Archives de catégorie : Textes à méditer

Des petits textes pour nous donner à réfléchir

Message d’espoir

Bonjour, j’espère que vous allez bien.

C’est un message d’espérance que je souhaite vous transmettre aujourd’hui, un message d’Arnaud Riou.

A méditer.

Mabelle

Nous vivons une période tellement sensible, sur le plan écologique, humain, politique. Si elle est anxiogène, cette période nous montre à quel point cette crise est l’opportunité d’un profond changement de civilisation. Depuis des décennies j’œuvre pour la transmission des sagesses ancestrales à notre monde moderne.

Mes nombreuses rencontres avec les peuples premiers et les chamans du monde entier m’ont surtout rendu plus sensible à la nature, au respect du vivant, et à la dimension sacrée de notre humanité. Les enseignements que je transmets depuis trente ans à travers mes livres, mes stages et nos formations en ligne sont portés par cette vocation. J’observe, depuis plusieurs années, à quel point ces sagesses viennent toucher le cœur des occidentaux. Il y a quarante ans, le chamanisme était peu connu.

Aujourd’hui, grâce aux premiers explorateurs, aux chamans et représentants autochtones qui nous accueillent et transmettent leur sagesse, nous comprenons l’importance de revenir à nos propres racines. Car en Europe, comme ailleurs, de grandes traditions chamaniques ont toujours existé. Nos ancêtres les druides entretenaient cette relation au vivant comme le font aujourd’hui les chamans.

Une amie autochtone qui vit en Amazonie et m’a rendu visite en France, Thaline, du peuple Karajá, ne cesse de répéter : « Le futur est ancestral. Le futur est autochtone ».

Je vois dans cette affirmation la conclusion d’une boucle, qui signe un retour à plus d’équilibre : après les cinq derniers siècles passés sous l’égide de l’Aigle, initiés par la découverte de l’Amérique par les Européens et qui se concluent aujourd’hui par le désenchantement de nos sociétés, nous plongeons de nouveau dans l’ère du Condor, qui nous invite à écouter notre intuition, nos émotions et notre cœur.

Notre civilisation de la croissance à tout prix a conduit à la destruction des écosystèmes, aux guerres qui fragilisent le globe, au délitement des démocraties, et au désespoir des individus face à un manque abyssal de sens. Ces crises sont des opportunités pour se transformer. Se libérer, revenir à l’essentiel.

Et c’est ce que les peuples autochtones nous apportent, à travers leur spiritualité et leurs cultures si différentes : une autre façon de vivre et de percevoir le monde qui nous a vu naître. Je suis donc optimiste, non seulement parce que je peux témoigner de ces changements, mais parce que je constate que chaque jour nous sommes plus nombreux à partager cette voie.

La prophétie de l’Aigle et du Condor est à bien des égards en train de se réaliser, et je ressens de la gratitude de participer à cette transition. Une forêt qui pousse fait moins de bruit qu’un arbre qui tombe. Nous savons combien les médias aiment mettre la lumière sur le vacarme de l’arbre qui tombe et moins sur cette forêt, que nous contribuons tous à semer.

Continuer à ne pas s’aimer

Il est plus facile de continuer à ne pas s’aimer que de commencer à apprendre à s’aimer.

Comment ?

Et bien continuons de nous taire, de ne pas dire ce que nous pensons vraiment. Oui, contenons pour un jour, mieux exploser et créer des conflits.

Continuons de subir des situations et des rythmes de vie qui ne nous conviennent pas.

Continuons de dire Amen à tout, à rendre service à tout le monde alors que nous n’en avons pas forcément envie et que nous sommes certainement fatigué(e)s. Obligeons nous a faire toutes ces choses.

Apportons nous ce manque d’intérêt pour nous même. Rien de tel pour entretenir notre manque affectif et notre insécurité.

Aussi, continuons de nous plaindre et d’attendre des autres qu’ils remplissent nos manques.

Continuons d’être trop dépendants de notre entourage.

