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Femmes, hormones et insuline

🌸 comprendre pour vivre mieux 🌸

Bonjour, je vous espère en forme. Je vous partage ce matin un article de mon amie Cécile

Être une femme, c’est vivre au rythme de cycles hormonaux puissants…

Et quand l’insuline se dérègle, tout l’équilibre peut vaciller.

👉 La résistance à l’insuline ne touche pas que le poids ou la glycémie.

Chez les femmes, elle impacte profondément les hormones, à tous les âges de la vie.

🔹 Chez les jeunes femmes, elle est souvent liée au SOPK : cycles irréguliers, absence d’ovulation, acné, fatigue, fringales, difficultés à perdre du poids…

L’insuline stimule excessivement certaines hormones, ce qui entretient le déséquilibre.

🔹 Les troubles menstruels (cycles courts, longs, douloureux, règles abondantes ou absentes)

sont très souvent le langage du corps quand la glycémie et l’insuline ne sont plus stables.

🔹 À la ménopause, le tableau change… mais le fond reste le même.

Quand les œstrogènes chutent, la sensibilité à l’insuline diminue naturellement.

Résultat possible :

• bouffées de chaleur

• troubles de l’humeur

• irritabilité ou anxiété

• fatigue chronique

• sommeil haché

• réveils nocturnes pour uriner

(et oui, ce dernier point est très souvent lié à une mauvaise gestion du glucose la nuit)

🌙 Se lever la nuit pour aller uriner n’est pas “normal avec l’âge”.

C’est souvent un signal métabolique, pas seulement hormonal.

💔 Et quand le sommeil se fragmente, les hormones du stress augmentent, la résistance à l’insuline s’aggrave… et le cercle continue.

✨ La bonne nouvelle ?

Ce n’est pas une fatalité.

🌿 Des actions simples peuvent déjà faire une vraie différence :

• stabiliser les repas (éviter les grignotages tardifs)

• privilégier les fibres, les protéines et les bons gras

• réduire les pics de sucre, surtout le soir

• bouger un peu chaque jour, sans excès

• soutenir le métabolisme en douceur, sans forcer

• respecter le sommeil comme une priorité (et non un luxe)

💫 À titre personnel, l’intégration il y a 3 mois, d’un programme naturel à base de yerba maté et de fibres solubles avant chaque repas, est un vrai soutien pour moi.

Il m’a aidée à retrouver des nuits complètes,

je n’ai plus cette sensation de froid permanent, et les bouffées de chaleur, qui persistaient encore de temps en temps, se sont apaisées, et plus d’envie de me lever pour simplement uriner.

Pas par magie… mais en soutenant le corps là où il en avait vraiment besoin.

✨ Comprendre l’insuline, c’est redonner le pouvoir à son corps, d’apaiser ses hormones, retrouver de l’énergie, mieux dormir, et se réconcilier avec soi-même.

💞 Que tu sois une jeune femme, une maman, une femme en périménopause ou ménopause : ton corps ne te trahit pas.

Il te parle.

Et il mérite d’être écouté avec douceur.

🌿 Comprendre l’insuline, c’est un acte d’amour envers soi.

Et, personnellement, je soutiens également mon corps avec le même protocole que Cécile. Plus aucun réveil la nuit et quelques kilos en moins sur la balance. Prenez soin de vous – Mabelle

https://feelgreatmission.video/products?uid=mabelle

La période Covid a déclenché un grand basculement de conscience

Non pas parce que tout le monde s’est éveillé, mais parce que plus personne ne peut dire qu’il ne savait pas qu’autre chose était à l’œuvre.

Le réveil n’a pas été massif du jour au lendemain, il n’a pas pris la forme d’une révolte spectaculaire. Il a été une prise de distance silencieuse et progressive, un “quelque chose ne colle plus”, un effritement de la confiance. Beaucoup ont cessé d’y croire comme avant.

Le réveil commence toujours par une dissonance, une incohérence ressentie, un malaise diffus, un décalage entre ce qui est dit et ce qui est vécu.

La période Covid a multiplié ces dissonances : règles changeantes, injonctions paradoxales, discours contradictoires, …

À force, l’esprit ne peut plus suivre sans se fissurer. Et, dans cette fissure, la conscience s’est infiltrée.

