Archives de catégorie : Textes à méditer

Des petits textes pour nous donner à réfléchir

Gardons foi, espoir et l’amour

Bonjour,

Je vous espère en forme ce matin. Je vous partage un message reçu d’une personne qui souhaite rester anonyme.

« Emplissons nos coeurs de joie, de paix, de légèreté et de contentement et, bien que le chaos et la violence semblent être partout, souvenons-nous qu’ils ne sont censés être vécus que par ceux qui en ont besoin

Ne soyons pas désorientés par ce que nous voyons, ce que l’on nous dit ou que nous pensons savoir

Les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être, elles n’empirent pas et il n’y a pas de chaos
 Ce sont des moments de transformation

Les énergies se meuvent et il semblerait qu’il y ait de laviolence tout autour de nous. La violence est à l’intérieur des gens et quiconque en a besoin pour apprendre en fera l’expérience

Les événements se manifestent pour amener l’évolution en fonction de ce dont chaque être a besoin pour y parvenir
Ne nous impliquons pas dans ce qui se passe à l’extérieur car ce n’est qu’une illusion

Gardons en notre coeur la Foi, l’Espoir et l’Amour

Demandons à notre Présence I AM, à nos Guides, nos Anges et nos Maîtres Ascensionnés de prendre soin de nous, de nous envelopper, de nous guider et de nous maintenir dans une vibration d’Amour, afin que ce soit Cela que nous attirons
 
Tout dépend de nos actes et de nos pensées.
Si nous réagissons à ce qui se passe à l’extérieur, s’il y a de la violence en nous, si, par la manipulation, nous nous impliquons dans l’information, nous aurons à la vivre si nous la relayons

Rayonnons la Lumière, l’Amour, la Compassion & la Gratitude
Rendons grâce pour cette opportunité de changement dans ce monde et soignons ce qui, en nous-même, doit être guéri afin d’évoluer

En toute tranquillité, travaillons, en nous-même, ce dont nous avons besoin pour comprendre qui nous sommes et dans quel but nous sommes ici

Demandons l’aide de notre Présence I AM afin que nous ne puissions voir
que le bien qui existe dans chaque situation, afin que notre coeur ressente de l’Amour et de la Compassion pour chaque être qui croise notre chemin.

De cette façon, nous pouvons coopérer avec la Paix dans nos pensées, nos paroles et nos actes pour apprendre ce que nous devons, tout en étant dans la Lumière
 
Demandons que tout ce qui émane de nous soit réalisé dans l’Amour
Que l’Amour, la Lumière et l’Esprit de Noël entourent vos proches tout au long de l’année ! »

Prenez soin de vous.

Mabelle

Girimananda et Bouddha

L’Eveillé Bouddha demeurait près de Savatthi sur les terres de Anathapindika dans le bois de Jeta.

Le Vénérable Girimananada était affligé, souffrant et très malade. Il approcha Bouddha et s’assit à côté de lui. Il lui dit ceci :

– Maître, le Vénérable Girimananda est affligé souffrant et très malade. S’il vous plaît, Maître, puisse l’Eveillé s’approcher du vénérable Girimananda, ayant pitié de lui.

– Si vous, Ananda, répondit Bouddha, ayant approché le moine Girimananda, vous récitiez les dix perceptions, alors il est possible que, les ayant entendues, l’affliction du moine Girimananda disparaîtra immédiatement.

– Quelles sont-elles ? demanda Ananda.

– La perception de l’impermanence, la perception du non-soi, la perception de ce qui est repoussant, la perception du danger, la perception de l’abandon. La perception du non-désir, la perception de la cessation, la perception de la non-délectation à l’égard du monde, la perception de l’impermanence dans tous les processus, l’attention en plein conscience sur la respiration.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de l’impermanence ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : la forme est impermanente, les sensations sont impermanentes, les perceptions sont impermanentes, les processus (mentaux) sont impermanents, la conscience est impermanente.

Ainsi, au regard de ces cinq groupes constituants (de l’esprit et du corps) qui procurent du carburant à l’attachement, il demeure contemplant l’impermanence.

