Citation de la semaine

« On maudit une épreuve, mais on ne sait pas, quand elle nous arrive, qu’elle va nous faire grandir et nous emmener ailleurs.

On ne veut pas le savoir. La douleur est trop forte pour qu’on lui reconnaisse une vertu.

C’est quand la douleur est passée, qu’on se retourne et qu’on considère, ébahi, le long chemin qu’elle nous a fait parcourir … »

Katherine Pancol

Quel est le premier signe de civilisation ?

Bonjour,

Je vous espère en forme par ce dimanche gris mais où nous pouvons admirer les premiers signes du printemps avec quelques perce-neige, crocus et jonquilles en fleurs.

Quel est le premier signe de civilisation dans une culture. Voilà une bonne question. Il y a des années, un étudiant a posé la question à l’anthropologue Margaret Mead.

L’étudiant s’attendait à ce que Mead parle d’hameçons, de pots d’argile ou de pierres à moudre.
Mais non. Mead a répondu que le premier signe de civilisation dans une culture ancienne était un fémur (os de la cuisse) qui avait été cassé puis guéri. Mead explique que dans le règne animal, si l’on se casse une jambe, on meurt. Vous ne pouvez plus fuir le danger, aller boire à la rivière ou chasser pour vous nourrir. Vous êtes de la viande pour les bêtes qui rôdent. Aucun animal ne survit à une jambe cassée assez longtemps pour que l’os guérisse.
Un fémur cassé qui a guéri est la preuve que quelqu’un a pris le temps de rester auprès de la personne qui est tombée, a pansé la blessure, l’a transportée en lieu sûr et l’a soignée jusqu’à sa guérison. Aider quelqu’un d’autre à surmonter une difficulté est le point de départ de la civilisation, a déclaré M. Mead.

C’est en servant les autres que nous donnons le meilleur de nous-mêmes certainement pas en partant à la frontière russe en septembre comme cela est prévu pour les militaires français. Les dirigeants, mais surtout l’UE et l’OTAN veulent la guerre, ne la leur donnons pas.

Soyez civilisés.

Mabelle

Courir encore et encore

Accepter de perdre du temps pour en gagner !

Vite ! Plus vite ! Dépêche toi ! Aller faut se bouger !

On court , on court  … mais, au fait, on court après quoi ?

Le temps, ce temps si précieux que l’on a craint qu’il nous échappe…

Et bien il y a une chose magique qu’il faut savoir :

Moins on court et plus on va vite et plus l’on fait de choses.

J’ai longtemps couru et désespérait ne ne pas voir courir certains autour de moi … avec ce stress et cette peur permanente d’être toujours en retard et toujours à court de temps … un œil sur la montre et l’autre sur le planning.

J’ai souvent angoissé au moindre imprévu, non pas pour l’imprévu lui-même, mais pour le temps qu’il allait engloutir.

Un jour, j’ai décidé de changer radicalement, juste pour voir.

J’ai choisi de ralentir et j’ai décidé de me poser quand le besoin se fait sentir.  

Magique !

Je ne stresse plus pour le temps mais j’ai l’impression d’en avoir beaucoup plus. J’ai même pu rajouter dans mon planning : un moment de calme pour boire mon  bouillon d’os et l’apprécier, une séance de méditation de trente minutes, une micro sieste, une conversation avec un commerçant, un imprévu  … et tout cela sans changer de boulot, sans supprimer d’activité ou d’obligation et en étant toujours à l’heure à mes rendez-vous, et en faisant tout ce que je devais faire.

Courir après le temps est chronophage.

Alors que laisser le temps au temps, laisser le temps s’écouler tranquillement, rend le cours de la vie plus fluide, plus régulier, plus calme et plus efficace.

A vous de jouer ! Vous me raconterez…

Prenez soin de vous

Mabelle

Les hommes divins

Bonjour, je vou espère en pleine forme.

Je vous partage ce matin un texte de Yohann Vidal

Prenez soin de vous

Mabelle

« Il y a de ces Hommes qui n’ont pas peur des Larmes.

Qui n’ont pas peur de leur Vulnérabilité.

Qui peuvent être blessés.

Des hommes qui ont acceptés d’être équilibrés.

Ces hommes-là, bien rare, sont ouverts à leur Sensibilité.