Ce réveil n’a pas touché uniquement des profils “spirituels”. Il a concerné des travailleurs, des soignants, des parents, des enseignants, des personnes très ancrées, des gens qui n’avaient jamais remis en question le système. Le réveil n’a pas été idéologique, il a été expérientiel. Les gens ont senti dans leur chair que quelque chose dépassait la simple narration officielle.

Le réveil n’est pas toujours conscient. Tous ceux qui se sont éveillés ne l’ont pas nommé ainsi. Certains ont dit : «je me méfie maintenant », « je prends du recul », « je ne crois plus comme avant », »je fais plus attention », «je n’avale plus tout ce qu’ils disent ». Le réveil commence souvent par la prudence, pas par la certitude. Mais une fois enclenché, il ne s’arrête plus jamais.

La période Covid a marqué la fin d’une illusion majeure, celle d’un système protecteur et cohérent. Même chez ceux qui ont continué à suivre, quelque chose s’est fissuré. Une innocence collective perdue, un doute latent, une confiance amoindrie sans retour en arrière possible.

Depuis cette période, un phénomène subtil est apparu, les êtres éveillés se reconnaissent. Pas par leurs opinions, pas par leurs discours. Mais par leur refus du manichéisme, leur rejet des récits « scientifiques », leur calme, Il existe désormais une fréquence commune, discrète mais stable.

Avant, la Matrice définissait le sens des événements. Maintenant ce pouvoir est fissuré. De plus en plus d’êtres recoupent les informations, vérifient ce qui est dit, ressentent, refusent les récits prémâchés.

On parle souvent de ce que la période Covid a pris aux humains, mais beaucoup moins de ce qu’elle a fait perdre au système lui-même.

La Matrice a subi une perte irréversible, invisible aux statistiques mais profonde.

Elle a perdu sa crédibilité. Avant, beaucoup accordaient au système un crédit implicite : “ils savent ce qu’ils font”, “ils agissent pour notre bien”, Cette croyance n’était pas consciente mais intégrée. Ce n’est plus le cas désormais. Même chez ceux qui ont suivi, une partie de la confiance aveugle a disparu.

La Matrice fonctionnait sur un principe simple : elle définissait ce qui est réel, ce qui est vrai, ce qui est acceptable. Désormais elle a perdu ce monopole, de plus en plus de personnes ont compris que ce réel pouvait n’être que narratif, conditionné et orienté. Cette compréhension rend le monde beaucoup plus incontrôlable.

Avant, l’autorité était rarement remise en question sur le plan moral, considérée comme bienveillante et rationnelle. Durant cette période, l’autorité a dû : culpabiliser, justifier, moraliser car elle a perdu sa légitimité naturelle, n’étant plus perçue comme juste.

L’humanité a perdu quelque chose mais la Matrice aussi. Elle a perdu l’innocence collective, celle qui permet aux systèmes de fonctionner sans être questionnés. Désormais, même les récits “officiels” sont écoutés avec distance. Le doute s’est immiscé de manière permanente.

Le contrôle moderne repose sur l’émotion plus que sur la contrainte.

Or, la période Covid a provoqué saturation psychique, fatigue émotionnelle, profonde lassitude profonde et un désengagement affectif. Beaucoup ont cessé de vibrer avec le récit. Or, un récit sans adhésion émotionnelle est fragile.

Le système a gagné à court terme, mais perdu à long terme car il a obligé à regarder, ressentir, choisir. Or, une fois qu’un être a choisi en conscience, il ne revient pas à l’automatisme. Cette perte est définitive.

Certaines choses ne fonctionneront plus jamais comme avant : la peur brute, l’autorité non questionnée, le récit unique, l’obéissance réflexe. Le système devra désormais composer avec des individus plus lucides, des esprits autonomes, une défiance structurelle. Et cela change tout.

L’UE un peu plus loin chaque jour

Le 15 décembre, l’UE a inscrit Jacques Baud sur sa liste de sanctions, aux côtés d’autres personnes, pour ce qu’elle qualifie de « diffusion de propagande pro-russe et de désinformation sur la guerre en Ukraine ».

Petit rappel, cet ancien colonel et analyste stratégique est Suisse mais vit à Bruxelles, les sanctions à son encontre l’empêchent de quitter le pays.

