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Vaincre la douleur par l’alimentation

Bonjour, je vous espère en pleine forme. Un petit article, qui ne va pas plaire à tout le monde, sur le rôle de l’alimentation dans de nombreuses maladies. Pourquoi je présume qu’il ne va pas plaire ? Parce que je sais que l’être humain veut que les choses changent mais ne veut lui même rien changer à sa façon de vivre.

La scientifique Jacqueline Lagacé démontre dans son livre que des changements alimentaires permettent de réduire au silence une centaine de maladies.

De quelles maladies s’agit-il ?

Les maladies auto-immunes (de grosses molécules d’origine alimentaire ou bactérienne pénètrent indûment dans l’organisme via l’intestin grêle et déclenchent la fabrication d’anticorps et des réactions immunitaires en cascade. Certains de ces anticorps se retournent contre l’organisme. Ce boomerang immunitaire donne une maladie auto-immune) : maladie de Basedow, maladie coeliaque, maladie de Gougerot-Sjörgen, syndrome de Guillain-Barré, maladie de Horton, narcolepsie, neuropathie périphérique idiopathique, rhumatisme psoriasique, sclérose en plaques, spondylarthrite ankylosante, thyroïdite d’Hashimoto …

Les maladies d’encrassage (des molécules d’origine alimentaire ou bactérienne de plus petite taille pénètrent indûment dans l’organisme via l’intestin grêle. Trop petites pour déclencher la fabrication d’anticorps, elles s’infiltrent dans les tissus et perturbent la communication entre les cellules, c’est pourquoi on les qualifie de polluants cellulaires. Pendant cette période de pollution, elles vont donner les maladies d’encrassage : Alzheimer, arthrose, cancer, cataracte, céphalée de tension, fibromyalgie, glaucome, goutte, infections à répétition, obésité, Parkinson, schizophrénie, stéatose hépatique non alcoolique, vieillissement prématuré, …

Les maladies d’élimination (les polluants cellulaires vont être pris en charge par des globules blancs « nettoyeurs» qui vont leur livrer un combat impitoyable au cours duquel certains vont mourir. Ces cellules mortes seront évacuées vers les émonctoires comme la peau, l’estomac, le côlon, les voies aériennes supérieures (nez, sinus, poumons). Cette évacuation donne lieu aux maladies d’élimination) : acné, asthme, bronchite chronique, cals, cors et durillons plantaires, colite, conjonctivite, œdème de Quincke, psoriasis, rhinite chronique, rhume des foins, urticaire, …

Qu’est-ce qu’une maladie inflammatoire chronique ?

Quand un microbe s’introduit dans l’organisme on voit apparaître des rougeurs. de l’enflure, de la douleur et parfois même de la fièvre. Tout ça disparaît généralement après un certain temps parce que les leucocytes ont réussi à combattre l’infection. Mais lorsqu’on est confrontés à une maladie inflammatoire chronique –la fibromyalgie, l’arthrite, le diabète de type 2, l’asthme, la maladie de Crohn, … – c’est que notre système immunitaire n’arrive pas à éliminer l’agent irritant. Il continue à lutter contre lui pendant des années. Au départ, il y a une inflammation silencieuse, qui se transforme petit à petit en inflammation chronique. Dans certains cas, comme celui de l’arthrose, ça peut prendre de 10 à 30 ans avant d’avoir conscience de la douleur.

Jacqueline Lagacé souffrait d’arthrose du dos depuis l’âge de 30 ans, puis a commencé à souffrir d’arthrose des genoux, d’arthrite des mains à 62 ans. Au début, elle tentait de contrôler les douleurs avec paracétamol et aspirine, mais ses douleurs se sont amplifiées au fil des mois. Au bout de deux ans, en 2006, ses doigts ne pouvaient quasiment plus plier et son pouce gauche était complètement devenu immobile. Les élancements étaient tellement insupportables qu’ils l’empêchaient de dormir. Lorsqu’elle a eu recours à la médecine traditionnelle, il lui a été prescrit un anti-inflammatoire non stéroïdien qui aurait été à l’origine de dizaines de milliers de crises cardiaques.

