Bonjour, j’espère que vous allez merveilleusement bien.
Je vous partage ce matin une histoire qui m’émeut.
« J’habite dans une rue tranquille de l’Ohio. La même maison depuis quarante-deux ans. Je m’appelle Lucia. J’ai soixante-trois ans. Chaque matin, je m’assois sur mon porche avec ma tasse de thé. Je regarde le monde passer. Une chose simple. Mais cela me tient compagnie.
Pendant dix ans, M. Evans a vécu à côté. C’était un homme discret. Toujours vêtu d’une chemise propre. Chaque jour, sans exception, il arrosait son petit carré de fleurs. Des roses, surtout. D’un rouge éclatant. Il restait là, le tuyau d’arrosage à la main, se mouvant lentement. Mais jamais il ne saluait. Pas une fois. Pas un bonjour. Il arrosait, puis rentrait chez lui. Mon mari, John, plaisantait : « Lucia, cet homme-là a plus de secrets que ma boîte à outils. »
Depuis ce jour, j’ai commencé à l’observer davantage. Surtout après sa retraite de la poste. Il paraissait… plus petit. Comme si le monde s’était rétréci autour de lui.
Un mardi, je l’ai vu en difficulté. Il essayait de soulever un lourd arrosoir. Ses mains tremblaient. L’objet lui échappa. L’eau se répandit partout. Il resta planté là, à fixer l’herbe mouillée. Sans ramasser. Sans bouger. Il avait l’air si fatigué. Si seul. Mon cœur s’est serré. J’ai failli ne pas frapper à sa porte. Et s’il me trouvait indiscrète ? Et s’il me disait de partir ? Mais j’ai entendu la voix de John dans ma tête :
« Lucia, la bonté n’a rien à voir avec le courage. C’est voir que quelqu’un a besoin d’un coup de main, et tendre le tien. »
J’ai frappé. Ma main tremblait un peu. Il a ouvert. Semblait surpris. De près, il paraissait plus âgé. Le regard un peu perdu.
« Monsieur Evans, » dis-je, la voix vacillante. « Je vous ai vu laisser tomber l’arrosoir. Moi aussi, l’arthrite me joue des tours. Puis-je… puis-je vous aider à arroser vos roses ? Elles ont l’air d’avoir soif. »
Il n’a pas dit oui. Il n’a pas dit non. Il s’est juste écarté, en silence. J’ai pris cela pour une permission. J’ai rempli l’arrosoir. Mon dos me faisait mal, mais j’ai arrosé. Il se tenait là, à regarder. Sans parler. Mais sans me chasser non plus.
Je suis revenue le lendemain. Puis le jour d’après. Je me contentais d’arroser les roses. Parfois, j’apportais une tasse de thé en plus. Je m’asseyais sur sa petite marche. Sans forcer la conversation. Juste là. Les semaines ont passé. Un matin, alors que je lui tendais le thé, sa main a effleuré la mienne. Elle était froide. Il m’a regardée. Vraiment regardée, pour la première fois.
« Ma femme, » murmura-t-il, si bas que j’ai failli ne pas l’entendre. « Elle aimait ces roses. Elle est morte au printemps dernier. Je… je ne sais pas pourquoi je continue de les arroser. » Sa voix s’est brisée. Une larme solitaire a roulé sur sa joue. Il l’a essuyée rapidement, honteux.
« Oh, Monsieur Evans, » répondis-je doucement. « Elle voudrait que vous continuiez. Parce qu’elles sont belles. Comme son souvenir. »
Après cela, il ne parla pas beaucoup plus. Mais il commença à saluer. Un petit signe de tête depuis son porche. Puis un discret « Bonjour, Lucia. » Un jour, il me demanda des nouvelles de John. Je lui ai raconté. Nous nous sommes assis au soleil, partageant des histoires sur ceux que nous avions aimés et perdus. Ce n’était pas grand-chose. Juste deux vieux voisins, se souvenant.
