L’incroyable histoire de Carol

Bonjour,

J’espère que vous allez bien.

Je vous partage l’histoire de la miraculée Carol Haye

Tombée malade le 8 novembre 2021, et bien qu’elle considérait que ce n’était pas une bonne idée, Carol est hospitalisée le 18 novembre 2021.

À l’hôpital elle est diagnostiquée « pneumonie Covid-19 ».

Elle raconte son incroyable aventure dans une vidéo (qu’une fois encore je n’arrive pas à partager ici, mais vous pouvez la retrouver sur VK). Elle explique qu’à peine hospitalisée, elle a immédiatement subi de très fortes pressions « émotionnelles » par les médecins et les infirmiers afin qu’elle accepte d’être mise sous respirateur artificiel, ce qu’elle voulait vraiment éviter sans y réussir. Elle précise que d’après ses propres recherches, la meilleure chance qu’elle avait de s’en « tirer » était qu’elle puisse prendre de l’Ivermectine.

La suite est surréaliste (rappelons que nous sommes en 2022).

Elle raconte qu’elle a réussi à obtenir une ordonnance du précieux médicament par un médecin externe à l’hôpital, mais lorsque son mari, Mike, a voulu lui remettre l’Ivermectine, il n’a pas été autorisé en entrer dans l’hôpital et il a alors demandé au personnel de remettre ce médicament à sa femme.

Cela ne s’est pas passé comme prévu. Le médecin qui la suivait à l’hôpital est passé la sermonner en lui expliquant que l’Ivermectine était un « mauvais » médicament, qu’il n’allait pas lui donner celle que son mari lui avait apportée et que toute façon cela ne faisait pas partie du protocole thérapeutique de l’hôpital. (Je rappelle qu’il a été démontré début décembre que la personne qui a fait l’étude démontrant l’inutilité de l’Ivermectine a été corrompue pour falsifier l’étude et, si j’ai pu avoir l’information, tout médecin est capable d’en faire autant, à moins d’être corrompu et de préférer faire semblant de ne rien savoir).

Apprenant cela, son mari a réussi à se procurer de nouveau le précieux médicament et dans l’espoir que son épouse puisse y avoir accès, il a fait fondre l’arrière d’une tablette de chocolat afin d’y insérer les précieux comprimés.

Le chocolat refroidit, il referma l’emballage de la tablette qu’il fit parvenir à son épouse avec d’autres choses dans un sac, qui cette fois lui fut transmis (après vérification du contenu par les infirmiers. Pire qu’en prison pour les criminels et violeurs).

Carole explique alors, qu’une fois la tablette de chocolat en sa possession, elle l’a rapidement déballée afin de tout aussi rapidement avaler les précieux comprimés d’Ivermectine.

Douze heures plus tard, un médecin hospitalier accompagné d’une infirmière, en faisant sa visite et en regardant les statistiques du respirateur, s’est exclamé « c’est impossible, la machine doit être en panne ». L’infirmière lui a répondu que non, elle fonctionnait.

Le médecin dit de nouveau « c’est impossible, elle est passée de 100 % à 30 % de dépendance à l’oxygène, elle respire quasiment toute seule. » (ah bien oui docteur c’est ce qui se passe quand on soigne les gens plutôt que de les laisser mourir).

Dans la soirée du 22 novembre 2021, Carole a quitté le service des soins intensifs de l’hôpital. Miraculée à l’Ivermectine cachée dans une tablette de chocolat, elle sortira guérie de cet enfer hospitalier.

Ce qu’elle tient à dire au monde entier, c’est que l’Ivermectine lui a sauvé la vie.

Ces médecins et le personnel hospitalier doivent être jugés, sévèrement ! Comme tant d’autres qui refusent de soigner les malades, se contentant de les mettre sous respirateur en attendant leur mort quasi certaine et de toucher l’argent de la sécurité sociale. Honte à eux.

Si Carole n’avait pas pu se faire livrer clandestinement de l’Ivermectine à l’hôpital, elle aurait sans doute rejoint les dizaines de milliers de morts à l’hôpital par refus de soins avec les médicaments efficaces que sont l’Ivermectine, l’Hydroxychloroquine, l’Azithromycine, …

Les politiciens qui interdisent la délivrance d’Ivermectine, ces médecins qui refusent de soigner les malades avec ce médicament, sont des assassins que nous devrons juger, sévèrement. Très sévèrement.

Si Carole avait été en France plutôt qu’au Royaume Uni, et non-vaccinée, les autorités gouvernementales ainsi que les pseudo-médecins de plateaux télé nous auraient expliqué qu’elle avait « encombré » le service de réanimation inutilement avant de mourir, et que son hospitalisation avait sans doute causé la mort d’autres malades qui n’ont pas pu être soignés, car sa présence a saturé le service de réanimation de l’hôpital qui l’a soignée gratuitement. Bien évidemment ils n’auraient pas dit un seul mot sur l’assassinat qu’ils venaient de commettre par appât du gain, pas un mot non plus sur le fait que la majorité des hospitalisés sont vaccinés et que les morts décèdent des suites de l’injection expérimentale. Rien de plus sur le fait que les vaccinés ont coûté des dizaines de milliards en 2021 dont une partie, rappelons-le, payés par ces personnes qui refusent l’injection. Pas le moindre mot sur les plus de 5000 lits qui ont encore été supprimés durant cette soit-disant pandémie en 2021. Ils ne parleront bien évidemment jamais de leur serment d’Hippocrate qu’ils ont jeté aux poubelles en même temps que leurs valeurs, leur honnêteté, leur intégrité, leur humanité.

Si Carole avait été vaccinée 2 doses, les mêmes autorités gouvernementales ainsi que les mêmes pseudo-médecins de plateaux télé nous auraient alors expliqué qu’elle était morte faute d’avoir fait sa 3e ou 4e dose à temps.

J’espère de tout mon cœur que ces assassins seront tous radiés, jugés et ne pourront plus jamais approcher un patient de toute leur vie, que ces politiciens ne pourront plus jamais prendre la moindre décision concernant la santé et la vie des citoyens.

Mabelle