Même si elle pensait s’alimenter correctement, elle avait l’intuition que l’origine de ses problèmes articulaires était liée au contenu de son assiette. Ayant compris que la médecine traditionnelle ne pouvait pas l’aider, elle a fait des recherches sur le Net et découvert la méthode du Dr Jean Seignalet, un médecin et chercheur français spécialisé en immunologie, en nutrithérapie et en rhumatologie.

Si ce médecin est décédé en 2003, son site est constamment mis à jour par les membres de sa famille. Elle a commencé à suivre son régime « hypotoxique » le 10 juin 2007 et, en 10 jours à peine, ses élancements avaient complètement disparu. Trois mois plus tard, elle pouvait bouger un peu son pouce gauche et, après 16 mois de régime, les articulations de ses doigts avaient repris progressivement leur fonctionnement normal.

Cette découverte était trop fantastique pour ne pas être partagée, elle a décidé d’écrire un livre sur le sujet. Grâce à son doctorat en virologie et ses études postdoctorales en immunologie et en bactériologie, elle avait la formation requise pour vérifier dans la documentation scientifique récente le bien-fondé des théories du Dr Seignalet.

Le fait de démontrer que les produits laitiers et la plupart des céréales sont impliqués dans le développement de nombreuses maladies inflammatoires chroniques demande du courage, parce que ça va à l’encontre des diktats alimentaires occidentaux.

Quelles sont les bases de ce régime ?

Elles reposent principalement nos enzymes digestives et sur leur capacité de digérer correctement les aliments. Nos ancêtres se nourrissaient des produits de leur chasse et de leur pêche ainsi que de la cueillette de végétaux non cultivés et, lorsque c’était possible, de miel. Nos enzymes digestives ont donc évolué en fonction de ce type d’aliments. La nourriture qui provient de l’agriculture et de l’élevage – une « innovation » qui date seulement de 10 000 ans – ne représente ainsi qu’environ 1% de l’histoire de l’être humain. Nos enzymes seraient mal adaptées à l’alimentation moderne. Conséquence? Chez certaines personnes, l’intestin grêle devient « hyperméable »(c’est-à-dire qu’il permet le passage dans le sang et les tissus de molécules trop grosses, donc nocives, d’origine alimentaire et bactérienne); ce qui, en cas de fragilité génétique, entraîne le développement de maladies inflammatoires chroniques.

Que devrait-on alors bannir de notre alimentation ?

Pour commencer il faut éliminer tous les produits laitiers, de quelque origine animale que ce soit, Le Dr Seignalet assure que le lait de vache est inadapté aux humains, car les quantités astronomiques de protéines et de calcium qu’il contient servent à faire prendre aux veaux100 kg en un an… Notre organisme n’est pas capable de l’assimiler.

On doit aussi bannir un grand nombre de produits céréaliers (à l’exception du riz, du quinoa, du sarrasin, du sésame et du tapioca), que nous ne pouvons digérer correctement et qui causent dans l’intestin grêle un encombrement de grosses molécules, et, peu à peu, une partie des «bonnes» bactéries sont remplacées par des bactéries pathogènes. Ainsi soumise à un phénomène inflammatoire, la très mince paroi de l’intestin grêle finit par se détériorer, laissant ces molécules la traverser et se déposer dans différents tissus.

Il est donc complètement faux de dire que l’usure de nos cartilages est la cause première de l’arthrose, que cette maladie n’est pas de nature inflammatoire et que c’est normal, avec l’âge, d’en souffrir. Le contraire a été démontré par des travaux de recherche récents et sérieux. Il semble désormais évident que c’est l’inflammation de la capsule articulaire (capsule synoviale) – causée, entre autres, par l’accumulation de glycotoxines – qui entraîne peu à peu une dégradation de la qualité du cartilage, qui devient alors sujet à l’usure. En raison d’une alimentation mal adaptée, l’encombrement provoqué dans les intestins occasionne un encrassage des tissus susceptible d’engendrer des réactions inflammatoires de l’enveloppe de l’articulation.

Comment le régime Seignalet agit-il sur les douleurs chroniques ?

