Combien de temps leur reste t il a vivre ?

Bonjour, Je vous espère en forme.

Je vous partage une newsletter que je reçois depuis plusieurs mois et qui donne vraiment froid dans le dos, même si ça fait bien longtemps qu’on le sait, désormais les preuves sont là, devant nos yeux, et ne peuvent pas être niées. Le génocide de l’humanité avance un peu plus chaque jour pendant que la majorité reste totalement inconsciente de ce qui est en train de se produire tout autour de nous.

Ce sang des injectés qui fait peur…Combien de temps leur reste-t-il à vivre avec un tel sang ?
   Le sang de 948 personnes sur 1006 (94 %) qui a été analysé un mois après l’injection d’un « va x in » tueur de Pfizer & Co., présente des agrégations anormales de globules rouges qu’accompagnait la présence de « particules de formes et de tailles variées d’origine incertaine et ressemblant à du métal ».
  
À gauche, le sang d’une personne avant d’être injectée avec un « va x in » tueur de Pfizer & Co. À droite, le sang de la même personne un mois après avoir été injectée avec un « va x in » tueur de Pfizer & Co. Les cercles bleutés sont les globules rouges. Dans le sang analysé avant l’injection, elles ont une forme normale et habituelle.
Dans son édition des États-Unis mise à jour le 7 septembre 2022, THE EPOCH TIMES revient cette fois sur l’état du sang des personnes qui ont été piquées avec un « va x in » tueur de Pfizer & Co.
THE EPOCH TIMES reprend une étude menée en Italie par trois chirurgiens italiens, Franco Giovannini, Riccardo Benzi Cipelli, et Gianpaolo Pisanoqui, qui ont fait analyser le sang de 1006 personnes qui ont développé des signes pathologiques (évènements indésirables) après une injection des « va x ins » tueurs de Pfizer ou de Moderna.
 Depuis mi-2021, nous avons déjà fait état de plusieurs analyses de sang menées en Allemagne ou en Suisse et qui révélaient les mêmes phénomènes pathologiques : les injections des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. modifient le sang de nombreuses personnes (chez celles où elles ne le modifient pas, il se peut qu’elles aient reçu du liquide physiologique à la place des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.)
Ce qu’il y a de nouveau, c’est que cette information, qui est quand même très inquiétante pour le devenir des injectés et, donc, vu leur nombre, pour le devenir de nos sociétés, est reprise par un journal très lu aux États-Unis, y compris à Washington que ce soit au Sénat ou à la Chambre des représentants.  
Jamais avant 2021, de telles structures non biologiques n’avaient été observées dans le sang humain.
   Exemple de structures d’origine incertaine présentes dans le sang des injectés un mois après qu’ils ont été piqués avec un « va x in » tueur de Pfizer & Co. Ces structures semblent être en métal selon les chirurgiens italiens.

(Grossissement par 120)   Formations tubulaires qui semblent « être à différents stades d’agrégation » et qui sont présentes dans le sang des injectés un mois après avoir été piqués avec un « va x in » tueur de Pfizer & Co. « Une configuration fibro-tubulaire de structures qui peuvent fusionner ensemble, atteignant des dimensions dix fois supérieures à leur taille initiale. »
Images des analyses de sang effectuées au Brésil par le biologiste Felipe Reitz.À gauche, il s’agit du sang d’une personne non-injectée avec un « va x in » tueur de Pfizer & Co et à droite de celui d’une personne injectée avec un « va x in » tueur de Pfizer & Co(imagerie thermographique informatisée)

Ces analyses au Brésil révèlent ce qui a été observé en Allemagne, en Suisse et en Italie : les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. modifient le sang des injectés.
THE EPOCH TIMES pose la question qui va rendre malades les « journalistes », les politiciens et les « médecins » de plateau télévision en France : Graphène ?
Le journal cite Sherri Tenpenny, qui est médecin homéopathe à la pointe des connaissances sur les effets indésirables graves provoqués par les « va x ins » en général et dont nous apprécions le travail à Libre Consentement Éclairé.
Elle explique : « Quoi que l’on trouve réellement, que les composants soient du graphène, de l’aluminium, de l’amyloïde cristallin, de la fibrine désintégrée, des particules nanotechnologiques hautement chargées ou autre chose, la perturbation du sang montrée sur ces diapositives est irréfutable, tout comme le sont les histoires correspondantes des patients impliqués ».
Ce n’est plus vraiment du sang humain.
L’analyse de sang effectuée au Brésil par le biologiste Felipe ainsi que l’étude menée par les trois chirurgiens italiens confirment ce que nous savions déjà grâce aux analyses effectuées en Allemagne et en Suisse : le sang des injectés n’est plus vraiment du sang humain.   En effet, jamais le sang des êtres humains n’a contenu de telles structures fibro-tubulaires et jamais les globules rouges présents dans le sang humain n’ont été agglomérés comme ils le sont dans le sang des injectés.
Une question essentielle se pose : combien de temps reste-t-il à vivre à ceux qui ont reçu les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. et qui ont ensuite développé des signes pathologiques ?Combien de temps peut-on encore vivre avec un tel sang dans le corps ?
À quand de telles analyses du sang des personnes injectées aux « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. en France ?
Taisez-vous !   N’essayez-pas de réfléchir pas par vous-même !   Pensez à votre quatrième dose à prendre à l’automne !  Silence ! Couché !
À quand une enquête journalistique chez les embaumeurs en France ?
Taisez-vous !   Pensez à votre quatrième dose à prendre à l’automne !  Pensez aux fonctionnaires qui viendront vérifier chez vous que la température de votre logement ne dépasse pas les 19°, sinon gare !   Silence ! Silence ! Assis ! Debout ! Couché !

Prenez soin de vous, prenez soin des vôtres jusqu’au bout. Aimez les, au final, n’est ce pas tout ce qui est encore possible ? Courage à tou(te)s

Mabelle

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