Ceci, Ananda, est appelé la perception de l’impermanence.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception du non-soi ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : l’oeil n’est pas le soi. La forme n’est pas le soi. L’oreille n’est pas le soi. Les sons ne sont pas le soi. Le nez n’est pas le soi. Les odeurs ne sont pas le soi. La langue n’est pas le soi. Les saveurs ne sont pas le soi. Le corps n’est pas le soi. Les éléments tangible ne sont pas le soi. L’esprit n’est pas le soi. Les pensées ne sont pas le soi.

Ainsi, au regard de ces six sphères sensorielles internes et externes, il demeure contemplant le non-soi.

Ceci, Ananda, est appelé la perception du non-soi.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de ce qui est repoussant ?

Ici Ananda, un moine réfléchit à ce corps de la plante des pieds vers le haut, des cheveux vers le bas, liés par la peau et remplis de nombreuses impuretés :

Il y a dans ce corps : les cheveux, les poils, les ongles, les dents, la peau, la chair, les tendons, les os, la moelle osseuse, les reins, le coeur , la foie, la plèvre, la rate, les poumons, les intestins, le mésentère, la nourriture non digérée, les excréments, la bile, le phlegme, le pus, le sang, la sueur, la graisse, les larmes, la salive, le mucus, le liquide, synovial, l’urine.

Ainsi, au regard de ce corps, il demeure contemplant ce qui est repoussant.

Ceci, Ananda, est appelé la perception de ce qui est repoussant.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception du danger ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi :

Ce corps a beaucoup de souffrances. Il comporte de nombreux dangers, ainsi, en connexion avec ce corps, de nombreuses afflictions apparaissent, comme telles :

une maladie des yeux, une maladie de l’oreille, une maladie de nez, une maladie de la langue, une maladie du corps, (i.e des maladies affectant les sphères sensorielles), une maladie de la tête, une maladie de l’oreille, une maladie de la bouche, une maladie des dents, une toux, de l’asthme, une catarrhe, une pyrexie, de la fièvre, un mal d’estomac, une perte de connaissance, une diarrhée, des coliques, le choléra, la lèpre, des furoncles, de ‘eczéma, la tuberculose, des crises d’épilepsie, une mycose, des démangeaisons, la gale, la varicelle, une hémorragie, du diabète, des hémorroïdes, un cancer, des ulcères, des afflictions résultant d’excès de bile, des afflictions résultant d’excès de flegme, des afflictions résultant d’excès de souffles, vitaux, des affliction résultant d’un conflit d’humeurs, des afflictions née d’un changement de saisons, des afflictions nées du fait d’être imprudent, des afflictions née du fait attaqué, des afflictions nées en tant que résultant d’actions,(antérieures malsaines), un corps de froid, de la chaleur, de la faim, de la soif, un problème de selles, de l’urine. Ainsi, au regard de ce corps, il demeure contemplant le danger.

Ceci, Ananda, est appelé la perception du danger.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de l’abandon ?

Ici, Ananda, un moine ne donne pas son consentement à des pensées de désir sensuels qui sont apparues, (ceci,) il l’abandonne, le dissipe, le conduit sa fin et le rend non-existant.

Il ne consent pas aux pensées de malveillance qui ont surgi, (celles-ci) il les abandonne, les dissipe, les conduit à leur fin et les rend no-existantes. Il ne consent pas aux moindres pensées mauvaise et malsaines qui ont surgi, (celles-ci) il les abandonne, les dissipe, les conduit à leur fin et les rend non-existantes.

Ceci, Ananda, est appelé la perception de l’abandon.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception du non-désir ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi :

C’est paisible, c’est excellent, c’est-à-dire l’apaisement de tous les processus, la lâcher-prise de toutes les bases de clivages, la fin de l’envie impérieuse, le non-désir, Nibbana [Nirvana].

Ceci, Ananda, est appelé la perception du non-désir.