En cessant de manger des aliments qui altèrent l’intestin grêle, on donne la chance à ses parois de se reconstituer et de redevenir imperméables aux grosses molécules. Notre système immunitaire pourra ensuite éliminer les toxines accumulées dans nos tissus. Cela dit, il faut souligner que le régime «hypotoxique» ne guérit pas la maladie, il en permet plutôt la rémission tant qu’il est respecté.

La santé est donc un choix qui exige quelques sacrifices. Adieu céréales et produits laitiers, mais bonjour à une capacité normale à se mouvoir. Attention, le régime Seignalet n’est pas le remède miracle à toutes les maladies. Retrouvez la liste des pathologies qui peuvent être améliorées voire réduites au silence par le régime, ainsi que les maladies pour lesquelles le régime ne fonctionne pas dans le livre de Jacqueline Lagacé https://amzn.to/3rYjTy8

Pour éliminer plus rapidement les toxines, retrouver une bonne communication cellulaire, soutenir dans ce processus de retour à une meilleure santé, les molécules de signalisation Redox : http://vd55.com/75k

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Prenez soin de vous

Mabelle

Les Oméga 3

oméga

Les Oméga 3 sont à la mode ces dernières années, mais que sont-ils exactement ?

Ils font partie de la famille des acides gras. Les graisses ont généralement la réputation d’être néfastes pour la santé. Cependant, concernant les Oméga 3, cette affirmation mérite d’être nuancée. Les Oméga 3 sont des acides gras essentiels, c’est-à-dire l’un des deux types d’acides gras indispensables au bon fonctionnement de notre organisme, au même titre que les vitamines et les minéraux.

Le terme « essentiels » signifie que notre corps ne sait pas les synthétiser, ils doivent donc être fournis en quantité suffisante par l’alimentation. Or ils sont trop rarement présents dans nos assiettes !

besoins en oméga

Les Inuits du Groenland, ont un faible taux de maladies cardio-vasculaires malgré une alimentation riche en gras. Leur secret ? Leur alimentation est principalement constituée de poisson gras, riche en Oméga 3.

Le taux de maladies cardio-vasculaires, comme notamment l’infarctus, est en effet beaucoup plus faible chez eux par rapport aux autres groupes d’Esquimaux ayant une alimentation plus occidentale contenant beaucoup de viande riche en acides gras saturés.

Quels sont les principaux bienfaits des Oméga 3

 – Ils sont indispensables à la croissance et au développement optimal du cerveau des bébés. Il est donc essentiel que les femmes enceintes ou allaitantes consomment des Oméga 3 en suffisance. L’ajout d’acide alpha-linolénique (précurseur d’Oméga 3) dans le lait pour nourrissons est d’ailleurs imposé par la loi.

– Ils jouent un rôle bénéfique sur la mémoire, la concentration et les facultés d’apprentissage. De plus en plus d’études prouvent qu’une carence en Oméga 3 ou un déséquilibre du rapport Oméga 3 et Oméga 6 peuvent favoriser la survenue du TDAH, de la dyslexie, de troubles locomoteurs, de l’autisme…

– De plus en plus de scientifiques sont convaincus qu’une consommation suffisante d’Oméga 3 contribue à prévenir la démence et la maladie d’Alzheimer.

– Ils assurent une meilleure gestion du stress, améliorent l’humeur, et permettent de lutter contre la dépression (dans les pays gros consommateurs de poisson, comme le Japon, les dépressions sont beaucoup moins fréquentes).

– Ils diminuent les douleurs rhumatismales, notamment de l’arthrite rhumatoïde (les Oméga 3 ont des propriétés anti-inflammatoires et améliorent la résistance immunitaire)

arthrite

– Ils contribuent à tonifier les membranes cellulaires

– Ils permettent la production de cytokines qui défendent l’organisme contre les agressions extérieures

– Ils adoucissent la peau, sont particulièrement utiles dans le traitement de l’eczéma et du psoriasis

– Ils favorisent la perte de poids

– Ils améliorent les performances physiques en augmentant le niveau d’énergie

– Ils participent au bon fonctionnement du système cardio-vasculaire. Quand on sait qu’il s’agit d’un des principales causes de mortalité dans les pays occidentaux, et un problème de santé majeur dans le monde, on voit ici l’importance d’un apport suffisant de ces précieux acides gras essentiels. Notre alimentation occidentale se caractérise par un rapport Oméga 6/Oméga 3 de 15/1, ce qui vraiment excessif. Ce rapport devrait être de 5/1.