Continuons aussi de ne rien oser. Oui, ne réalisons pas nos envies, nos objectifs, nos rêves.

Peut être une image de ciel, arbre et nature
Art Tana Turner

Continuons de nous rejeter, de nous sabrer, de nous saboter. Continuons de ne rien faire si c’est pour le faire seul(e).

Continuons de râler, de reprocher, de juger, de provoquer.

Continuons de contrôler, de fouiller.

Continuons de « pester » si les choses ne sont pas faites à notre manière et surtout, oui surtout, continuons de passer derrière pour les faire à notre façon histoire de bien entretenir notre insécurité.

Continuons aussi de tout porter, de tout faire, de tout gérer sans jamais demander d’aide.

Continuons de nous mettre tout seul sous cette pression de l’exigence alors que notre cœur nous murmure bien souvent de lever le pied, d’en faire moins parce que nous sommes fatigué(e)s de tout ça.

Continuons quelques uns de ces comportements et nous serons certains d’entretenir notre « désamour », notre insécurité et notre manque de confiance. Notre mésestime. …

Si nous voulons commencer à apprendre à nous aimer, si nous voulons retrouver notre confiance et notre estime, à notre rythme, un jour à la fois, commençons à faire le contraire.

Marie Chauderon

L’amour

« Lorsque tu aimes, que ce soit de tout ton cœur, ne crains jamais de montrer ton amour. Que ton amour soit comme un livre ouvert que toutes les âmes puissent lire.

C’est la chose la plus merveilleuse au monde, alors laisse cet amour divin au-dedans de toi couler librement.

L’amour n’est pas aveugle, mais il voit le meilleur chez l’être aimé, et ainsi il fait émerger le meilleur.

Ne choisis jamais qui tu vas aimer. Garde simplement ton cœur ouvert et fais couler sans cesse l’amour de la même manière vers toutes les âmes.

Faire ainsi est aimer de Mon amour divin.

Il est comme le soleil et brille sur tous sans distinction.

L’amour ne devrait jamais être ouvert ou fermé comme un robinet. L’amour n’est jamais exclusif, jamais possessif.

Plus tu es désireux de le partager, plus il devient grand. Retiens-le et tu le perdras. Laisse-le aller, et il te revient multiplié par mille et devient une joie et une bénédiction pour tous ceux qui le partagent… »

Eileen Caddy

Etre libre demande du courage

Être LIBRE demande un certain courage.

Le courage de se libérer d’un semblant de sécurité.

Le courage d’oser être SOI.

Le courage d’assumer ses CHOIX.

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Le courage de se détourner de ce que les autres attendent.

Le courage de se faire passer en PRIORITÉ

.Le courage de se RESPONSABILISER.

Le courage de ne plus rien attendre de personne.

Le courage d’apprendre toujours plus.

Le courage de donner le meilleur de soi.

Le courage de choisir, se choisir et le courage d’aimer qui on veut.

Oui, dans cette société basée en grande partie sur la conformité, qui nous conforte par habitude, dans une forme de victimisation, il faut un certain courage pour oser BRISER ses CHAÎNES, prendre soin de soi, et Être.

Sortir du cocon devenu inconfortable, et VIVRE.Tout simplement.

Alexandre Jollien

Pour chaque femme … pour chaque homme

Pour chaque femme fatiguée de faire semblant de faiblesse, il y a un homme fatigué d’avoir à prouver sa force.

Pour chaque femme fatiguée de faire semblant d’être stupide, il y a un homme fatigué d’avoir toujours besoin d’être un modèle.

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Pour chaque femme fatiguée d’être obligée de pleurer pour prouver qu’elle est une femme, il y a un homme qui ne peut pas exprimer ses sentiments.

Pour chaque femme sportive dont la féminité est remise en question, il y a un homme forcé à rivaliser pour prouver sa virilité.

Pour chaque femme fatiguée d’être considérée uniquement pour son corps, il y a un homme qui s’inquiète d’être jugé uniquement pour ses performances sexuelles.

Pour chaque femme qui ne sait pas changer une roue, il y a un homme qui ne peut pas cuisiner un œuf.

