« Car le pouvoir issu de la révolution de 1789, non seulement n’a pas abdiqué, mais il n’a pas cessé son oeuvre de destruction. Il s’y est même acharné d’avantage et avec une sorte de furie. Il détruit non seulement la civilisation et les fondements de notre société, mais aussi tout ce qui pourrait en rappeler le souvenir. L’éducation dite nationale est le principal outil de la destruction. Elle installe pour toujours l’oubli, l’ignorance et la perversion des moeurs. » (extrait de l’avant propos, pp. 8-9).