Maintenant, Ananda, qu’est- ce que la perception de la perception ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : C’est paisible, c’est excellent, c’est-à-dire :

L’apaisement de tous les processus, le lâcher-prise de toutes les bases de clivage, la fin de l’envie impérieuse, la cessation, Nibbana.

Ceci, Ananda est appelé la perception de la perception.

Maintenant, Ananda qu’est -ce que la perception de la cessation ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu sans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : C’est possible, c’est excellence, c’est-à-dire : l’apaisement de tous les processus, le lâcher-prise de toutes les bases de clivages, la fin de l’envie impérieuse, la cessation, Nibbana. Ceci, Ananda, est appelé la perception de la cessation.

Maintenant, Ananda, qu’est ce que la perception de la non-délectation à l’égard du monde ?

Ici, Ananda, un moine, au regard du monde et de tous les moyens et attachements égoïstes, ou déterminations mentales, croyance établies ou tendances que l’on y trouve, les abandonnent, n’y étant point attaché, il s’en abstient.

Ceci Ananda, est la perception de non-délectation à l’égard du monde.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de l’impermanence dans tous les processus ?

Ici, Ananda, un moine au regard de tous les processus, est affligé, il a honte et il est dégoûté.

Ceci, Ananada, est la perception de l’impermanence dans tous les processus.

Maintenant. Ananda, qu’est-ce que l’attention en pleine conscience de la respiration ?

Ici, Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou eu un lieu isolé, s’assoit. Après avoir croisé les jambes, gardant son corps droit et établissant l’intention en pleine conscience au niveau du nez, attentif en pleine conscience, il inspire, attentif en pleine conscience, il expire.

Tandis qu’il inspire longuement, il sait « j’inspire longuement ».

Tandis qu’il expire longuement, il sait « j’expire longuement ».

Tandis qu’il inspire de façon courte, il sait « j’inspire de façon courte ».

Tandis qu’il expire de façon courte, il sait ‘’ j’expire de façon courte ».

Il s’entraîne ainsi :

Expérimentant la totalité du corps, j’inspirerai. Expérimentant la totalité du corps, j’expirerai.

Rendant tous les processus corporels apaisés, j’inspirerai. Rendant tous les processus corporels apaisés, j’expirerai.

Expérimentant la joie, j’inspirerai. Expérimentant la joie, j’expirerai.

Expérimentant le plaisir, j’inspirerai. Expérimentant les processus mentaux, j’inspirerai.

Expérimentant les processus mentaux j’expirerai. Rendant les processus mentaux apaisés, j’inspirerai. Rendant les processus mentaux apaisés, j’expirerai.

Expérimentant l’esprit j’inspirerai. Expérimentant l’esprit j’expirerai.

Rendant l’esprit joyeux j’inspirerai. Rendant l’esprit joyeux, j’expirerai.

Concentrant l’esprit, j’inspirerai. Concentrant l’esprit, j’expirerai.

Libérant l’esprit j’inspirerai. Libérant l’esprit, j’expirerai.

Contemplant l’impermanence, j’inspirerai. Contemplant l’impermanence, j’expirerai,

Contemplant le non-désir j’inspirerai. Contemplant le non désir j’expirerai.

Contemplant la cessation, j’inspirerai. Contemplant la cessation, j’expirerai.

Contemplant le lâcher-prise, j’inspirerai. Contemplant le lâcher-prise, j’expirerai.

Ceci Ananda, est l’attention en pleine conscience de la respiration.

Si vous, Ananda, récitiez ces dix perceptions au moine Girimananda, il est possible que, les ayant entendues, l’affliction du moine Girimananda disparaîtra immédiatement.

Le vénérable Ananda, ayant appris ces dix perceptions de la bouche de l’Eveillé, approcha le vénérable Girimananda et lui récita ces dix perceptions.

Ayant entendu ces dix perceptions, l’affliction du vénérable Girimananda disparut immédiatement et il fut guéri de cette affliction. Par cela l’affliction du vénérable Girimanada prit fin.

