Le monde change

Aujourd’hui, je souhaite partager avec vous un message profond de Marc de la Ménardière, édifiant de clarté et de bon sens, qui nous concerne tous.

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Des changements ont lieu a tous les niveaux de notre société.

Le changement est avant tout intérieur, nous prenons de plus en plus conscience que nos anciens schémas de pensées ne fonctionnent plus aujourd’hui.

Le monde ancien, qui résiste, incite à la compétition, et prône la séparation  corps-esprit.

Un monde nouveau est en train de naître, influencé par l’interdépendance.

Les recherches scientifiques prouvent désormais qu’évoluer sur un mode de compétitivité, se séparant des autres pour accumuler, est contraire aux lois de la nature. Toute séparation est illusoire, tout ne peut fonctionner qu’en interdépendance avec le reste de l’Univers.

Cette histoire est la nôtre. C’est la chenille qui devient papillon.

Vivez une merveilleuse journée – Mabelle

Le système PEAT

Le système PEAT, activation de l’énergie primordiale de la transcendance

Zivorad

PEAT va plus loin que bon nombre de méthodes. Il résout le coeur du problème, plutôt que de s’occuper des symptômes, et permet une guérison véritable et durable.

J’ai eu l’immense privilège d’être formée par le fondateur de la méthode, Zivorad M.Slavinski. Auteur de plusieurs dizaines d’ouvrages en anglais, en serbe, et bientôt en français, Zivorad est psychologue depuis plus de 50 ans, c’est un grand maître spirituel, et un chercheur infatigable.

Le système PEAT est un ensemble de processus et d’outils de guérison thérapeutique et d’ouverture spirituelle.

La méthode est basée sur le concept de polarités complémentaires, inhérent à tout être humain. Lors de ma formation, Zivorad nous a à plusieurs reprises donné l’exemple d’une personne ayant les polarités Amour, et Liberté. Lorsque cette personne est amoureuse, la polarité Liberté fait qu’elle ne se sent pas libre. Aussi, inconsciemment, elle mettra tout en oeuvre pour briser la relation amoureuse et retrouver cet état de liberté. Mais une fois « libre », elle sera en permanence en recherche de l’Amour, … Et ainsi de suite, toujours ballottée entre les deux, tant qu’elle n’aura pas intégré les 2 polarités en une.

Chacun de nous possède une paire de »Polarités Primordiales » qui influencent notre vie en permanence et nous font souvent répéter les mêmes erreurs, de manière compulsive et inconsciente.

Avec PEAT, nous passons de la dualité à l’unité, du conflit à sa résolution, de la tension à l’harmonie. Les2 polarités continuent à coexister en nous mais ne causent plus de comportements inconscients et compulsifs.

Le système PEAT permet de traiter d’innombrables problèmes physiques, émotionnels, ou schémas de pensée bien ancrés puisqu’il remonte à la source primordiale qui a engendré ces troubles et traumas : stress, syndrôme post-traumatique, mal-être général, addictions, phobies, dépression, manque de confiance en soi.

Une séance PEAT est rapide, trente minutes à une heure maximum. Il n’est pas nécessaire de raconter sa vie en détail, juste le strict minimum concernant le problème à résoudre. En se concentrant exclusivement sur les polarités, et non pas sur l’histoire et les expériences de vie engendrées par celles-ci (il n’est donc pas nécessaire de raconter sa vie en détail), nous remontons vers l’origine de la dynamique traumatique. C’est ici une des différences fondamentales entre le système PEAT et les autres techniques de guérison.

Une douche saine

douche

• Lavez-vous avec l’eau Pi quotidiennement.
• Réduit le chlore et les contaminants. 
• Installation facile et rapide.

Votre corps n’absorbe pas seulement le chlore de l’eau lorsque vous buvez, jusqu’à 50 % de ce que vous absorbez peut provenir de l’eau de votre douche. Prenez soin de votre peau en vous douchant chaque jour avec de l’eau Pi. Il est probable que vous ayez ainsi une peau et des cheveux plus doux.