Puis, quelque chose a changé. Mme Gable, du bout de la rue, a commencé à apporter à M. Evans une part de tarte chaque vendredi. Le jeune Tommy, du numéro 42, a pris l’habitude de tondre sa pelouse sans qu’on le lui demande. Je n’avais rien prévu. Je n’avais rien demandé. Les gens l’ont simplement… remarqué. Comme moi.
La semaine dernière, M. Evans m’a tendu une seule rose rouge, parfaite. Ses mains ne tremblaient plus. « Pour John, » dit-il. « Et pour vous, Lucia. Merci de m’avoir vu. »
J’ai pleuré un peu. Là, sur le porche. »
Les gens pensent que la vraie bonté demande de grands gestes. Des parades. Des projets impressionnants. Mais parfois ? C’est juste être présent. Arroser les roses d’un voisin qui avait oublié comment saluer. Voir la douleur silencieuse derrière une porte fermée. Cela ne coûte rien. Juste un instant de votre temps. Et le courage de frapper.
Nous sommes tous sujets à la solitude. Nous avons tous besoin d’être vus par quelqu’un. Peut-être que la chose la plus puissante que nous puissions faire, c’est simplement nous remarquer les uns les autres. Pas réparer le monde. Juste arroser les roses. Une main tremblante après l’autre. C’est ainsi que la solitude meurt. Pas dans un cri, mais dans un simple « Bonjour. Je suis là. »
Allez arroser les roses de quelqu’un aujourd’hui. Vous ne savez pas quel monde vous pourriez ramener à la vie.
Nous vivons dans une période où tout est remis en question sous des allures de bonne conscience..
Ce texte n’est pas de moi mais résume ce que je pense
«Vous vous souvenez de cette friandise qu’on appelait « la Tête-de-n… e »… Eh bien, devinez quoi ? Maintenant, ils l’appellent la « Meringue chocolat » ou même « tête de choco ». Étonnant, non ?
Mais ce n’est pas tout. Vous savez, je me suis demandé si c’était vraiment approprié de déguster une « religieuse », un « Congolais », un « Jésuite », un « Diplomate » ou même un « Financier ». Des noms de pâtisseries qui pourraient sembler étranges dans un autre contexte.
Et que dire de la fameuse Forêt Noire ? Il semblerait qu’elle doive bientôt être rebaptisée « forêt sombre » ! C’est incroyable de voir comment les choses évoluent, n’est-ce pas ?
Je me demande ce qui nous attend à l’avenir.
J’imagine que la S.P.A finira par nous interdire de savourer des « langues de chats ». Et les défenseurs de la lutte contre le tabac, eux, s’attaqueront aux « Cigarettes russes ». On ne sait jamais ce qui pourrait arriver !
Et que dire de ces délicieux beignets appelés « Pets de nonne » ? J’ai du mal à croire que certains noms de pâtisseries ont pu survivre jusqu’à présent sans être modifiés.
Finalement, je me demande où s’arrêtera la bêtise humaine… Les gens savent-ils seulement que pour faire une tête de n… e, il faut battre les blancs au fouet ? C’est ironique, n’est-ce pas ?
En fin de compte, il y a une chose qui reste immuable : les têtes de cons… On peut toujours compter sur elles pour être là. »
En espérant que ça vous a donné le sourire pour bien démarrer cette journée que je vous souhaite très agréable.
Et si on ramassait une bande de rats, et qu’on les plaçait dans un endroit paradisiaque, où ils ont tout ce dont ils ont besoin de nourriture, boisson et abri, sans ennemis naturels et sans stress psychologique ou physique ?
Le biologiste américain John Calhion a eu cette idée, qui en 1970 il a commencé à mettre en œuvre sa célèbre expérience. Créer un environnement spacieux, spécialement équipé, contenant de la nourriture, de l’eau, du four et des espaces de vie, puis placer quatre paires de souris (deux mâles et deux femelles) afin de commencer leur vie dans une atmosphère de confort complet.
