aller vers l’autre. Elle a beaucoup de mal avec le contact.

Bien souvent, elle n’est pas tactile, pas démonstrative, pas expressive.

Elle ne parle jamais de ses émotions ni de ses sentiments. Elle peut paraître distante, froide.

Elle peut sembler ennuyeuse, éteinte, transparente, voir inexistante.

Absente.

Elle est silencieuse et solitaire.

Elle porte avec elle sans cesse sa tristesse, sa mélancolie.

Elle est un peu voûtée comme pour s’excuser d’exister.

Elle est habillée toujours de couleurs sombres pour éviter d’attirer le regard.

Par protection, l’inconscient a pris le pouvoir de sa morphologie. Sa maigreur lui permettra ainsi d’être moins visible des « prédateurs ».

Elle fait toujours les choses seule. Elle ne demande jamais l’aide de personne.

Depuis toute petite, depuis qu’elle a senti qu’elle n’était pas désirée, qu’elle dérangeait, qu’elle n’avait pas sa place, elle s’est enfermée dans son Monde et depuis, elle fait tout pour ne pas se faire remarquer.

Elle est extrêmement timide.

Elle n’a pas connu l’échange du regard sécurisant avec sa mère lors de ses premiers mois d’existence.

Elle n’a senti que rejet et hostilité.

Elle n’a pas vibré non plus la reconnaissance agréable des visages familiers.

Elle n’a pas été rassurée dans ses peurs et ses inquiétudes.

On n’a pas joué avec elle. Elle était là, laissée pour compte.

Depuis toute petite, depuis ses premiers mois, elle apprend toute seule à trouver ses ressources en elle pour apprivoiser tant bien que mal toutes les sensations et émotions de son Monde Intérieur.

Si vous avez une connaissance, un partenaire, un collègue de travail qui vibre cette blessure, sachez que si vous voulez préserver le lien, il est essentiel de respecter son rythme, de ne pas lui mettre la pression.

Aussi, ne la jugez pas. Elle a déjà énormément souffert. Elle fait comme elle peut. Personne ne lui a appris à Être. C’est ce qu’on lui a toujours reproché : Être. De manière consciente ou inconsciente.

Évitez de trop soliciter une personne qui a la blessure d’Âme du rejet en blessure fondamentale car elle se sentira trés vite envahie, « agressée », étouffée. Elle s’en ira.

N’oubliez pas qu’elle n’a pas appris à créer le lien. Par protection elle a plutôt appris à se couper du lien, celui-ci étant bien trop douloureux.

Ne lui en voulez pas si elle ne vous appelle pas, si elle ne prend pas de vos nouvelles. Ce n’est pas contre vous. C’est juste que ça ne fait pas partie de son shéma. C’est la blessure du rejet qui veut ça.

Depuis toute petite, elle est seule.

Face à trop de rejet bien trop souffrant, elle s’est coupée du Monde extérieur. C’était sa seule échappatoire pour moins souffrir.

Elle n’attend plus rien de ce Monde Extérieur. Elle le fuit.

Son silence ne veut absolument pas dire qu’elle ne vous aime pas. Seulement elle a toujours fait sans contact. Elle a appris bien malgré elle à ne pas en avoir besoin. Du coup, aujourd’hui, elle n’y songe même pas, ou si peu.

Elle sait trop combien ce lien est dangereux, douloureux et qu’il n’attire que rejet. C’est ce qu’elle a toujours connu enfant. Ce faisant, elle continuera de le fuir.

Rappelez vous qu’une personne qui porte en elle la blessure d’Âme du rejet en blessure fondamentale n’a jamais vécu la fusion avec sa mère ni aucune autre personne. Elle a grandi dans sa solitude.

Si vous l’étouffez, elle fuira.

Ce n’est pas contre vous, c’est la blessure c’est tout.

Ne mettez jamais la pression a une personne qui a la blessure d’Âme du rejet. Vous la perdriez. Laissez lui du temps pour venir à son rythme.

Si vous tenez à elle, soyez patient. Vous l’aiderez ainsi à apprivoiser ses peurs.

Prenez soin de vous – Mabelle

Toutes les batailles ne méritent pas d’être livrées

Bonjour, je vous espère en forme.

Helen Mirren a dit un jour :

« Avant d’entrer dans une dispute avec quelqu’un, demandez-vous : cette personne est-elle mentalement assez mûre pour comprendre ce qu’est une perspective différente ? Car si ce n’est pas le cas, cela ne sert strictement à rien. »

Parfois, peu importe à quel point vous exposez vos idées avec clarté, l’autre ne vous écoute pas pour comprendre, mais simplement pour réagir.