Le système de douche PiMag ultra utilise une technologie avancée de filtration de l’eau qui enlève le chlore, substance irritante pour la peau et agent oxydant, ainsi que d’autres contaminants courants de l’eau, comme les métaux lourds, sulfites et impuretés, les sédiments et les odeurs, ce qui vous donne des cheveux plus souples sans pellicules et une peau plus douce.

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Avec son installation en quelques minutes sur votre bloc-douche. Le Système de douche PiMag® Ultra est d’une conception durable, de haute qualité et possède cinq réglages de diffusion.

Faites de votre douche un moment de bien-être quotidien avec le Système de douche PiMag® Ultra de Nikken et profitez des bienfaits de l’eau de la vie tous les jours de la semaine ! Prenez soin de vous. 

Mabelle

Le pouvoir de la porte noire

Il était une fois, au pays des mille et une nuits, un roi très critiqué pour ses actes de guerre. Une fois qu’il avait fait prisonniers tous ses ennemis, il les conviait dans une grande salle. Le roi criait :

– Je vais vous donner une dernière chance. Regardez tous à droite.

Tous tournaient la tête vers une rangée de soldats armés d’arcs et de flèches, prêts à leur tirer dessus.

archers

– Maintenant, disait le roi, regardez tous à gauche.

Dans cette direction, les prisonniers pouvaient apercevoir une gigantesque porte noire d’aspect dantesque incrustée de crânes humains sanguinolents, de mains décharnées, de morceaux de cadavre en putréfaction. Une porte d’aspect infernal… qui les faisait frissonner d’horreur.

Le roi se positionnait au centre de la salle

– Ecoutez moi tous. Que désirez-vous le plus ? Mourir transpercés par les flèches de mes archers ou bien tenter votre chance et passer le seuil de la porte noire ? Décidez-vous, je respecterai le choix de votre libre arbitre…

Tous les prisonniers adoptaient le même comportement : au moment de se décider, ils approchaient de la porte géante, lui jetait un regard tourmenté et se prononçaient en tremblant :

– Nous préférons mourir sous tes flèches !

Aucun d’entre eux n’osait ouvrir la porte, imaginant quelle insoutenable destin il trouverait là derrière.

Mais un jour, la guerre fut terminée. Et un soldat qui faisait partie autrefois du peloton d’exécution des archers, osa interroger le roi :

– Tu sais, grand roi, je me suis toujours demandé ce qu’il y avait derrière la porte noire.

Le roi répondit :

– Tu te souviens que je donnais le choix aux prisonniers ? Ils pouvaient pousser la porter ou opter pour une mort certaine. Eh bien, toi, vas ouvrir la porte noire !

Le soldat, frémissant, s’exécuta et la porte tourna sur ses énormes gonds grinçant. Un pur rayon soleil balaya le sol dallé. Alors le soldat ouvrit la porte en grand. La lumière inonda la salle. Elle provenait d’un paysage verdoyant. Le soldat vit un chemin qui montait au milieu des arbres. Et il comprit : ce chemin, c’était celui de la liberté ! – Auteur inconnu

Merveilleuse semaine à vous. Mabelle

Le sucre, doux et irrésistible poison

sucre doux poison

Cette belle poudre blanche est parfaitement légale. Pourtant, consommée à raison de plusieurs kilos par habitant et par an, le sucre favorise de nombreuses maladies. Caries, diabète sont celles auxquelles on pense le plus souvent. Certes. Mais des chercheurs le relient aussi aux troubles cardio-vasculaires, à l’ostéoporose, à l’entretien des inflammations intestinales, à la baisse immunitaire, et au cancer.

Lorsqu’on parle de sucre, la plus grande confusion règne

Elle vient probablement du fait qu’en médecine on parle de sucre pour désigner le glucose nécessaire à nos cellules.

Le médecin dit « Nos cellules ont besoin de sucre », et chacun entend « sucre blanc ». On prépare des plats sucrés afin d’avoir « plus d’énergie »

Les fabricants, et leurs agences de publicité ont, quant à eux, tout intérêt à entretenir cette confusion et à en minimiser les effets.
Si, en effet, le glucose dont parle le médecin (et non pas le sucre) est le carburant qui permet à nos cellules de produire de l’énergie. Les muscles et le cerveau, notamment, consomment beaucoup de glucose. Cependant, le glucose  est le principal constituants des légumes, fruits, céréales complètes et légumineuses. Notre organisme n’a pas besoin d’autres glucides ni d’autres « sucres » que de ceux-là.

