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Pourquoi boire de l’eau PiMag de Nikken

En buvant de l’eau vivante PiMag® de Nikken

– vous améliorez votre santé en hydratant efficacement votre corps et en diminuant son acidité grâce à l’alcalinité de l’eau PiMag; une bonne hydratation est essentielle pour garder la santé et seule une eau vivante est en mesure de procurer une telle hydratation.

– vous économisez de 5 à 10 fois le coût d’une même quantité d’eau en bouteille ; votre filtre PiMag est amorti en quelques mois, et vous épargnez ensuite des centaines d’euros par an. Par ailleurs, pour une qualité optimale, une eau en bouteille doit être consommée dans les 24h qui suivent le conditionnement, ce qui est rarement le cas !

-vous faites un geste pour la planète : la fabrication, le transport et l’ emballage de dizaines de milliards de bouteilles en plastique chaque année, ainsi que les déchets qu’elles laissent derrière elles affectent lourdement l’environnement. Une analyse récente a révélé qu’il faut 1,5 millions de barils de pétrole pour produire le plastique des bouteilles d’eau consommées en une année aux Etats-Unis. Basé sur une utilisation de deux litres par jour, les systèmes PiMag® remplacent CHAQUE ANNEE 16-20 millions de bouteilles d’eau. Et cela depuis de nombreuses années, ainsi l’impact cumulatif positif sur l’environnement est considérable.

verre d'eau

Nikken propose :

  • une méthode simple, peu coûteuse et efficace pour résoudre ces problèmes, de l’eau pure avec un goût incomparable, qui hydrate et assainit votre corps en profondeur,
  • une découverte exclusive et brevetée (diffusée dans 42 pays),
  • une eau « vivante », riche en oligo-éléments et minéraux, indispensable, une filtration naturelle sans ajout de produit chimique (type sels adoucissants),
  • une méthode plus pratique et moins chère que l’eau en bouteille (économie d’environ 1500 euros/an pour une famille de 4 personnes)

En résumé, une solution intelligente et écologique à la portée de tous et mise en place pour faire face aux dispositifs compliqués, souvent très onéreux. Par ailleurs, notre dispositif a obtenu le très convoité label d’or « Water Quality Association »

Prenez soin de vous – Mabelle

Conversation avec votre corps 4

Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**

L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions

Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui

Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master

Carol Look écrit :

Dans la partie 4 de cette série, je tiens à aborder les problèmes qui se manifestent à travers la peau, le plus vaste organe de notre corps. Aux fins de cette illustration, je vais présumer que les irritations résultent du stress de la vie courante – et non pas de traumatismes du passé comme ce que j’ai illustré dans les parties 2 et 3.

Les gens, les lieux et les situations entrent sous notre peau, et quand nous nous sentons irrités, cela paraît sur notre visage ou sur notre corps. Notre peau est en contact à la fois avec notre monde intérieur et avec notre monde extérieur, car elle absorbe toutes les informations de notre environnement. Je crois que nous nous rendrions un grand service à nous-mêmes si nous prêtions attention à ce que notre peau est en train de nous dire par des éruptions, irritations cutanées, maladies de peau, etc. Quand nous nous sentons débordés et que nos sentiments ne sont pas exprimés ni entendus, ils ont tendance à se répandre dans notre corps… et notre peau est un endroit parfait pour exprimer nos conflits, notre stress et notre impression de ne plus en pouvoir. Il n’est pas surprenant d’entendre quelqu’un dire: « Ma peau réagit depuis ce changement d’emploi… » ou « ce type me donne des boutons… » ou encore : « ça me démange de lui en flanquer une… », et « je ne peux pas le supporter, c’est épidermique »… Sans oublier la traditionnelle « Je l’ai tellement dans la peau… »
Supposez que vous ayez reçu une sorte de diagnostic concernant cette inflammation de la peau, et que les médecins aient fait tout ce qu’ils pouvaient faire pour proposer des solutions médicales.

L’étape suivante consiste à explorer ce qui pourrait être à l’origine de votre situation actuelle :
– Si votre peau enflammée vous rappelait quelqu’un, ce serait qui ?
– Si l’inflammation avait un nom, quel serait-il ? 
– Qui ou quoi pourrait être la cause des démangeaisons que vous ressentez ? 
– Si ces zones sèches qui grattent avaient un message pour vous, quel serait-il ? 
– Si vos éruptions cutanées essayaient d’attirer votre attention, sur quoi devriez-vous vous concentrer ? 
– Si à partir de ces éruptions vous pouviez remonter à un facteur de stress dans votre vie actuelle, où pourriez-vous atterrir en finale ? 
– Si votre peau représentait ce que vous êtes et ce dont vous avez besoin, alors de quoi avez-vous besoin en ce moment ? 
Si notre peau illustre nos conflits, nous devons savoir pourquoi, où c’est situé, et qui s’exprime par ces irritations, rougeurs et démangeaisons !

