Archives de catégorie : Inspirations

Le temp de la reconnaissance

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage un texte de Monique Damel. La Voie de l’Etoile.

Prenez soin de vous

Mabelle

Ton passé est derrière toi, cesse de t’y accrocher au risque de faire comme le lierre sur le mur, de ramper dans ta vie.

Le temps de la rumination est terminé, ne nourrit plus la non-vie, accueille le privilège qui t’est donné de vivre autrement, si tel est ton désir, réalise-le.

Sur ce nouveau chemin de la reconnaissance de toi-même, accepte de ne pas être aimé, admiré de tous, de penser qu’il est nécessaire de tout réussir dans la vie, d’imposer un véto sur la vie quand les choses se passent différemment de ton bon vouloir.

Le temps de la reconnaissance passe par la propre cohérence avec toi-même, d’assumer tes choix, de cultiver la patience, la tolérance envers ton cheminement, de rentrer dans le discernement, le recul envers toute situation.

Le temps de la reconnaissance de ton Être t’amène à ne plus te sentir déstabilisé par la peur, les réflexions blessantes, les actions venant des autres.

Le temps de la reconnaissance t’invite à rester fixé sur tes objectifs en persistant dans la réalisation de ce que tu décides de vivre. Reconnais ton pouvoir, ta puissance de créer ta propre vérité en restant aligné sur tes valeurs.

À ce stade, tu n’attends plus la reconnaissance des autres, tu te reconnais toi-même dans toute ta splendeur d’être divin et unique.

Monique Damel. La Voie de l’Etoile.

Une larme dans mon oeil

Bonjour, je vous espère en pleine forme.

Je vous partage un texte de Valentino Riad

Prenez soin de vous – Mabelle

« J’ai vu une larme couler

J’ai demandé à l’oeil :

« Pourquoi pleures-tu ?

Est-ce un amour ?

Est-ce un ami ?

Est-ce une promesse non tenue ? »

L’oeil m’a répondu :

« Je pleure ce monde,

Que le matérialisme inonde,

Ce monde de ventrus,

Où l’altruisme et la générosité n’existent plus,

Ce monde où on est rassasié

De trahison et de méchanceté

Je pleure l’infidélité des proches et la malhonnêteté,

Je pleure l’amour éphémère qui s’éteint avec rapidité

Je pleure l’indifférence de l’être cher .

Je pleure les désespérés qui se droguent pour oublier leurs soucis,

Je pleure la haine et la jalousie,

Je pleure ceux qui, clandestinement, quittent leur pays,

Je pleure les valeurs bafouées.

Je pleure les femmes agressées.

Je pleure le virus qui touche l’humanité,

Et entrave le monde entier,

Je pleure les coeurs durs, sans pitié,

Je pleure l’absence de tendresse et de bonté

Le manque de cette main douce qui puisse m’essuyer… »

Ne pas en faire une affaire personnelle

Bonjour, comment allez-vous ?

Je vous partage une réflexion de Émilie Soin et Guérison

J’aimerais revenir sur un des accords Toltèques que je trouve très intéressant: « ne pas en faire une affaire personnelle ».

En effet, nous avons la fâcheuse tendance à tout prendre pour nous, à tout ramener à nous, et ce, même lorsque cela ne nous concerne pas directement.

Nous nous sentons facilement meurtris, blessés, agressés dans les situations que nous traversons, alors qu’en général notre « personne » n’a rien à voir avec la situation en question.

En réalité, lors d’une « altercation » notre être n’est pour rien dans le conflit, l’autre ne nous vise pas en particulier, mais essaie de régler des comptes avec une partie de lui même.

Don Miguel Ruiz résume très bien cela dans cette phrase : « je suis seulement responsable de ce que je dis, je ne suis pas responsable de ce que vous entendez ».

Par exemple, il m’est arrivé un jour de parler du principe de la réincarnation avec une personne totalement opposée à cette croyance.

Cette personne m’a rétorquée que la réincarnation était une ineptie, mais surtout que c’était dangereux de croire en de telles choses, car cela pouvait pousser l’Homme a faire n’importe quoi puisqu’il aurait d’autres « essais », d’autres vies.

Bien que cette personne s’avérait de plus en plus énervée, cela n’était pas une attaque contre moi, contre mon être, ce que JE SUIS, mais envers une croyance qui lui faisait peur et qu’elle ne comprenait pas.

Et comme je ne partageais pas son point de vue, cette personne se montrait de plus en plus agressive.

Nous sommes les seuls à pouvoir décider qu’une attitude nous affecte ou non.

Si nous décidons qu’une personne nous blesse, que son attaque nous touche,

c »est notre choix, et dans ce cas nous pouvons décider d’entrer dans une bataille égotique où chacun imposera à l’autre sa Vérité, mais il s’avère bien plus efficace de ne pas en faire une affaire personnelle en prenant conscience que l’autre ne s’attaque pas véritablement à ce que nous sommes,

mais à quelque chose qui lui fait peur, car seule la peur divise.

Dans mon exemple, la personne s’est simplement sentie déstabilisée que je ne partage pas sa Vérité. Mais finalement cela n’engage qu’elle, tout comme ma croyance n’engage que moi.

Ainsi, lors d’un conflit, lors d’une divergence de propos, lors d’un dispute, ce n’est pas notre personne qui est visée mais une croyance.

Par ailleurs, si j’entre en conflit avec quelqu’un, si son attitude me froisse, si je suis en colère, c’est parce que son attitude touche une partie de moi, ceci est une indication d’une chose en moi non acceptée, refoulée, effacée, alors à moi de comprendre pourquoi cela me touche autant et d’avancer.

Il s’agit d’un effet miroir, l’autre devient notre miroir et il est parfois désagréable de s’y regarder.

Lorsque l’on prend conscience de tout ça, que rien ne peut nous affecter sans notre accord, et surtout que notre être ne soit jamais attaqué car les seules batailles qui existent sont celles qui opposent un Homme et son ego, il devient plus simple de lâcher prise sur la vie, de ne plus se sentir offusqué, agressé, trahi, énervé, blessé…

Après tout, à qui a t-on des comptes à rendre à part nous même?

Prenez soin de vous. Mabelle

Ta part de rêve

– Moi je sais pourtant comment rendre ta vie intéressante.

– Ah oui ? De quelle manière ?

– En allant chercher la part de rêve qui te revient de droit

Peut être de l’art

.- Et où est-elle, cette part ?

– Un peu partout dans le monde. Mais surtout en toi !

Maxence Fermine- (Le Violon noir)

Ayez le courage

Bonjour, je vous epère en grande forme. Je vous partage ce matin un texte de Maud Albertini et vous souhaite une très agréable journée.

Ayez le courage d’essayer.

Ayez le courage d’être vous, qui vous êtes vraiment.

Ayez le courage de contredire les gens qui ne croient pas en vous, en faisant des choix qui s’alignent avec votre cœur..

Allez-y, ayez le courage de suivre votre cœur.

Ayez le courage d’aimer.

Pour espérer.

Pour croire à jamais.

Ayez le courage de laisser vos masques derrière vous

et de quitter les faux semblants, les fausses personnalités et tous les substituts qui cachent votre vrai visage.

Soyez réel, tel que vous êtes, qui que vous soyez

Ayez le courage de cesser de vouloir ressembler à tout le monde pour au final n’être personne…

Regardez au-delà des apparences, mais aussi au-delà de votre apparence….

Ayez le courage de vivre la vie que vous rêvez vraiment depuis toujours.

Vraiment.

Cesser de toujours vous excuser, vous justifier et de vous rabaisser pour faire plaisir….

Ayez le courage de laisser derrière vous tous les scénarios de la normalité et cessez de vous sentir coupable parce que les autres veulent vous le faire croire.

Ayez le courage de demander ce dont vous avez besoin et de vous éloigner de tous ceux qui ne peuvent pas vous le donner.

Ayez le courage de croire que l’Amour existe vraiment, et que ce n’est pas parce que vous avez souvent été déçu e, trahi e et abandonné e que vous n’y avez plus droit….

Ayez le courage de continuer à y croire, à espérer, à rêver et à nourrir vos rêves et vos ambitions, tout le temps, sans jamais vous arrêter, sans jamais cesser d’y croire même si tout en ce moment vous laisse croire le contraire.

Ce n’est pas vrai, vous finirez par y arriver, continuez, continuez sans relâche….

Faites des pauses, mais continuez toujours tant que vous avez des forces, tant que vous êtes en vie, tant que vous n’êtes pas mort….

Alors ayez le courage…

Le courage de vivre vraiment.

Mabelle

Quel est le premier signe de civilisation ?

Bonjour,

Je vous espère en forme par ce dimanche gris mais où nous pouvons admirer les premiers signes du printemps avec quelques perce-neige, crocus et jonquilles en fleurs.

Quel est le premier signe de civilisation dans une culture. Voilà une bonne question. Il y a des années, un étudiant a posé la question à l’anthropologue Margaret Mead.

L’étudiant s’attendait à ce que Mead parle d’hameçons, de pots d’argile ou de pierres à moudre.
Mais non. Mead a répondu que le premier signe de civilisation dans une culture ancienne était un fémur (os de la cuisse) qui avait été cassé puis guéri. Mead explique que dans le règne animal, si l’on se casse une jambe, on meurt. Vous ne pouvez plus fuir le danger, aller boire à la rivière ou chasser pour vous nourrir. Vous êtes de la viande pour les bêtes qui rôdent. Aucun animal ne survit à une jambe cassée assez longtemps pour que l’os guérisse.
Un fémur cassé qui a guéri est la preuve que quelqu’un a pris le temps de rester auprès de la personne qui est tombée, a pansé la blessure, l’a transportée en lieu sûr et l’a soignée jusqu’à sa guérison. Aider quelqu’un d’autre à surmonter une difficulté est le point de départ de la civilisation, a déclaré M. Mead.

C’est en servant les autres que nous donnons le meilleur de nous-mêmes certainement pas en partant à la frontière russe en septembre comme cela est prévu pour les militaires français. Les dirigeants, mais surtout l’UE et l’OTAN veulent la guerre, ne la leur donnons pas.

Soyez civilisés.

Mabelle