Si on a toujours, pour le plaisir, consommé quelques aliments très sucrés (jus de canne, sirop d’agave, miel), la demande a augmenté au XVIe siècle, suite aux grands voyages outre-Atlantique. Après la culture intensive de la canne a sucre, il y a eu la culture de la betterave en Europe, permettant une production industrielle. Ajoutons à cela la publicité qui crée un faux besoin, et on en arrive à une explosion mondiale de la consommation, qui est passée de 8 à 120 millions de tonnes au cours des cinquante dernières années.
En quelques années, d’une consommation de un kilo par an par habitant, nous sommes passé à une consommation édifiante : 54kg par an en Angleterre en 1970. Aux Etats-Unis, c’est pire encore. De nos jours, dans certains pays la consommation approche les 90kilos !

L’histoire du sucre est aussi celle d’un monde qui, en l’espace de quelques siècles a développé un goût obsédant pour un produit dont tout le monde se passait parfaitement par le passé. Freud était accroc à la cocaïne et au sucre, et Hitler était un consommateur compulsif de sucreries.

Et pourtant, ce sucre est une catastrophe sur le plan nutritionnel, un tueur. Les fabricants et les agences de promotion du sucre sont parfaitement au courant, mais ils ont tout intérêt à le cacher, tant le commerce de cette poudre blanche, coté en bourse, est lucratif, ce qui n’est pas sans rappeler le commerce de l’autre ! Oui, le sucre est une drogue, et la toxicomanie au sucre est l’une des affections les plus répandues et meurtrières de notre époque.

Estimer sa consommation réelle de sucre n’est pas si facile car, du sucre il y en a dans la majorité des produits industriels.

Non seulement l’industrie agroalimentaire a créé de nombreux produits très sucrés (sodas, thé glacé, jus de fruits, bonbons, barres chocolatées, biscuits, yaourts, glaces, ketchup…) qui devraient être bannis de notre alimentation, mais elle a su développer une foule de stratégies vicieuses et insidieuses pour cacher soigneusement la plus grande partie du sucre que nous consommons. Elle glisse même du sucre à l’insu de nos papilles dans des aliments non sucrés au goût : plats préparés, conserves, soupe en boîte, charcuterie, cornichons, mayonnaise, moutarde, marinade, ou pain … Le sucre, évident ou caché, est partout et nous empoisonne un peu plus chaque jour.

De plus, il n’est pas toujours facile de le repérer sur les étiquettes, vu les nombreux mots qui le désignent. Beaucoup de mots en « ose » plus faciles à repérer : glucose, saccharose, fructose, maltose, dextrose, lactose, mannose, xylose, mais aussi d’autres répondant aux doux noms de sirop de maïs ou de blé, mélasse, dextrine, malt d’orge, ou même les faux sucres comme le sorbitol, le xylitol ou l’aspartam, tout aussi toxique puisque pouvant aboutir au lupus systémique, une maladie auto-immune, ou à une intoxication au méthanol mortelle.

Etes-vous certain de vraiment vouloir ce petit biscuit ou ce carré de chocolat ?

Magnifique journée – Mabelle

Le petit arbre

sapin

Il y avait une fois dans la forêt un petit arbre couvert d’aiguilles.

 « Ah ! disait-il un jour, mes voisins sont heureux. Ils ont des feuilles qu’on se plait à voir. Les miennes sont comme des aiguilles. Personne n’ose m’approcher. Je voudrais être plus favorisé encore que mes voisins. Je voudrais avoir des feuilles d’or. »

La nuit vient ; le petit arbre s’assoupit, et le lendemain matin il est transformé.

 « Quel bonheur, s’écrie-t-il, me voilà couvert d’or ! Pas un autre arbre de la forêt n’a un vêtement pareil. »

Mais à l’approche de la nuit arrive un vieux, avec de longues mains sèches, une grande barbe et un grand sac. Il jette autour de lui un regard craintif, et voyant que personne ne l’observe, détache les feuilles d’or, les met dans son sac et s’enfuit.