Point Karate :
– « Même s’il m’a vraiment rendu allergique cette fois-ci, j’accepte ce que je suis et j’apprécie mes sentiments… » 
– « Même si j’ai peur d’admettre jusqu’à quel point je suis irrité par ce problème, je m’accepte moi-même et j’accepte mes sentiments et mes émotions au sujet de ce qui s’est passé… » 
– « Même si je garde ce problème sous ma peau, je choisis de me libérer de cette irritation. » 

Sourcils : « Je me sens tellement irrité par cette situation. » 
Coin de l’oeil : « Je suis obligé de le supporter et ensuite j’ai des boutons qui sortent. » 
Sous l’oeil : « J’ai de nombreux problèmes accumulés sous la surface. » 
Sous le nez : « J’ai peur de creuser pour voir ce qu’il y a sous la surface. » 
Menton : « Je ne veux pas regarder sous la surface ce qui pourrait causer ces éruptions. » 
Clavicule : « Je l’ai tellement dans la peau (que j’en suis marteau, dingue, cinglé) ! 
Sous le bras : « Je m’accroche à cette irritation de ma peau. » 
Sommet de la tête : « Je ne veux pas la laisser partir pour le moment. » 

Sourcil : « Je vais envisager de débloquer ce conflit qui se manifeste dans ma peau. » 
Coin de l’oeil : « Je suis presque prêt à le laisser partir. » 
Sous l’œil : « Une partie de moi veut vraiment laisser partir ce conflit. » 
Sous le nez : « L’autre partie de moi veut s’y accrocher. » 
Menton : « Il ou elle a vraiment réussi à me donner des boutons. » 
Clavicule : « Je suis tellement irrité par ce qui s’est passé. » 
Sous le bras : « Je n’ai plus besoin de retenir cela dans ma peau maintenant. » 
Sommet de la tête : « Je me sens prêt à libérer une partie de ce conflit et à calmer l’irritation de ma peau. » 

J’ai trouvé extrêmement productif le fait d’utiliser quelques séquences d’EFT pour exprimer sa gratitude à son corps. Cela nous rappelle combien nous sommes vraiment forts et nous permet de nous focalliser temporairement sur quelque chose de positif, en dépit du problème.

Sourcil : « Je suis plein de gratitude envers ma peau. » 
Coin de l’oeil : « J’apprécie ma peau. » 
Sous l’œil : « J’aime la façon dont ma peau a toujours été si souple. » 
Sous le nez : « J’apprécie la totalité de ma peau. » 
Menton : « Je suis reconnaissant pour ce que ma peau fait pour moi. » 
Clavicule : « Je remercie ma peau. » 
Sous le bras : « Je suis plein de gratitude pour la totalité de moi-même. » 
Sommet de la tête : « Je suis si reconnaissant envers ma peau et mon corps. » 

Et si les problèmes de peau semblent être causés par l’impression d’être débordé et dépassé par les événements, et par le stress en général, je propose d’essayer quelque chose dans le sens des « phrases de départs » suivantes avec leurs « rappels » :

Point Karaté :
– « Même si le stress de mon travail ressort par ma peau, je choisis d’exprimer mes sentiments et de prendre soin de moi-même… » 
– « Même si le stress de mon travail et de la famille déborde sur ma peau, j’accepte ce que je suis et comment je me sens… » 
– « Même si je ne peux pas supporter ce stress alors il m’enflamme la peau, j’accepte ce que je suis et comment je me sens en ce qui concerne ma vie. » 
Sourcils : « Je me sens tellement stressé. » 

Coin de l’oeil : « Je sais que le stress me sort par la peau. » 
Sous l’oeil : « Je me sens tellement épuisé et stressé par la vie que je mène. » 
Sous le nez : « J’ai tellement de sentiments et d’émotions qui ont besoin de sortir. » 
Menton : « J’ai tellement de stress dans mon environnement actuel. » 
Clavicule : « Je veux me détendre et apaiser ma peau. » 
Sous le bras : « Ma pauvre peau ne peut pas soutenir plus de stress. » 
Sommet de la tête : « Je veux juste me sentir calme et apaisé. » 

Sourcil : « Je sais que j’exprime mes sentiments à travers ma peau. » 
Coin de l’oeil : « Toute ma famille exprime ses sentiments par la peau. » 
Sous l’oeil : « Je ne veux pas exprimer ces sentiments qui m’effraient. » 
Sous le nez : « J’ai peur d’exprimer ces sentiments violents à qui que ce soit. » 
Menton : « Je suis tellement épidermique sur ces sujets. » 
Clavicule : « Je me sens tellement irrité. » 
Sous le bras : « Il n’y a pas d’autre endroit pour exprimer ce problème. » 
Sommet de la tête : « Quand je pense à ce problème ça me gratte de partout. » 

Je termine toujours par une séquence sur l’aspect positif afin de donner à la personne des options possibles pour apaiser sa peau.

Sourcil : « Je sais que j’ai d’autres moyens de m’exprimer en plus de ma peau. » 
Coin de l’oeil : « Je choisis de m’exprimer clairement maintenant. » 
Sous l’œil : « Je comprends mes sentiments et je vais leur permettre de sortir au grand jour. » 
Sous le nez : « Je commence à accepter ce que je suis et ce que je ressens. » 
Menton : « Je comprends pourquoi ma peau est pleine de conflits. » 
Clavicule : « Je me sens déjà moins irrité. » 
Sous le bras : « Je peux enfin relâcher une partie de cette inflammation. » 
Sommet de la tête : « Je n’ai plus de démangeaisons concernant ces problèmes. » 

Les exemples ci-dessus sont un bon début. Faites votre travail sur vous-même pour découvrir les lieux de votre corps où vous stockez vos conflits et continuez le tapotage régulier.
Restez en ligne pour la partie 5 de cette série : « Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes. »

Dr Carol Look, EFT Master (USA)

Le conte chaud et doux des Chaudoudoux

l était une fois, dans des temps très anciens, des gens qui vivaient très heureux. Ils s’appelaient Timothée et Marguerite et avaient deux enfants, Charlotte et Valentin. Ils étaient très heureux et avaient beaucoup d’amis.

