
Citation de la semaine

Bonjour,
Je vous espère en forme en ce dimanche pluvieux.
Je vous partage un texte de Monique Damel
Prends, ici et maintenant, conscience que le monde vit ce qu’il a à vivre, même si cela paraît extravagant, irresponsable et d’une grande bêtise, ne t’identifie pas à lui, et, même si l’inconscient collectif envoie des énergies sombres, ne te sens pas responsable ni coupable de la folie d’humains dénudés de scrupules.
Accepte d’être maître de ton destin, ouvre les yeux, ne reste pas indécis devant les choix à faire pour ton mieux-vivre, perdu dans les ténèbres que l’on te présente, accepte ta part de divinité enracinée, elle a les réponses à tes questionnements.
Laisse-toi guider par les vérités universelles qui ne sont que bontés, amour et lumière, et par la plupart des fausses vérités, des aberrations plus grosses les unes que les autres. Garde ton discernement en toute circonstance.
Quoique l’on veuille te faire croire, n’écoute que ton intérieur, laisse le principe de vie s’exprimer à travers toi dans la paix du cœur et la lumière de l’âme. Voilà ta responsabilité.
Ne te laisse pas détourner de qui tu es, suis la ligne de conduite de ton propre chemin de vérité de façon douce et harmonieuse, dans la justesse de ton esprit divin, dans l’équité et l’unicité de ton être.
Si tu en ressens l’appel, dirige-toi vers la seule voie possible, ta liberté de devenir ce pourquoi tu es ici, de reconnaitre ta valeur, même si tout est fait pour que tu l’oublies, suis tes idées, tes convictions et crée ce qui est bon et juste pour toi dans ton corps, dans tes pensées et matérialise-les sur ton plan terrestre, libre de toutes contraintes inutiles.
Le principal, dans le contexte que vit le monde, est que, toi, tu restes centré, uni à toi-même, que tu continues à donner de l’envergure à tes projets, que ta créativité s’expanse dans ce que tu décides, que tu laisses libre ton champ d’énergie, que tu écoutes ton intuition et que tu demeures ferme dans ta vérité.
Prenez soin de vous – Mabelle
Bonjour, j’espère que tu vas bien en ce dimanche printanier.
L’incertitude que tant de personnes traversent aujourd’hui est bien réelle.
Certains perdent leur emploi, leur entreprise, leurs repères… et pourtant, au lieu de compassion, beaucoup détournent le regard, se réfugient dans un confort qui pourrait bien n’être que temporaire, ou pire, jugent et se moquent.
Mais la vérité est là : personne n’est à l’abri. La vie peut basculer en un instant. Toute vie ne tient qu’à un petit fil extrêmement fin.
Et dans ces moments-là, ce dont nous avons besoin, c’est de bienveillance, de soutien, d’une force collective qui unit plutôt que d’un regard froid qui divise. Les dirigeants, bien aidés par les médias menteurs, font tout pour nous diviser. Noirs contre blancs, chrétiens contre musulmans, hommes contre femmes, riches contre pauvres, vaccinés contre non vaccinés, travailleurs contre chômeurs, … parce qu’ils savent qu’ensemble, unis, nous serions très forts. Ils utilisent même parfois les mêmes faits pour créer la haine envers d’autres personnes.
Au moment des faits ils prétendaient que Samuel Paty avait été sauvagement assassiné par un islamiste !!! Certains ont la mémoire courte, pas moi.
Nous sommes tous tissés d’une même lumière, et plus nous cultivons l’amour et l’empathie, plus nous devenons forts, ensemble.
Si tu croises quelqu’un qui vacille, tends-lui la main. Si tu sens qu’un cœur s’éteint, rappelle-lui que la vie est faite de cycles, que même la nuit la plus sombre finit toujours par céder à l’aube.
Le monde bouge, il change, il secoue… mais la lumière est toujours là derrière leurs nuages artificiels.
Elle brille en nous, elle grandit quand nous choisissons d’aimer plutôt que de juger. Alors soyons ce phare, soyons ce souffle qui ranime l’espoir.
Merci pour cette lumière que tu partages.
On ne donnera jamais assez d’espoir à l’humanité.
Mabelle
Bonjour, je vous espère en forme. Ce matin j’ai une petite histoire pour vous
Ma grand-mère, ayant plus de 80 ans, était assise, l’air affaibli, sur son unique fauteuil placé juste à côté de sa petite table où se trouvait son verre d’eau.