Au début, les rats se multipliaient à une vitesse étonnante, et le nombre augmentait continuellement. Mais après presque 315 jours, le taux de reproduction a commencé à baisser considérablement. Quand le nombre atteignait environ 600 souris, de nouveaux traits sociaux sont apparus parmi eux : une séquence pyramide apparente, l’isolement de certains individus et une catégorie appelée « misérable » est apparue.
Les plus gros rats ont commencé à attaquer plus faibles qu’eux, entraînant l’effondrement psychologique mâle, tandis que certaines femelles abandonnaient leur rôle dans la prise en charge de leurs petits, et ont même commencé à attaquer d’autres femelles sans raison. Avec le temps, le taux de mortalité des nourrissons est passé à 100 % et le taux de reproduction est tombé à zéro. Des comportements étranges comme l’homosexualité, la barbarie et le fait de se manger mutuellement malgré l’abondance de nourriture ont également émergé.
Deux ans après l’expérience, la dernière souris est née, et en 1973 toutes les souris sont mortes dans l’expérience connue sous le nom de « Univers 25 – Univers 25 ». C’est assez étrange, c’est que l’expérience a été répétée 25 fois, et le résultat était le même à chaque fois : un effondrement complet et une extinction de la société.
Calhione voulait démontrer que les sociétés – qu’elles soient des rats ou des êtres humains – si on leur donnait tout le confort sans effort et sans défi, elles se dirigeraient inévitablement vers l’effondrement interne.
Excepté quelques uns, il y a peu de monde sur cette planète qui a tout le confort sans le moindre effort. Serait-ce utopique de les voir s’effondrer sur eux-mêmes ?
Il était une fois une tortue qui avait beaucoup souffert, trop souffert…
Un jour, sur un coup de colère, elle décida que
c’en était trop !
Pour se protéger, elle se construisit une très jolie carapace. Elle y mis son cœur bien à l’abri.
Les années passant, la tortue devint perplexe et se dit :
« Je ne souffre plus avec ma carapace mais je me sens coupée du monde et je souffre quand même à l’intérieur. »
Un joli papillon vint virevolter autour d’elle…
Elle se dit : « Moi aussi j’aimerait être libre et légère comme ce papillon.
Le papillon se posa délicatement sur elle et lui dit : « Avec ta carapace tu t’es coupée de tes émotions difficiles mais aussi de tes belles émotions, c’est ça à présent qui te fait souffrir. »
« Oui, dit la tortue. Je crois bien que j’ai été prise à mon propre piège.
Mais comment faire ?
Je veux être heureuse mais je ne veux plus souffrir car ça fait vraiment trop mal ! »
Le papillon dit : « Je te comprends mais les émotions que tu ressens font de toi un être vivant.
Quand tu seras prête à prendre le risque de vivre, tu oteras ta carapace.
Je ne peux pas te dire que tu ne souffriras plus mais je peux te promettre que tu vas vibrer et que tu vas pouvoir devenir qui tu veux être. »
Un homme et son chien marchaient le long d’une route.
L’homme admirait le paysage quand tout à coup, il réalisa qu’il était mort.
Il se rappela sa mort et réalisa que son chien aussi était mort depuis des années, et qu’ils s’étaient rejoints naturellement.
Il se demandait où le chemin l’amènerait.
Après un moment, ils approchèrent d’une grosse roche blanche.
Rendu au sommet, il vit qu’elle était fendue et qu’une lumière en jaillissait.
Quand il s’approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée.
L’homme et son chien marchèrent jusqu’à la porte.
Au fur et à mesure qu’ils approchaient, l’homme vit un autre homme assis à une table.
Quand il fut assez proche, il demanda à l’homme :
– « Où sommes-nous ? »
– « Vous êtes au paradis, Monsieur »
– « Est-ce que vous auriez de l’eau ? »
– « Bien sûr ! Entrez, je vais vous faire venir de l’eau froide dans un instant. »
L’homme fit quelques gestes et la porte ouvrit.