Pour chaque femme qui marche vers sa liberté, il y a un homme qui en redécouvre le vrai sens.

L’humanité est un oiseau avec deux ailes, l’une est féminine, l’autre masculine !

Tant que les deux ailes ne pourront s’exprimer de manière équitable, l’humanité ne pourra jamais voler…

Pour celles et ceux qui baissent les bras …

« Un jour, je me suis avoué vaincu… J’ai renoncé à mon travail, à mes relations, à ma vie. Je suis alors allé dans la forêt pour parler avec un ancien que l’on disait très sage.

– Pourrais-tu me donner une bonne raison de ne pas m’avouer vaincu ? Lui ai-je demandé.

– Regarde autour de toi, me répondit-il, vois-tu la fougère et le bambou ?

– Oui, répondis-je.

L'histoire de la fougère et du bambou ou quand la résilience est une force

– Lorsque j’ai semé les graines de la fougère et du bambou, j’en ai bien pris soin. La fougère grandit rapidement. Son vert brillant recouvrait le sol. Mais rien ne sortit des graines de bambou. Cependant, je n’ai pas renoncé au bambou.

La deuxième année, la fougère grandit et fut encore plus brillante et abondante, et de nouveau, rien ne poussa des graines de bambou. Mais je n’ai pas renoncé au bambou.

La troisième année, toujours rien ne sortit des graines de bambou. Mais je n’ai pas renoncé au bambou.

La quatrième année, de nouveau, rien ne sortit des graines de bambou. Mais je n’ai pas renoncé au bambou.

Lors de la cinquième année, une petite pousse de bambou sortit de la terre. En comparaison avec la fougère, elle avait l’air très petite et insignifiante.

La sixième année, le bambou grandit jusqu’à plus de 20 mètres de haut. Il avait passé cinq ans à fortifier ses racines pour le soutenir. Ces racines l’ont rendu plus fort et lui ont donné ce dont il avait besoin pour survivre.

Savais-tu que tout ce temps que tu as passé à lutter, tu étais en fait en train de faire pousser des racines ? dit l’ancien, et il continua…

Le bambou a une fonction différente de la fougère, cependant, les deux sont nécessaires et font de cette forêt un lieu magnifique.

Ne regrette jamais un seul jour de ta vie. Les bons jours te rendent heureux. Les mauvais jours te donnent de l’expérience. Les deux sont essentiels à la vie, lui dit l’ancien, et il continua…

Le bonheur te rend doux. Les essais te rendent fort. Les peines te rendent humain. Les chutes te rendent humble. La réussite te rend brillant.

Si tu n’obtiens pas ce que tu désires, ne désespère pas… Qui sait, peut-être que tu es juste en train de fortifier tes racines. »

Extrait d’un conte Japonais, auteur inconnu.

Délicieuse journée à toi !

Mabelle

Remettre les pensées à leur place

Bonjour, petit partage ce matin d’un écrit de Diane Gagnon.

On connaît tous le « pouvoir des pensées » dans notre vie, leur pouvoir de création, en positif comme en « négatif ». Mais on oublie trop souvent de voir à quel point nous laissons les pensées avoir trop de contrôle sur nous. En fait, nos sociétés valorisent énormément le fait de réfléchir, analyser, planifier, ergoter. Et je ne suis pas en train de dire qu’il faut arrêter de penser et de réfléchir : de toute façon, à moins d’avoir réalisé le Soi, nous serions incapables d’arrêter le flot des pensées.

Mais tout ce temps et cette énergie que nous mettons à penser, réfléchir, planifier, parfois angoisser, regretter, ressasser, scénariser, revivre le passé et anticiper l’avenir, c’est du temps et de l’énergie que nous avons en moins pour vivre la Vie.

La Vie n’est pas faite pour être pensée, elle est faite pour être vue et vécue.