Elle ne bougeait pas, seulement assise, la tête vers le bas, fixant ses mains.
Quand je me suis arrivée auprès d’elle, elle ne remua pas, aucune réaction.
Je ne voulais pas la déranger, mais après un long moment de silence, je me suis informé si tout allait bien.
Elle leva la tête et me sourit.
« Oui, je vais bien, merci » dit-elle de sa voix forte et claire.
« Je ne voulais pas te déranger, grand-mère, mais tu étais assise là, fixant tes mains et je voulais savoir si tout était bon pour toi » lui ai-je dit.
« As-tu déjà regardé tes mains ? » me dit-elle.
« Je veux dire vraiment regarder tes mains ? »
J’ai alors lentement ouvert mes mains et les fixai.
Je les retournais, m’en frottait les paumes.
« Non, je pense que je n’ai pas vraiment regardé mes mains » lui dis-je, me demandant ce qu’elle voulait dire.
Grand-mère me sourit et me dit :
« Arrête-toi et réfléchis un peu au sujet des mains que tu as, et comment elles t’ont si bien servi depuis ta naissance. »
Elle continua :
« Mes mains, ridées, desséchées et affaiblies, ont été les outils que j’ai toujours utilisés pour étreindre la vie.
Elles m’ont permis de m’agripper et d’éviter de tomber quand je trottinais lorsque j’étais enfant.
Elles ont porté la nourriture à ma bouche et habillée.
Enfant, ma mère m’a montré à les joindre pour prier.
Elles ont attaché mes souliers et mes bottes.
Elles ont touché mon mari et essuyé mes larmes quand il est parti à la guerre.
Elles ont été sales, coupées et rugueuses et enflées.
Elles ont été maladroites quand j’ai tenté de tenir mon premier enfant.
Décorées avec ma bague de mariage, elles ont montré au monde que j’aimais quelqu’un d’unique et spécial.
Elles ont écrit mes lettres à ton grand-père, et ont tremblé quand je l’ai enterré.
Elles ont tenu mes enfants, ensuite mes petits enfants, consolé les voisins et tremblé de rage quand je ne comprenais pas.
Elles ont couvert ma figure, peigné mes cheveux et lavé mon corps.
Elles ont été collantes et humides, sèches et rugueuses.
Aujourd’hui, comme rien ne marche vraiment plus comme avant pour moi, ces mains continuent de me soutenir et je les joins encore pour prier.
Ces mains portent la marque de ce que j’ai fait et des accidents de ma vie.
Mais le plus important est que ce seront ces mêmes mains que Dieu attrapera pour m’amener avec lui dans son Paradis.
Avec elles, il m’élèvera à ses côtés.
Et là, je pourrai les utiliser pour toucher la face du Christ ».
Pensive, je regardais ses mains et les miennes.
Je ne les verrai jamais plus du même œil.
Plus tard, Dieu tendit ses mains et attira grand-mère à lui.
Quand je me blesse les mains, quand elles sont sensibles,
ou quand je caresse le visage de mes petits-enfants,
je pense à grand-mère.
Je sais qu’elle a été soutenue par les mains de Dieu.
Et je veux, moi aussi, un jour, toucher la face de Dieu et sentir ses mains sur mon visage.
Prenez soin de vous
Mabelle
Bonjour, je vous espère en forme. Je vous partage ce matin une petite histoire qui une véritable leçon de vie
Une jeune fille se plaignait sans cesse à son père, lui disant que sa vie était trop dure. Elle se sentait épuisée par les épreuves, convaincue qu’à peine un problème résolu, un autre survenait aussitôt.
Un jour, son père, qui était chef cuisinier, l’invita à venir avec lui dans la cuisine. Là, il remplit trois casseroles d’eau et les plaça sur le feu. Dans la première, il mit des carottes, dans la deuxième des œufs, et dans la troisième, des grains de café.
La fille, impatiente, observait sans comprendre ce qu’il faisait. Après environ 20 minutes, son père éteignit le feu. Il sortit les carottes et les mit dans un bol, les œufs dans une assiette, et versa le café dans une tasse. Puis il se tourna vers sa fille et lui demanda :
« Que vois-tu ? »
Toujours confuse, elle répondit : « Des carottes, des œufs et du café. »
Il lui demanda alors de toucher les carottes. Elle constata qu’elles étaient devenues molles. Puis il lui demanda de casser un œuf. Une fois épluché, elle vit qu’il était dur. Enfin, il lui fit goûter le café, dont l’arôme et le goût lui arrachèrent un sourire.
