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Ho’oponopono

Bonjour,

Comment allez-vous ce matin ?

Je vous partage un article de « L’Escale Essentielle » sur l’ho’oponopono.

C’est une pratique ancestrale hawaïenne qui permet de mieux comprendre ce qui se passe dans notre vie. A l’origine, il s’agit d’un rituel de pardon et de réconciliation. Dans le sens du pardon, Ho’oponopono signifie « remettre en ordre, harmoniser, nettoyer et agir en accord ».

Les origines de la pratique Ho’oponopono

Le Ho’oponopono dans la tradition Hawaïenne vient d’une tradition  très ancienne qui s’est transmise oralement de génération en génération. Cette philosophie se pratiquait pour aider une personne à retrouver la quiétude et la paix intérieure, mais également faire renaître la paix au sein d’une communauté ou d’une famille dans le cas de problèmes relationnels ou d’enjeux forts.

L’idée centrale est donc d’amener la paix et de renouer les liens en utilisant la médiation et le pardon mutuel.

Ho’oponopono est en fait composé de deux mots. « Ho’o » signifie commencer une action ou ce qui est la cause. « Pono » veut dire : bonté, droiture, honnêteté, intégrité, pureté, moralité, bienveillance, mais aussi correct, perfection.

La notion de Pono correspond d’ailleurs à l’une des bases de la culture hawaïenne : en effet « vivre Pono » représente le fait de vivre en alignement, dans l’équilibre, dans le pardon et donc dans un état de pureté de cœur le plus proche possible de la perfection. La pratique d’Ho’oponopono vise à ce que chacun puisse devenir « Pono ».

A tout moment, en fonction de nos paroles ou de nos actions, nous pouvons nous demander : « Suis-je Pono quand je dis ceci ou quand je fais cela ? »

La pratique ancestrale du Ho’oponopono

Traditionnellement, Ho’oponopono se pratiquait en réunissant les adeptes autour d’un guide, d’un prêtre ou d’une personne mandatée par le groupe et le problème était alors exposé. Durant cette réunion, les échanges étaient marqués par des moments de silence et de recueillement. Après plusieurs heures ou plusieurs jours, quand chacun avait reconnu sa responsabilité dans la situation, venait alors le temps du pardon et du repentir et c’est de cette manière que chacun se libérait et retrouvait la paix.

Ho’oponopono est si important dans la culture Hawaïenne qu’il a été désigné trésor vivant dans la constitution d’Hawaï en 1993.

Ho’oponono, les 7 grands principes

Voici les principes de base du Ho’oponopono, tels que nous pouvons les appliquer concrètement au quotidien :

-La réalité physique est une création de nos pensées.

-Une pensée de ressentiment et de colère va créer une réalité de ressentiment et de colère.

-Si nos pensées sont parfaites, elles créent une réalité juste et bienveillante.

-Nous sommes responsables à 100% de notre réalité.

-Tout est à l’intérieur. Tout existe en pensée dans notre esprit.

-Nous sommes le créateur de notre univers physique tel qu’il est et nous pouvons donc influer dessus en changeant nos pensées.

-La paix commence à l’intérieur de soi.

Toutes les mémoires au centre du Ho’oponopono

Toute personne dispose de nombreuses mémoires, stockées depuis longtemps dans son subconscient. Ces mémoires viennent de notre expérience de vie, de notre vie intra-utérine, mais aussi de nos ancêtres ou d’autres incarnations, et cela, depuis le début de la création.

Selon le Ho’oponopono, nous sommes donc créateurs de toutes les mémoires qui s’expriment dans notre vie et qui se manifestent en tant que problèmes, difficultés, maladies, rencontres, mais aussi sous forme d’événements heureux. De manière inconsciente nous attirons tout ce qui se produit.