– « Est-ce que mon chien peut entrer ? » demanda-t-il en pointant le chien.
– « Désolé, monsieur, mais nous n’acceptons pas les animaux. »
L’homme réfléchit et décida de reprendre le chemin.
Après une longue marche, au sommet d’une colline, il croisa une route de terre qui le mena à une porte de grange qui avait l’air de n’avoir jamais été fermée.
Il n’y avait pas de clôture. Alors qu’il s’approchait, il vit un homme appuyé sur un arbre qui lisait un livre.
– « Excusez-moi, Monsieur, est-ce que vous avez de l’eau ?
– « Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin. »
Il pointa plus loin, mais on ne voyait rien.
– « Venez à l’intérieur, je vous la montre »
– « Est-ce que mon ami peut venir ?
– « Assurément, il doit y avoir un bol près de la pompe »
Ils traversèrent la porte et virent une vieille pompe avec un bol à ses côtés. L’homme rempli le bol, bu une gorgée et donna le reste au chien. Quand ils eurent fini, ils retournèrent voir l’homme qui était toujours près de l’arbre.
– « Comment appelez-vous cet endroit ? »
– « C’est le paradis »
– « C’est bizarre. L’homme que nous avons rencontré un peu plus tôt a dit la même chose’.
– « Ah ! Vous parlez du chemin en or et de la porte en perle ? Non, ça, c’est l’enfer. »
– « Mais ça ne vous fâche pas qu’ils utilisent votre nom comme ça ? »
– « Non, mais je comprends que vous me posiez la question. Nous sommes seulement contents qu’ils attirent les gens qui laissent leurs amis derrière. »
Je vous partage ce matin et beau et long (faites l’effort) texte de Sandrine Rouillon : Le Guerrier Spirituel – Cet homme que vous recherchez!
“Durant ma vie j’ai rencontré beaucoup de femmes, toutes différentes les unes des autres, et seule une m’a vraiment marqué.
J’ai compris beaucoup de choses sur vous, sur l’essence divine de la féminité. Inspiré de la version anglaise j’ai voulu partager ma vision sur le sujet …
Je m’adresserai donc à toi, la femme divine, et surtout à toi que j’aime tant aujourd’hui, même si tu n’es plus dans ma vie, merci d’avoir fait ce bout de chemin avec moi….
En lisant ce texte, en l’écrivant, je sais que cela va te parler, et aujourd’hui je comprends pourquoi tes relations passées ont échoué – tu n’as pas besoin d’un homme, mais de quelqu’un qui a un courage remarquable. Tu as besoin de ce guerrier spirituel, de ce guerrier pacifique.
« Ma bien aimée, tu es l’enfant émotionnel qui sommeil en toi, le silence dans les yeux, l’odeur de la rosée le matin, tu es le chant des prêtresses grecques.
C’est ce que tu es, et tu ne peux prétendre le contraire. »
La fille des astres, le jardin sauvage, ton cœur parle, ton visage est comme un livre ouvert, et peu importe combien tu tentes de le cacher, tu ne peux être autre chose que ce que tu es – et c’est beau. Tu es simplement la personne que tu es censée être, le ciel et la terre honorent profondément l’ensemble de ta beauté troublante.
Je sais que beaucoup d’entre vous ont eu le cœur brisé et si vous cherchez véritablement à comprendre la raison, voici un aperçu qui pourrait vous éclairer :
Ce dont vous avez besoin, ce n’est pas d’un homme, mais d’un véritable guerrier.
Un guerrier spirituel !
Peu importe que ce guerrier soit riche ou pauvre, qu’il conduise une voiture de sport ou une petite citadine, qu’il ait des vêtements de soie et de coton, ou qu’il soit banquier, docteur ou simple ouvrier.