« Ah ! dit le petit arbre, je regrette ces belles feuilles qui reluisaient au soleil. Mais des feuilles de verre pourraient être aussi brillantes. Je voudrais avoir des feuilles de verre. »

Le soir, il s’endort, et le lendemain matin, il est de nouveau transformé. A tous ses rameaux se balancent des feuilles de verre.

« Ah ! dit-il, voilà une jolie parure. Mes voisins n’en ont pas une pareille. »

Mais des nuages noirs s’amassent dans le ciel, le vent se lève, l’orage éclate, et toutes les feuilles de verre sont brisées.

« Hélas ! murmure en soupirant le vaniteux petit arbre, il est bien élégant ce feuillage que j’ambitionnais, mais bien fragile. Mieux vaudrait un vêtement de bonnes feuilles vertes parfumées. »

Le soir, le petit arbre s’endort, et le lendemain matin il est vêtu comme il l’a désiré. Mais l’odeur de ces feuilles fraîches attire les chèvres, qui viennent les manger, et, en se dressant sur leurs pattes arrière, elles mangent jusqu’à la cime du petit arbre, et le laissent entièrement nu.

Alors il reconnut la folie de ses orgueilleux désirs. Il regrette, en s’endormant le soir, ses premières aiguilles, et le lendemain matin se réjouit de les voir reparaître sur ses rameaux.

Elles n’ont point l’éclat de l’or, ni la lumineuse transparence du verre, ni l’attraction des plantes aromatiques ; mais elles sont solides, on ne viendra pas les lui prendre et il les gardera en toute saison.

On veut souvent ce qu’on n’a pas. Ce que possèdent les autres déclenche chez nous l’envie et le manque.

Mais nous pouvons nous concentrer sur nos forces au lieu de nos faiblesses, sur ce que nous avons au lieu de ce qui nous manque.

C’est un des secrets du bonheur.

Merveilleuse semaine

 Mabelle

L’EFT, outil génial pour les enfants

L’EFT est un outil de rêve à offrir à nos enfants. C’est leur apprendre dès le plus jeune âge à gérer leurs émotions et à s’offrir du bien-être et du soulagement rapidement et de manière très ludique. Imaginez les adultes de demain que cela fera, s’ils savent depuis tout petit comment ne pas remplir inutilement leur bagage émotionnel avec des poids trop lourds et encombrants !

eft-enfants

Alors utilisez l’EFT en chantant et riant, et surtout sans modération ! Vous verrez très vite que pipi au lit, stress et petites contrariétés auront tôt fait de n’être que de lointains souvenirs !

Cette méthode pourrait permettre à nos enfant d’entrer dans l’âge adulte emplis de hauts niveaux de paix intérieure et de confiance en eux-même.

Si ces avantages étaient donnés à chaque enfant, les occasions possibles de paix dans le monde dépasseraient de loin celles promises par nos armées, et ses bombes, et autres menaces. En effet, si ces avantages étaient donnés à chacun avec savoir-faire, nos armées, bombes et autres menaces auraient des chances de devenir inutiles. La guerre n’est pas nécessaire pour ceux qui ont vraiment la paix intérieure.

L’idée de base:

L’idée de base est simple. Chaque soir, en mettant au lit leurs enfants, les parents devraient demander…

« Peux-tu me parler de tes bonnes et mauvaises pensées ainsi que des bonnes et mauvaises choses qui te sont arrives aujourd’hui? »

Puis, au fur et à mesure que l’enfant raconte les évènements (bons ou mauvais), les parents devraient tapoter ou frotter les points d’EFT gentiment et avec amour.

Résultats attendus:

Pour les EFT’eurs expérimentés il est facile de voir l’intérêt de tapoter sur les « mauvaises » choses (nous parlerons du tapotement sur les « bonnes » choses plus tard). Pendant que l’enfant raconte son histoire il/elle « est clairement connecté(e) » à son problème. De ce fait, les tapotements sur les points d’EFT auront des chances de résoudre les problèmes ou, au minimum, alléger leurs impacts sur l’enfant.