« Mes comptes sont gelés et je n’ai pas le droit de voyager au sein de l’UE. Autrement dit, je ne peux pas rentrer dans mon pays… Je suis accusé de faire de la propagande pour la Russie et d’être responsable de la mise en œuvre de stratégies ou de désinformation imputables à la Russie. Ils ignorent même si la désinformation que je suis censé diffuser est bien destinée à la Russie…»  — Colonel Jacques Baud

Selon les institutions européennes, aurait, par ses interventions médiatiques, relayé des thèses jugées pro-Kremlin.

Autrement dit, faire son métier d’analyste, produire une lecture stratégique qui ne coïncide pas avec la narration officielle européenne, lui vaut aujourd’hui des sanctions.

– Interdiction d’entrer ou de transiter par les pays de l’Union européenne.

– Gel des avoirs dans la zone euro.

– Interdiction pour toute personne ou entreprise de l’UE de lui fournir des fonds ou des ressources.

La justification avancée est celle des « menaces hybrides » … c’est pratique.

L’UE vient de franchir un pas de plus dans l’autoritarisme.

Ce n’est plus de la censure classique.

Personne ne nous interdit de parler. Mais si nous parlons mal, nous devenons juridiquement radioactifs.

L’Union européenne détourne ici un outil administratif de politique étrangère (les sanctions ciblées) pour contraindre les discours critiques.

Sans juge. Sans procès. Sans contradiction. Sans défense.

Une décision politique, prise par le Conseil, sur la base de rapports internes, pour faire taire. Et faire un exemple.

On est dans l’arbitraire le plus total.

C’est un problème démocratique majeur.

Un problème grave car ces sanctions ne punissent aucun acte matériel, aucun crime, aucune infraction pénale. Elles punissent des discours, des analyses, des opinions.

Or, dans une démocratie, même des opinions dérangeantes ou jugées fausses doivent pouvoir être exprimées sans crainte de sanction politique !

Levitsky et Ziblatt l’ont montré avec précision dans How Democracies Die: les démocraties ne meurent pas seulement par des coups d’Etat ou des suspensions brutales des libertés. Elles meurent quand les normes démocratiques sont contournées au nom de la protection du système.

C’est exactement ce qui se joue sous nos yeux.

Si la Suisse n’assume pas la défense de ses ressortissants, lorsque ceux-ci sont sanctionnés par une autorité étrangère sans procédure judiciaire, sans droit d’être entendu, sans condamnation pénale, alors elle accepte que des décisions politiques étrangères produisent des effets graves sur ses propres citoyens. C’est accepter une ingérence étrangère.

D’après ce qui est publiquement disponible pour l’instant, il n’y a pas de prise de position de grandes ONG internationales de défense des droits humains (comme Amnesty International, Human Rights Watch, …) contre ces sanctions.

Rien de largement relayé dans les médias grand public ou sur leurs canaux officiels.

Ce silence est encore plus terrifiant que la dérive autoritaire de l’Union européenne.

Le lieutenant-colonel Daniel Davis présente l’affaire comme une contradiction flagrante avec les principes démocratiques occidentaux, s’interrogeant sur la manière dont un homme peut être ruiné et réduit au silence « dans cet Occident démocratique… où règne la liberté d’expression et tout le reste », sans avertissement, procès ni recours légal. Il souligne à plusieurs reprises l’ironie de la situation : l’UE – « qui n’est pas en guerre contre la Russie » et qui commerce toujours avec elle – a choisi de geler des avoirs et de restreindre la circulation simplement pour des opinions qui lui déplaisent, qualifiant cette action d’« antithèse même de la démocratie ».

Le colonel Jacques Baud relate les faits avec une précision chirurgicale. Il a appris la nouvelle par un article de presse ; la notification officielle n’est intervenue qu’à la publication de l’article. Depuis, « tous mes comptes bancaires sont gelés et je n’ai plus le droit de voyager au sein de l’UE ». L’accusation est celle de « propagande pour la Russie », plus précisément pour avoir prétendument propagé une théorie du complot selon laquelle l’Ukraine aurait provoqué l’invasion. Baud réfute catégoriquement cette accusation, affirmant qu’il n’a fait que citer l’avertissement d’un haut responsable ukrainien.