Ce qui importe vraiment c’est de pouvoir miser sur son cœur, et bien évidement, il y a de grands enjeux sur ce chemin.
Car il va vous confronter à plus d’une peur et vous challenger. Il va vous demander de faire preuve de force et d’intensité. En vous regardant, il ne verra pas quelque chose à apprivoiser, mais un être à admirer. Votre guerrier ne sera pas quelqu’un que vous pouvez manipuler ou avec lequel jouer, comme vous auriez pu le faire avec certains dans le passé, donc, mieux vaut essayer d’éviter cette habitude, et croyez-moi ou pas, vous l’aimerez encore plus pour cette raison.
Et c’est parce que vous n’êtes pas qu’une femme, mais également une déesse, que vous êtes l’essence même de la vie, de la créativité de la féminité.
Que votre ardeur le mettra à genoux, chaque fois qu’il regardera dans vos yeux magnifiques, mais la différence est que, contrairement aux autres, cela ne l’effrayera pas.
Non, cette fois, vous aurez là enfin rencontré l’amour de votre vie – car un homme simple n’est tout simplement pas fait pour vous. Retenez cette phrase, UN HOMME SIMPLE N’EST TOUT SIMPLEMENT PAS FAIT POUR VOUS !
O toi femme divine qui reconnait son pouvoir intérieur, en tant que femme puissante, tu as besoin de quelqu’un qui puisse correspondre au feu ardent de tes yeux.
Et ce guerrier aura aussi tendance à encourager ton feu intérieur au lieu de tenter désespérément de l’éteindre avec ses propres insécurités.
Il sera toujours présent dans les hauts comme dans les bas, et quand tu seras dans les bas, il redoublera d’efforts pour te montrer le chemin de la lumière.
Alors je t’en prie ne le juge pas, ne force pas avec ton ego, et cesse de toujours vouloir avoir raison…. Avec ton guerrier spirituel tu comprendras que ta relation est bien plus importante que ton amour propre, et si un jour, ton guerrier se trompe, tout comme il le fera avec toi, apprend à considérer le point de vue de son coté et laisse le gagner….
Votre guerrier spirituel n’est pas votre papa, il n’est pas la pour vous porter, mais bien là pour vous challenger et vous rendre votre responsabilité. Il marchera fièrement à vos cotés car sans vous il n’est rien.
Pour vous, un guerrier est la seule personne à pouvoir vivre dans la nature avec vous.
Bien évidement, il n’est pas nécessaire qu’il tue des dragons pour gagner votre amour, mais il sera prêt à marcher dans le feu pour voir ce sourire incroyable que vous gardez en réserve pour lui seul.
Car il est ce dragon.
Sachez, que ce guerrier que vous cherchez … vous cherche aussi.
Car lui aussi, a eu des relations difficiles, des relations qui se sont soldées par un échec, que lui aussi a pleuré pendant des heures et des heures, ou des jours entiers, en lui procurant le sentiment qu’il était peut-être censé être seul pendant le restant de ces jours – sachez que vous aussi, vous allez être tout un changement pour lui. Vous avez tous deux fait un très long voyage sur vos chemins respectifs et vous vous en êtes assez bien sortis, car vous aussi vous avez fait un travail sur votre personne.
Parce que, lorsque vous et votre guerrier vous rencontrez et entrez en collision – ça donne lieu à deux êtres enflammés.
Deux êtres de lumière puissants, des êtres divins.
Mais cette fois-ci – n’essayez pas d’avoir recours à l’ancien rythme, parce que votre cœur a été brisé auparavant, et que vous n’êtes pas habituée à ce que les choses coulent de source, cela pourrait sembler étrange, que cette fois soit si différente.
Prenez le temps de le découvrir. Je vous en prie, ne fuyez pas cet amour sincère dont il peut faire preuve à votre égard !
Cessez de fuir par peur d’être aimée d’un amour profond, cessez de fuir face à ce sentiment inconnu qui vous envahit.