Ceci est essentiel pour les enfants car ils reprennent constamment des « trucs » de leurs parents, professeurs, pairs, télévision, et ainsi de suite. Ces données ont lieu quotidiennement et s’accumulent sur les années pour remplir ce que nous, adultes, appelons souvent nos « sacs à ordures émotionnels. »

Naturellement, si ces données restent non résolues, elles formeront des « limitations » inutiles et contrecarreront l’accomplissement de nos vrais potentiels. Souvent ces peurs, culpabilités, peines, et traumas inutiles ont un effet retentissant sur nos « réalités d’adulte » et nous coûtent très cher, autant en paix intérieure qu’à nos portefeuilles.

Quelques exemples de « mauvaises » choses que les enfants pourraient évoquer seraient….

  • « Papa m’a effrayé quand il m’a hurlé dessus. »
  • « J’ai vu un monstre à la télévision manger des personnes. »
  • « Mon professeur pense que je ne suis pas très intelligent. »
  • « Je ne peux pas courir aussi vite que Jimmy. »
  • « Donna est plus jolie que moi. »
  • « Le pasteur m’a dit que je dois être parfait sinon Dieu ne m’aimera pas. »

Bien sûr, il y a des milliers d’autres exemples qui s’installent comme invités non invités dans le psyché des enfants. La plupart sont des fictions et on peut soutenir qu’elles ont un impact bien plus important sur le développement de la vie d’un enfant que n’en a son éducation.

Les parents vigilants ont une occasion manifeste d’écarter au quotidien ces « dévoreurs de confiance en soi ». Plus encore, le processus peut apporter beaucoup aux parents comme aux enfants parce que des enfants aiment être touchés (tapotés, frictionnés) avec affection. Pendant que vous donnez de l’amour à vos (nos) enfants de cette façon, vous pouvez leur poser plus de questions sur « ce qui s’est passé aujourd’hui » et aller encore plus profondément dans les problèmes. Mieux encore, en faisant de l’EFT à vos enfants, vous pouvez proposer des recadrages (une autre façon de penser) qui auront toutes les chances d’être plus efficaces que si vous les ameniez au cours d’une conversation normale.

Ce processus entier est également utile pour les enfants en bas âge. Malgré le fait que les enfants en bas âge ne puissent pas nous dire ce qui les tracasse, le seul fait qu’ils pleurent ou qu’ils démontrent tout autre signe de détresse indique aux parents que quelque chose (par exemple. une crainte, un trauma, ou un malaise physique) a besoin d’être résolu. Pendant ces moments de détresse l’enfant en bas âge « est connecté » à son problème et en parfaite condition pour l’EFT. L’ajout des tapotements d’EFT à l’habituel « tout va bien » et autres paroles apaisantes, va probablement rapporter, à long terme, d’importantes dividendes.

Peut-être avez vous remarqué que je n’ai pas inclus de phrase EFT de Préparation dans ce processus. Il serait naturellement utile de l’inclure, bien que les enfants semblent en avoir moins besoin que les adultes. Vous pourriez vouloir utiliser le langage ci-dessous, lorsque vous l’incluez (en la disant les enfants s’illuminent)….

« Même si j’ai ce___________________, je suis quand même trop fort. »

Comme mentionné précédemment, de tapoter les points d’EFT est utile même quand l’enfant parle de ses « bonnes » pensées et événements de la journée. Fait correctement, l’EFT parental peut ajouter un élément apaisant à la discussion. De plus, bien que l’enfant parle de quelque chose de positif, une « comparaison négative » est souvent cachée derrière. Par exemple, si l’enfant dit…

« Aujourd’hui ma maîtresse m’a complimenté devant toute la classe. » ….la comparaison négative à l’arrière pourrait être… « Mais parfois elle gronde des enfants ou les ignore et j’ai peur que ça m’arrive. »

Dans ce cas, malgré le fait que le tapotement soit fait pour la « bonne » déclaration de la maîtresse, il est susceptible de réduire aussi la peur impliquée dans la comparaison négative. Ainsi, l’application de l’EFT aux « bons » et « mauvais » sujets est susceptible d’apporter, d’un bout à l’autre, des avantages considérables.

Naturellement, nous sommes tous des enfants (bien que certains d’entre nous aient développé quelques rides), ainsi cet article n’a pas besoin d’être limité à une catégorie d’âge précise. Quelque soit votre âge, ne serait-il pas agréable que quelqu’un vous pose des questions sur les « choses » de votre d’enfance ? Et ne serait-ce pas encore plus agréable de résoudre quotidiennement ces problèmes ? Peut-être vous pourriez échanger ce service avec quelqu’un, ou simplement juste faire le processus en solo.

Il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse.

Traduction du site www.eftuniverse.com

En espérant vous aider à avancer sur votre chemin – Mabelle

Comment procéder pour peindre la soie ?

Il existe de nombreuses techniques pour peindre la soie. Celle décrite ci-dessous est celle que j’utilise le plus souvent. Il s’agit de la technique de serti à la gutta

soie1-Commencer par découper un morceau de soie de la taille du cadre, tout en laissant 2 cm dépasser tout autour, afin de pouvoir fixer les punaises.

2-Fixer la soie sur le cadre, avec les punaises sur tout le pourtour du cadre, en prenant soin de tendre la soie doucement, mais fermement. Pour un bon travail la soie doit toujours être très bien tendue. Débuter par une punaise dans chaque coin, puis répartir à distance égale sur les quatre côtés.

Une soie mouillée sera plus détendue et facilitera le travail. Plus la soie est grande, plus il faudra être soigneux lors de sa fixation.

3- Pour peindre sur la soie, il n’est pas impératif de savoir dessiner, ce n’est pas primordial, puisqu’il existe dans les magasins de loisirs créatifs, des livres avec des modèles à décalquer, ou des soies déjà imprimées de motifs prêts à peindre. Il est possible bien entendu de laisser libre cours à son imagination et de créer ses propres dessins. Cependant, il est préférable de dessiner le motif à reproduire sur papier et d’ensuite les décalquer sur la soie. Bien entendu, chacun est libre, et en fonction de ses talents et de la complexité du dessin, on peut également passer directement à l’étape suivante sans passer par le feutre, c’est-à-dire tracer immédiatement à la gutta.

Pour décalquer, déposer le dessin sur la table, poser le cadre de soie à l’envers sur le dessin, et reproduire le dessin sur la soie, par transparence, avec le feutre auto-effaçant (il s’effacera au bout de 48heures maximum, cela peut varier selon les marques). Retourner le cadre pour commencer le travail de la gutta.

Certains préfèrent glisser le dessin sous la soie en le maintenant avec quelques épingles fines, glisser une planche ou un gros livre dessous, afin que le papier touche la soie. Et dessiner ensuite avec le feutre avant d’enlever le dessin et livre ou la planche avant de passer au travail de la gutta.

gutta4-L’étape suivante doit être réalisée avec le plus grand soin. A l’aide de la pipette remplie de gutta, repasser sur le dessin au feutre, et laisser sécher une vingtaine de minutes. Une gutta trop épaisse ou trop fluide ne joue plus son rôle de barrage et laisse fuser le colorant. Plus le tissu est épais plus la gutta doit être fluide pour bien le pénétrer

Avant de commencer, il est toujours préférable de faire un essai sur un morceau de soie pour tester la fluidité du produit. Une gutta trop épaisse ne joue plus son rôle de barrage et laisse fuser la couleur (plus le tissu est épais et plus la gutta doit être fluide pour bien le pénétrer).La gutta devrait avoir la consistance du miel liquide. Si elle est devenue trop épaisse, il est possible de la diluer avec quelques gouttes d’essence F en mélangeant bien.

La pipette se tient au-dessus du travail comme un crayon, mais pas trop inclinée, pour faciliter l’ écoulement de la gutta. Passer sur les traits souplement en appuyant légèrement sur les côtés du flacon pipette, en effleurant la soie.

Il est important de ne pas vouloir aller trop vite sinon la gutta risque de ne pas s’écouler en quantité suffisante

Eviter les arrêts au milieu d’une courbe, ou les à-coups. Et surtout, le trait doit toujours être fermé d’un bout à l’autre, sans quoi la peinture fusera par l’interstice.