Image par Gerd Altmann de Pixabay

Son esprit est figé dans sa propre vision du monde, incapable ou refusant d’envisager un autre point de vue. Insister ne fait alors que vous épuiser.

Il existe une différence entre un échange constructif et un débat stérile.

Une conversation avec quelqu’un d’ouvert d’esprit, qui valorise la réflexion et l’apprentissage, peut être enrichissante, même en cas de désaccord.

Mais tenter de raisonner avec quelqu’un qui refuse de voir au-delà de ses croyances, c’est comme parler à un mur.

Peu importe la logique ou la vérité que vous lui présentez, il détournera vos propos, les minimisera ou les rejettera.

Non pas parce que vous avez tort, mais parce qu’il n’est pas prêt à envisager une autre réalité que la sienne.

La maturité ne se mesure pas à qui remporte une dispute, mais à la capacité de reconnaître quand un débat n’a tout simplement pas lieu d’être.

C’est comprendre que votre paix intérieure vaut bien plus que le besoin d’avoir raison face à quelqu’un qui a déjà décidé de ne pas changer d’avis.

Toutes les luttes ne méritent pas votre énergie.

Toutes les personnes ne méritent pas vos explications.

Parfois, la plus grande preuve de sagesse est de s’éloigner.

Non pas parce que vous n’avez rien à dire, mais parce que vous savez que certaines oreilles ne sont pas prêtes à entendre, qu’il n’y aura aucun dialogue constructif mais seulement un débat stérile.

Et cela ne vous appartient pas.

Prenez soin de vous

Mabelle

Se choisir

Se choisir, c’est :

• Dire NON parce que je suis fatigué(e) et que j’ai besoin de repos.

• Dire NON parce que cela dépasse mes limites, qu’elles soient physiques ou émotionnelles.

• Dire NON parce que ce n’est pas une urgence.

• Dire NON parce que cela ne correspond plus à ce que je veux.

• Dire NON parce que cela ne respecte pas mes valeurs.

• Dire NON parce que ce type d’activité m’ennuie.

• Dire NON parce que cette personne me prend toute mon énergie.

• Dire NON parce que je ne me sens pas respecté(e) dans mon corps face à certaines actions.

• Dire NON parce que je ne me sens pas valorisé(e) lorsque je suis en présence de cette personne.

• Dire NON parce que je ne ressens aucune joie à faire cela.

• Dire NON tout simplement parce que ce n’est pas ce que je veux.

Chacun a ses propres limites, et celles-ci ne doivent pas être comparées à celles des autres.

Souvent, la peur de perdre, de blesser ou de décevoir nous empêche de nous choisir nous-mêmes. La culpabilité peut également jouer un rôle important dans nos décisions.

Prenez un moment pour réfléchir à ce qui vous empêche de dire NON. Puis, pas à pas, apprenez à vous choisir.

Prenez soin de vous et soyez en paix avec vos choix.

Mabelle

Se reconstruire

C’est un acte de courage, une renaissance après l’effondrement.

C’est accepter que l’on s’est brisé, que des morceaux de nous sont tombés en miettes, et qu’il faudra du temps pour les rassembler, les réassembler d’une manière nouvelle.

Ce n’est pas simplement recoller les morceaux, mais redéfinir qui l’on est, qui l’on veut être, dans un monde qui nous a parfois laissé à terre…

La reconstruction commence souvent dans le silence, lorsque les larmes ont cessé de couler et que l’on se retrouve seul face à soi-même. C’est là que l’on découvre cette force cachée, ce désir de vivre malgré tout, de se relever, de guérir. Les premières étapes sont hésitantes, chaque pas une victoire fragile, mais peu à peu, on retrouve l’équilibre.

Il y a des moments de doute, des rechutes, des nuits où l’on se demande si l’on y arrivera. Mais chaque matin, la lumière revient, et avec elle, l’espoir. On apprend à se pardonner, à accepter les faiblesses, les erreurs, les cicatrices.

