Lutter contre l’hypoxie

Bonjour, je vous espère en forme.

Hypoxie, qu’est-ce que c’est ?
L’hypoxie désigne un manque d’apport en oxygène dans les tissus de l’organisme.
Elle survient lorsque cet apport est trop faible par rapport au besoin cellulaire, qui varie en fonction des tissus et des organes. Par exemple, le cœur consomme plus d’oxygène que le muscle en effort et beaucoup moins que le cerveau.

Le terme hypoxémie est utilisé lorsque la quantité d’oxygène dans le sang est inférieure à la normale (98 %/99 %), tandis que l’hypoxie fait référence au manque d’oxygène dans les tissus. Ces deux notions sont interdépendantes mais l’hypoxie peut survenir même si l’apport en oxygène dans le sang est suffisant.
L’hypoxie peut donc affecter une partie du corps ou sa totalité.

Pourquoi serais-je en hypoxie alors que je respire suffisamment d’oxygène ?
En effet l’air que nous respirons contient suffisamment d’oxygène (en partant du principe que nous respirons suffisamment d’air, ce qui n’est pas le cas avec les masques, je le répète depuis des mois et que nous ne respirions par notre propre gaz carbonique). Mais une fois respiré, celui-ci doit parcourir un chemin complexe jusqu’aux cellules.
Ce n’est donc pas la quantité d’oxygène respiré qui pose problème mais sa bonne utilisation au sein de l’organisme. Avant de pouvoir être utilisé, l’oxygène doit arriver au fond des alvéoles pulmonaires, être capté par le sang, véhiculé dans tout l’organisme à travers les milliers de kilomètres du réseau sanguin. Il approvisionne ensuite les tissus, pour être absorbé par les cellules qui en ont un besoin constant pour fabriquer de l’énergie – c’est-à-dire permettre la respiration cellulaire.
Seulement voilà, le parcours peut être semé d’embuches, lesquelles peuvent s’accumuler et conduire à une hypoxie.

Suis-je concerné ?
Nous sommes tous concernés : tout d’abord en raison du vieillissement au cours duquel l’assimilation de l’oxygène ralenti. Mais aussi en raison de notre mode de vie et parce que nous vivons dans un environnement qui multiplie les freins à une bonne utilisation de l’oxygène.

Ces freins peuvent se situer à chaque étapes du voyage de l’oxygène à travers le corps :
– L’air ne parvient pas suffisamment au fond des alvéoles pulmonaires en raison d’une infection par exemple
– Le sang ne contient pas suffisamment de globules rouges pour capter l’oxygène (anémie)
– Le globule rouge est piégé par des gaz toxiques venant de la pollution (à la campagne comme à la ville), ou du tabac
– Les vaisseaux sont obstrués : vieillissement, blessures, mauvais métabolisme
– La cellule est endommagée et la respiration cellulaire se fait mal

L’environnement, la pollution, le stress, les maladies, les excès, la mal bouffe…sont les principaux éléments qui entretiennent l’hypoxie.

Quelles sont les conséquences ?
Lorsque l’oxygénation est ralentie de façon régulière, localement ou globalement, l’hypoxie s’insinue discrètement pour devenir chronique.
Les premiers signaux peuvent être une fatigue, de l’essoufflement, une perte d’énergie, un état dépressif, un manque de mémoire, une difficulté de concentration, des problèmes d’endormissement
L’hypoxie devient à la fois cause et conséquence d’un mauvais métabolisme, lequel entraine alors des dysfonctionnements au niveau des organes.

L’hypoxie est délétère pour l’organisme, en particulier pour le foie, le cœur et surtout le cerveau qui a des besoins énergétiques élevés (20 % des besoins énergétiques totaux de l’organisme au repos).
Elle peut favoriser l’installation du diabète, des maladies neurodégénératives et en générale des pathologies inflammatoires et dégénératives.

Mais sans aller jusque-là, pour vivre bien et lutter contre les agressions de la vie moderne, il est important pour chacun de préserver ou de retrouver une bonne oxygénation cellulaire.

Pour vivre bien et lutter contre les agressions de la vie moderne, il est important pour chacun de préserver ou de retrouver une bonne oxygénation cellulaire.

Une solution grandeur nature

René Jacquier avait constaté que depuis l’Antiquité, les lieux de santé se situaient dans des forêts de pins et de sapins. D’observations en expériences, il trouva dans les essences du pin des Landes (Pinus pinaster) la réponse à ses questions.

Le rôle de l’essence de pin

L’essence de résine de pin, riche en alpha et beta pinènes, est composée de molécules aromatiques insaturées qui offrent la possibilité d’une liaison chimique supplémentaire.
Dans l’atmosphère et dans certaines conditions physiques et météorologiques, elles se chargent fortement en oxygène, ce qui les rend très réactives.
C’est à partir de ce phénomène naturel que René Jacquier a imaginé la solution Bol d’air : utiliser l’huile essentielle de résine de pin (térébenthine), pour créer un transporteur d’oxygène.

Un oxygène hautement assimilable

Les pinènes de l’huile essentielle Orésine®, transformés par peroxydation, deviennent des facilitateurs de l’oxygénation cellulaire. D’où le nom de biocatalyseurs que leur donnait René Jacquier.
Le mécanisme est triple :
• l’oxygène est mieux distribué aux cellules. En effet, l’hémoglobine “capte” plus volontiers les
pinènes oxygénés que l’oxygène seul. A quantité équivalente dans l’air inspiré, elle en transporte
davantage vers les cellules
 l’oxygène est plus facilement libéré dans les tissus : transporté par l’intermédiaire des pinènes, il
est moins solidement lié à l’hémoglobine
• l’oxygène est délivré sous une forme naissante, hautement assimilable par la cellule.

Une oxygénation équilibrée

Avec le Bol d’air, l’organisme est simplement et naturellement mieux oxygéné :
 la respiration cellulaire s’effectue sans risque de stress oxydatif lié au déficit ou à l’excès d’oxygène
 la fonction mitochondriale s’améliore :
– accroissement de la production d’énergie
– renforcement des défenses anti radicalaires
 la biodisponibilité de l’oxygène est améliorée.

Cette approche n’a rien à voir avec une oxygénation quantitative qui consiste à inhaler plus d’oxygène qu’il n’y en a naturellement dans l’air. Elle est naturelle, sans danger et sans accoutumance.

Si l’achat d’un bol d’air Jacquier vous tente mais que vous souhaitez l’essayer auparavant, je vous propose des séances d’essai, sur rendez-vous. Par contre, je ne vends pas d’appareil et vous devrez vous adresser directement à la société pour votre achat.

Prenez soin de vous

Mabelle