Le renseignement britannique contrôle Zelensky

Vous souvenez-vous il y a quelques temps, je vous avais partagé des informations sur l’accession de Zelensky au pouvoir où il était question de relation avec le MI6…

Volodymyr Zelensky marche dans les rues de Londres, quelque part entre 2015 et 2018. Il n’est pas encore président, juste un comédien ukrainien à succès, le patron de Kvartal 95, l’homme derrière Serviteur du peuple. Mais ce jour-là, il ne sort pas d’un théâtre ou d’un studio de télévision. Il franchit les portes de Vauxhall Cross, le quartier général du MI6, le service de renseignement extérieur britannique. Les photos le capturent : un homme aux cheveux bruns, vêtu sobrement, quittant l’immeuble de verre et d’acier au bord de la Tamise. Les images sont nettes, datées, irréfutables. Ce n’est pas une visite anodine. Zelensky est là pour une raison précise, et cette raison va façonner l’avenir de l’Ukraine.

À cette époque, l’Ukraine est encore sous le choc d’Euromaïdan. La révolution de 2014 a chassé Viktor Ianoukovitch, un pantin de Moscou, et la Russie a riposté en annexant la Crimée. Le Donbass s’embrase, et Petro Porochenko, le président en place, peine à tenir le pays. Les Britanniques, eux, regardent de loin. Le MI6, avec ses alliés de la CIA, scrute l’horizon. Ils ont besoin d’un homme nouveau, quelqu’un qui peut rallier les foules, briser les oligarques corrompus et ancrer l’Ukraine à l’Ouest. Zelensky entre en scène. Il n’est pas un inconnu pour eux. Sa série, diffusée sur la chaîne 1+1 d’Ihor Kolomoisky, fait de lui une star. Kolomoisky, cet oligarque aux poches pleines et aux connexions internationales, sert de pont. Il ouvre des portes, et Londres les franchit.

Dans les bureaux du MI6, Zelensky rencontre des officiers. Pas des diplomates en costume-cravate, mais des agents, des stratèges. Ils parlent de l’Ukraine, de la Russie, de la guerre larvée dans l’est. Ils voient en lui un potentiel brut : un homme sans passé politique, mais avec un charisme capable de renverser des montagnes. Les photos immortalisent cet instant – Zelensky sortant, le visage fermé, peut-être conscient du poids de ce qu’on lui propose. On lui donne des outils, pas des armes, mais des idées : comment parler aux masses, comment construire une image, comment transformer une fiction télévisée en réalité politique. Kolomoisky finance le décor, mais le script vient de Londres.

Les années passent. En 2018, Zelensky annonce sa candidature à la présidence. Sa campagne est un rouleau compresseur. Pas de grands discours dans des salles poussiéreuses, mais des vidéos virales, des slogans simples : la paix, la fin de la corruption, un avenir européen. Derrière, le MI6 veille. Les Britanniques ne se contentent pas de regarder. Ils murmurent à l’oreille de leurs alliés américains, qui commencent à voir en Zelensky un atout. En avril 2019, il écrase Porochenko avec 73 % des voix. Le comédien est président. Les photos de Londres, prises des années plus tôt, prennent tout leur sens. Ce n’était pas un hasard. C’était un plan.

Puis vient 2020. Zelensky retourne à Londres, officiellement cette fois. Il rencontre Boris Johnson, serre des mains, pose pour les caméras. Mais il voit aussi Richard Moore, le chef du MI6. Deux heures de discussion, loin des micros. Il dit que c’est pour parler désinformation, sécurité, soutien à l’Ukraine. Les photos de 2015-2018 racontent une autre histoire : ce n’est pas une première rencontre, c’est une suite. Le MI6 ne l’a pas lâché. Quand la Russie envahit l’Ukraine en 2022, le Royaume-Uni est là, livrant des missiles Storm Shadow, formant des soldats, injectant des millions. Zelensky, l’homme qu’ils ont repéré dans un immeuble de verre bien avant la guerre, tient la barre.

Ces images datées ne mentent pas. Elles montrent un Zelensky lié au MI6 avant qu’il ne mette un pied en politique. Pas un simple allié, mais un homme façonné, préparé, poussé vers le pouvoir. Kolomoisky a fourni l’argent, les Britanniques la vision. L’Ukraine, prise entre Moscou et l’Occident, devient le terrain de jeu d’une opération qui commence dans l’ombre londonienne.

Zelensky n’est pas juste un président illégitime. Il est l’agent d’un plan qui a pris racine bien avant que le monde ne le connaisse.

Quand tout semble nous tirer vers le bas …

et si c’était une opportunité divine ?

Bonjour, j’espère que vous allez bien

Il y a des moments où l’on ressent un poids, une lourdeur, comme si tout nous tirait vers le bas. Fatigue, doutes, peurs… Le monde extérieur reflète un chaos qui semble s’infiltrer en nous.

✨️Et si, au lieu de lutter contre ces énergies, nous les voyions comme un appel à nous recentrer ?

💫 Tout ce qui remonte en nous n’est pas là pour nous écraser, mais pour être libéré.

💫 Tout ce qui s’effondre à l’extérieur nous pousse à bâtir une force intérieure.

💫 Chaque turbulence est un rappel : il est temps de revenir à soi, à l’essentiel, à ce qui vibre juste.

Nous sommes dans un moment de purification profonde, un réalignement nécessaire. Ces vagues énergétiques sont là pour nous dépouiller de ce qui n’a plus lieu d’être, pour nous aider à nous élever en conscience. C’est une opportunité divine.

🌞 Plus nous acceptons ce processus, plus nous trouvons en nous une lumière inaltérable.

🌞 Plus nous accueillons ce nettoyage, plus nous ressentons la paix et la confiance.

🌞 Plus nous lâchons ce qui pèse, plus nous nous reconnectons à notre vérité.

Ne crains pas les tempêtes. Elles ne sont là que pour nous rappeler la puissance du ciel après la pluie.

👉 Et toi, comment vis-tu ces énergies en ce moment ?

Mabelle