Il insiste sur sa démarche méthodique, digne d’un analyste du renseignement : refuser toutes les invitations des médias russes, privilégier les sources ukrainiennes et américaines et éviter soigneusement tout langage propagandiste. Pourtant, il relève le paradoxe central : « être aussi objectif que possible… est toujours perçu comme pro-russe. »

Tous deux soulignent que la sanction est politique, et non juridique. « Il n’y a pas de jugement. Il n’y a pas de tribunal », déclare Baud. « Je n’ai pas le droit de me défendre. » Les conséquences surréalistes achèvent de dresser le tableau. Il pourrait devoir demander une « dérogation humanitaire » rien que pour acheter de quoi se nourrir : « On est revenus au Moyen Âge », remarque-t-il. Un journaliste ayant vécu en Allemagne de l’Est lui a confié que sa situation était la même, « à une différence près… on prévenait les gens une semaine à l’avance. L’Union européenne est donc pire que l’Allemagne de l’Est. »

Voilà donc la gravité de ces sanctions pernicieuses qui pendent au nez de chaque citoyen qui aura la mauvaise idée de déplaire à la commission européenne.

Dans la même lignée : https://www.youtube.com/watch?v=xOFlV5lbpCQ&list=TLPQMjcxMjIwMjXaeGalFUbO5w&index=12

Et

Prenez soin de vous

Mabelle

La violence, les abus et les actes criminels

Leur véritable nature à travers les Archives Akashiques, par Stéphane Thomas Berbudeau

Bonjour, je t’espère en forme.

Je te partage ce matin un sujet que beaucoup préfèrent ignorer.

Un sujet que personne n’aime ouvrir. Pourtant, c’est l’un des plus importants qui soient, parce qu’il révèle le fonctionnement réel de cette matrice, la mécanique interne des lignes de temps, et la nature profonde de l’âme à travers l’expérience humaine.

La violence. Les abus. Les actes criminels.

Ce que l’humanité fuit, ce qu’elle enterre, ce qu’elle maquille derrière le mot « mal ».

Si tu veux vraiment comprendre le monde — et surtout te comprendre — tu dois aller voir là où tout le monde détourne le regard.

Aujourd’hui, on ouvre ce dossier interdit. Sans limite. Sans filtre. Sans tabou. Seulement la vérité, telle qu’elle apparaît depuis les Archives Akashiques du Point Zéro.

1. CE QUE LA MATRICE CACHE : LE RÔLE DE LA VIOLENCE DANS LE SCRIPT TERRESTRE

La violence n’est pas naturelle. Elle n’est pas inscrite dans l’ADN originel de l’humain. Elle n’est pas un trait animal hérité du primitif.

Elle est importée, ingénierée, programmée dans le champ mental collectif. La violence est un outil de contrôle des lignes de temps.

Elle sert à :

• densifier la réalité,

• maintenir les consciences dans les trois premiers chakras,

• isoler les humains de leur mémoire d’âme,

• créer des boucles karmiques artificielles,

• fractionner les lignes temporelles pour empêcher la réintégration de l’identité originelle.

Chaque acte violent laisse une cicatrice vibratoire. Chaque cicatrice vibratoire crée un point d’ancrage dans la matrice. Chaque point d’ancrage renforce l’oubli, et donc la domination. C’est un mécanisme mathématique. Une équation d’enfermement.

2. LA VRAIE SOURCE DES ACTES CRIMINELS : PAS L’HUMAIN, MAIS LE PROGRAMME

Dans les Archives akashiques du point zéro, une chose apparaît très clairement :

Aucun être humain n’est violent par nature. Il le devient par programmation.

Les actes criminels sont le résultat de :

a) Programmes implantés (transgénérationnels, sociétaux, mémoires de guerre)

Ce sont des champs informationnels, non personnels, qui s’installent dans un individu dès l’enfance. Il suffit d’une faille émotionnelle pour que le programme s’active.

b) Distorsions créées par les traumatismes non résolus

Les traumatismes produisent un glissement de ligne de temps.

Plus le traumatisme est fort, plus la conscience glisse vers une piste vibratoire dense. Dans ces lignes-là, les actes violents deviennent probables.

c) Influences externes non humaines

Une grande partie des actes criminels extrêmes ne sont pas “humains” : ils sont stimulés par des entités à basse fréquence qui se nourrissent des pics émotionnels. Colère. Peur. Terreur. Honte. Ce sont des carburants. (D’où l’intérêt des guerres et des informations anxiogènes)

d) Fragmentation psychique

Les personnalités éclatées, les dissociations, les refoulements créent des « zones hors-contrôle ».