Pour comprendre à quel point ils étaient heureux, il faut savoir comment on vivait à cette époque-là. Chaque enfant, à sa naissance, recevait un sac plein de chaudoudoux. Je ne peux pas dire combien il y en avait dans ce sac on ne pouvait pas les compter. Ils étaient inépuisables. Lorsqu’une personne mettait la main dans son sac, elle trouvait toujours un chaudoudou. Les chaudoudoux étaient très appréciés. Chaque fois que quelqu’un en recevait un, il se sentait chaud et doux de partout.

cailloux

Ceux qui n’en avaient pas régulièrement finissaient par attraper mal au dos, puis ils se ratatinaient, parfois même en mouraient. En ce temps-là, c’était très facile de se procurer des chaudoudoux. Lorsque quelqu’un en avait envie, il s’approchait de toi et te demandait : ” Je voudrais un chaudoudoux “. Tu plongeais alors la main dans ton sac pour en sortir un chaudoudou de la taille d’une main de petite fille. Dès que le chaudoudoux voyait le jour, il commençait à sourire et à s’épanouir en un grand et moelleux chaudoudoux. Tu le posais alors sur l’épaule, la tête ou les genoux, et il se pelotonnait câlineusement contre la peau en donnant des sensations chaleureuses et très agréables dans tout le corps.

Les gens n’arrêtaient pas d’échanger des chaudoudoux. et, comme ils étaient gratuits, on pouvait en avoir autant que l’on en voulait. Du coup, presque tout le monde vivait heureux et se sentait chaud et doux.

Je dis « presque », car quelqu’un n’était pas content de voir les gens échanger des chaudoudoux. C’était la vilaine sorcière Belzépha. Elle était même très en colère. Les gens étaient tous si heureux que personne n’achetait plus ses philtres ni ses potions. Elle décida qu’il fallait que cela cesse et imagina un plan très méchant.

Un beau matin, Belzépha s’approcha de Timothée et lui parla à l’oreille tandis qu’il regardait Marguerite et Charlotte jouer gaiement. Elle lui chuchota : « Vois-tu tous les chaudoudoux que Marguerite donne à Charlotte ? Tu sais, si elle continue comme cela, il n’en restera plus pour toi ». Timothée s’étonna : « Tu veux dire qu’il n’y aura plus de chaudoudoux dans notre sac chaque fois que l’on en voudra un ? » « Absolument, répondit Belzépha. Quand il n’y en a plus, c’est fini ». Et elle s’envola en ricanant sur son balai. Timothée prit cela très au sérieux, et désormais, lorsque Marguerite faisait don d’un chaudoudoux à quelqu’un d’autre que lui, il avait peur qu’il ne lui en reste plus.

Et si la sorcière avait raison ? Il aimait beaucoup les chaudoudoux de Marguerite, et l’idée qu’il pourrait en manquer l’inquiétait profondément, et le mettait même en colère. Il se mit à la surveiller pour ne pas qu’elle gaspille les chaudoudoux et en distribue trop aux enfants ou à n’importe qui.

Puis il se plaignit chaque fois que Marguerite donnait un chaudoudoux à quelqu’un d’autre que lui. Comme Marguerite l’aimait beaucoup, elle cessa d’offrir des chaudoudoux aux autres et les garda pour lui tout seul. Les enfants voyaient tout cela, et ils pensaient que ce n’était vraiment pas bien de refuser des chaudoudoux à ceux qui vous en demandaient et en avaient envie. Mais eux aussi commencèrent à faire très attention à leurs chaudoudoux. Ils surveillaient leurs parents attentivement, et quand ils trouvaient qu’ils donnaient trop de chaudoudoux aux autres, ils s’en plaignaient. Ils étaient inquiets à l’idée que leurs parents gaspillent les chaudoudoux.

La vie avait bien changé : le plan diabolique de la sorcière marchait ! Ils avaient beau trouver des chaudoudoux à chaque fois qu’ils plongeaient la main dans leur sac, ils le faisaient de moins en moins et devenaient chaque jour plus avares. Bientôt tout le monde remarqua le manque de chaudoudoux, et tout le monde se sentit moins chaud et moins doux.

Les gens s’arrêtèrent de sourire, d’être gentils, certains commencèrent à se ratatiner, parfois même ils mouraient du manque de chaudoudoux. Ils allaient de plus en plus souvent acheter des philtres et des potions à la sorcière. Ils savaient que cela ne servait à rien, mais ils n’avaient pas trouvé autre chose ! La situation devint de plus en plus grave. Pourtant la vilaine Belzépha ne voulait pas que les gens meurent. Une fois morts, ils ne pouvaient plus rien lui acheter.

Alors elle mit au point un nouveau plan. Elle distribua à chacun un sac qui ressemblait beaucoup à un sac des chaudoudoux, sauf qu’il était froid, alors que celui qui contenait les chaudoudoux était chaud. Dans ces sacs, Belzépha avait mis des froids-piquants. Ces froids-piquants ne rendaient pas ceux qui les recevaient chauds et doux, mais plutôt froids et hargneux. Cependant, c’était mieux que rien. Ils empêchaient les gens de se ratatiner. À partir de ce moment-là, lorsque quelqu’un disait : « Je voudrais un chaudoudou », ceux qui craignaient d’épuiser leur réserve de chaudoudoux répondaient : « Je ne peux pas vous donner un chaudoudou, mais voulez-vous un froid-piquant ? ».

Parfois, deux personnes se rencontraient en pensant qu’elles allaient s’offrir des chaudoudoux, mais l’une changeait soudain d’avis, et finalement elles se donnaient des froids-piquants. Dorénavant, les gens mouraient presque plus, mais la plupart étaient malheureux, avaient froid et étaient hargneux. La vie devint encore plus difficile : les chaudoudoux qui au début étaient disponibles comme l’air que l’on respire, devinrent de plus en plus rares. Les gens auraient fait n’importe quoi pour en obtenir.