Son père lui expliqua alors :
« Ces trois éléments ont fait face à la même adversité : l’eau bouillante. Mais chacun a réagi différemment. La carotte, forte et rigide au départ, est devenue fragile et molle sous la chaleur. L’œuf, fragile à l’extérieur et tendre à l’intérieur, a durci avec l’adversité. Quant aux grains de café, eux, ils ont transformé l’eau en quelque chose de meilleur. »
Puis, en la regardant dans les yeux, il ajouta :
« Lequel es-tu ? Es-tu comme la carotte, qui semble forte, mais s’effondre face aux difficultés ? Ou comme l’œuf, qui commence avec un cœur tendre mais se referme et durcit après les épreuves ? Ou es-tu comme le grain de café, qui transforme son environnement et trouve une force pour améliorer la situation autour de lui ? »
Enfin, il conclut :
« Lorsque la vie te met à l’épreuve, sois comme le grain de café. Transforme les obstacles en opportunités, et fais en sorte que les difficultés révèlent le meilleur de toi-même. Tout dépend de la manière dont tu choisis de réagir. »
Une belle leçon pour affronter la vie avec courage et résilience.
Mabelle
Tout le monde devrait lire cette histoire
Le téléphone a sonné. C’était sa mère.
« Jack, je voulais te prévenir… M. Belser est décédé hier soir. Les funérailles auront lieu mercredi. »
Jack resta silencieux. Des souvenirs lui revinrent en tête, comme des scènes d’un vieux film.
« Jack, tu m’entends ? »
« Oh… oui maman, pardon. Je suis juste surpris. Pour être honnête, je croyais qu’il était parti depuis des années », répondit-il.
« Eh bien non, et tu sais quoi ? Il te posait toujours des questions sur toi. Il se souvenait des journées que tu passais chez lui, “de son côté de la barrière”, comme il aimait dire. »
Un sourire nostalgique apparut sur le visage de Jack.
« J’adorais cette vieille maison… »
« Après la mort de ton père, il s’est toujours préoccupé de toi, Jack. Il tenait beaucoup à toi », ajouta sa mère.
Jack se souvint alors : « C’est lui qui m’a appris la menuiserie. Si je fais ce métier aujourd’hui, c’est grâce à lui. Il m’a tellement appris… Je serai là pour les funérailles. »
Jack tint sa promesse. Il prit le premier vol pour rentrer dans sa ville natale. Les funérailles furent simples. M. Belser n’avait pas d’enfants, et peu de proches étaient encore en vie.
Avant de repartir, Jack décida de passer devant l’ancienne maison de M. Belser. Sur le seuil, il s’arrêta, figé. Tout était resté identique. Chaque meuble, chaque cadre… mais une chose manquait.
« Qu’est-ce qu’il y a, Jack ? » demanda sa mère.
« La boîte… elle n’est plus là », répondit-il.
« Quelle boîte ? »
« Une petite boîte dorée qui était toujours posée sur son bureau. Je lui demandais souvent ce qu’il y avait dedans, mais il me répondait toujours : “C’est ce que j’ai de plus précieux.” »
Deux semaines plus tard, Jack reçut un avis de passage. Il se rendit à la poste et récupéra un petit colis usé par le temps.
L’expéditeur ? Harold Belser.
Les mains tremblantes, Jack ouvrit le paquet. À l’intérieur, il y avait la fameuse boîte dorée et une lettre.
“À ma mort, cette boîte doit revenir à Jack Bennett. C’est ce que j’ai de plus précieux.”
Une petite clé était attachée à la lettre.
Le cœur battant, Jack ouvrit la boîte. À l’intérieur, soigneusement enveloppée, il trouva une montre de poche en or. Il lut l’inscription gravée :
“Jack, merci pour ton temps. – Harold Belser.”
Jack resta immobile, les larmes aux yeux.
Cet homme qu’il n’avait pas vu depuis si longtemps… c’était son temps qu’il avait tant chéri.
Jack rangea la montre dans sa poche, prit son téléphone et annula tous ses rendez-vous des deux prochains jours.
« Pourquoi ? » demanda son assistante.
« J’ai besoin de passer du temps avec les gens que j’aime et de leur dire combien ils comptent pour moi. »
Puis il ajouta :
« Oh, et au fait… merci pour ton temps. »
La vie ne se mesure pas au nombre de respirations que l’on prend, mais aux moments qui nous coupent le souffle.
Prenez soin de vous et de vos proches
Mabelle
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