Nous fonctionnons beaucoup trop au niveau mental et pas suffisamment au niveau du cœur et de la Présence. Tant que nous restons dans notre tête, nous cultivons les souffrances, les peurs, les angoisses, les résistances, les jugements, les déceptions, les ressentiments, les frustrations, le refus d’accueillir la Vie. Les pensées sont à la base même de presque toutes les peurs et elles les alimentent constamment. Les pensées créent l’anxiété, empirent les problèmes et compliquent souvent les relations.Dès que nous remettons les pensées à leur place de subalternes, c’est-à-dire au service de notre Conscience, et non en maîtres absolus de notre existence, la Vie devient soudainement beaucoup plus simple. Cela demande de l’attention vigilante afin de ne pas laisser les pensées nous envahir en tout temps, mais c’est possible petit à petit de réduire le bruit qu’elles font, soit en récitant un mantra, soit en méditant, soit en contemplant la nature, en faisant silence en nous. D’ailleurs, nous pouvons constater que lorsque nous sommes complètement absorbés par une activité qui nous passionne, que ce soit peindre, écrire, chanter, danser, jardiner ou quoi que ce soit d’autre, notre mental a tendance à se taire et nous sommes alors complètement connectés avec cette Présence que nous sommes. Sans pensées, sans peurs, sans anxiété.Nous pouvons aussi cesser de nous identifier à ce que nous appelons « nos » pensées et dire plutôt « les » pensées, de manière à ne plus s’y accrocher, à ne plus les faire nôtres, à les laisser passer sans tenter de les retenir.Ralentissons.

Ralentissons dans les activités, dans les pensées, dans les prétendues obligations, dans tout ce qui nous éloigne de nous-mêmes. Simplifions notre vie, créons de l’espace et du silence en nous pour être disponibles afin de mieux accueillir la Vie. Faisons le vide plus souvent de manière à faire taire le mental et à être plus en union avec la Vie si belle et si précieuse. Plutôt que de laisser les pensées nous contrôler, vivons la Vie pleinement, avec intensité et silence à la fois, de manière à ce que ce soit la Vie qui nous guide pas à pas et que nous l’accueillons enfin le cœur ouvert. Sans trop de pensées, sans trop de résistances.

Diane Gagnon

Le travail de l’ermite

Un homme rejoint un ermite sur une montagne qui pratique une drôle de méditation. Intrigué et dubitatif, il lui demande :
– Que fais-tu dans tant de solitude ?

Ce à quoi l’ermite répond avec un sourire malicieux :
– J’ai beaucoup de travail à faire.

– Comment peux-tu avoir autant de travail dans cet endroit ? Je ne vois rien ici !

Hermite photo éditorial. Image du spiritualité, gris - 76123231


– Je dois entraîner deux faucons et deux aigles, rassurer deux lapins, discipliner un serpent, motiver un âne et dompter un lion.

– Mais où sont-ils, je ne les vois pas ?

– Je les ai à l’intérieur :
Les faucons se lancent sur tout ce qui m’est présenté, bon ou mauvais, alors je dois les entraîner à se lancer sur de bonnes choses. Ce sont mes yeux !
Les deux aigles avec leurs griffes blessent et détruisent, je dois leur apprendre à ne pas blesser. Ce sont mes mains !
Les lapins veulent aller où ils veulent, ils fuient face à des situations difficiles, je dois leur apprendre à être tranquille face à la difficulté et devant les obstacles. Ce sont mes pieds !
L’âne est toujours fatigué, têtu, très souvent il ne veut rien porter. C’est mon corps !
Le plus difficile à dompter est le serpent. Même s’il est enfermé dans une cage robuste, il est toujours prêt à mordre et empoisonner quiconque l’approche. Je dois le discipliner, c’est ma langue !
J’ai aussi un lion. Oh… il est fier, vaniteux, il pense qu’il est roi, je dois le dompter. C’est mon ego !  »
Comme tu le vois maintenant, j’ai beaucoup de travail à faire !  »

Ils pensent que je suis folle

« Grand-mère, ils pensent que je suis folle, à cause de la façon dont je vis, des choix que je fais, de ce que je pense … »

« Trinque à ta folie, mon enfant. C’est ton unicité qui se fait sentir massivement, qui parvient à se libérer des chaînes d’un monde qui contrôle et qui célèbre la vie avec toutes ses multiples facettes. Plus ils te traitent de folle, plus tu as de raisons de te réjouir : cela signifie que tu peux toujours écouter ton cœur, pas ton esprit!  »

Une grand-mère et sa petite Fille...