Mémoires et leçons de vie

Notre vie nous permet donc d’expérimenter différents événements, différentes émotions, guidées par nos mémoires. Ce sont des opportunités de nous rappeler que nous avez encore et toujours des mémoires à nettoyer : les mémoires ne sont en effet pas parfaites, elles sont soit connotées “positives“, soit “négatives“. Et donc, pour vivre sereinement, nous avons à nous libérer de toute mémoire :

Sans croyances limitantes

Sans jugements

Sans critiques

D’où ce nettoyage permanent des mémoires que le Ho’oponopono nous invite à pratiquer.

La trinité du Ho’oponopono

La philosophie Ho’oponopono indique que nous sommes composées de plusieurs individus : la mère (le moi conscient), l’enfant intérieur (le subconscient) et le père (le superconscient). Ces trois personnages se doivent de vivre en bonne intelligence pour que notre vie soit agréable.

Sachez que le contact avec l’enfant intérieur (Unihipili) est crucial et doit s’effectuer de manière permanente : c’est ce qui nous permet de libérer et de retrouver notre créativité, notre joie mais aussi notre envie d’avancer et notre énergie au sens large. C’est pour cela, qu’il est important de nettoyer notre mémoire instant après instant, pour élever notre niveau de conscience et découvrir l’être véritable que nous sommes (Unihipili).

De cette manière, notre enfant intérieur saura qu’à chaque fois qu’un problème apparaît, nous sommes prêts à prendre l’entière responsabilité de ce qui nous arrive et que nous voulons nettoyer les mémoires qui en sont la cause. Ce qui est important c’est qu’en parlant à notre enfant intérieur, il fera ce travail de nettoyage lui-même.

Prendre la responsabilité de notre vie, c’est donc récupérer notre propre pouvoir sur nous-même en nous permettant de ne plus subir et d’abandonner le rôle de victime auquel on est bien souvent attaché.

Le nettoyage des mémoires dans la pratique du Ho’oponopono

Comment se fait ce travail de nettoyage des mémoires ?

Pour cela nous pouvons utiliser quatre phrases du mantra de purification :

« Désolé(e) » d’être le créateur de cet événement.

J’en demande « pardon ».

« Merci » à la vie de m’avoir montré cette mémoire erronée que j’avais en moi et dont je n’avais pas conscience.

« Je t’aime ». J’aime la vie, mais surtout j’envoie de l’amour à cette mémoire erronée et je demande qu’elle soit effacée… Cela revient à s’aimer soi-même, car Ho’oponopono utilise l’énergie de l’amour pour obtenir la guérison.

Désolé(e). Pardon. Merci. Je t’aime » sont des mots à répéter en toute circonstance.

Comment mettre en œuvre Ho’opononopo dans notre vie de tous les jours ?

1-Sous notre douche, dans les transports ou avant de partir en voyage, nettoyons ! A chaque pensée qui nous vient, qu’il s’agisse du travail, de la famille … répétons ce mantra de purification.

Quand une situation délicate qui provoque de l’émotion se produit, par exemple un échange un peu vif avec quelqu’un, plutôt que de tomber dans le jugement et la critique, nettoyons !

Sachez qu’il est important de nettoyer à chaque instant sans attendre un résultat immédiat. Ainsi, le fait de dire « désolée, pardon, merci, je t’aime » de manière constante va petit à petit devenir un réflexe de chaque instant.

Remarque : à mon sens, il est bon ici de poser une intention particulière à travers les mots… une simple répétition non accompagnée d’intention, ne possède pas le même pouvoir créateur que celle qui est chargée de cette énergie

Astuce : Juste avant de nous endormir, nous pouvons nettoyer notre mémoire en répétant “merci, je t’aime, merci, je t’aime, merci, je t’aime »…

Cela permettrait de nettoyer automatiquement notre intérieur, même en dormant.

2- Ho’oponopono : nettoyer toutes les mémoires

Attention nuance  Il ne s’agit pas uniquement de pratiquer Ho’oponopono quand un problème survient. La pratique d’Ho’oponopono doit se faire de manière constante.