Dans ces zones, le programme opère sans supervision de la conscience supérieure.

L’âme n’est JAMAIS l’auteur des actes violents.

C’est toujours la matrice qui en tire les ficelles.

3. LES ABUS : CE QUE PERSONNE N’OSERA JAMAIS DIRE

Les abus — psychiques, émotionnels, sexuels, physiques — ne sont jamais des “épreuves destinées par l’âme”.

Ce dogme spirituel est faux, dangereux et manipulatoire.

Les abus proviennent :

• d’êtres fragmentés agissant sous influence,

• de lignées familiales chargées de programmes de domination,

• de lignes temporelles corrompues,

• de charges karmiques qui ne viennent PAS de la personne, mais d’un collectif,

• d’implants émotionnels créés pour maintenir l’espèce humaine dans la fracture interne.

L’âme n’a pas “choisi” l’abus. Jamais. Ce qu’elle choisit, c’est ce qu’elle va en faire après. La nuance change tout.

4. LA VIOLENCE FONCTIONNE COMME UN PORTAIL DENSIFICATEUR

Chaque acte violent referme quelque chose dans le champ de la victime :

• la vision de soi,

• la capacité à se sentir en sécurité,

• la connexion aux guides,

• la perception de la valeur,

• la mémoire émotionnelle du cœur.

Mais dans les registres akashiques, un autre aspect apparaît :

L’acte violent crée un « nœud de lumière » potentiel.

Tu peux le voir comme un portail de remontée.

Une faille dans la matrice qui, lorsqu’elle est traversée, renvoie directement à la fréquence d’avant l’incarnation.

Les personnes qui traversent la violence avec lucidité deviennent des êtres d’une puissance inégalée.

C’est pour ça que les âmes hautes fréquences sont souvent ciblées.

Elles peuvent renverser le programme.

5. LES AGRESSEURS : DES ÊTRES DÉVITALISÉS, VIDÉS DE LEUR ESSENCE ORIGINELLE

Dans la vision akashique, un individu qui commet un acte violent grave n’est pas “une mauvaise personne”. Il est déconnecté.

Coupé de :

• son âme,

• son centre cœur,

• son identité originelle,

• sa cohérence.

Les Archives les décrivent comme :

• “coques fracturées”,

• “avatars en court-circuit”,

• “identités en prise externe”.

Souvent, ce n’est même pas eux qui agissent.

C’est le programme.

6. LE CHOC : LA VICTIME N’EST JAMAIS “INFÉRIEURE”

La victime n’est pas une âme moins évoluée. Elle n’est pas faible. Elle n’est pas naïve.

La victime est une âme puissante qui se retrouve dans une ligne temporelle chargée, et qui possède le potentiel de la transcender.

Ce que l’agresseur fait, il le fait depuis la fracture.

Ce que la victime peut faire ensuite, elle le fait depuis la conscience.

La trajectoire de la victime est une ascension.

Celle de l’agresseur est une implosion.

7. LA PLUS GRANDE RÉVÉLATION : LA VIOLENCE PRÉPARE LE DÉDOSSIERAGE DE L’ÂME

Dans les Archives, un motif apparaît encore et encore :

Chaque acte violent vécu par une âme incarnée devient, lorsqu’il est traversé, un dispositif de déprogrammation de la matrice.

Parce que :

• tu comprends la densité,

• tu vois la manipulation,

• tu sens la distorsion,

• tu reconnais le faux,

• tu veux sortir du système.

La violence pousse à l’éveil, parce qu’elle montre ce qu’est la matrice sans masque. Le mensonge tombe. L’illusion s’effrite. Le voile est arraché.

Rien ne révèle plus la nature de ce monde qu’un acte violent.

8. LA SORTIE : CE QUE L’ÂME FAIT AVEC L’ÉPREUVE

Là est la vraie liberté. La violence n’a jamais le dernier mot.

Ce qui compte, c’est :

• l’intégration,

• la réparation,

• le repositionnement,

• la récupération de soi,

• la reconquête de la ligne de temps d’origine,

• la restitution de la mémoire akashique.