Ralentir

Bonjour, j’espère que vous allez bien en ce début de soirée d’été indien.

Je vous partage un texte, dont je ne connais pas l’auteur(e), et que je ne peux donc pas remercier pour ses écrits.

Ce texte, je le trouve tellement vrai. Hier encore j’avais 20 ans, j’en ai maintenant trois fois plus et j’ai l’impression de n’avoir fait que courir une bonne partie de ma vie. Malgré que nous déroulions gentiment notre tapis de yoga avec l’intention de s’offrir une pause et un moment d’introspection, on se presse quand même durant la pratique. Sans compter le mental qui pense à la liste de course, à la préparation du souper ou au mail à envoyer absolument ce soir et l’appel téléphonique à ne surtout pas encore reporter.

Et si on ralentissait, si on profitait du moment présent ?

Ralentir - Les voies de l'âme

As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber sur le toit ?

Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admirer un coucher de soleil

Tu devrais t’y arrêter.

Ne danse pas trop vite car la vie est courte.

La musique ne dure pas éternellement.

Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé ?

Lorsque tu demandes « Comment ça va ? », est-ce que tu prends le temps d’écouter la réponse ?

Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t’étends dans ton lit avec 100000 choses à faire qui courent dans ta tête ?

Tu devrais ralentir.

As-tu déjà dit à ton enfant : « Nous le ferons demain » et le remettre au surlendemain ?

As-tu déjà perdu contact avec un ami, laisser une amitié mourir parce que tu n’avais jamais le temps d’appeler pour dire bonjour.

Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour, la vie est si courte.

Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d’y être.

Lorsque tu t’inquiètes et te fais du souci toute la journée, c’est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais.

La vie n’est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d’écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée…

Prenez bien soin de vous

Mabelle

Imaginez

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Imaginez une seconde que vous n’êtes plus l’otage de vos peurs, que vous acceptez les vertiges de vos contradictions.

Imaginez que vos désirs gouvernent désormais votre existence, que vous avez réappris à jouer, à vous couler dans l’instant présent.

Imaginez que vous savez tout à coup être légèr(e) sans jamais être frivole.

Imaginez que vous êtes résolument libre, que vous avez rompu avec le rôle asphyxiant que vous croyez devoir vous imposer en société. Vous avez quitté toute crainte d’être jugé.

Imaginez que votre besoin de faire vivre tous les personnages imprévisibles qui sommeillent en vous soit enfin à l’ordre du jour.

Imaginez que votre capacité d’émerveillement soit intacte, qu’un appétit neuf, virulent, éveille en vous mille désirs engourdis et autant d’espérances inassouvies.

Imaginez que vous allez devenir assez sage pour être enfin imprudent.

Imaginez que la traversée de vos gouffres ne vous inspire plus que de la joie !!!

Alexandre Jardin

Oser être heureux

Bonjour, j’espère que vous êtes en pleine forme

Ce matin je vous partage un petit texte de Jacques Salomé

Oser être heureux c’est accepter de l’être tout de suite.

Oui ! sans conditions, à l’aube de chaque instant, en étant capable d’accueillir simplement l’inouï du présent.

Être heureux c’est savoir entrer dans le fragile et l’éphémère de l’événement, de s’accorder avec lui dans le meilleur de ce qu’il recèle.

Etre heureux c’est être à la fois le réceptacle et le don dans l’immédiateté d’un regard, l’intensité d’une intention, la liberté d’un geste.

La clef du bien-être ne doit pas être confondue avec la recherche du bonheur, elle est dans l’acceptation inconditionnelle du meilleur de soi dans la rencontre avec le meilleur de l’autre.

Quand je sais dire oui ou non, sans me blesser ou me culpabiliser.

Quand je sais entendre et recevoir le oui ou le non de l’autre comme étant bien le sien.

Quand je sais sans réticence accepter mes possibles et me différencier de ceux de l’autre.

Quand je sais me respecter et me définir face aux valeurs et croyances parfois si éloignées des miennes.