Pour reprendre un trait sans marque visible, exercer d’abord une pression sur la pipette pour assurer l’ arrivée de la gutta, essuyer, la goutte. Puis positionnez la pointe de la plume non pas à l’ arrêt du trait précédent mais quelques millimètres plus haut, et commencer une pression progressive en allongeant le trait.

Attention, une goutte peut se former à la sortie de la plume, au début ou à la fin du travail, mieux vaut penser à l’ essuyer avec un chiffon ou du papier de cuisine.

5-Dès que l’on pense avoir passé la gutta sur tous les traits de feutre, retourner le travail à l’envers et vérifier avec beaucoup d’attention que la gutta est bien passée partout et faire les raccords le cas échéant.
Il est très important que la gutta soit parfaitement passée à l’endroit comme à l’envers, faute de quoi la peinture fusera et le travail est perdu.

Il est toujours préférable, surtout lors des première réalisations, d’effectuer un contrôle supplémentaire des endroits qui paraissent critiques : tester l’étanchéité du tracé en mouillant une partie du dessin avec un pinceau imprégné d’eau; si l’eau se répand au-delà de la surface testée, la peinture le fera aussi! Dans ce cas, attendre que la soie soit à nouveau sèche, et repasse une couche de gutta là où cela s’avère nécessaire. Il est possible d’accélérer le séchage de la gutta avec un sèche cheveux.

Dès qu’on en a terminé avec la plume, et si on n’utilise pas la gutta tous les jours, il faut impérativement la baigner dans un flacon d’essence F, c’est le seul moyen de la nettoyer parfaitement.

Si je sais que j’utiliserai ma gutta le lendemain, je remets simplement le petit embout métallique sur la plume. Cela suffit amplement à conserver la gutta jusqu’au lendemain.

peintures6- Enfin, un moment très agréable et relaxant… La mise en couleur.

Certains humidifient la soie avec un pinceau mousse plat (en évitant qu’elle soit trop mouillée. Elle ne doit pas briller). Personnellement, je peins toujours sur soie sèche.

Il existe une large gamme de peintures qui se mélangent parfaitement entre elles, et permettent ainsi de créer d’autres nuances, avec une infinité de combinaison.

On pose une seule couleur, ou un mélange de couleur dans un même motif (on dépose les couleurs sur la soie en le faisant se mélanger là où elles se rencontrent). Ou encore, on pose une couleur pure qu’on dilue par endroit en passant le pinceau avec de l’eau. Ces mélanges doivent toujours être fait quand les couleurs sont encore humides… sinon bonjour les auréoles. Finalement on laisse son imagination travailler.

Une fois sur la soie, il n’est plus possible d’enlever la couleur, ce qui laisse très peu de marge d’erreur.

La couleur fuse, et là, c’est magique. Puis, elle s’arrête lorsqu’elle rencontre le trait de gutta. C’est aussi le moment de vérité : si la gutta n’a pas été bien passée sur tous les traits du dessin, trop superficielle ou trop fin, le trait mal fermé, la peinture sort du motif.

Une petite tâche peut être « lavée » à l’alcool pur, avec un coton tige. Mais, il faut savoir que la couleur va se reporter en cerne contre le trait de gutta. Par ailleurs, il ne faut pas utiliser trop d’alcool, qui risque de détériorer la gutta.

Si la tâche est plus importante, la seule solution est de la recouvrir d’une teinte plus foncée.

Il vaut donc toujours mieux appliquer les teintes les plus claires en premier, ce qui permet de contrôler s’il existe des faiblesses dans le serti de gutta.

Les peintures sèchent très vite, il convient de travailler rapidement les grandes surfaces. Pour réaliser une surface uniforme, il ne faut jamais retoucher une surface déjà sèche, cela produirait une auréole. J’utilise 2 pinceaux en même temps (j’ai la chance d’être ambidextre) un pinceau mousse et, un petit pour les endroits délicats. Je veille à ce que le tissu reste toujours mouillé partout, en mettant de la couleur une fois à droite, puis une fois à gauche, alternativement. Ensuite, je frotte doucement partout, avec une boule de coton, pour que la couleur soit bien uniforme.

Que mes articles vous plaisent, ou vous déplaisent, laissez-moi un petit commentaire – Mabelle