Voici la vérité :

Une âme qui a vécu la violence et qui en est ressortie consciente ne revient plus jamais en arrière.

Elle sort de la boucle karmique. Elle sort de la prédation vibratoire. Elle sort de la programmation mentale. Elle redevient incorruptible.

9. LE POINT ZÉRO : L’ENDROIT OÙ LA VIOLENCE SE TRANSFORME EN PUISSANCE

Lorsque tu arrives là, à ce point précis, tout bascule :

• le traumatisme devient clair,

• la charge émotionnelle se dissous,

• l’événement cesse d’être un gouffre,

• il devient un point d’appui.

La matrice ne peut plus l’utiliser contre toi.

À partir de ce moment…

Tu redeviens maître de ta ligne de temps. Et la violence perd son pouvoir.

10. CONCLUSION : CE QUE L’ON TE CACHE DEPUIS TOUJOURS

La violence n’est pas un aléa. Ni une fatalité. Ni une malédiction. Ni un “choix” d’âme pré-incarné. La violence est une structure matricielle, un outil de densification, un levier de contrôle, un test d’intégrité,

et, lorsqu’elle est transcendée… un accélérateur d’éveil.

Si tu as traversé la violence, tu n’es pas brisé. Tu es en train de sortir du programme.

« POURQUOI ? »

La question sacrée de toutes les victimes

Il existe, au cœur de chaque survivant, une question qui brûle, qui tourmente, qui obsède, qui ronge : « Pourquoi ? » Pourquoi moi ? Pourquoi cette personne ? Pourquoi à cet âge-là ? Pourquoi ce niveau de violence ? Pourquoi cette injustice ? Pourquoi le silence autour ? Pourquoi personne ne m’a protégé ? Pourquoi personne ne m’a vu ?

Ce « pourquoi » n’est pas une demande intellectuelle. C’est un appel à l’existence.

C’est la trace vibratoire d’un être qui cherche encore à comprendre comment un monde censé être vivant peut engendrer des fractures de cette magnitude.

Aujourd’hui, ce post répond à ce « pourquoi ». Sans détour. Sans spiritualisation. Sans mensonge. Sans minimisation. Uniquement la vérité, telle qu’elle apparaît dans les Archives Akashiques du Point Zéro.

1. LE « POURQUOI » VISIBLE — LA VERSION QUE LA MATRICE VOUS A SERVI

La société, la psychologie ordinaire, et même la spiritualité naïve donnent des fausses réponses :

• « Tu l’as attiré. »

• « C’est ton karma. »

• « C’était pour te renforcer. »

• « C’était ton destin. »

• « L’univers ne donne que ce qu’on peut supporter. »

Ces phrases sont fausses. Et plus que fausses : elles sont destructrices. Elles culpabilisent les victimes, protègent le système, et enlèvent la responsabilité vibratoire à l’agresseur. Ces réponses-là n’expliquent rien. Elles anesthésient.

On enlève ces couches-là. On va à la source.

2. LE « POURQUOI » MATRICIEL — CE QUE LA MATRICE FAIT AVEC LA VIOLENCE

Dans les registres akashiques, la violence apparaît comme un outil technique, un instrument d’architecture des lignes temporelles.

Elle sert à :

• densifier la conscience,

• fragmenter l’identité,

• couper la mémoire d’incarnation,

• dévier la trajectoire de l’âme,

• créer des failles par où se glissent les influences externes,

• affaiblir les liens familiaux,

• briser les lignées lumineuses,

• instaurer un climat émotionnel propice au contrôle.

Elle n’est jamais juste. Elle n’est jamais nécessaire. Elle n’est jamais un choix d’âme détaillé.

Elle est une structure du jeu, pas une décision personnelle.

Cela change tout : Ce n’est pas toi. Ce n’est pas ta faute. Ce n’est pas karmique. Ce n’est pas un contrat que tu aurais signé. C’est une ingénierie extérieure.

3. LE « POURQUOI » DE L’ÂME — CE QUE TU ÉTAIS AVANT L’ÉPREUVE

Les âmes qui vivent des violences ne sont jamais des âmes faibles. Jamais.

Ce sont les âmes :

• qui portent un rayonnement inné,

• qui possèdent une mémoire d’avant l’incarnation déjà très active,

• qui lisent les mensonges,

• qui ne se soumettent pas facilement,

• qui reconnaissent la manipulation,

• qui ont le pouvoir d’éveiller les autres,

• qui sortent naturellement des schémas.

