Bonjour,
J’espère que vous êtes en forme et ne faites pas partie des sinistrés des dernières inondations un peu partout à travers l’Europe.
Je vous partage l’avais de François Gervais, professeur émérite de l’université François Rabelais, de Tours, où il enseigne la physique et la science des matériaux. Il remet en question dans cet entretien accordé à « Liberté », les différentes « théories » sur le réchauffement climatique. Evidemment il ne sera jamais invité sur les médias subventionnés par ceux qui veulent réduire la population, imposer les villes 15 minutes et les taxes carbone.
Il est l’auteur de « L’Innocence du carbone: L’effet de serre remis en question », un livre publié en 2013 dans lequel il dénonce les rapports officiels qui « nourrissent l’alarmisme ».
CYCLE DE 60 ANS AUGMENTATATION DE 0.06 DEGRES DE 1910 À 1940 EN PLEINE REVOLUTION INDUSTRIELLE .
PUIS DE 1970 À 2000 DU CYCLE DES 60 ANS SONT TOUTES DEUX DE MÊME AMPLITUDE 0,06 DEGRES ALORS QUE DURANT LA PREMIERE LES EMISSIONS DE CO2 ETAIENT 6 FOIS INFERIEUR A CELLE DURANT LA SECONDE.
La phase descendante observée de 1940 à 1970 dédouane plus encore le CO2 puisque la température baissait pendant que les émissions étaient déjà en pleine accélération.
Si les dernières années ont effectivement été un tantinet plus chaudes, en particulier lors de la fluctuation El Niño intense mais ponctuelle de 2016, en moyenne le réchauffement semble commuter en tendance au refroidissement depuis le début de ce siècle. Et ce n’est pas la décroissance de l’amplitude des cycles de taches solaires qui va arranger les choses. Les phases montantes de 1910 à 1940 puis de 1970 à 2000 du cycle de 60 ans sont toutes deux d’une même amplitude de 0,6°C alors que durant la première, les émissions de CO2 étaient 6 fois inférieures à celles durant la seconde. On ne dispose donc d’aucun élément factuel pour incriminer ce gaz trace. La phase descendante observée de 1940 à 1970 dédouane plus encore le CO2 puisque la température baissait pendant que les émissions étaient déjà en pleine accélération.
Ce qui est improprement appelé effet de serre du CO2 est proche de la saturation de sorte qu’il subsiste un lien résiduel entre émissions et température mais son impact est beaucoup plus faible que ne le prophétisent les modèles du GIEC comme le montre leur propre Figure 2. Comme je l’ai détaillé dans mes conférences de ces trois derniers mois,
: Avec des records de glace en Arctique et en Antarctique battus d’année en année, il semble que les prévisions d’une ère glaciaire imminente soit plus probables que l’idée d’un réchauffement climatique qui apparait comme un mensonge :
https://www.google.be/…/mensonge-du-rechauffement…/amp/
DÉRIVE DES GLACES:
La dérive des glaces est un phénomène de mouvement de la glace sous l’effet de la rotation de la Terre, de la circulation atmosphérique et océanique. D’après les scientifiques anglais du British Antarctic Survey (BAS) et américains du JPL, les cartes révèlent que la tendance d’augmentation de la glace de mer est corrélée à un changement dans les vents. Le premier auteur de la publication, Paul R. Holland, explique : « La banquise est constamment en mouvement ; autour de l’Antarctique, la glace est emportée loin du continent par d’intenses vents du nord. Depuis 1992, cette dérive des glaces a changé. Dans certains endroits, l’exportation de glace loin de l’Antarctique a doublé ».
POURQUOI LES GLACES DE L’ARCTIQUE FONDENT PLUS VITE QUE LES GLACES DE L’ANTARCTIQUE?
Les vents étendent la glace de mer, mais la calotte fond
Mais ces résultats mettent également en évidence la complexité du changement climatique. Si la surface totale de la banquiseaugmente lentement, il existe une très forte disparité régionale. Dans certaines régions, l’intensité des vents chauds provenant des tropiques a augmenté. « Dans la mer de Bellingshausen, la mer de glace disparaît aussi rapidement que dans l’Arctique. » explique Paul R. Holland. Les changements dans l’advectionde la glace sont dominants dans l’ouest de l’Antarctique.
L’Arctique fond 5 fois plus rapidement que ce que l’Antarctique s’agrandit, le bilan de masse global est ainsi négatif : il y a plus de perte de glace que de gain. Une telle différence entre les deux pôles s’explique par le fait que l’Antarctique est entouré par un océan tandis que l’Arctique est proche des continents. La mer de glace ne peut donc s’étendre de la même manière. « La couverture de la banquise de l’Antarctique interagit avec le système climatique global de façon très différente, et les résultats soulignent la sensibilité de la glace de l’Antarctique aux changements de la force des vents sur le continent. »
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Prenez soin de vous et de vos proches
Mabelle