– préviennent la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins, diminuent les triglycérides présents dans le sang, favorisent la diminution de la pression artérielle.

– contribuent à stabiliser le rythme cardiaque

rythme cardiaque

– rendent les globules rouges plus flexibles, ils peuvent ainsi mieux oxygéner tous les tissus

– améliorent le fonctionnement des reins, contribuant ainsi à réduire à rétention d’eau et la pression artérielle

 Les meilleures sources d’Oméga 3

 Certaines huiles végétales (lin, noix, canola) sont sources d’Oméga 3, comme les graines dont elles sont tirées (chanvre, chia).

Cependant, les poissons gras en sont la meilleure source. En réalité, même s’ils sont appelés poissons gras, ils présentent un assez faible taux de gras et ceux-ci sont principalement des gras essentiels. Ils sont très faibles en gras saturés.

Il est bon de savoir que la majorité du saumon frais vendu dans le commerce, sous le nom de saumon de l’atlantique, est en fait du saumon d’élevage. Ces poissons présentent un taux de contamination aux métaux lourds plus élevés que ceux retrouvés chez les poissons sauvages. Même si ces taux sont inférieurs aux doses considérées comme toxiques par les organismes de santé, mieux vaut rester prudent, et privilégier des types de poissons moins contaminés, comme le saumon sauvage du Pacifique ou de l’Alaska.

 Les sardines constituent également un bon choix. D’après un test pratiqué sur 6 échantillons de différentes marques de sardines, on retrouve dans 100 gr de sardines entre 1,3 et 3,3 grammes d’Oméga-3. Les sardines fraîches sont encore plus riches en Oméga 3, puisque l’on y retrouverait de 3 à 6 grammes par 100 gr.

 La meilleure manière de consommer des Oméga 3 consiste à adopter une alimentation équilibrée. Il est donc recommandé de prendre deux ou trois repas de poisson gras par semaine, et de consommer des huiles et graines où ils sont présents. Beaucoup d’entre nous le savent, mais, qui le fait ? Les Oméga 3 sous forme de suppléments sont efficaces, mais ne remplacent pas une saine alimentation. Alors, à vos casseroles pour de nouvelles recettes de poisson !

 Sachez cependant que plusieurs semaines d’utilisation peuvent s’écouler avant que les effets salutaires des Oméga 3 commencent à se manifester.

Existe-t-il des effets secondaires à la supplémentation en Oméga 3 ?

Les Oméga 3 sont généralement très tolérés. Les effets secondaires possibles sont d’ordre digestif : nausées, mauvaise haleine, et rots. Pour éviter ces désagréments :

– Commencez avec une capsule par jour, puis augmentez après quelques jours.

– Prenez vos capsules pendant un repas.

– Évitez de prendre votre supplément avec des boissons ou aliments irritants tels que café, ou jus d’agrumes.

Les Oméga 3 Nikken

Se basant sur la maxime d’Hippocrate, « Que la nourriture soit votre remède », Nikken combine les meilleures avancées de la science avec tout ce que la nature offre de plus sain.
Le complément alimentaire Kasai® Nikken est à base d’huile de poisson et de bourrache, il contient à la fois les huiles oméga 3 et oméga 6, qui ne peuvent pas être synthétisées dans l’organisme et doivent donc être obtenues par la consommation d’aliments.

oméga nikken

L’huile Oméga 3 provient de sardines et d’anchois des côtes péruviennes.

Riche en nutriments, l’huile de poisson de Kasai® Huiles oméga est extrêmement pure, obtenue par une technologie de purification et de concentration unique développée au cours de nombreuses années de recherche, et d’expérience de fabrication.

Pour un effet optimal, votre corps a besoin de 250 mg d’huile d’Oméga 3

Deux gélules d’Huiles Oméga contiennent :
ePa 97,9 mg (acide eicospentaenoïque)
DHa 64,97 mg (acide docosahexaenoïque)
gla 11,00 mg (acide gamma-linolénique)

 Prenez soin de vous, de votre santé – Mabelle