On comprend que ces blessures ne sont pas des marques de faiblesse, mais des témoignages de la bataille que l’on a mené pour rester debout…

Se reconstruire, c’est aussi s’entourer de ceux qui nous tendent la main, de ceux qui, par leur amour et leur présence, nous rappellent que l’on vaut la peine d’être sauvé. C’est trouver du réconfort dans les sourires, dans les gestes simples, dans la beauté du quotidien qui, peu à peu, reprend des couleurs…

✨Et un jour, sans même s’en rendre compte, on se redresse, on se sent plus fort…

On n’est plus la même personne qu’avant, mais quelqu’un de nouveau, forgé par les épreuves, riche d’une résilience qui nous surprend nous-même.

On se rend compte que l’on a grandi, que l’on s’est réinventé.

Et c’est ainsi, dans cette nouvelle version de soi, que l’on trouve une paix inattendue, une fierté d’avoir su se reconstruire, contre vents et marées

Dormir dans le même lit ?

Bonjour, j’espère que tu vas bien. Je te partage un article intéressant de Gabriel Tellier.

Tu penses que dormir ensemble est une preuve d’amour ? Attends de voir pourquoi ça détruit plus de couples qu’on ne le pense.

Tu crois que c’est normal de dormir ensemble ? C’est juste une habitude.

Depuis toujours, l’image du couple idéal est associée au fait de partager le même lit. Dans les films, les séries et même dans les contes de fées, on nous montre des amoureux qui dorment paisiblement l’un contre l’autre. Pourtant, la réalité est souvent bien différente.

Combien de fois t’es-tu réveillé(e) fatigué(e) après une nuit agitée à cause de ton partenaire qui bouge, ronfle ou monopolise la couette ? Combien de fois as-tu voulu trouver le sommeil sans succès, dérangé(e) par la respiration ou les horaires décalés de l’autre ? Et pourtant, malgré toutes ces perturbations, on continue de croire que dormir ensemble est une norme incontournable.

Si l’idée paraît romantique, les faits montrent une autre vérité. Dormir ensemble n’est pas forcément synonyme de bien-être et d’harmonie. En réalité, cela peut même avoir des effets négatifs sur le couple, tant sur le plan physique que psychologique. Mais alors, pourquoi persiste-t-on à croire que c’est une obligation ?

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : dormir ensemble peut ruiner ton sommeil (et ton couple)

Le sommeil, c’est sacré. Pourtant, nombreux sont ceux qui sacrifient leur repos sous prétexte qu’un couple doit dormir ensemble. Mais est-ce vraiment bénéfique ? Regarde ces faits qui parlent d’eux-mêmes :

Une étude de la Fondation Nationale du Sommeil aux États-Unis a révélé que 1 couple sur 3 dort séparément — et ce n’est pas parce qu’ils ne s’aiment plus, mais parce qu’ils veulent dormir en paix.

Environ 50% des gens disent que leur partenaire perturbe leur sommeil (ronflements, mouvements, différence d’horaires, chaleur, etc.).

Un mauvais sommeil augmente le stress, la fatigue, les disputes et réduit la patience — autant dire que ton couple peut vite en prendre un coup.

Selon une étude de l’Université d’Oxford, le manque de sommeil diminue la production d’ocytocine, l’hormone du lien affectif, ce qui peut affecter la connexion émotionnelle dans le couple.

Une autre recherche menée par l’American Academy of Sleep Medicine indique que les couples qui dorment mal ensemble ont 2 fois plus de probabilités de se disputer le lendemain.

Un sommeil de mauvaise qualité favorise aussi la prise de poids et la baisse du désir sexuel. Moins de sommeil, plus de stress, moins de libido. Le cercle vicieux parfait.

Certains couples finissent par dormir ensemble juste pour « faire comme tout le monde » mais se sentent en fait piégés par cette habitude.

On néglige trop souvent l’importance du sommeil dans la stabilité d’une relation. Pourtant, bien dormir est essentiel pour maintenir une bonne communication et préserver la complicité. Un couple qui dort mal ensemble finit par associer le lit à un espace de tension plutôt qu’à un lieu de repos et de bien-être.

Mais alors, pourquoi on s’oblige à dormir ensemble ?

Parce qu’on nous a conditionnés à croire que dormir dans des lits ou des chambres séparées, c’est un signe de problème.

Mais la vérité, c’est que beaucoup de couples heureux font exactement ça. En Allemagne, par exemple, la plupart des couples ont deux couettes séparées pour ne pas se déranger. D’autres adoptent carrément le « sleep divorce », c’est-à-dire dormir dans des chambres différentes pour mieux se retrouver.