Avant l’arrivée de la sorcière, ils se réunissaient souvent par petits groupes pour échanger des chaudoudoux, se faire plaisir sans compter, sans se soucier de qui offrait ou recevait le plus de chaudoudoux. Depuis le plan de Belzépha, ils restaient par deux et gardaient les chaudoudoux l’un pour l’autre. Quand ils se trompaient en offrant un chaudoudou à une autre personne, ils se sentaient coupable, sachant que leur partenaire souffrirait du manque.

Ceux qui ne trouvaient personne pour leur faire don de chaudoudoux étaient obligés de les acheter et devaient travailler de longues heures pour les gagner.

Les chaudoudoux étaient devenus si rares que certains prenaient des froids-piquants qui, eux, étaient innombrables et gratuits. Ils les recouvraient de plumes un peu douces pour cacher les piquants et les faisaient passer pour des chaudoudoux. Mais ces faux chaudoudoux compliquaient la situation. Par exemple, quand deux personnes se rencontraient et échangeaient des faux chaudoudoux, elles s’attendaient à ressentir une douce chaleur et s’en réjouissaient à l’avance et, au lieu de cela, elles se sentaient très mal. Comme elles croyaient s’être donné de vrais chaudoudoux, plus personne n’y comprenait rien !

Évidemment comment comprendre que ses sensations désagréables étaient provoquées par les froids-piquants déguisés en faux chaudoudoux ? La vie était bien triste ! Timothée se souvenait que tout avait commencé quand Belzépha leur avait fait croire qu’un jour où ils ne s’y attendraient pas, ils trouveraient leurs sacs de chaudoudoux désespérément vides.

Mais écoutez ce qui se passa. Une jeune femme gaie et épanouie, aux formes généreuses, arriva alors dans ce triste pays. Elle semblait ne jamais avoir entendu parler de la méchante sorcière et distribuait des chaudoudoux en abondance sans crainte d’en manquer. Elle en offrait gratuitement, même sans qu’on lui en demande. Les gens l’appelèrent Julie Doudoux. Mais certains la désapprouvèrent parce qu’elle apprenait aux enfants à donner des chaudoudoux sans avoir peur d’en manquer.

Les enfants l’aimaient beaucoup parce qu’ils se sentaient bien avec elle. Eux aussi commencèrent à distribuer à nouveau des chaudoudoux comme ils en avaient envie. Les grandes personnes étaient inquiètes et décidèrent de passer une loi pour protéger les enfants et les empêcher de gaspiller leurs chaudoudoux.

Malgré cette loi, beaucoup d’enfants continuèrent à échanger des chaudoudoux chaque fois qu’ils en avaient envie et qu’on leur en demandait. Et comme il y avait beaucoup d’enfants, beaucoup d’enfants, presque autant que les grandes personnes, il semblait que les enfants allaient gagner. À présent, on ne sait pas encore comment ça va finir.

Est-ce que les grandes personnes, avec leur loi, vont arrêter l’insouciance des enfants ? Vont-elles se décider à suivre l’exemple de la jeune femme et les enfants et prendre le risque en supposant qu’il y aura toujours autant de chaudoudoux que l’on voudra ? Se souviendront-elles des jours heureux que leurs enfants veulent retrouver, du temps où les chaudoudoux existaient en abondance parce qu’on les donnait sans compter ?

Auteur inconnu. Merci à Marc Leroy pour ce partage

Petite balade

Aujourd’hui, accordez-vous une pause pour petit moment de rêverie dans une forêt finlandaise.

Ouvrez grands vos yeux et vos oreilles.

petite balade

Comme si vous y étiez, vous y découvrirez des plantes, des animaux, insectes.

Vous approcherez notamment des renardeaux, un élan, une hermine, et différents oiseaux.

Et vous trouverez des champignons.

Si le sujet vous intéresse vous pourrez apprendre comment se gère les forêts.

C’est magique, il ne manque que les odeurs.

Merveilleuse balade

http://clicks.aweber.com/y/ct/?l=JgxeF&m=3xm_zzLdBkVIujC&b=aueCuPvkqDLJF8_SfdD_7Q

Conversation avec votre corps 3

Traduction la page du site emofree.com de Gary Craig
**http://www.emofree.com/Articles2/body-conversation.htm**

L’intégralité de la série se présente de la sorte :
Partie 1: Introduction
Partie 2 : Le Passé – Accrochage à des événements traumatiques
Partie 3 : Le Passé – Mauvaises nouvelles en stock
Partie 4 : Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?
Partie 5 : Le Présent – Ce n’est pas une question de microbes
Partie 6 : Le Futur – Angoisse au sujet de ma vie
Partie 7 : Le Futur – Peur de leurs réactions

Votre corps vous parle avec ses « maux » à lui

Dans cette série en 7 parties, la psychothérapeute Carol Look nous propose d’avoir une « conversation avec notre corps » pour prendre conscience de tout ce que nous stockons dans notre système immunitaire et dans certaines parties du corps afin de nous « protéger ». – Par Carol Look, EFT Master

Carol Look écrit :
Dans la partie 3 de cette série, je vais aborder de nombreux exemples montrant comment, dans le passé, un conflit émotionnel et ses « mauvaises nouvelles » associées peuvent être stockés dans le corps, les maladies, les douleurs et les courbatures.

Commençons par les traumatismes émotionnels qui n’impliquent pas de coupure, d’égratignure, d’ecchymose ni aucun autre signe physique évident.

Supposons que vous vous êtes senti abandonné par vos parents quand ils ont divorcé. Ils étaient si impliqués dans leur combat qu’ils ont laissé les enfants seuls et sans ressources pour parler de leur peur et de leur tristesse. Peut-être étiez-vous pré-adolescent, pas tout à fait en colère encore, et le choc de la nouvelle du divorce de vos parents n’a jamais été discuté avec eux, ni avec un conseiller familial, ni même avec un de vos pairs. (Ceci est très commun.)
– Vous souvenez-vous de l’endroit où vous étiez quand vous avez reçu cette nouvelle ?
– Vous rappelez-vous ce que vous portiez, de la température ce jour-là ? Etiez-vous assis ou debout ? 
– Où est-ce que cette nouvelle s’est stockée dans votre corps? (Sans une réponse claire, il suffit de deviner…) 
– Quelles conclusions sur vous-même et sur la vie avez-vous fait à la suite de cette mauvaise nouvelle ? (du genre « on n’est pas en sécurité quand on aime… ») 

Les clients utilisent souvent des phrases telles que:
– « Je me suis senti comme si j’avais reçu un coup de poing dans l’estomac quand j’ai entendu cela. » 
– « Cela m’a frappé comme si j’avais pris une tonne de briques sur la tête. » 
– « Cela m’a fait sauter en l’air. » 

On peut demander :
– Comment se porte votre estomac maintenant ? 
– Où est passée la tonne de briques ? 
– Quel effet cela fait de sauter en l’air et de retomber ? 

Nos corps sont des lieux de stockage de toutes les trahisons verbales, émotionnelles et mentales.
C’est pourquoi nous devons dégager notre système énergétique des conflits qui y restent stockés. Il est plus que probable que beaucoup de gens ne sont même pas conscients de la façon dont certains chocs précis ont été stockés, comment les mauvaises nouvelles y ont été maintenues, ou comment de vieilles blessures ont été camouflées au lieu d’être guéries.
Comme je l’ai mentionné plus tôt, il n’est pas surprenant que les malaises et les plaintes des adultes puissent être symboliquement attribuées à des douleurs émotionnelles ou à des conflits survenus à un très jeune âge. Supposons que vous soyez stupéfait d’apprendre que vous avez été trahi et que vous avez perdu le soutien d’un ami de confiance, d’un mentor ou d’un patron. Il y a des endroits pratiques pour stocker ces informations et ce traumatisme : ce sont vos genoux et vos jambes… représentant symboliquement l’impression d’être « soutenu », etc (Si l’exemple qui suit ne résonne pas pour vous, choisissez-en un autre vous-même et mettez vos propres mots à la place.)

Point Karate :
– « Même si les mauvaises nouvelles apparemment ont été stockées dans mes genoux, je choisis de les en faire sortir maintenant… » 
– « Même si je ne savais pas où stocker les mauvaises nouvelles ailleurs que là, j’accepte qui je suis et comment je me sens à ce sujet… » 
– « Même si j’ai maintenu ces mauvaises nouvelles dans mon corps, je choisis de les en faire sortir maintenant. » 

Début du sourcil : « Je ne veux pas me souvenir de ces mauvaises nouvelles. » 
Coin externe de l’oeil : « Je sais que j’ai stocké les mauvaises nouvelles dans mes jambes. » 
Sous l’oeil : « Je sens que je dois protéger ces mauvaises nouvelles. » 
Sous le nez : « Je ne me sentais pas soutenu. » 
Centre du menton : « Je ne veux pas rouvrir ces vieilles blessures. » 
Clavicule : « Je me sens blessé par ces mauvaises nouvelles. »
Sous le bras : « Je me sens encore sous le choc et paralysé sur place. » 
Sommet de la tête : « Cela fait des années que je conserve ces mauvaises nouvelles en stock dans mes jambes. » 

Début du sourcil : « Je ne suis pas prêt à les laisser partir. »
Coin externe de l’oeil : « Ou peut-être que je suis prêt… » 
Sous l’oeil : « Je ne veux pas me souvenir des mauvaises nouvelles. » 
Sous le nez : « Je pourrais être en mesure de laisser sortir ces mauvaises nouvelles de mes jambes. » 
Menton : « C’était il y a longtemps. » 
Clavicule : « Il est grand temps de me libérer de ce fardeau. 
Sous le bras : « Je suis prêt à laisser certaines d’entre elles quitter mes jambes. » 
Sommet de la tête : « Je n’ai plus besoin de les retenir plus longtemps dans mon corps. » 

Les « mauvaises nouvelles » représentent souvent un choc pour nous et, bien sûr, c’est aussi un choc pour chacune des cellules de notre corps. Les appels téléphoniques souvent véhiculent des mauvaises nouvelles : un accident, un décès, les mauvais résultats d’un test médical, ou bien un changement dans la vie de la personne. Pensez à un appel téléphonique que vous avez reçu qui a été un choc pour vous (ou pour un de vos clients) :
– Où est-ce que le choc de cette mauvaise nouvelle s’est stocké pour vous ? 
– Est-ce que le temps s’est arrêté pour vous à ce moment-là ? 
– Quels problèmes physiques avez-vous rencontrés depuis ce moment ? 
– Avez-vous déjà réussi à vous en libérer ? 

Point Karaté :
– « Même si cette information a été un gros choc pour moi, et que je l’ai stockée dans mon cou, j’accepte ce que je suis et ce que j’ai fait de cette information… » 
– « Même si je n’ai pas vu venir le coup, je l’accepte ainsi que l’endroit où j’ai choisi d’enterrer cette information… 
– « Même si je n’étais pas prête à entendre cette mauvaise nouvelle, et qu’elle s’est logée dans mon cou, j’accepte ce que je suis, l’endroit où j’ai mis cette information, et ce que je ressens maintenant. » 

Sourcil : « Je me souviens encore de ce que j’ai ressenti quand j’ai entendu la nouvelle. » 
Coin de l’oeil : « Je me suis gelé intérieurement en l’entendant. » 
Sous l’oeil : « Je me sens si triste quand je repense à cet appel téléphonique. » 
Sous le nez : « Je me souviens d’avoir été tellement choqué, et du fait qu’une partie de moi se sent encore sous le choc. » 
Menton : « Pas étonnant que j’aie une raideur dans la nuque. » 
Clavicule : « J’ai été pris au dépourvu, je ne savais pas quoi faire. » 
Sous le bras : « Je me suis accroché à ce choc et à la peur dans mon cou. » 
Sommet de la tête : « Je ne savais pas quoi faire avec cette information. » 

Sourcil : « Je considère la possibilité de laisser partir ce choc de mon cou. » 
Coin de l’oeil : « Je suis prêt à relâcher une partie du traumatisme émotionnel. » 
Sous l’oeil : « J’ai été pris au dépourvu, et c’est OK. » 
Sous le nez : « Je n’ai pas vu venir le coup, comment aurais-je pu? 
Menton : « Je peux envisager de baisser ma garde à nouveau. » 
Clavicule : « Je ne savais pas quoi faire, mais maintenant je ne peux laisser aller ce problème. » 
Sous le bras : « Je choisis de me libérer de ce choc et de le laisser partir de mon cou et de mon corps. » 
Sommet de la tête : « Je me sens déjà soulagé en laissant partir ces émotions de mon cou. » 

Supposons que vous ayez soudain été éjecté de votre emploi ou de votre mariage… et que vous n’aviez rien vu venir. Où avez-vous « casé » cette information (cette mauvaise nouvelle) tout en essayant de faire bonne figure ? Beaucoup de gens sont complètement pris au dépourvu lorsque leur conjoint ou partenaire annonce qu’il s’en va. Ils se réprimandent eux-même pour le fait de n’avoir pas su voir les signes avant-coureurs, et ils supposent que c’est parce qu’ils ne sont « pas assez bien. » Ces conclusions, ainsi que le choc de la « mauvaise nouvelle », se stockent dans le corps.

Point Karaté :
– « Même si ce fut une surprise totale, et que je ne l’oublierai jamais, j’accepte ce que je suis et ce que je ressens à ce sujet… » 
– « Même si je me reproche d’avoir été laissé pour compte, j’accepte ce que je suis et ce que j’ai fait de cette information… 
– « Même si c’est de ma faute et que je l’ai mérité, je suis encore sous le choc et je ne sais pas quoi faire à ce sujet. » 

Sourcil : « Je ressens encore ce choc dans mon dos. »
Coin de l’oeil : « Je sais que j’ai stocké ce choc dans mon dos. » 
Sous l’oeil : « Je me sens si mal au sujet de cette mauvaise nouvelle. » 
Sous le nez : « Mon dos n’a plus jamais été comme avant. » 
Menton : « Je peux sentir la douleur de l’abandon dans mon dos. » 
Clavicule : « J’ai stocké cette douleur dans mon dos. » 
Sous le bras : « Je ne veux pas la laisser partir. » 
Sommet de la tête : « Je suis encore tellement en colère. » 

Sourcil : « Je suis sous le choc, même après toutes ces années. » 
Coin de l’oeil : « Je ne pouvais pas contrôler ce qui se passait. » 
Sous l’oeil : « Je me sens tellement impuissant, même maintenant. » 
Sous le nez : « Pourquoi est-ce que je n’ai pas vu venir le coup ? » 
Menton : « Je suis en colère parce que cela m’a été annoncé de cette façon. » 
Clavicule : « J’aurais voulu qu’il/elle gère les choses différemment. » 
Sous le bras : « Je ne sais pas comment gérer les mauvaises nouvelles. » 
Sommet de la tête : « Je me suis accroché à ce choc pendant toutes ces années. » 

En cas de doute, on peut ajouter quelques séquences de phrases positives pour aider la personne à accepter ce qui s’est passé et à envisager de passer à autre chose.

Sourcil : « Je suis prêt à travailler pour sortir de ce conflit. » 
Coin de l’oeil : « Je suis disposé à considérer que ce n’était pas ma faute. » 
Sous l’œil : « Et si c’était pour le mieux de toute façon ? » 
Sous le nez : « Je ne suis pas prêt à lâcher prise. » 
Menton : « Je ressens encore la souffrance et l’abandon. » 
Clavicule : « Je ne sais pas comment me libérer de cette douleur dans mon dos. » 
Sous le bras : « Je suis décidé à me détendre et à m’accepter. » 
Sommet de la tête : « Je me sens presque prêt à accepter ce que je suis et comment je gérais les mauvaises nouvelles à l’époque. » 

Sourcil : « J’apprécie mon dos et ce que je suis. » 
Coin de l’oeil : « Je n’ai pas de problème avec la façon dont j’ai enregistré cette information dans mon dos. » 
Sous l’oeil : « J’ai fait du mieux que je pouvais à l’époque. » 
Sous le nez : « Je fais encore du mieux que je peux. » 
Menton : « J’apprécie mon corps. » 
Clavicule : « Je suis plein de reconnaissance envers mon corps pour la protection qu’il me donne. » 
Sous le bras : « J’apprécie mon corps. » 
Sommet de la tête : « Je me sens bien à l’idée de laisser partir certaines de ces douleurs. » 

Restez en ligne pour la quatrième partie de cette série : « Le Présent – Qu’est-ce que vous avez « dans la peau » ?

Dr Carol Look, EFT Master (USA)

Le papillon

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Un jour, un homme a trouvé un cocon de chenille et a décidé de l’apporter chez lui. Quelques jours plus tard, une petite ouverture est apparue. L’homme s’est assis et a observé pendant plusieurs heures le papillon se débattre de toutes ses forces afin de sortir de son cocon.

Au bout d’un certain temps, le papillon ne bougeait presque plus. Comme s’il avait donné son maximum et qu’il n’avait plus rien à faire. L’homme a décidé alors d’aider le papillon. Il a pris une paire de ciseaux et a coupé le reste du cocon.

Le papillon est sorti alors facilement de son cocon, mais le corps du papillon était enflé et petit, et ses ailes étaient toutes ratatinés. L’homme continuait alors d’observer le papillon et s’attendait à ce qu’il ouvre tout grand ses ailes et commence à voler, mais rien de cela ne se passait. En fait, le papillon a passé le reste de sa vie à ramper avec son corps enflé et ses ailes déformées. Il n’a jamais été capable de voler.

Ce que l’homme avec sa gentillesse et son empressement n’avait pas compris, c’est que la lutte que le papillon devait effectuer pour sortir de son cocon était essentiel à son développement. En luttant ainsi de toutes ses forces, les fluides de son corps se seraient répartis dans ses ailes et, compte tenu du temps qu’il lui fallait pour crever son cocon par lui-même et déployer ses ailes, le papillon aurait été alors en mesure de voler et de se libérer une fois pour toutes de son cocon.

Il en est de même dans notre vie : les obstacles que la vie met sur notre chemin sont exactement ce dont nous avons besoin pour grandir.

La lutte éprouvé sur le chemin de la réussite personnelle fait partie intégrante du prix à payer pour réaliser notre plein potentiel. Si nous devions passer au travers de la vie sans obstacles, nous serions certainement tout rabougris, comme le malheureux papillon. Nous ne serions pas aussi forts que nous pourrions l’être et nous ne pourrions jamais voler, nous non plus, vers l’accomplissement de nos rêves.

Soyez confiants, la vie ne nous apporte rien que nous n’ayons la possibilité de dépasser, pour devenir un magnifique papillon.

Merveilleuse semaine.

Mabelle

Trois produits bien-être

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Le bien-être à long terme est l’objectif ultime de Nikken.

Pour mettre tout en oeuvre pour se sentir bien, il faut commencer par se créer des habitudes alimentaires saines.

Pensez couleur : rougeorangejaunevertviolet. Consommez une nourriture fraîche, de saison et colorée : fruits, légumes et salades, riches en nutriments essentiels pour la santé, pour offrir à votre corps ce dont il a besoin.

Malheureusement, très peu de personnes peuvent affirmer qu’elles ont un régime idéal et riche en nutriments tous les jours. Les fast foods sont partout et nous tentent à faire de mauvais choix. Il est vrai qu’ils sont faciles d’accès et qu’il est plus simple d’opter pour les plats préparés et à emporter que de de manger une large sélection d’aliments frais, de saison et colorés tous les jours.

Manger de la nourriture de mauvaise qualité laisse le mécanisme de survie du cerveau activé, ce qui cause des envies constantes, et une suralimentation, avec bien évidemment une inévitable prise de poids et la mise en danger de la santé.

Il est indispensable de prendre conscience des dangers que ces mauvais choix représentent sur la santé à long terme : obésité, diabète, maladies du cœur et cancer sont inextricablement liés à l’alimentation.

Votre corps a des besoins pour fonctionner de manière optimale. Si vous ne mangez pas des aliments variés et de qualité tous les jours, veillez à prendre des compléments alimentaires de qualité, conçus pour apporter les nutriments équilibrés.

Nikken propose aux personnes soucieuses de leur bien-être trois produits phares :

Ciaga®, Lactoferrin Gold 1.8®  et Jade GreenZymes® biologique.  Ensemble ils forment une combinaison idéale !

Le Ciaga contient myrtilles, baies de sureau, mûres, framboises, acai, et extraits de pépin de raisin, des aliments riches en antioxydants et 100% biologiques. Récoltés et préparés pour conserver tous les bienfaits, sans conservateur, arôme artificiel ou édulcorant, il est idéal pour toute la famille.

Le stress pouvant sérieusement affecter la digestion de la nourriture, un plein de vitalité es essentiel pour le système digestif. Lactoferrin est une protéine multifonction essentielle qui se trouve naturellement dans le corps et peut facilement s’épuiser.

L’orge a été utilisé comme aliment pendant des milliers d’années. Il a été prouvé que les gladiateurs romains mangeaient de l’herbe d’orge pour plus de force et d’endurance.

Les pousses sont récoltées avec soin afin de préserver leurs vertus biologiques.

L’herbe d’orge contient tous les nutriments dont le corps a besoin : magnésium, calcium, fer, phosphore, protéines, fibres, acides aminés. Il contient également de la chlorophylle qui est un détoxifiant naturel.

Le corps adore les super-aliments.Ne l’en privez pas.

Merveilleuse santé – Mabelle

Le conte du petit koala qui croyait que l’amour c’était recevoir des coups

Il était une fois un petit koala qui vivait dans une région très, très reculée de l’Australie. En fait, il faut vous le dire, il vivait dans une maison d’enfants koala, car ses parents ne pouvaient s’occuper de lui.
Toute sa vie, il avait reçu des coups. Tout bébé, tout enfant, il recevait, de la part des autres koalas qui l’entouraient, des coups. Lui, il croyait qu’être aimé, c’était recevoir des coups ! Cela peut vous surprendre mais c’était sa croyance.

koalas
Il avait une façon très particulière de provoquer les autres. Il s’arrangeait pour déclencher en eux de la peur, de l’irritation, de la colère.

Il était très habile pour donner aux autres l’envie … de le taper !