“Une vie sans amour, c’est un peu comme un bateau sans voile” – Benjamin Torre.
Ce guerrier qui est vôtre a besoin de voir qu’il est possible qu’une personne puisse voir tout son état sauvage, et pouvoir rester à ses côtés quand il aspire à sa liberté et à de nouvelles aventures.
Il ne vous sera pas toujours nécessaire de le suivre, et inversement. Permettez-vous de rester sauvage, même lorsque vous ne désirez rien de plus que de vous blottir à ses côtés et oublier que le reste du monde existe.
Permettez-vous au moins une fois de déambuler déshabillée sous la pleine lune, et de lui faire l’amour dans une intimité que jamais vous n’auriez osée.
Laissez-vous transporter par la traction du vent caressant votre cœur, et par la douceur du soleil provenant d’un nouveau voyage.
Parce que ce guerrier va vous aimer pour votre côté sauvage – et il voudra que vous le gardiez.
Votre sexualité sera donc décuplée, car avec lui vous formerez cette connexion divine, l’orgasme vous reprochera de la source et vous transportera dans bien des mondes parallèles…. fini la pornographie, faites place au tantra, laissez sortir cette énergie sacrée.
Vous ferez face aux situations ensemble, à cette incroyable, folle, vie chaotique, et merveilleusement déchirante. – Car il faut un guerrier pour aimer une déesse.
Et il faut une déesse pour montrer à un guerrier ce qu’est l’amour réel.
Grâce à votre amour votre guerrier sera fier et porté par un élan de réussite, car derrière chaque grand homme, il s’est trouvé une femme !
Alors mettez de côté vos insécurités, vos peurs et vos pensées qui empêchent les idées nouvelles, car cela n’a jamais fait partie de vous de toute façon.
Artiste Fabienne Sabine Lermusieux
Vous êtes née en sachant que vous étiez destinée à de grandes choses, et voici venu maintenant le moment pour vous de voir à quoi ressemblent tous ces rêves.
Vous êtes arrivées à un tournant de votre vie, vous êtes née pour ajouter de la valeur à ce monde, de part votre amour, et vos actions, et souvent, comme a dit un jour Nelson Mandela,
Nous nous posons la question :
“ Qui suis-je, moi, pour être brillant, talentueux et merveilleux ? ”
En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ?
Vous êtes né de la lumière.
Vous restreindre et vivre petit ne rend pas service au monde.
L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d’insécuriser les autres.
Nous sommes nés pour rendre manifeste la puissance divine qui est en nous. Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus : elle est en chacun de nous, et tandis que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres…
Il n’y a aucun intérêt à mettre un terme à un amour comme ça, donc essayez de vous dépasser, et attendez encore un peu.
Ayez de l’espoir, et donnez toujours une chance à l’amour, parce que je vous promets, que l’amour que vous cherchez vous cherche aussi.
Ne vous contentez pas de n’importe quel genre de relation amoureuse, vous méritez ce qu’il y a de mieux pour vous, vous méritez un homme qui vous aime pour qui vous êtes vraiment, qui sache reconnaitre votre pouvoir divin !
Nous avons besoin de vous, vous êtes l’avenir de l’humanité.
Alors criez le haut et fort, réclamez cet amour qui vous est dû.
A tous les hommes qui ont lu ce message, j’aimerais vous dire, encouragez la, à être aussi libre que le vent, aussi profonde que les océans, aussi sauvage que les montagnes, et aussi puissante que la nature…
Soyez si profond dans votre amour à son égard, si fort et stable par votre présence, qu’elle ne pourra que laisser aller et s’abandonner dans la vie et dans vos bras. Laissez les émotions de son cœur bercer le flow de l’univers, et laissez son amour s’exprimer sans aucune limite.
Elle n’est pas votre maman, mais bel et bien votre femme, la femme, laissez la donc devenir folle de vous.