Il y a une Force et une Puissance chez eux, incommensurable.

Elle va bien plus loin que la Force de l’Homme violent et manipulateur.

Ce dernier étant extrêmement faible.

C’est sa Faiblesse qui le pousse à la violence et à la manipulation.

L’Homme Sensible est Fort.

L’homme qui pleure est Beau.

Ces hommes-là connectent le Divin en eux-mêmes.

Ils ne sont plus connectés aux anciennes Énergies Masculines de violence, domination et pouvoir extérieur.

Leur pouvoir et leur souveraineté sont à l’intérieur.

Leur Souveraineté est dans l’Accueil de leurs Émotions.

Leur Pouvoir se trouve dans l’Acceptation de leur Vulnérabilité.

Quand l’Homme Sensible se révèle alors il change le monde.

Car, par son énergie de Sensibilité et d’Amour, il émane une Énergie Nouvelle Bienfaitrice et Créatrice.

C’est de ces hommes-là dont nous avons besoin.

C’est eux les véritables Guerriers.

C’est eux les Gardiens de ce Monde.

Les Protecteurs du Féminin.

Les Faiseurs de Miracles.

Ils n’obtiennent rien par la violence, non.

Ils l’obtiennent par leur Prestance.

Leur Coeur est Ouvert.

C’est lui, l’Homme Puissant en Vérité.

C’est celui qui trouve l’Équilibre en lui entre l’Ambition et le Contentement.

Entre la Fermeté et la Douceur.

Entre la Protection et l’Introspection.

Entre la Stabilité et la Sensibilité.

Cet Homme-là est un Cadeau.

Car le Monde Nouveau émerge de cet Homme.

Cet Homme est connecté au Divin en lui.

Intuitivement, il sait ce qu’il faut faire ou ne pas faire.

Instinctivement, il va suivre ce qui est le mieux pour lui et pour ceux qui l’entourent.

Choisis d’être cet Homme.

Un Homme Humble.

Cet homme doit s’offrir.

Il doit s’offrir au Féminin de ce monde.

Lui montrer qu’il la comprend.

Qu’il est présent quoi qu’il arrive.

De la prendre dans les bras pour la rassurer.

Qu’il l’aime.

Hommes Divins !

Ton Énergie est Transformatrice !

Ton Coeur est Fort !

Sois dans le Coeur, c’est là que se trouve ta Voie/Voix.

Révèles-toi, l’Humanité a besoin de toi !

Avec beaucoup d’Amour et de Courage »

La haine est contagieuse

Plus l’époque est vile, infâme, sanglante et manipulée par le pire de l’Homme, la haine contagieuse et nauséeuse atteint de nombreux coeurs, plus j’ai envie de dire : montez au-dessus des nuages, rayonnez, ne sous-estimez pas votre cœur, soyez plus que vaste, rendez visite à votre grandeur avec courage, liez-vous à des gens extraordinaires, aimez de manière insolente, trouvez votre âme et conversez avec elle

Mabelle

Il est temps de se libérer

Bonjour, j’espère que vous allez bien. Je vous partage un texte de Edgar Durand

Prenez soin de vous

Mabelle

Il est temps de se libérer de tas de dogmes, de croyances non vérifiées, d’assurances qui n’en sont plus, d’éducation installée à grands coups de répétitions…

Ouvrir son esprit à d’autres visions, oser lâcher afin de devenir neutre, libre d’être libre.

IL EST TEMPS…

« Ce n’est pas le temps des élus ou des sauveurs, ni des religions, des loges, des sectes, des groupes « spéciaux », ni des gourous, des pasteurs, des prêtres, des rebelles, des sages, des blancs, des bleus, des violets, des canalisateurs, des chamans, des magiciens, des sorciers, des enseignants, des courants scientifiques, etc.

Et encore moins de la « vraie technique » ou de la « seule façon » de de croire, de suivre ou d’idolâtrer aveuglément.

Il est temps d’être totalement libre et responsable de vous et de vos croyances, de vos actions, de vos choix, de vos goûts et de vos voies…..

Il est temps de chercher, d’enquêter objectivement, de filtrer, d’analyser, de douter sereinement, de questionner, de tester, de vérifier, de discerner, de lâcher et de choisir en toute conscience.