C’est-à-dire qu’il est recommandé de « nettoyer » ses mémoires à chaque instant et pour tout ce qui vient de se produire et qui est en train de se passer. Toute situation du passé, du présent et à venir.

Il est donc nécessaire de le faire pour toute idée, toute pensée, tout projet qui nous vient, pour toute question qui nous est posée, car c’est tout cela qui contribue à nos mémoires.

3-Parler à son enfant intérieur

Le Ho’oponopono nous encourage à dialoguer avec notre enfant intérieur.

Idée : mettez-vous en condition avec une musique de relaxation, par exemple, puis imaginez que devant vous se trouve une version de vous enfant. Laissez doucement venir l’image qui peut être aussi une sensation (son, odeur, goût…) . Cela vous permet de revenir à une époque de votre enfance qui a le plus besoin d’être recontactée.

Présentez-vous à cet enfant et excusez-vous de ne pas vous être mieux occupé de lui jusque-là. Demandez-lui s’il accepte de parler avec vous. Une fois que vous avez son accord, demandez-lui s’il y a maintenant quelque chose dont il a envie.

Si cela vous semble farfelu, proposez-lui de le faire à un moment précis. Et quand vous le faites, vivez-le pleinement. S’il s’agit de manger une barbe à papa, de regarder un dessin animé ou de faire de la balançoire, faîtes-le comme quand vous aviez l’âge de votre enfant intérieur

4- Ho’oponopono : méditer et prendre la responsabilité de tout

Comme vous l’avez compris, il est important d’utiliser les mots mantra, même s’il n’y a pas de problème particulier. La répétition de ces quatre mots va ainsi rendre le nettoyage de plus en plus facile.

Il est essentiel également de prendre à 100% la responsabilité de la situation, des événements, et cela, quoiqu’il arrive.

Être dans cette conscience n’est pas si facile : faire preuve de patience et pratiquer Ho’oponopono au quotidien reste la clé (comme toute démarche spirituelle et intérieure).

Être responsable à 100% implique l’acceptation, le non-jugement et le lâcher prise et c’est en étant à ce niveau de pleine conscience, quoiqu’il arrive, que vont pouvoir s’établir les connexions avec notre enfant intérieur (Unihipili) et notre moi supérieur (Aumakua). A ce moment-là, le nettoyage va se faire plus facilement et de plus en plus automatiquement.

5- Pratiquer seul pour trouver l’inspiration

Il faut savoir que ce qui s’efface en nous, s’efface aussi chez les autres. Il ne faut pas oublier que les gens autour de nous, notamment nos proches ou les personnes que nous rencontrons, sont des opportunités. Le but de leur présence est de nous enseigner, de nous montrer ce qui, en nous, ne va pas et a besoin d’être corrigé.

Toutefois, c’est en nous retrouvant seul(e), en restant silencieux(se) le plus possible et en nettoyant, que nous avons le plus de chance d’accueillir l’inspiration.

N’oublions pas que lorsque nous procédons à ce nettoyage, ce qui s’efface en nous s’efface aussi chez les autres dans notre entourage.

Nous sommes alors plus unis, connectés. C’est un des cadeaux du Ho’oponopono !

Prenez soin de vous, de votre enfant intérieur. Mabelle

Sungazing, régénération solaire

Bonjour,

J’espère que vous allez bien

L’automne est là, alors qu’en Belgique nous n’avons pas eu d’été. Le soleil est important à mes yeux.

Le sungazing est l’art de se nourrir de soleil par les yeux tout en absorbant ses diverses fréquences vibratoires. Pratiqué seulement au lever et au coucher du soleil afin de ne pas s’abîmer la vue, il permet de développer notre potentiel énergétique et régénérer notre corps à tous niveaux.

Après trois ans de travail sur lui-même, l’indien Hira Ratan Manek a revivifié cette science pratiquée il y a des milliers d’années en Egypte, en Inde, en Amérique latine, en Grèce… Il s’est principalement inspiré de Lord Mahavir, qui pratiquait déjà cette méthode il y a 2600 ans.

Hira Ratan Manek vit depuis plus de 13 ans d’énergie solaire et d’eau solarisée et enseigne actuellement le sungazing (regarder le soleil fixement). Mais occasionnellement, par hospitalité, il boit du thé, du café ou du babeurre.

Grâce à Hira Ratan Manek, le sungazing est devenu une pratique scientifique suivie à travers le monde par des milliers de pratiquants. Entendons-nous bien, il ne s’agit pas ici de vous inciter à vous nourrir des rayons du soleil en abandonnant toute nourriture. Le but est uniquement d’informer sur des pratiques existantes. Après chacun est invité à s’informer plus profondément sur le sujet et libre de pratiquer toute technique qui l’inspire … ou pas.

A trois reprises, Hira Ratan Manek, a observé des jeûnes stricts durant lesquels il n’absorbait que de l’énergie solaire et de l’eau solarisée (placée au soleil durant 5 à 8 heures). Cela sous contrôle de médecins et scientifiques.

Le premier de ces jeûnes, supervisé par le Dr Ramachandran, expert en médecine allopathique et ayurvédique, dura 211 jours en 1995/1996 à Calicut en Inde.

Le deuxième, supervisé par les Dr Sudhir Shah et K.K. Shah président de l’association médicale indienne, dura 411 jours en 2000/2001 à Ahmedabad, en Inde.

Au vu de ces formidables découvertes, Hira Ratan Manek a été invité à l’université Thomas Jefferson et à l’université de Pensylvanie, où sa rétine, sa glande pinéale et son cerveau ont été observés durant 130 jours sous la direction du Dr Andrew B. Newberg, leader dans le domaine du cerveau, et le Dr Brenard, leader dans le domaine de la glande pinéale.

Si les scientifiques sont totalement d’accord sur le fait que sa faim a disparu, ils sont incapables d’expliquer comment de tels effets positifs sur le corps et le mental sont possibles, ni comment le sungazing produit ces résultats.

Depuis 2002, Hira Ratan Manek a animé de nombreuses conférences à travers le monde entier.

Comment ça marche ?

Les yeux reçoivent le spectre entier de la lumière du soleil, qui est distribuée partout dans le corps. L’œil est donc la porte d’entrée de l’énergie solaire vers le cerveau qui envoie les différentes couleurs du prisme solaire aux organes et régénère le corps à tous ses niveaux.

Hira Ratan Manek pense qu’une sorte d’analyse photovoltaïque se met en place puisque la rétine et la glande pinéale sont équipées de cellules photoréceptrices.

Les bienfaits

Après 3 mois de pratique : développement de la confiance en soi, plus grand équilibre psychologique, développement de l’intuition, tendance à être plus constructif.

Après 6 mois de pratique : de nombreuses maladies peuvent être soulagées grâce aux fréquences des rayons solaires.

Après 9 mois de pratique : La pinéale ayant aussi des fonctions psychiques, développement d’expériences mystiques, la sensation de faim diminue fortement ou disparaît.

La pratique

Le sungazing doit être strictement pratiqué dans l’heure qui suit le lever du soleil ou celle qui précède le coucher de soleil. Et ce sur un mode progressif en commençant par 10 secondes d’observation du soleil et en augmentant chaque jour de 10 secondes supplémentaires. Continuez jusqu’à atteindre 44 minutes d’observation (ce qui prend neuf mois si la météo est favorable chaque jour. Pas évident en Belgique).

Commence ensuite la seconde étape du processus : arrêtez l’observation solaire et marchez pieds nus pendant 45 minutes de façon à stimuler vos glandes par les zones réflexes des pieds. A partir de là, le corps emmagasinera spontanément le soleil. Et, si nécessaire, vous pouvez toujours pratiquer le sungazing par temps gris.

Mise en garde

Il faut continuer à manger de la nourriture solide aussi longtemps que le corps le demande. La faim diminuera progressivement et proportionnellement à l’augmentation du niveau d’énergie dans le corps.

Equilibre et bien-être

Le sungazing améliore l’équilibre physique et mental. Il peut soulager les maladies après 6 mois de pratique en purifiant le corps (la diminution de la quantité de nourriture entraîne une détoxication du corps physique) et en lui apportant de l’énergie. C’est un excellent moyen (gratuit par ailleurs) contre la dépression et pour l’équilibre des différents centres énergétiques.

Se passer d’aliments physiques n’est pas le but du sungazing, c’en la conséquence grâce au niveau d’énergie dans le corps. En effet, le corps n’a pas besoin d’aliments pour vivre mais d’énergie et les aliments sont une source secondaire.

Par ailleurs, sachant qu’on nous a toujours induits en erreur en inversant tout, eh bien il suffit souvent de réinverser tout pour être dans la vérité.

On nous dit « le soleil donne le cancer de la peau, attention aux UV, ne vous exposez pas trop et surtout mettez de la crème solaire ».

Pourtant rien n’a jamais démontré que le soleil donnait le cancer, et d’ailleurs rien ne le montrera jamais. Personne ne pourra jamais faire le lien entre une exposition au soleil et une tâche qui apparaît 20 ans plus tard.

Ensuite, il a été observé que toutes les substances cancérigènes ont le point commun d’absorber la longueur d’onde à 380 nm, c’est-à-dire des UV. (Dans les années 1970, le biophysicien Fritz-Albert Popp.) Or les crèmes solaires sont dans ce cas, donc elles sont cancérigènes.

Puis il a été montré que cette longueur d’onde avait la propriété de régénérer les cellules même quand elles sont détruites jusqu’à 99%. Les UV ont ainsi un effet réparateur très fort.

Conclusion : si on ne veut pas de cancer de la peau, il faut s’exposer au soleil et ne surtout pas mettre de crème solaire.

Tout ça sans même parler du fait que le soleil est bon pour la santé et l’humeur d’une façon générale, et que plus on fait peur aux gens des cancers plus ils ont de chances d’en avoir.

Donc, je fais le contraire de ce qui est habituellement conseillé et chacun se fera sa propre opinion sur la question.

Profitez du soleil d’automne autant que possible afin de remonter vos réserves de vitamines D dont tout le monde aura bien besoin pour cet automne.

Mabelle

Le jeûne, une aide en cas de cancer ?

Bonjour, comment allez-vous ?

Je reviens encore vous parler de jeûne car je n’avais pas voulu faire un article trop long la dernière fois. Au-delà de toutes les théories sur les carences, sur les apports des repas équilibrés, on se rend compte que plus il y a de spécialistes de l’alimentation, plus il y a de malades.

Je voulais tout de même vous donner quelques infos un peu plus scientifiques que mon expérience sur le sujet.

À chaque jeûne, vous faites du neuf tout en nettoyant les cellules malades, les tissus les moins nécessaires sont les premiers à disparaître. Quant aux tissus essentiels, ils se nourrissent par autolyse. C’est donc tout bénéfice pour un corps qui est en train de lutter contre la maladie, notamment contre le cancer. Le cancer n’est jamais que des cellules qui ont trouvé le code de l’immortalité, qui se reproduisent plus vite que des cellules saines, jusqu’à toucher d’autres parties du corps. Empêcher la prolifération cellulaire est donc essentiel pour rester en vie.

Chez les souris suivant un protocole de jeûne, il a été observé que les tumeurs se développent beaucoup moins.

Le sucre est indispensable au développement des cancers.

Des scientifiques ont conclu, dans une étude de janvier 2015, que le jeûne empêcherait le développement des cancers du sein, notamment grâce à la réduction du taux de sucre dans le sang : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25448890

Contrairement aux cellules saines qui acceptent différents types d’énergie, le carburant de prédilection des cellules cancéreuses c’est le glucose. En jeûnant les cellules cancéreuses ne peuvent plus se nourrir de sucre, leur développement s’arrête.