Un bonheur se reçoit et s’amplifie dans l’imprévu d’une rencontre, dans le rire d’un partage, dans l’étonnement d’un abandon.

Quand je cherche à l’emprisonner dans la répétition ou l’exigence, il se dérobe et se perd à jamais.

Prenez soin de vous et soyez heureux

Mabelle

Vous méritez le meilleur

Bonjour,

J’espère que vous êtes en pleine forme.

Je vous partage ce matin un petit texte que je trouve très beau, mais dont je ne connais pas l’auteur, s’il veut se faire connaître j’en serai ravie.

Prenez soin de vous

Mabelle

Lorsqu’une porte se ferme dans votre vie, l’univers entier s’ouvre pour vous.

Notre vie est en constante évolution, personne ne vit toujours la même vie. Et nous devons nous adapter à ces changements si nous souhaitons continuer notre évolution et notre transformation.

Il peut être difficile de faire face à des portes qui se ferment dans la vie, en particulier lorsque nous ne nous y attendons pas. Aujourd’hui, nous pouvons vivre une très belle histoire d’amour, avoir des amis très fidèles et un travail stable où nous nous épanouissons, et demain nous pouvons tout perdre soudainement et devoir tout recommencer à zéro.

Quand nous vivons une période aussi difficile, que l’on nous retire tout ce que nous avons mis tant de temps à bâtir, nous pouvons ressentir de la colère ou de la tristesse face à la vie, et penser que l’univers tout entier prépare quelque chose contre nous.

Nous croyons cela car nous sommes incapables de prendre suffisamment de recul pour comprendre pourquoi cela se produit, mais lorsque nous réalisons pourquoi certaines portes se ferment à nous, nous nous réjouissons qu’un cycle se termine.

Notre vie est en constante évolution, personne ne vit toujours la même vie. Et nous devons nous adapter à ces changements si nous souhaitons continuer notre évolution et notre transformation. Nous avons la fâcheuse tendance à nous attacher au passé, à ceux qui sont partis et aux souvenirs qui ne reviendront jamais. Tellement de portes restent ouvertes que cela nous empêche d’en ouvrir de nouvelles.

Quand la vie réalise que nous restons accrochés à des choses qui n’existent plus, elle ferme ces anciennes portes pour que nous puissions évoluer dans notre voyage, même si cela nous blesse sur le moment.

Nous pensons qu’en nous libérant de ce qui ne nous sert plus, nous perdrons des connaissances précieuses. Nous sommes convaincus que certaines personnes doivent rester à nos côtés pour toujours et que nous mesurons notre puissance et notre force au nombre de choses que nous sommes capables de supporter sans perdre la tête.

C’est parce que nous ne faisons que répéter les mêmes enseignements qui existent depuis toujours, pensant qu’il s’agit de l’unique vérité.

Nous n’avons pas pris conscience de la nécessité de lâcher prise, nous n’avons pas appris que notre croissance et la réalisation de ce que nous souhaitons dépendent de notre capacité à voir que des portes doivent être fermées.

Nous avons peur de laisser certaines choses derrière nous, mais c’est uniquement car nous ne réalisons pas que dès qu’une porte se ferme, l’univers entier s’ouvre pour nous.


À chaque fois que nous recommençons, de nouvelles opportunités de bonheur et de succès se présentent à nous. Quand nous nous accrochons à certaines choses, nous nous retrouvons bloqués au même endroit.

Cela nous empêche d’apprendre, de nous transformer et de vivre pleinement. Si nous ne voulons pas stagner, nous devons comprendre l’importance des portes closes et honorer celles qui restent ouvertes.

Ainsi, poursuivez courageusement votre chemin avec le cœur et les yeux ouverts. Trouvez le courage de laisser derrière vous ce qui ne vous sert plus et laissez l’Univers vous présenter tout ce qu’il vous a réservé. Vous méritez ce qu’il y a de mieux, acceptez toutes les opportunités de croissance pour vivre la vie la plus épanouissante possible.