« Mais comment puis-je vivre avec ces gens? »

« Celui qui juge ta pensée, tes actions et tes sentiments se juge lui-même, pas toi. Continue ton chemin, mon enfant. Tu es ici pour danser avec le vent et suivre ses directions. Change d’avis, bouge, reviens sur tes pas, expérimente et tombe si nécessaire. C’est le seul moyen de trouver le chemin qui mène à toi-même.  »

« Je ne suis pas sûre de voir cette route … »

« Parce que tu persistes à te perdre dans la voie des autres. Et ainsi un enchevêtrement de voies se forme qui t’ amène à t’embrouiller. Mais tu sais, mon enfant, il y a un secret pour revenir sur la bonne voie chaque fois que tu perds la direction. C’est une boussole spéciale en toi. C’est la boussole du cœur. Lorsque tu entends ton tambour intérieur prendre vie, prendre vie et exploser d’énergie, cela signifie que tu es proche de ce qui nourrit ton âme. Écoute l’appel de ton cœur. Il veut t’emmener sur le chemin de la folie, de la poésie, de la beauté. Il suffit de faire preuve d’un grand courage. Lâcher prise et être guidé par un battement simple mais puissant. C’est ton âme qui frappe: laisse-la entrer! »

Elena Bernabè

C’est difficile ?

Presque tous les jours, des gens ont pour réponses à ces textes positifs qui visent à insuffler l’espoir et l’action chez ceux qui les lisent : « oui c’est vrai, mais c’est difficile! » ou « facile à lire mais difficile à faire! »

Qui a dit que la Vie c’est facile? Qui nous a fait croire que nous pouvions tout avoir, tout obtenir sans effort?

Nous sommes malheureux depuis 30 ans et nous voudrions que du jour au lendemain, nous n’ayons qu’à lever le petit doigt pour que tout devienne facile et que le bonheur soit là, sur le pas de notre porte?

Nous nous écrasons devons l’autorité ou les autres depuis 50 ans et nous croyons qu’après avoir assisté à une conférence sur l’estime de soi, nous nous réveillerons demain matin remplis d’amour pour nous-mêmes, sans jugement?

Rien ne s’obtient facilement dans la Vie. Mais en même temps, ce n’est pas obligé d’être difficile! Tout dépend comment nous abordons toute situation. Oui nous devons fournir l’élan de départ, faire l’effort de poursuivre, maintenir la discipline de ne pas lâcher et persévérer malgré les obstacles, peu importe ce que nous voulons améliorer.

Mais si nous le faisons dans la confiance absolue que nous y arriverons, si nous décidons avec détermination que c’est à compter de maintenant que notre vie change, et si nous maintenons le cap malgré les vents et les marées, alors non, ce n’est pas si difficile que ça! Ce n’est pas facile, certes, mais c’est tellement moins difficile que de demeurer dans un état de souffrance connu plutôt que d’aller confiants vers l’inconnu, plus porteur de bonheur que le présent que nous hésitons à quitter, malgré notre souffrance d’y rester.

Nous pouvons changer ce que nous n’aimons pas dans notre vie, mais il faut le décider, le vouloir, le maintenir, le faire et l’être. Les premiers pas sont plus ardus, mais une fois l’élan en marche, plus rien ne peut nous arrêter. Nous prenons enfin notre envol! Et les résultats sont phénoménaux! À ce moment-là, la difficulté de l’effort devient un stimulant et un moteur plutôt qu’un frein.

Ce jour-là, nous comprenons que tout est possible… et que ce n’est pas obligé d’être si difficile que ça!

Diane GagnonAuteur Coach Conférencière