Il est temps d’apprendre, de se souvenir, de ressentir, de respecter, d’accepter, de pardonner, d’être reconnaissant, d’observer, de libérer et de continuer.

Mais SURTOUT, il est temps de vous aimer inconditionnellement, d’honorer votre voie et celle des autres, de méditer, de faire confiance à votre sagesse intérieure et de trouver vos propres réponses, de prendre conscience de l’inconscient, de croire en vous, de diriger votre vie et vos créations, de jouir de votre but et de l’atteindre.

Il est temps d’éveiller le Maître en vous.

Parce qu’un esprit fermé est limité, parce que si le cœur est refoulé, c’est la mort, parce qu’il n’y a pas de vérités absolues mais des états de conscience, parce que l’amour ne se raisonne pas, il se ressent, il se vit et se donne….

Parce que Chacun, chacune est unique et nous sommes tous une conscience en action.

Edgar Duranq

Sur l’amour

Bonjour, je vous espère en forme.

Avec la St Valentin, il y a des coeurs partout, on se croit presque obligé d’être amoureux !!! Et si on commençait déjà par s’aimer soi même ?

Je vous partage un texte de Emilio Alejandro Garcia Jimenez

Prenez soin de vous

Mabelle

Il y a beaucoup, beaucoup de relations où il y a de la tromperie, de la destruction, maltraitance, humiliation, trahison, des mensonges ou attaques.

Il y en a d’autres où il n’y a pas de respect.

L’union est déplorable, il y a des insultes, de la grossièreté, de l’indifférence, peu d’appréciation…

Et il y a aussi l’absence de la présence des deux parties, ils deviennent juste des partenaires, totalement invisibles l’un pour l’autre.

Et pourtant, lorsque la relation prend fin, ils se demandent pourquoi l’amour est fini.

De nombreuses personnes sont dans des relations où elles pensent pouvoir faire ce qu’elles veulent, elles traitent leur partenaire comme elles l’entendent.

Elles disent ce qu’elles veulent, font ce qu’elles veulent et… difficilement pensent à l’impact de leurs actions sur leur partenaire (relation masochiste-destructrice-pathologique-psychologique).

Il y a ceux qui ne se soucient de leur partenaire que lorsqu’ils tombent amoureux.

Et une fois qu’ils sont dans la relation… ils oublient de cultiver complètement la relation.

Ils deviennent ainsi, automatiquement de parfaits étrangers l’un pour l’autre.

Ils sont là mais ils ne sont pas là, ils vivent sans vivre.

Ces relations sont irrémédiablement destinées à « mourir ».

Un jour ou l’autre, elles se termineront.

Et ce sera le cas, parce que ce sera la chose la plus saine pour les deux parties.

Une partie du comportement sain consiste à ne pas être à l’aise dans une telle relation. Puisque les vivre dans le confort, indiquerait que la santé physique-mentale et/ou émotionnelle est déjà trop détériorée pour normaliser un contexte avec tant d’agression, de soumission, de manipulation, de souffrance, de violence et de douleur.

Quand l’amour ne sert plus à rien, il faut apprendre à l’accepter et à le laisser partir.

À ce moment-là, ce n’est plus votre amour, il appartient au monde, à quelqu’un d’autre qui, bien sûr… n’est plus vous.

Respectez-le et offrez-lui un dernier cadeau d’amour : laissez-le s’en aller librement.

N’ayez pas peur de la solitude, craignez plutôt les mauvaises compagnies, le manque d’intérêt, la monotonie, l’absence de vision et d’objectifs.

Ne vous habituez pas au manque d’amour-propre, aux mauvais traitements ou à la dépendance d’une personne qui ne vous respecte pas.

La peur de la solitude fait mal et bien sûr, l’abandon que vous ressentez envers vous-même.

La solitude n’est pas mauvaise, ce serait mauvais de tomber dans de mauvais bras, par peur de ne pas savoir être seul/e.

Apprenez à libérer l’autre quand l’amour n’est plus, ne gardez pas un amour qui est mort par manque de respect et d’intérêt.

L’amour, est seulement de l’amour quand vous le sentez, quand vous le ressentez, quand il est vivant.

Ne vous habituez pas à la douleur. Préférez stopper. Non est un état normal.

Emilio Alejandro Garcia Jimenez

Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience