Je cherche la vérité

Bonsoir,

J’espère que vous allez bien.

Comme je l’avais dit dans un précédent article, je n’oblige personne à me croire et je ne prétends absolument pas détenir une quelconque vérité.

Cependant, oui, je le revendique, je suis une chercheuse de vérité. Appelez moi complotiste, comme certaines me l’ont dit dernièrement, si cela peut faire votre bonheur.

J’ai toujours cherché à comprendre le monde dans lequel je vis et je m’aperçois qu’il y a très peu de monde qui en fait autant, que toutes les personnes qui se posent de nombreuses questions sont soit traitées de folles, soit de complotistes. Cependant je ne complote absolument rien du tout. Je pense même que le complot se trouve là où personne ne veut le voir. Parce que, oui, de nombreuses choses ne me paraissent pas « normales » et donc je continue de chercher une explication plausible à tout ce qui arrive. Si derrière tout ce que nous vivons il y a des personnes qui tirent les ficelles afin que les choses se déroulent à leur avantage, pour moi c’est plutôt eux qu’il faudrait qualifier de complotistes. Mais, finalement, ce n’est jamais qu’une question de vocabulaire, et qu’importe comment ils se nomment ou me nomment, je cherche simplement à comprendre et ceux qui veulent continuer à fermer les yeux sont libres de le faire, chacun est libre de ses choix et je respecte les vôtres. Si mes écrits ne vous plaisent pas, passez simplement votre chemin, vers des écrits qui sont en accord avec vos valeurs. Si c’est votre choix, je vous souhaite bonne route.

Je vous partage aujourd’hui un article de Yves Rasir, qui se pose également des questions : Comment expirer pour ne pas … expirer

Avant de prendre un peu de repos et de mettre l’infolettre en pause pendant 3 semaines,  permettez-moi de revenir sur la thèse que je défends depuis maintenant 6 mois :  cette pseudo-pandémie virale est pour l’essentiel une pandémie de peur. Dans le sillage d’un Didier Raoult et de quelques autres scientifiques, je soutiens évidemment que cette virose saisonnière a suscité une psychose excessive et que celle-ci a été contre-productive : les mesures adoptées ont créé de l’anxiété chez beaucoup, de l’angoisse chez certains et une détresse intense chez les personnes âgées confinées dans leurs maisons de retraite. Nuisible pour la santé en général et pour l’immunité en particulier, ce genre de stress est  également connu pour aggraver les assuétudes (tabac, alcool…) et augmenter la consommation de certains médicaments psychotropes. Selon le SNDS (Système  Français de Données de Santé), les prescriptions d’hypnotiques étaient supérieures de 5 à 8% eu cours du confinement , ce qui révèle l’augmentation des troubles du sommeil et  la prévalence  accrue des symptômes dépressifs.  Mais ce ne sont là que des dégâts collatéraux mineurs en regard du pouvoir méconnu de la peur, celui de faire mourir ceux qui en sont les proies ! Loin d’être seulement une conséquence de l’alarmisme des experts, de la « sur-réaction » des autorités et de l’emballement des médias, la peur distillée par ces trois  catégories d’acteurs est à mes yeux  la CAUSE principale de la mortalité  erronément attribuée à un agent infectieux. Depuis le début, je pense que nous avons affaire à une épidémie fictive mais auto-réalisatrice, c’est-à-dire générée par sa narration « hallucinée », pour reprendre le terme employé par Jean-Dominique Michel.
 
Mourir de la peur de mourir
 
Qu’est-ce qui me permet de tenir de tels propos ? C’est bien sûr le « nouveau paradigme médical » dont les éditions  Néosanté ont fait leur cheval de bataille. Fondée notamment sur les travaux d’Henri Laborit, les découvertes du Dr  Ryke Geerd Hamer, les intuitions de quelques autres pionniers de la psychosomatique et la synthèse de tout cela effectuée sous le nom de « biologie totale » par le Dr Claude Sabbah, cette nouvelle vision de la santé postule que les maladies ont un sens en terme de survie et qu’elles découlent, dans leur grande majorité, de chocs émotionnels ingérables par le psychisme. Depuis que nous existons, nous avons maintes fois souligné que la frayeur de la mort se somatisait le plus souvent dans les poumons et qu’elle pouvait y semer des tumeurs alvéolaires.  A fortiori, la terreur ressentie par un individu peut se traduire par des pathologies moins dangereuses que le cancer, comme la grippe ou la pneumonie.  Dans la revue Néosanté du mois de mai, nous avons publié deux articles montrant comment la peur impactait, non pas tant le système immunitaire, mais surtout le système nerveux autonome. Pour peu que son système neurovégétatif soit faible et encore affaibli par un ressenti de grave danger pour la sphère pulmonaire, un être humain très effrayé  peut ainsi trépasser sous le seul effet de ses émotions. Il peut  – ironie tragique –  mourir de la peur de mourir ! Et ça, ce ne sont pas seulement quelques soignants « sectaires » qui l’affirment. Depuis sa création en 2011,  notre mensuel a interrogé des dizaines de médecins et chercheurs  convaincus des pouvoirs de l’esprit sur le corps,  tant pour le meilleur ( la pleine santé, la guérison) que pour le pire (la maladie et la mort prématurée). Pour notre numéro de juin, nous avons interrogé le Dr Patrick Clervoy, psychiatre français qui a suivi des soldats engagés lors de plusieurs opérations militaires à hauts risques. Il a vu clairement que les émotions intenses pouvaient déclencher une mort  subite et que celle-ci était fréquemment précédée  –  tiens, tiens – d’une détresse respiratoire aiguë.  Dans le numéro de juillet-août, notre journaliste Carine Anselme interviewe Christophe Haag,  chercheur en psychologie sociale, spécialiste des émotions extrêmes  et auteur du livre « La contagion émotionnelle » (Albin Michel). Et que nous dit-il ? Accrochez-vous : il faut à peine 21 millièmes de secondes pour qu’une émotion soit transmise d’un individu à l’autre.  Pas besoin de se tousser dessus et inutile d’adopter des gestes barrières car cette contagion immatérielle – la seule, la vraie –  s’opère à distance, par exemple par téléphone ou via la télévision. S’il existe, le coronavirus a probablement moins tué que le Journal de 20 heures ou le discours va-t-en-guerre du président Macron !
 
 
La tragédie de l’hypoxie
 
Cette hypothèse me semble d’autant moins saugrenue qu’un phénomène bizarre s’est produit en marge de cette grippe baptisée Covid : une épidémie d’hypoxie silencieuse. Je vous en ai déjà parlé mais ça vaut la peine qu’on s’y attarde. Car si la terreur médiatisée est l’arme du crime, cette étrange  manifestation somatique semble en être la signature traumatique.  Pour rappel, l’hypoxie silencieuse  est un manque d’oxygène dans le sang n’entraînant pas – du moins pas immédiatement – de difficulté à respirer. Elle peut survenir concomitamment à une détresse respiratoire mais pas nécessairement.  La fréquence respiratoire est généralement plus élevée mais le malade semble respirer normalement. On l’appelle également « hypoxie heureuse » parce que les patients sont inconscients de leur état de sous-oxygénation et qu’ils sont même légèrement euphoriques, comme sous l’influence d’un gaz. Lorsque le corps médical s’aperçoit du problème par l’apparition de  cyanose (marques bleues sur la peau et les muqueuses), il est déjà moins une car la carence en oxygène peut rapidement déboucher sur la défaillance du foie et/ou des reins. Un peu partout dans le monde, les hôpitaux ont vu affluer de nombreux « covidés »  déjà cyanosés et qu’il a fallu placer dare-dare sous oxygène.  Of course, la médecine a rapidement tenté d’attribuer le processus à l’action du coronavirus. Ce dernier serait tellement sournois qu’il provoquerait une infection très ciblée s’attaquant au surfactant pulmonaire, la substance qui remplit les alvéoles. Ce faisant, leur lien avec les poumons est coupé et les niveaux d’oxygène commencent à chuter. Et si c’était plutôt la rançon du stress subi à l’idée d’être atteint par un mal  que certains ont carrément comparé à la peste ? Sans être physiologiste, tout le monde sait qu’une émotion forte est synonyme d’hyperventilation : on ingère goulument de l’air et cette façon de respirer produit un changement des proportions de gaz dans le sang, avec une hausse du taux d’oxygène (O2 ) et une baisse du dioxyde de carbone (CO2).  Or l’organisme humain est ainsi fait qu’il ne supporte pas les changements de proportions entre ces deux gaz, il cherche toujours à rétablir l’équilibre. La  présence de CO2  est indispensable à l’absorption de l’Opar les poumons, puis à son passage dans le sang et de là, à l’imprégnation des cellules.   Paradoxalement, l’individu qui stresse s’empoisonne à l’oxygène et compromet dangereusement son oxygénation sanguine et cellulaire. Dès lors, on peut imaginer l’impact iatrogène des interventions médicales consistant à fournir encore plus d’oxygène. Rappelez-vous la vidéo du Dr Caméron Kyle Sidell: au plus fort de l’épidémie,  ce  jeune médecin urgentiste new-yorkais a alerté sur le fait que la plupart des patients  placés sous respirateur artificiel mouraient. Et il se demandait à juste titre si ce  n’était pas ce geste médical qui les tuait. Quand ils intubent un « hypoxique heureux »,  les soignants ne font en effet qu’aggraver la situation, comme l’expliquait le Dr Zach Bush dans la vidéo que j’ ai partagée il y a 15 jours.  L’introduction forcée d’oxygène à haute pression génère une lésion oxydative et inflammatoire sur des tissus impuissants à encaisser le choc gazeux. À New-York, 88% des personnes placées sous respirateur sont mortes. En Europe, où les deux principales comorbidités (diabète et obésité) sont moins répandues,  on parle de 40 à 60% de décédés parmi les patients intubés. Question : aurait-on pu éviter cette tragédie si l’intubation n’avait pas été privilégiée par hantise du virus ? Autre question : ne faudrait-il pas, comme je le soulevais dès le mois de février, remettre en cause les bénéfices de l’oxygénation médicale sous toutes ses formes, lunettes et masques compris ? Autrefois, on réanimait les patients en pratiquant le bouche-à-bouche. Aujourd’hui encore, les pompiers procèdent de la sorte lorsque l’équipement fait défaut. Or cette technique efficace consiste à insuffler un air chargé en COpuisqu’il provient des poumons du secouriste. Je me demande si l’oxygénothérapie n’est pas le vrai problème révélé par cette « pandémie ». Et je soupçonne que les chiffres de mortalité sont étroitement reliés à son mésusage face à l’hypoxie silencieuse.
 