Prends, ici et maintenant, conscience que le monde vit ce qu’il a à vivre, même si cela paraît extravagant, irresponsable et d’une grande bêtise, ne t’identifie pas à lui, et, même si l’inconscient collectif envoie des énergies sombres, ne te sens pas responsable ni coupable de la folie d’humains dénudés de scrupules.
Accepte d’être maître de ton destin, ouvre les yeux, ne reste pas indécis devant les choix à faire pour ton mieux-vivre, perdu dans les ténèbres que l’on te présente, accepte ta part de divinité enracinée, elle a les réponses à tes questionnements.
Laisse-toi guider par les vérités universelles qui ne sont que bontés, amour et lumière, et par la plupart des fausses vérités, des aberrations plus grosses les unes que les autres. Garde ton discernement en toute circonstance.
Quoique l’on veuille te faire croire, n’écoute que ton intérieur, laisse le principe de vie s’exprimer à travers toi dans la paix du cœur et la lumière de l’âme. Voilà ta responsabilité.
Ne te laisse pas détourner de qui tu es, suis la ligne de conduite de ton propre chemin de vérité de façon douce et harmonieuse, dans la justesse de ton esprit divin, dans l’équité et l’unicité de ton être.
Si tu en ressens l’appel, dirige-toi vers la seule voie possible, ta liberté de devenir ce pourquoi tu es ici, de reconnaitre ta valeur, même si tout est fait pour que tu l’oublies, suis tes idées, tes convictions et crée ce qui est bon et juste pour toi dans ton corps, dans tes pensées et matérialise-les sur ton plan terrestre, libre de toutes contraintes inutiles.
Le principal, dans le contexte que vit le monde, est que, toi, tu restes centré, uni à toi-même, que tu continues à donner de l’envergure à tes projets, que ta créativité s’expanse dans ce que tu décides, que tu laisses libre ton champ d’énergie, que tu écoutes ton intuition et que tu demeures ferme dans ta vérité.
Bonjour, j’espère que tu vas bien en ce dimanche printanier.
L’incertitude que tant de personnes traversent aujourd’hui est bien réelle.
Certains perdent leur emploi, leur entreprise, leurs repères… et pourtant, au lieu de compassion, beaucoup détournent le regard, se réfugient dans un confort qui pourrait bien n’être que temporaire, ou pire, jugent et se moquent.
Mais la vérité est là : personne n’est à l’abri. La vie peut basculer en un instant. Toute vie ne tient qu’à un petit fil extrêmement fin.
Et dans ces moments-là, ce dont nous avons besoin, c’est de bienveillance, de soutien, d’une force collective qui unit plutôt que d’un regard froid qui divise. Les dirigeants, bien aidés par les médias menteurs, font tout pour nous diviser. Noirs contre blancs, chrétiens contre musulmans, hommes contre femmes, riches contre pauvres, vaccinés contre non vaccinés, travailleurs contre chômeurs, … parce qu’ils savent qu’ensemble, unis, nous serions très forts. Ils utilisent même parfois les mêmes faits pour créer la haine envers d’autres personnes.
Au moment des faits ils prétendaient que Samuel Paty avait été sauvagement assassiné par un islamiste !!! Certains ont la mémoire courte, pas moi.
Nous sommes tous tissés d’une même lumière, et plus nous cultivons l’amour et l’empathie, plus nous devenons forts, ensemble.
Si tu croises quelqu’un qui vacille, tends-lui la main. Si tu sens qu’un cœur s’éteint, rappelle-lui que la vie est faite de cycles, que même la nuit la plus sombre finit toujours par céder à l’aube.
Le monde bouge, il change, il secoue… mais la lumière est toujours là derrière leurs nuages artificiels.
Elle brille en nous, elle grandit quand nous choisissons d’aimer plutôt que de juger. Alors soyons ce phare, soyons ce souffle qui ranime l’espoir.
Merci pour cette lumière que tu partages.
On ne donnera jamais assez d’espoir à l’humanité.
Mabelle
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience