Archives de catégorie : Coaching de vie

Agir par fierté

Bonjour, vous allez bien ?

Je vous partage un texte de nospensées.fr

Prenez soin de vous – Mabelle

Agir par fierté n’est pas toujours une bonne chose.

La fierté vous fait vous sentir fort. C’est l’armure face à vos faiblesses, l’étendard de vos victoires. Cependant, si vous en abusez, vous marquerez une nette distance avec les personnes qui vous aiment.

Commençons par clarifier quelque chose d’important, que vous savez peut-être déjà : la fierté peut avoir une dimension positive.

Nous avons tous besoin d’elle pour maintenir un amour propre mesuré, et pour nous valoriser en tant que personnes capables et méritantes.

Ainsi, à l’inverse, nous pouvons dire sans nous tromper que la fierté, dans son revers sombre et radical, peut parfois tomber dans l’excès et devenir ce fameux “pêché capital” qu’est l’orgueil.

Nous avons tous déjà réussi quelque chose et nous avons tous profité d’un petit moment de gloire, mais cela ne doit pas se transformer en arme pour humilier les autres et pour se placer sur un piédestal, en prétendant avoir la science infuse et être au dessus des autres.

Nous sommes certains que dans votre cercle social ou familial, il y a quelqu’un qui marche fièrement.

Cette fierté démesurée vous éloigne de cette personne et vous empêche d’aller vers elle car vous savez pertinemment qu’elle ne s’intéressera pas à votre point de vue, qu’elle ne valorisera pas vos mots et qu’elle ne sait pas ce qu’est l’empathie.

Réfléchissons aujourd’hui sur cette notion de fierté pour comprendre ce que cache ce genre de comportements.

Les complexes entrailles de la fierté

S’il y a bien un contexte dans lequel la fierté est particulièrement douloureuse, c’est dans les relations de couple. Nous savons qu’il n’est pas toujours facile d’harmoniser le “toi” et le “moi” pour devenir un “nous”.

Cependant, en cas d’excès d’amour propre, c’est là qu’apparaissent les problèmes et les conflits et que la distance s’installe.

Le plus grand danger, c’est lorsque la fierté atteint la sphère de l’orgueil. Voici les comportements typiques des personnes orgueilleuses :

Elles n’assument pas leurs erreurs.

Elles n’apportent pas de critiques constructives, mais des attaques directes.

Elles ont une forte estime d’elles-mêmes, et tout tourne autour d’elles.

Être orgueilleux c’est tomber dans l’excès, c’est chercher à être admiré et mis en avant.

Souvent, ces personnes se placent en victimes lorsqu’elles ne se sentent pas assez reconnues, pour ensuite faire ressortir leur côté dominateur et autoritaire.

1. Que cachent les personnes trop fières et orgueilleuses ?

Même si cela risque de vous surprendre, sachez que sous ces fières armures d’autosuffisance et de perfection se cachent de grandes blessures.

Une faible estime de soi ou le fait de garder pour soi des faits qui vous ont blessé, peut provoquer une réaction de défense qui pousse à mettre en avant ses réussites pour cacher ses faiblesses.

La fierté est une simple armure et un subtile mécanisme visant à se mentir à soi-même. Si je me crois invincible et que je pense me suffire à moi-même, je prouve mon pouvoir sur les autres, et personne ne voit mes failles intérieures.

Cette fierté extrême envenimée par un manque d’empathie, fait que les autres s’éloignent peu à peu de ce genre de personnes.

Elles finiront par tomber dans un cercle vicieux peu agréable. Leurs vides internes sont camouflés par leur fierté, mais l’orgueil les plonge dans la solitude, et la solitude aboutit sur le ressentiment. Ainsi, l’amertume est continuellement alimentée.

2. La fierté engendre encore plus de fierté et empêche le positif

Si ma moitié agit par fierté, il est fort probable que je finisse par reproduire la même chose, étant fatiguée de lutter pour qu’il change.

On en arrive donc à cette fameuse situation : “ si ta fierté te tue, la mienne m’empêche de me rendre à ton enterrement.”

Il est vrai que nous agissons souvent par fierté pour nous protéger, car il est très difficile de garder le cap dans ce genre de situations riches en émotions.

Ces personnes orgueilleuses s’enferment peu à peu et creusent quotidiennement le fossé qui les sépare des autres.

Elles ne pourront alors ressentir que de la rancoeur. Il n’y a rien de plus destructeur que de souffrir à cause de sa fierté et de ne pas voir sa propre blessure.

Comment gérer correctement notre fierté ?

Repassez du côté positif de la fierté ! Seule la voix interne vous valorise, et vous permet de voir vos réussites et vos qualités.

La fierté dite “saine” est importante pour votre amour propre, mais toujours sous les rênes de l’humilité. Il est essentiel de pouvoir reconnaitre ses erreurs et de connaitre ses limites.

La fierté doit aller de pair avec la compréhension, l’acceptation de l’autre, et bien sûr, l’empathie.

Ne mettez jamais votre dignité de côté si vous devez parfois faire face à ces personnalités orgueilleuses.

La paix intérieure

✨ Les énergies actuelles occasionnent beaucoup de remontées émotionnelles, afin d’évacuer les tensions et conflits intérieurs pour rétablir l’équilibre Corps, Âme, Esprit et apporter la Paix intérieure, où Vous Êtes Vous-mêmes quand Vous Êtes en Paix avec Vous-mêmes.

✨ Quand vous ressentez cet apaisement intérieur, vous inspirez la sérénité et diffuser ces énergies de Paix à l’extérieur, pour créer un Monde meilleur et émaner le Bonheur dans cette Union des Cœurs.

✨ Ce processus de libération par cette Lumière divine, enveloppe Vos Corps physiques et émotionnels pour ramener cet équilibre intérieur.

✨ Cette Lumière dissipe et transmute les zones d’ombres de la personnalité et des blessures du passé, pour raviver le Feu sacré de la passion et la Flamme de Votre Âme.

✨ Elle s’intensifie et se développe au fur et à mesure de ces libérations, pour vous apporter la confiance et le pardon afin de vous réconcilier avec Vous-mêmes.

✨ Le mental va chercher à garder le contrôle pour vous faire douter et vous empêcher d’avancer, d’où les prises de têtes avec tous leurs maux et dissonances.

✨ Ces contradictions et oppositions nécessitent d’abandonner toute résistance afin de libérer les souffrances ; vous vous créez vos propres maux et maladies par vos pensées et ressassements du passé.

✨ Ce lâcher prise va permettre cette reconnexion à votre enfant intérieur, pour mieux vous retrouver et apprendre à Vous Aimer dans l’harmonie et la complétude retrouvées.

✨ Laissez aller tout ce qui peut nuire ou entraver votre sérénité et votre évolution et n’y accordez plus d’importance ; de belles surprises sont en chemin….

✨ Concentrez-vous sur Vous -mêmes et sur Vos propres besoins et désirs de Cœur sans pudeur ni retenu, afin de laisser entrer dans Votre Vie les bénédictions qui vous sont destinées, accueillez-les les bras ouverts.

✨ Vous Êtes dans cette Ascension et de par Votre Taux vibratoire, fatigués et émoussés.

Ressentez ces énergies apaisantes se déverser sur Vous pour vous laisser bercer par ces douces notes fleuries d’Amour et de Paix, vous accéderez ainsi à cette plénitude et vous vous sentirez pousser des ailes, pour convoler vers ce Nouveau Monde qui vaut Tout l’Or du Monde, l’OR est en chacun de NOUS.

💙QUE TA LUMIÈRE DIVINE DESCENDE SUR MOI

Source: 🌟Brigitte Marty 🌟

De quoi remplis tu ta vie ?

Bonjour, je t’espère en pleine forme

Vous tenez une tasse de café quand quelqu’un arrive et vous bouscule ou vous secoue le bras, vous faisant renverser votre café partout.

Pourquoi as-tu renversé le café ?

« Parce que quelqu’un m’a bousculé !!! »

Mauvaise réponse.

Vous avez renversé le café parce qu’il y avait du café dans votre tasse.

S’il y avait eu du thé dans la tasse, vous auriez renversé du thé.

Tout ce qui est à l’intérieur de la tasse est ce qui va se répandre.

Par conséquent, lorsque la vie arrive et vous secoue (ce qui arrivera), tout ce qui est à l’intérieur de vous sortira. C’est facile de faire semblant, jusqu’à ce que vous soyez secoué.

Nous devons donc nous demander… « qu’y a-t-il dans ma tasse ? »

Quand la vie devient difficile, qu’est-ce qui déborde?

Joie, gratitude, paix et humilité ?

Colère, amertume, mentalité de victime et tendance à abandonner ?

La vie fournit la coupe, TU choisis comment la remplir.

Aujourd’hui, travaillons à remplir nos tasses de gratitude, de pardon, de joie, de mots d’affirmation, de résilience, de positivité ; et la gentillesse, la douceur et l’amour des autres.

Et prenons soin de nous et de nos proches

Mabelle

Comment vas tu ?

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage ce matin un texte de © Jennifer page fb: Conscient d’Être

Prenez soin de vous

Mabelle

A la question « Comment vas-tu ? »

La réponse reste quasiment toujours la même « ça va. »

Cette question pourtant fondamentale, est presque devenue banale, une simple marque de politesse qui au fond n’attend même pas de réponse.

La question est lancée, par principe, mais supposant déjà la réponse « oui, ça va », la personne qui questionne ne s’arrête même pas.

C’est dommage je trouve, que cette si belle question ait perdu de sa superbe, et vous savez ce que je trouve encore plus triste ? C’est la montagne de mensonges qui se cache derrière cette réponse affirmative.

Parce qu’on ne veut pas s’étendre, parce qu’on ne veut pas que cet autre puisse avoir un quelconque pouvoir, parce que c’est normal d’aller bien et illogique d’avoir une baisse d’énergie ou de petits ou grands soucis, l’être humain a prit le parti de cacher ce qu’il ressent vraiment.

Bien plus que le cacher aux autres, il en est arrivé à se le cacher à lui-même.

Il devient plus facile de faire semblant que de faire face à sa propre vérité.

Alors bien sûr, vous avez le droit de ne pas vous épancher sur un sujet personnel avec une personne qui n’est pas de confiance ou proche.

Mais chacun devrait au moins se donner le droit lorsque ça ne va pas, de répondre « Non, aujourd’hui, ça ne va pas. Mais je ne souhaite pas en parler, merci de ta question qui me permet d’accueillir mes émotions. »

Oui, cette question nous permet de faire face à ce que l’on ressent en soi, sans masque ni faux-semblants.

Essayez, et vous verrez que le simple fait d’être honnête envers vous car c’est surtout cela qui compte vous amènera de la légèreté et vous permettra de mettre en œuvre les démarches nécessaires pour apaiser cette émotion.

Dans une société où tout doit être instagramable, où les influenceurs sur les réseaux vous montrent sur chaque photo un selfie mettant en avant un sourire parfait, une vie parfaite, un bonheur parfait, des dents blanches parfaites, des vêtements parfaits jamais tachés, des soucis inexistants … aller bien est presque une obligation inconsciente.

Ne pas aller bien, devient anormal.

Mais sachez que personne ne peut aller bien tout Le temps, et rester tout souriant face aux déconvenues et ras de marée de la vie.

Alors, oui, avoir moins d’énergie, se sentir flagada, perdu, douter, tout ça fait aussi partie de la vie.

Et vous n’avez pas à en avoir honte.

Le mieux vous tend les bras, mais soyez toujours honnête envers vous, c’est Le seul moyen de transformer vos émotions.

La transformation ne peut avoir lieu que s’il y a accueil, ou acceptation.

Notre intérieur

Bonjour,

Comment allez-vous ce matin ?

Je vous partage un texte de Emilie – Soin et guérison

Prenez soin de vous – Mabelle

Nous nous sommes tous construits sur des croyances, des pensées, des schémas qui ne sont pas nôtres. Cela vient principalement de nos parents, de notre éducation, de notre religion, de nos institutions, de notre gouvernement… Nous sommes « formatés », et cela ne laisse que très peu de place à nos idées, à notre vrai Moi.

Lorsque l’on prend conscience de cela, on trouve une clé très importante. La vision claire est le premier pas vers la libération, car comprendre que cette idée n’est pas la notre, que ce jugement prend vie ailleurs, que cette façon de faire nous a été dictée, est salutaire.

C’est à ce moment que le travail intérieur peut commencer.

Nous allons détruire notre maison intérieur, aller jusqu’aux fondations, creuser, retirer, défaire, débloquer, enlever, jeter, soulever…

Cela est très fatiguant, très long, très difficile, il faut prendre son courage à deux mains. Plus la maison prend l’allure de chantier, plus on se sent vide (et souvent le vide appelle la tristesse). Car cette maison, même si ses bases étaient faussées, même si les fondations étaient bancales, même si ses pièces étaient bourrées d’objets ne nous appartenant pas, au moins elle existait, elle ÉTAIT!

Quand on détruit cela, que reste-il? Le vide.

Avec ces anciennes croyances/fondations, ont disparu des parties de nous. Nos croyances et pensées erronées, c’étaient un peu « nous », on s’identifiait à elles, et les laisser partir c’est laisser mourir cet ancien nous. Encore du vide.

Ce travail intense de déconstruction, se suit donc très souvent d’un état de tristesse. En fait, on peut parler de deuil… notre ancien Moi est mort. Il ne faut pas précipiter cette période, même si elle est pénible, nous devrions l’accepter, la comprendre et la bénir.

Ce vide en nous, ne restera pas (la durée varie d’une personne à l’autre, selon sa peur du vide, de la mort). Peu à peu, notre intérieur se remplira de lumière. Cette nouvelle énergie sera plus forte, plus haute, plus juste.

C’est la lumière de notre vrai Moi.

Cette nouvelle énergie servira de fondations à notre nouvelle maison: une demeure plus grande mais surtout en mouvement constant.

La décoration changera au gré de nos envies, parfois nous ajouterons une pièce, la cave sera accueillante car nous n’aurons plus peur de descendre dans notre obscurité, la porte de notre maison sera ouverte car nous serons dans l’accueil… Nous nous écouterons, car il sera évident que notre cœur est le centre énergétique de notre intérieur, et non plus notre ego qui pollue et abime. Nous utiliserons, pour ainsi dire, des énergies naturelles et respectueuses.

Alors, votre nouvelle maison vous la voyez comment?

Les émotions refoulées sont destructrices

Bonjour, je vous espère en forme

Imaginez un enfant ayant subit des violences physiques et verbales. Cet enfant est colérique. Alors, ces parents le punissent à coup de gifles. Parfois, ce sont des coups de louche ou de talons.

Quand bien même cet enfant a fait des bêtises, êtes-vous d’accord avec ces actes de violence ? Tolérez-vous la punition corporelle ou l’agression verbale ?

Pire, imaginez que cet enfant soit puni à tort, pour une bêtise qu’il n’a jamais commise.

Par exemple, un matin, son père le réveille brutalement et le tape violemment alors que cet enfant dormait encore quelques secondes avant. Pas même un bonjour, il commence d’abord par le ruer de coups, l’accuse et l’agresse verbalement. L’enfant, impuissant, se protège du mieux qu’il peut et ne comprends pas du tout la situation qu’il est train de vivre. Il est littéralement sous le choc.

À ce moment-là, cette expérience devient traumatisante et est gravé pour toujours dans son corps émotionnel. Il ressent ainsi un profond sentiment d’injustice.

Cet enfant est jugé tellement colérique par ses parents que ces derniers le menacent de le mettre en pension si il ne change pas rapidement de comportement. Ils décident même de l’emmener chez un neurologue pour le “bourrer” de médicaments sensés “l’aider à le calmer”.