Encore il y a une quinzaine de jours, un biochimiste faisait le lien entre le sucre et le cancer : http://guerir-du-cancer.fr/epouvantablement-sucre/?fbclid=IwAR2tdT8x2xgvvez-mKRTtyVMaB9GYxk7xrpKi6WfQY7Dl1BC7cdaCQdpigw

Par ailleurs, les cellules cancéreuses et les cellules saines réagissent différemment au jeûne.

Lorsque les cellules saines manquent d’apports énergétiques, elles se mettent en situation de protection pour éviter de mourir. Cette protection est sans doute une conséquence de l’évolution, car durant plusieurs millions d’années l’homme a alterné périodes d’alimentation et disettes.

Les cellules cancéreuses, quant à elles, ont muté. Elles n’ont plus ce mécanisme et restent sensibles au manque de nourriture.

Le système immunitaire se renforce, il se renouvelle complètement en seulement trois jours.

Lors d’une radiothérapie, un jeûne juste avant protège les cellules saines tandis que les cellules cancéreuses seront plus vulnérables : http://stm.sciencemag.org/content/4/124/124ra27.abstract

Les docteurs CARLSON et KUNDE, du service de physiologie de l’université de Chicago, ont montré qu’un jeûne de deux semaines, restaure, temporairement, les tissus d’un homme de quarante ans et les ramène à la condition d’un jeune de dix-sept ans :  https://amzn.to/2K4Kvay

Quel jeûne choisir ?

Les puristes vous diront qu’il n’y a pas plusieurs jeûnes, que jeûner signifie priver le corps de toute nourriture et boisson.  D’autres diront qu’il existe différentes manières de jeûner, chacun choisira celle qui lui convient le mieux, et la durée du jeûne dépend des possibilités de chacun et de ses habitudes alimentaires.

Certains s’habituent à manger peu, d’autres pratiquent le jeûne régulièrement : hydrique, sec, aux jus verts, ou encore le jeûne intermittent. C’est mon préféré, qui permet à mon corps de faire le ménage, de se débarrasser des toxines qui traînent un peu partout, de réguler le fonctionnement de mes organes, d’éliminer l’inflammation, de se réparer. Personnellement j’ajoute à cela des molécules Rédox dont je ne pourrais plus me passer et qui accentuent la détoxination pour une santé optimale. Si vous voulez plus d’infos sur le sujet, c’est par ici : http://eepurl.com/deGkdH

J’ai choisi le jeûne pour mon bien-être physique et mental, parce que veux vivre alerte jusqu’à un âge très avancé, ne plus jamais être touchée par les maladies de civilisation qui touchent de plus en plus de personnes de tous âges. Il y a vraiment de quoi remettre en cause notre mode vie. J’ai été bien malade une grosse partie de ma vie, j’ai parfois l’impression que toutes ces années m’ont été volées, et il est clair qu’elles sont perdues à jamais. Aussi je veux pleinement profiter de celles qui me restent. Or, je sais maintenant que le jeûne et le Redox sont vraiment deux alliés pour une vie en santé optimale. Soyons clairs, ce n’est pas le jeûne qui est un remède mais bien la pause qu’il offre à l’organisme qui est propice à la guérison, c’est le corps qui se guérit. Si l’hygiène de vie n’est pas modifiée, les problèmes risquent de revenir.

Nous sommes tous conditionnés à manger trois fois par jour, et depuis la maternelle à prendre une collation en matinée et un goûter. On a des tas d’idées reçues sur l’obligation de manger trois fois par jour pour être en bonne santé. Et on n’ose pas forcément franchir cette barrière de méconnaissance à propos du jeûne, aller là où ça pourrait être inconfortable.

Mais si on y réfléchi un peu, on s’aperçoit que nos ancêtres se couchaient bien plus tôt que la plupart d’entre nous. Il se passait donc plus d’heures entre le repas du soir et le déjeuner. D’ailleurs le mot dé-jeuner vient d’arrêter de jeûner parce que la nuit était une période de jeûne.