Et devine quoi ? Ils sont plus reposés, moins irritables, et ont même une meilleure vie sexuelle. Parce que le désir, c’est aussi l’espace et l’indépendance.

Selon une étude de l’Université de Toronto, les couples qui choisissent de dormir séparément rapportent un taux de satisfaction relationnelle 30% plus élevé que ceux qui persistent à dormir ensemble malgré les troubles du sommeil.

Dormir ensemble par obligation et non par confort revient à forcer une situation qui ne fonctionne pas. L’intimité d’un couple ne se mesure pas à la proximité nocturne, mais bien à la qualité du temps partagé. Ce n’est pas en dormant collés l’un contre l’autre que l’amour se renforce, mais bien en étant en forme et disponible émotionnellement l’un pour l’autre.

Ce que tu peux faire (sans flinguer ton couple)

Si dormir ensemble te convient, tant mieux. Mais si tu galères à bien dormir, il y a des solutions :

Deux couettes séparées pour éviter la guerre des couvertures.

Un matelas adapté à chaque personne pour ne pas sentir l’autre bouger.

Dormir dans des chambres différentes quelques nuits par semaine pour voir si ton sommeil s’améliore.

Tester le « doppelbett » allemand, un lit commun avec deux matelas indépendants.

Utiliser des bouchons d’oreille et un masque de sommeil pour limiter les nuisances.

Accepter que l’intimité ne passe pas par le sommeil : c’est pas parce que vous ne dormez pas ensemble que vous ne pouvez pas passer du temps de qualité.

Il est temps de déconstruire cette croyance selon laquelle un couple doit forcément dormir ensemble. L’amour, ce n’est pas une question de proximité physique nocturne, c’est une connexion qui se vit pleinement, indépendamment du fait de partager un lit ou non.

Dormir séparément, ce n’est pas une preuve d’éloignement, c’est un moyen d’améliorer sa qualité de vie et de renforcer son couple. Et si on arrêtait de culpabiliser ceux qui dorment mieux seuls ?

Et si au lieu de te forcer à dormir à deux, tu écoutais enfin ton corps et tes vrais besoins ? Car au final, ce n’est pas la distance physique qui met un couple en danger, mais bien l’incapacité à se respecter mutuellement et à s’adapter à ce qui fonctionne vraiment.

Alors, toujours sûr(e) que dormir ensemble est la meilleure solution ?

Rappelons nous que c’est durant le sommeil que le corps se régénère, un sommeil de qualité est donc indispensable à une bonne santé. A vous de voir.

Mabelle

Les égrégores s’éteignent lorsqu’ils n’ont plus d’énergie

Bonjour,

Je vous espère en forme. Que se passerait il si tous les citoyens arrêtaient d’écouter les médias et de ne plus donner d’importance à ce qu’ils nous rabâchent à longueur de journée ?

Les égrégores sont les champs collectifs créés par les humains (et les autres formes de vie aussi). Le champ de la maladie, de l’échec, du « à quoi bon », du « qui es-tu pour oser être toi-même ? », de la condescendance (les autres sont tous des cons) mais aussi de la réussite, de la santé parfaite, de l’abondance, de l’excellence…

Dans les enseignements liés à l’alchimie, ces champs étaient présentés comme redoutables, car une fois créés et alimentés fortement en énergie par ses sujets (à travers leurs émotions et leurs sensations), ils deviennent à un moment donné autonomes. C’est le cas des égrégores religieux, qui comportent des milliards de sujets, alimentés depuis des milliers d’années (voir plus). Donc ces champs énergétiques peuvent commencer à agir comme une intelligence artificielle, avoir leurs propres décisions, volonté, prendre le dessus et manipuler leurs sujets s’il le faut.

Pourquoi feraient-ils une chose pareille, direz-vous ? Pourquoi nous manipuler, ne s’agit-il pas tout de suite d’une paranoïa, encore la peur, le danger des choses qui ne se voient même pas ? Attention, là, je me moque d’un égrégore qui vous dit que si vous ne touchez pas à une chose, c’est qu’elle n’est pas réelle (donc pas d’incidence sur vous). Vraiment ?…

Alors, je vous dirai oui et non. Je vous explique comment ça marche, mais je le fais pour que vous vous en sortiez et non pas pour vous tétaniser et alourdir encore l’égrégore de la peur. Bien évidemment, vous prenez que ce qui est intéressant pour vous, ce que vous devriez vous dire d’ailleurs pour toute chose qui se dit dans cet Univers afin de préserver votre liberté de choix.