Dans la nuit du monde

Bonjour, je vous espère en pleine forme

J’ai envie ce matin de vous partager le discours de décembre 1964 dans lequel Martin Luther King, prix Nobel de la Paix, proclamait sa foi et son espérance en un avenir pour l’humanité. On parlait alors de guerre froide, de racisme…

Aujourd’hui, dans la nuit du monde et l’espérance de la Bonne Nouvelle, j’affirme avec audace ma foi en l’avenir de l’humanité!

Je refuse de croire que les circonstances actuelles rendront les hommes incapables de faire une terre meilleure. 
Je refuse de croire que l’être humain n’est qu’un fétu de paille, ballotté par le courant de la vie,  sans avoir la possibilité d’influencer en quoi que ce soit le cours des événements.

Je refuse de partager l’avis de ceux qui prétendent que l’homme est à ce point captif de la nuit sans étoiles, du racisme et de la guerre,
que l’aurore radieuse de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir réalité.

Je refuse de faire mienne la prédiction cynique que les peuples descendront l’un après l’autre dans le tourbillon du militarisme, vers l’enfer de la destruction thermo-nucléaire.

Je crois que la vérité et l’amour sans conditions auront le dernier mot effectivement. 
La vie, même vaincue provisoirement, demeure toujours plus forte que la mort.

Je crois fermement que, même au milieu des obus qui éclatent et des canons qui tonnent, il reste l’espoir d’un matin radieux.

J’ose croire qu’un jour tous les habitants de la terre pourront recevoir trois repas par jour pour la vie de leur corps, pour l’éducation et la culture, pour la santé de leur esprit, l’égalité et la liberté pour la vie de leur cœur.

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Je crois également qu’un jour, toute l’humanité reconnaîtra en Dieu la source de son amour. 
Je crois également que la volonté salvatrice et pacifique deviendra un jour la loi. 
Le loup et l’agneau pourront se reposer ensemble, chaque homme pourra s’asseoir sous son figuier dans sa vigne, et personne n’aura plus raison d’avoir peur.

Je crois fermement que nous l’emporterons!

Bien que plus de 35 années se soient écoulées, ce puissant texte reste encore et toujours d’actualité puisque le coeur des hommes reste inchangé.

Je garde pourtant espoir que chacun d’entre nous a le pouvoir de changer les choses de l’intérieur, et que nous pouvons tous ajouter notre petite goutte d’eau aux milliers d’autres dans l’océan pour dépasser les circonstances extérieures aussi puissantes soient elles

Namasté – Mabelle

Je veux savoir

Bonjour, j’espère que vous allez merveilleusement bien en ce début février.

Je ne sais pas du tout de qui est ce texte, mais je le trouve superbe, aussi je ne résiste pas à vous le partager.

Prenez soin de vous.

Mabelle

Je ne veux pas savoir ce que tu fais pour gagner ta vie.
Je veux savoir ce qui te passionne et si tu as le courage de réaliser tes rêves.

Je ne veux pas savoir quel âge tu as.
Je veux savoir si tu peux tout risquer pour l’amour, pour tes rêves, pour l’aventure de la vie.

Je ne veux pas savoir sous quel signe tu es né.
Je veux savoir si les épreuves de la vie ont ouvert ton cœur, ou si, au contraire, elles l’ont fermé.

Je ne veux pas savoir si tu dis la vérité ou non.
Je veux savoir si tu peux supporter le poids d’une accusation et ne pas trahir ton âme, si tu es fidèle et si je peux ainsi mettre ma confiance en toi.

Je ne veux pas savoir où tu habites ni combien d’argent tu gagnes.
Je veux savoir si tu peux te relever après avoir connu le désespoir et si, courbaturé et meurtri jusqu’aux os, tu peux encore aider tes enfants.

Je ne veux pas savoir qui tu es ni d’où tu viens.
Je veux savoir si tu peux te tenir au milieu du feu sans reculer.

Je ne veux pas connaître l’objet de tes études. Je veux savoir ce qui t’a permis de continuer quand tout allait mal.
Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même et si tu apprécies ta propre compagnie dans les moments de solitude.