Ces parents préfèrent ainsi se concentrer sur la conséquence que sur la cause des symptômes de cet enfant. Cet enfant essaye tant bien que mal d’essayer de parler de ce qui s’est passé à ses parents, même à sa sœur. Le problème ?

Ces derniers nient l’évidence, ils préfèrent nier ce qui s’est passé. Ils blâment même l’enfant en lui disant “qu’il exagère et dramatise la situation”. Vraiment ?

Alors cet enfant doit avoir beaucoup d’imagination… Il paraît pourtant que la vérité sort de la bouche des enfants….

Imaginez maintenant que cet enfant, en proie à une colère sans fin, s’en prend un jour à une personne qui a essayé volontairement de lui faire du mal. Fou de rage, cet enfant est prêt à TUER cet individu. Heureusement, une tierce personne arrive à raisonner cet enfant.

Cet enfant prend alors conscience de la gravité de la situation : il a failli tuer cette personne. Il prend alors PEUR de sa propre colère.

Progressivement, cet enfant apprend à canaliser cette colère en la dirigeant vers des objets pour se défouler (meubles, punchingball, armoire etc). Il peut aussi la retenir en lui. Ses émotions sont alors refoulées et le détruisent.

A l’âge adulte, comment croyez-vous que cet individu va se comporter ? Pensez-vous qu’il peut avoir une vie “normale” ?

Non, bien sûr que non. Tant que l’enfant intérieur de cet adulte sera blessé, il aura tendance à chercher l’isolement pour se protéger. Se protéger de lui-même et des autres. Il aura ainsi du mal à faire CONFIANCE à quelqu’un et se montrera très exigeant.

Voilà pourquoi les émotions refoulées sont destructrices. Nous vivons dans une société où le paraître paraît naturel. Il n’en est rien.

Nier ce qu’il s’est passé et ne pas chercher à COMPRENDRE et à ACCEPTER sa part de responsabilité provoque automatiquement un blocage au niveau du corps émotionnel.

Quand on sait le rôle que jouent les émotions dans la santé du corps physique mais aussi et surtout au niveau du bien-être, ne pas essayer des les comprendre est une erreur. Nier ses émotions revient à se mentir à soi-même.

Croire que les émotions vécues dans l’enfance n’affectent pas la santé mentale de l’individu à l’âge adulte est une illusion.

Source:

https://www.bychouchouetloulou.com/voici-pourquoi-les…/

Tourner la page

Bonjour, je vous espère en grande forme.

Petit partage d’un texte de Paulo Coelho

Il est toujours nécessaire de savoir quand se termine une étape de la vie !

Si tu insistes à vouloir rester en elle au-delà du temps nécessaire, tu perds la joie et le sentiment du reste.

Il faut fermer des cercles, fermer des portes, ou fermer des chapitres, comme tu voudras le nommer. L’important est de pouvoir les fermer, et laisser aller les moments de la vie qui se clôturent.

Tu dois quitter ton travail ? Ta relation amoureuse s’est terminée ? Tu ne vis plus dans cette maison ? Tu dois partir ailleurs ?

Tu peux passer beaucoup de temps de ton présent « anéanti » dans les pourquoi, en te repassant le film et en essayant de comprendre le pourquoi du comment de telle ou telle chose.

L’usure qui s’en suit sera infinie, parce que dans la vie, toi, moi, tes amis, tes enfants, tes frères et soeurs, tous et toutes sommes sur le chemin vers la fermeture de chapitres, tournant la page, terminant avec des étapes, ou avec des moments de la vie et continuant à aller vers l’avant.

Nous ne pouvons pas être dans le présent en regrettant le passé. Ni même en nous demandant pourquoi. Ce qui s’est passé, est passé, et il faut le lâcher, il faut s’en détacher.

Nous ne pouvons pas être éternellement des enfants, ni des adolescents tardifs, ni des employés d’entreprises inexistantes. Les faits passent et il faut les laisser partir !

Voici pourquoi, quelquefois il est si important de détruire les souvenirs, offrir les cadeaux, changer de maison, déchirer des papiers, jeter des documents, et vendre ou offrir les livres.