Les égrégores n’aiment pas « mourir ». Ils s’éteignent d’eux-mêmes s’ils n’ont plus d’énergie. Certains deviennent préoccupés par ce sujet, leur vie, et donc ils vous poussent à les alimenter en énergie, comme des batteries. Même quand vous mangez, vous alimentez un égrégore. Quand vous participez à une cérémonie religieuse. Quand vous courez tous les jours dans le parc. Quand vous vous disputez avec votre copin(e). Ce sont ces rituels (comportements récurrents) qui alimentent les égrégores. Ce sont les croyances figées (qui se disent en boucle) qui créent les émotions. Je suis bon à rien, je suis un idiot, je n’arriverai jamais, et après boum : la détresse, la colère, la tristesse.

Vous avez tellement été habitués à alimenter ces égrégores que vous vous dites que c’est vous, cela ne peut être que vous, quand vous répétez en boucle des idées pareilles, et pour votre ego ce n’est pas très flatteur de se dévoiler, manipulé bêtement par des champs en plus. Comment se battre contre des champs d’énergie, vous me direz ? Pff !

Et pourtant… est-ce vraiment vous, celui qui n’arrivera jamais ? Ou une histoire qui se raconte depuis quelque temps ? Voir longtemps. Mais d’où vient-elle ? Si vous explorez un peu, vous trouverez le parent, l’enseignant, ou vous qui vous êtes dit cela à un âge plus jeune. Vous découvrirez que vous avez validé, voire décidé par vous-même de vous brider ainsi. Certes, vous étiez plus jeune, moins expérimenté. N’empêche que vous pouvez même vous rappeler la scène, l’événement précis, les circonstances exactes quand cela s’est passé.

Et alors ? Eh bien alors, vous savez que vous avez décidé d’une croyance, et vous pouvez décider de son contraire, maintenant. Que votre essence est libre et que c’est trop bridant pour que ce soit satisfaisant comme expérimentation, de ne JAMAIS, JAMAIS y arriver. Et vous commencez à comprendre que vous pouvez vous détacher de ce champ – JE N’ARRIVERAI JAMAIS — que vous avez alimenté pendant des années.

E là, vous allez constater qu’il y a une résistance qui vous empêche de partir librement. Comme si quelqu’un s’opposait, voyez-vous, à vous voir déguerpir.

Si vous avez alimenté depuis longtemps des champs déviés, comme la maltraitance, l’humiliation, la souffrance, la maladie, ces champs peuvent vous manipuler pour y rester quand vous voulez en sortir. Ils vont utiliser leurs « sujets » qui sont à côté de vous, même s’ils ne vous connaissent pas. Oui, des inconnus vont s’acharner pour vous prouver que ce n’est pas la peine de changer. « Mais ils sont fous ?, ils ne me connaissent pas ! », vous direz ? Essayez ! Essayez de dire que vous en avez marre d’être malade, ou d’aller à l’église, ou de prendre des médicaments, et que vous voulez être sain et équilibré.

Quelqu’un vous dira que c’est comme cela la vie, si vous êtes malade, vous resterez malade, si vous êtes sain, le ver ronge la pomme et mangera la pomme, vous deviendrez malade plus tôt ou plus tard, c’est juste une question de temps.

Si vous voulez réussir, quelqu’un viendra vous dire que c’est dangereux, que vous serez vu, que vos amis vous jalouseront et que vous perdrez leur amour. Expérimentez en conscience, et vous commencerez à saisir les champs. Vous pouvez même vous amuser, en sachant ce que je vous ai dit.

Si vous renoncez à la nouvelle voie de libération, les acharnés qui étaient à côté de vous arrêteront tout de suite leur dissuasion. Vous êtes retourné dans la cage, c’est réglé. Ils ne le font pas consciemment, comprenez-moi bien.

C’est vous-mêmes qui répéterez la croyance qui définit l’égrégore, genre « de toute façon, c’est toujours comme ça, ça a toujours été comme ça et c’est fort probable que cela reste comme ça ». Vous voilà, vous vous êtes donné à vous-même le verdict, il ne reste qu’à rentrer dans la cage, piétiner sur toujours la même plate-forme, celle que vous connaissez déjà depuis si longtemps.

Quand vous en prenez conscience et que vous les ressentez, les égrégores n’ont plus tellement de chance de vous manipuler, si vous savez comment vous y prendre, pour vous en libérer…

Prenez soin de vous

Mabelle