Il y avait dans cette maison d’enfants une jeune éducatrice koala, qui s’occupait de lui, qui le réveillait le matin, l’aidait à faire sa toilette, à s’habiller, le faisait déjeuner…tout ce fait en général une maman ou un papa qui s’occuperait de son enfant.
Eh bien lui, dès le matin, à peine avait-il ouvert un œil qu’il s’arrangeait pour déclencher chez cette éducatrice koala… l’envie de le taper, de le secouer et même de lui tordre le coup.

La bagarre commençait aussitôt, lui aussi rendait les coups, mordait même, griffait. Tout au fond de lui, il croyait que c’était cela s’aimer. Tout petit, un événement dont il n’avait jamais parlé…l’avait beaucoup marqué. Il était entré dans la chambre de ses parents (avant qu’il n’aille en maison d’enfants) et dans l’ombre il avait vu le papa koala qui s’agitait sur la maman koala, le lit remuait très fort, la maman koala gémissait comme si elle avait mal. Le petit koala, lui ne bougeait pas pour ne pas faire de bruit. Il aurait voulu aller défendre sa maman, mais il n’osait pas. Il croyait que le papa koala faisait du mal à sa maman, il aurait voulu l’aider, mais il n’osa pas……

Le lendemain matin, il avait demandé : Qu’est ce qu’ils font les papas dans le lit avec les mamans ?
La mère un peu distraite avait répondu : Tu sais, ils dorment ou ils s’aiment. Des fois ils s’aiment beaucoup…
Ils se font du mal pour s’aimer ? interrogea le petit koala.
Quand on s’aime on a pas mal, avait ajouté la mère en souriant —mange ton yaourt, dépêche-toi.
Et depuis ce jour, malgré ou à cause de ce qu’avait dit sa mère, le petit koala était persuadé que s’aimer, c’était se faire du mal. Et pour cela se donner des coups…
Revenons à la maison d’enfants koala. La jeune éducatrice qui s’occupait de lui avait dit à une amie :
—C’est drôle, j’ai beaucoup d’amour pour lui, mais j’ai peur de le lui donner. J’ai surtout peur qu’il le reçoive mal ou qu’il le refuse.
Un jour elle eut une idée, elle demanda au jeune koala de lui trouver une boite à peur.
Il la regarda tout étonné.
Une boite à peur !
Oui, une boite à peurs, dans laquelle je pourrai mettre toutes les peurs que j’ai en moi, pour ne pas les garder dans ma tête, dans mon ventre, dans mon cœur.

Le lendemain, le petit koala arriva avec un grand carton de frigidaire, qu’il était allé demander au supermarché du coin. Il avait compris que les peurs de son éducatrice étaient très importantes. Elles fut très touchée de ce geste.

 Elle lui dit : J’aimerais t’embrasser sans que tu me donnes des coups. Il acquiesça de la tête.

Elle lui fit, juste au coin de l’œil, là vous voyez, tout près des cils, un long baiser tout doux, tout doux. Tellement doux que le petit koala qui n’avait jamais reçu de baiser aussi doux, sentit une larme couler sur ses joues de koala. Heureusement personne ne l’avait vue, car autrement il se serait mis en colère et aurait donné des coups malgré sa promesse.
Ce jour là, cette éducatrice mit dans le carton à peurs la plus grande des peurs qu’elle avait, celle que son amour ne soit pas reçu par l’autre.
C’était une peur énorme qui prenait toute la place dans le carton.
De temps en temps, elle allait jeter un coup d’œil sur sa peur, dans le carton. Elle voyait bien que c’était une peur très ancienne, vieille comme sa vie.
De son côté, le petit koala avait aussi découvert une boite à peurs pour lui-même. Il commença à mettre ses peurs dedans. Il se sentait plus léger, plus content. Comment dire, il avait envie de donner des baisers, des câlins, même s’il ne savait pas comment cela se faisait. Un jour, il osa demander à la jeune éducatrice : Tu sais, j’aimerais que tu m’apprennes à ne pas aimer…

Elle le regarda toute surprise : A ne pas aimer !
Oui, tu sais, quand on aime trop fort, on se donne des coups, on crie. Moi j’aimerais que tu m’apprennes à ne pas aimer, à ne pas donner des coups, à faire des baisers de peur, comme celui que tu m’as fait l’autre fois, au coin de l’œil…
Vous n’avez aucune idée de l’énergie qu’il avait fallu à ce petit koala pour dire cela. Cela vous paraît simple à vous, quand vous lisez ce conte, mais ce fut terrible, c’était comme si on lui arrachait la peau, à ce koala.
L’éducatrice comprit ce jour-là tout le malentendu qu’il y avait dans la vie de ce petit koala.

Elle lui répondit doucement : Oui, je suis d’accord. Je vais t’apprendre. On va apprendre ensemble, d’ailleurs, car je suis un peu comme toi, je ne sais pas bien aimer. L’autre fois, tu vois, j’avais inventé. Oui, nous allons découvrir tout cela ensemble. Il nous faudra, à toi et à moi, beaucoup de patience…

Je ne vous raconte pas la suite, car vous pouvez l’imaginer vous-même.
Mais ne croyez pas que cela fut facile. Oh non, ils eurent encore beaucoup de bagarres entre eux, car ils étaient l’un comme l’autre encore très maladroits à s’aimer.
J’ai remarqué que cela était très fréquent, cette maladresse à s’aimer chez les koalas, entre parents et enfants, entre adultes aussi. A mon avis ce doit être une des caractéristiques de l’amour chez les koalas !
Ainsi se termine le conte du petit koala qui croyait que s’aimer, c’était se donner des coups et se faire du mal.

Extrait du livre de Jacques Salomé « Contes à guérir, contes à grandir »