Le véritable fléau
 
Ce que j’espère surtout, c’est que le phénomène hypoxique  « covidien » va servir de révélateur au véritable fléau qui ravage les pays industrialisés, à savoir l’hyperventilation chronique. Contrairement à une croyance aussi fausse que bien enracinée, le stress consubstantiel à  nos sociétés « modernes » trépidantes n’est pas synonyme de respiration insuffisamment ventilante. Nous sommes au contraire très nombreux à hyperventiler en permanence. Nous respirons trop vite, trop fort, trop mal. Dans son article du mois de juin, notre chroniqueur Yves Patte expliquait que beaucoup d’hommes et de femmes ont la mauvaise habitude d’inspirer par la bouche. Ce n’est pas  un penchant anodin car l’évolution a façonné l’être humain pour qu’il inspire par le nez. Les narines font office de filtres mécaniques (notamment pour les microbes !) et l’inspiration nasale joue un rôle de filtre chimique en  stimulant la synthèse du monoxyde d’azote (NO), un composé extrêmement important pour notre corps. Ce gaz est en effet un vasodilatateur pour les vaisseaux sanguins, un régulateur du système nerveux parasympathique (celui qui calme le stress) et un acteur non négligeable du système  immunitaire. Dans sa chronique de juillet-août, notre spécialiste du modèle paléo examine la façon d’expirer et fait le même constat navrant:  nous expirons trop vite, trop peu, trop mal. C’est une catastrophe car il en résulte un déséquilibre constant entre le dioxygène et le dioxyde de carbone. Plus vite on expulse le CO2, moins on absorbe l’O2. Il y a un siècle, un individu moyen respirait 4,9 litres par minute. Nous en sommes aujourd’hui à 12 litres par minute ! Cette croissance vertigineuse de la consommation fait que nos cellules sont de moins en moins oxygénées. Le pire, c’est que nous sommes enfermés dans un cercle vicieux : nous hyperventilons parce que nous sommes stressés, nous aggravons le stress parce que nous hyperventilons. Pour échapper au piège, il faut revoir complètement  sa façon de respirer, tant à l’inspir qu’à l’expir, et Yves Patte nous indique des solutions puisées dans la  méditation et  dans  la tradition du  Pranayama yoga (yoga du souffle). En gros, il s’agit de respirer mieux en  inspirant plus calmement et en expirant plus profondément, jusqu’à vider complètement ses poumons par des exercices d’apnée. Le yoga aurait-il pu sauver les hypoxiques prétendument attaqués par  un virus ? À mon avis, ce n’est pas du tout à exclure. Ma conviction est en tout cas que les « covidés » en hypoxie ont été mal traités, sinon maltraités, et que leur hyperventilation aiguë est survenue sur un terrain d’hyperventilation chronique.  Par le plus grand des hasards (pour ceux qui y croient encore), j’ai rencontré récemment un jeune gars qui a été sévèrement atteint et qui présentait ces facteurs de risques caractéristiques. Il m’a aussi confié un vécu relationnel correspondant typiquement à la causalité conflictuelle des troubles pulmonaires. Je vous raconterai ce cas d’école à mon retour de vacances en France, en espérant que celles-ci ne soient pas gâchées par le soi-disant rebond épidémique et un éventuel reconfinement dont la rumeur circule depuis hier. Manquerait plus que les marchands de peur m’empêchent de me ressourcer un peu à l’abri de leurs délires virophobiques !

Prenez soin de vous

Mabelle

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