Comme beaucoup j’ai toujours tenté de faire manger mes enfants avant leur départ pour l’école, je voulais qu’ils ne partent pas l’estomac vide. Pourquoi ? Parce que c’est ce qu’on m’avait toujours inculqué depuis l’enfance « l’importance du sacrosaint petit-déjeuner !!! ». Depuis mes gros soucis de santé, j’ai cherché d’autres sources d’informations et j’en suis arrivée à pratiquer le jeûne intermittent en ne prenant plus que deux repas par jour, parce que j’ai compris que quel que soit votre âge, ou votre état de santé, le jeûne a quelque chose à vous offrir. Ses bienfaits touchent chaque partie du corps.

Cependant je voudrais à présent faire un « vrai » jeûne, soit me passer complètement de nourriture durant plusieurs jours, même si je ne suis toujours pas certaine d’en être capable.

Ceux qui ont pratiqué le jeûne disent souvent : « je croyais que je n’en serais pas capable ». Et, en effet, l’idée de de réduire son apport en nourriture, de se limiter à de l’eau pendant plusieurs jours, nous fait peur.

Comme nous ne connaissons pas le manque, nous redoutons de devoir l’affronter. Nous craignons, dans le fond, que le jeûne puisse nous faire « mal ».

Et pourtant, les « jeûneurs » disent exactement le contraire.

Personnellement je n’ai pas du tout peur de mal faire car je suis convaincue des bienfaits du jeûne. Mais je sais que je mange par habitude et non par faim et c’est surtout cette habitude qui risque de me manquer.

L’idéal pour passer le cap est de bien se renseigner et de se faire accompagner. Mais bien évidemment mon côté « je me débrouille toute seule » prend le dessus et je n’ai aucune envie de me faire accompagner. Ce que, bien sûr je ne vous recommande pas. Je choisis de faire mes propres expériences mais ne vous déconseille d’en faire de même. Oui, je sais, ce n’est pas bien, je ne montre pas l’exemple !!!

J’en suis aussi arrivée à la conclusion que, si le jeûne peut se faire tout au long de l’année, les meilleures périodes correspondent aux deux grands changements de saison : l’automne et le printemps. C’est donc la période idéale.

Si j’en crois mes recherches faites sur le sujet, le plus difficile est de prendre la décision de jeûner. Or ce choix je l’ai fait, il s’agit d’un réel choix personnel.

La privation de nourriture ne serait pénible que deux jours en raison du besoin créé par l’habitude, cette habitude qui m’inquiète un peu. Une fois le jeûne commencé, la sensation de faim disparaît très rapidement, et de plus en plus facilement supportée à mesure que l’on s’exerce au jeûne. Et le reste se fait naturellement.

A la base mon intention était de jeûner trois jours pour renouveler mon système immunitaire. Mais, puisque le plus difficile c’est les deux premiers jours, j’ai choisi de ne pas me prendre la tête, et de voir comment les choses vont se passer. Peut-être choisirais je de prolonger, … ou pas ?

Depuis que je m’intéresse et consomme au quotidien des molécules de signalisation Redox, j’ai vraiment pris conscience que la maladie n’est pas une fatalité, et que l’état normal du corps est l’homéostasie, la parfaite santé. En me supplémentant en Redox j’aide mon corps, mais si je peux encore accélérer les choses avec un jeûne de quelques jours, pourquoi ne pas essayer ? Tout ce que je risque c’est de faire du bien à mon corps.

Moins le corps sera occupé à la digestion, et mieux il saura s’atteler à la réparation de ce qui en a besoin.

Début du défi : demain. Il me restait de la soupe, et pas de place au congélateur, je l’ai donc consommée ce midi. Là, il n’y a plus rien de périmable dans le réfrigérateur, et je n’ai aucune raison de bouger de la maison durant les deux prochains jours, c’est parfait au cas où j’aurais un coup de fatigue, c’est le moment de commencer.Prenez soin de vous

Mabelle