Laisser partir, lâcher, se détacher. Dans la vie personne ne joue avec des dés pipés, et il faut apprendre aussi bien à perdre qu’à gagner. Il faut laisser partir, il faut tourner la page, il faut seulement vivre ce que nous avons au présent…

Le passé est passé. N’attends pas qu’on te le rende, n’attends pas qu’on te reconnaisse, n’attends pas qu’un jour on se rende compte de qui tu es… Lâche le ressentiment.

En te branchant sur « ton téléviseur personnel » pour tourner en boucle et ressasser maintes et maintes fois l’affaire, la seule chose que tu peux obtenir c’est te blesser lentement, t’empoisonner et développer de l’amertume.

La vie est faite pour avancer, jamais pour reculer. Des fiançailles ou des amitiés qui ne se terminent pas ? Des possibilités de retour arrière ? (vers quoi ?) Des besoins d’éclaircissements ? Des paroles qui n’ont pas été dites ? Des silences qui ont tout envahi ?

Si tu peux les affronter maintenant et tout de suite, fais-le, sinon, laisse tomber, ferme les chapitres.

Dis-toi à toi-même non, ils ne reviendront pas. Mais pas par fierté ou orgueil, seulement parce que toi tu ne cadres plus dans cet édifice, dans ce lieu, dans ce coeur, dans cette pièce, dans cette maison, dans ce bureau, dans ce travail.

Toi, tu n’es plus la même que celui d’il y a deux jours, trois mois, un an. Par conséquent, il n’y a plus rien vers quoi revenir.

Ferme la porte, tourne la page, ferme le cercle.

Prenez soin de vous

Mabelle

Guérir le lien avec sa mère

Bonjour, comment allez vous ?

Je vous partage ce matin une petite réflexion sur la relation à la mère et l’importance de guérir cette relation.

Cela est rarement simple, comment être en mesure d’aimer une mère qui nous a abandonné, maltraité, abusé, trahin violenté ? Tout le monde n’a pas l’envie ni la force de pardonner.

Tout enfant voudrait avoir à ses côté une mère aimante, mais toutes les mères ont leur propres vécu, souffrances, difficultés et ne peuvent parfois tout simplement pas donner à leur enfant ce qu’ils réclament souvent à grands cris, elles en sont incapables.

Le manque d’amour d’une mère conduit fréquemment à un repli sur soi, une incapacité à aimer soi même, le manque de confiance en soi, voire la mise en place d’une autodestruction.

C’est souvent lorsque la petite fille est devenue mère à son tourqu’elle réalise que bien que tentant de ne pas faire comme sa propre mère, elle a beaucoup de lacunes et n’est pas non plus la mère qu’elle aurait voulu être, douce, tendre, bienveillante, soutenante, aimante qui accompagne son enfant tout au long de sa vie et l’aide à réaliser ses rêves.

Le texte ci-dessous n’est pas de moi, je n’en connais pas l’auteur(e)

Prenez soin de vous

Mabelle

Comme nous traitons notre mère, c’est ainsi que la vie nous traitera. Qui est en connexion et en harmonie avec sa mère brille.

Celui qui rejette sa mère rejette généralement aussi un couple. Celui qui se croit supérieur à sa mère ne se permet inconsciemment pas une vie épanouissante.

Qui ne respecte pas sa mère ne le fera pas non plus avec son partenaire. Inutile de travailler sur une relation de couple alors que l’un de nous n’est pas en harmonie avec sa mère.

Nous ne nous permettrons ni câlins ni liens amoureux, couler en harmonie si le lien avec la mère est rompu. Nous ne pouvons pas nous permettre de vivre toute une vie à partir du ressentiment de notre propre perception qui ne nous a pas donné d’amour, abandonné, maltraité, humilié.

Tout ce que tu lui reproches, la vie fera en sorte que tu le vois en toi et dans tes relations amoureuses passées ou à venir. Ta mère était le canal de ton existence, elle a certainement eu une vie plus dure, plus difficile, plus solitaire que tu ne peux le comprendre.