La matrice ne gaspille jamais ses ressources. Elle frappe là où ça peut faire basculer un destin.

Une âme puissante représente un danger pour le système. Alors on tente de la fragmenter tôt, avant qu’elle ne se souvienne de ce qu’elle est venue faire. Voilà pourquoi les violences arrivent souvent dans l’enfance ou à un moment charnière.

Pas parce que tu émettais une mauvaise vibration. Mais parce que ta vibration était trop haute pour passer inaperçue.

4. LE « POURQUOI » CACHÉ — L’ACCÉLÉRATION DE LA CONSCIENCE

C’est le point que personne n’ose aborder, et pourtant c’est celui qui change tout.

La violence, dans sa brutalité, fait une chose que rien d’autre ne peut faire aussi vite :

elle expose la matrice sans filtre.

Quand tu vois la violence, tu vois :

• la manipulation,

• l’injustice systémique,

• la prédation émotionnelle,

• le dysfonctionnement profond de ce monde,

• la faillite morale ou structurelle de l’environnement,

• le comportement incohérent des humains autour.

En un instant, tu réalises : Ce monde n’est pas comme on me l’a décrit. Il y a quelque chose qui cloche.

Cette lucidité, ce décalage intérieur, cet éveil précoce sont exactement ce qui permet d’ouvrir les yeux sur :

• la nature du réel,

• les lignes de temps,

• la conscience,

• la mémoire,

• la souveraineté,

• le fonctionnement de la matrice,

• la vérité de ton identité originelle.

C’est ce que la matrice voulait éviter. Mais elle échoue presque toujours, car la conscience finit par passer à travers.

5. LE « POURQUOI » RÉEL — CE QUE TU DEVIENS APRÈS

La réponse finale n’est pas dans l’événement. Elle est dans ce que l’événement fait émerger.

La question n’est pas : « Pourquoi cela m’est arrivé ? »

La question est : « Qui suis-je devenu que je n’aurais jamais pu devenir autrement ? »

Et là, la réponse apparaît clairement. Les survivants deviennent :

• des êtres hypersensibles mais lucides,

• capables de ressentir la vérité,

• immunisés contre la manipulation,

• incroyablement solides intérieurement,

• désintéressés du pouvoir,

• protecteurs naturels des autres,

• navigateurs des lignes de temps,

• porteurs d’une compassion que rien ne peut créer autrement,

• éveillés avant l’heure.

Ce sont eux qui portent les grandes guérisons.

Ce sont eux qui comprennent ce monde.

Ce sont eux qui cassent les transmissions transgénérationnelles.

Ce sont eux qui déjouent les pièges invisibles.

Ce sont eux qui deviennent des phares.

La violence n’a jamais eu le dernier mot.

La victime non plus.

Mais la conscience, oui.

6. CE QUE PERSONNE NE DIRA :

LES ÂMES BLESSÉES SONT LES PLUS DANGEREUSES POUR LA MATRICE

Parce que :

• elles voient tout,

• elles sentent tout,

• elles ne croient plus aux illusions,

• elles ne se laissent plus enfermer,

• elles ne se soumettent plus,

• elles ne se renient plus,

• elles ne consentent plus,

• elles deviennent ingouvernables.

C’est le pire cauchemar du système.

Et c’est exactement ce que tu deviens quand tu cherches la vérité après avoir vécu l’inacceptable.

CONCLUSION :

Le « pourquoi » n’excuse rien. Le « pourquoi » n’efface rien. Mais le « pourquoi » libère.

Le jour où tu comprends réellement ce post, tu sens que quelque chose se remet en place en toi.

Tu sens qu’il y a un après. Tu sens que tu reprends ton propre axe.

Et tu réalises enfin : Je n’ai jamais été faible. J’ai été ciblé. Parce que je suis puissant. Et je suis encore là.

C’est ça, la vraie réponse.

Prends soin de toi – Mabelle

L’instillation de la peur

Encore et toujours

Mais on peut continuer comme ça éternellement

Trump va nous ruiner

Poutine va nous tuer

La dermatose va nous exterminer

Les extra terrestres vont débarquer

Un météorite va exploser la terre et tous nous tuer

Et il n’y a pas eu qu’une seule campagne par an en plus !

Et, si finalement on meurt, c’est plutôt parce qu’ils nous auront assassinés

S’abandonner en confiance

Se laisser porter sans s’oublier

Partage du texte d’une amie quelque peu adapté à ma situation

Il y a des moments où avancer ne veut plus dire tenir plus fort.

Des moments où comprendre ne passe plus par l’effort, où le corps, le cœur et l’âme demandent simplement : pause… respire… tout va bien aller, fais confiance.

Dans ma vie de maman solo un peu trop maman poule et d’aidante auprès de ma grand-mère, en plus du cumul de deux mi temps, j’ai appris que je ne pouvais pas tout porter seule.

J’ai compris que la justesse naît quand je cesse de forcer.

C’est là que commence l’abandon confiant.

S’abandonner, ce n’est pas renoncer, ce n’est pas laisser tomber.

C’est arrêter de lutter contre ce qui est déjà là.

C’est accepter que la vie, parfois, sait mieux que moi quand ralentir, quand ouvrir, quand laisser faire.

Quand je relâche le contrôle, quand j’accepte de ne pas tout maîtriser — ni les jours difficiles, ni les silences, ni les détours — je sens que quelque chose me soutient.

Un courant doux mais puissant.

Celui qui ne pousse pas… mais qui porte.

L’abandon confiant vit en moi quand j’écoute mon ressenti plutôt que mes peurs même si c’est loin d’être simple.

Quand je fais confiance aux signes, même discrets et souvent bien cachés.

Quand je choisis la fluidité plutôt que l’épuisement.

Il me rappelle que je ne suis pas seule à marcher ce chemin.

Que la vie ne me demande pas d’être parfaite,

juste présente, sincère, honnête, alignée.

Se laisser porter, ce n’est pas perdre sa direction et s’égarer.

C’est s’accorder à un mouvement plus vaste que moi qui sait bien mieux que moi.

C’est comprendre que les pauses sont aussi des élans, que les détours ont du sens, et que chaque vague — même la plus inconfortable — me guide exactement là où mon âme a besoin d’aller.

Cet abandon est un rappel.

Un rappel que la confiance est une force.

Que lâcher prise, parfois, est l’acte le plus courageux.

Et que la vie, quand je lui ouvre le cœur,

ne m’abandonne jamais.

✨ **Mantra** : *Je m’abandonne avec confiance, même au cœur de mes responsabilités, et la vie me porte avec justesse.* ✨

Prenez soin de vous

Mabelle

Le point du bonheur

Sa stimulation peut vous faire beaucoup de bien.

Bonjour, je vous espère en forme.

Il existe un point énergétique sur le haut de la poitrine dont vous avez peut-être déjà entendu parler, le thymus. Mais, saviez vous que l’on pourrait appeler le « point du bonheur » ?

Il est facile à trouver, il suffit de mettre deux doigts sous le trou qui se trouve à la base du cou, juste au-dessus du sternum, c’est l’emplacement approximatif du thymus

Le thymus est appelé « point du bonheur » car il neutralise les énergies négatives et renforce le système immunitaire et la santé en général

La glande (thymus) stocke l’énergie dans votre corps.
A l’inverse, lorsque vous êtes stressé, cela entraîne une diminution de l’énergie vitale….
Ainsi, lorsque votre corps souffre d’un déséquilibre énergétique, il peut y remédier en servant de pont entre le cerveau et le corps….
Tapoter légèrement, caresser et masser ce point sont des méthodes très efficaces pour augmenter les vibrations énergétiques….
Vous pouvez également stimuler le thymus avec votre poing (en effectuant de légers mouvements, sans toucher la poitrine) ou en le frappant avec la paume de la main (oui, comme Tarzan)
Quelle que soit la méthode choisie, faites-le pendant 20 à 30 secondes et respirez profondément
Bien entendu, vous pouvez accompagner cette stimulation de paroles positives
Vous saurez que ce « point bonheur » est activé lorsque vous sentirez un frisson parcourir votre corps, accompagné d’un sentiment de joie et de bonheur
Cela peut prendre un certain temps
Si vous vous entraînez quotidiennement, vous sentirez l’efficacité de cette stimulation.

Prenez soin de vous – Mabelle