Elle n’a peut-être pas eu l état de conscience que tu as, ni la chance de guérir. Tu choisis de briser le schéma douloureux ou de répéter le même programme.

Tu ne connais pas grand chose de ses peurs. Change les schémas de pensées qui depuis des générations ont provoqué des conflits émotionnels.

Lorsque vous travaillez à guérir le lien avec la mère, toutes vos relations commencent à couler y compris le couple, le succès, la santé, le regard de vos enfants, sont des énergies qui coulent avec le lien de notre mère.

Guérir le lien avec sa mère, c’est prendre conscience qu’elle nous a toujours aimés, comme elle l’a appris.

Le poison des plaintes

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage ce matin un texte de Leonardo Pazzola

Bonne lecture et excellente journée

Mabelle

Se plaindre est un poison qui intoxique l’esprit et le corps.

Il empoisonne l’environnement, crée un espace douloureux dans lequel vivre.

La plainte absorbe une énorme quantité d’énergie et fait chuter la qualité de notre vie, la rendant insupportable.

Demandons-nous combien d’énergie nous avons gaspillé jusqu’à présent à nous plaindre.

Toute cette énergie peut être investie dans la création, la planification, l’écoute.

La même énergie stagnante piégée dans les toiles d’araignée des plaintes peut être utilisé pour changer ce dont nous nous plaignons.

Bien sûr, nous ne pouvons souvent pas changer directement quelque chose qui échappe à notre contrôle.

Mais nous pouvons déplacer l’attention de ce qui est hors de notre contrôle vers notre sphère d’influence.

Après tout, ce qui nous concerne est toujours notre bonheur.

Nous voulons tous être heureux. Mais il semble souvent que des conditions extérieures nous empêchent de l’être.

Et donc on finit par se plaindre, se plaindre et se plaindre.

Mais ce qui est merveilleux, c’est que le bonheur ne dépend de rien ni de personne.

Il n’y a pas d’excuses pour justifier notre malheur.

Nous devons assumer l’entière responsabilité de notre état intérieur.

Et nous pouvons commencer à être heureux maintenant, à cet instant précis, par notre propre choix.

Et pendant que nous décidons d’être heureux, nous pouvons commencer à économiser de l’énergie.

Au lieu de se plaindre, nous pouvons rester silencieux ou nous pouvons nous demander ce que nous pouvons faire pour améliorer nos conditions extérieures.

Mais en attendant, nous devons accepter la situation dans laquelle nous nous trouvons comme si nous l’avions choisie, en prenant l’entière responsabilité de cette situation ainsi que des changements à venir.

Nous ne pouvons pas attendre de révolutionner nos conditions extérieures pour être heureux.

En vérité, ce n’est pas un changement extérieur superficiel qui va transformer perpétuellement notre état intérieur.

Le changement est d’abord interne, et de là, il s’étend vers l’extérieur.

Mais ce même changement interne ne doit pas être imposé par la force.

Cela se produit spontanément lorsque nous nous alignons sur le champ de fréquences de l’amour, de la joie, de la gratitude.

Par conséquent, notre seule véritable responsabilité est d’ouvrir notre cœur et de nous réveiller, faire de notre vie une prière, une méditation, un rituel dans lequel nous apprenons à rester aussi présents que possible, une contemplation dans laquelle nous laissons tomber la négativité et nous nous mettons en phase avec les vibrations positives.

Et, comme une réaction en chaîne, notre niveau de conscience supérieur transformera notre esprit et nos émotions et alors le changement s’étendra facilement et sans effort vers l’extérieur.

Quel est votre ikigai ?

Bonjour, comment allez vous ?

Il y a quelques temps, j’ai regardé quelques vidéos reportages sur les zones bleues du monde, là où les gens vivent centenaires en bonne santé.

Ce qui est commun à tous est un mode d’alimentation sain et naturel (pas de viande, des légumineuses, graines, légumes, fruits ), la joie de vivre, savoir s’amuser quel que soit l’âge, rire, danser, libérer rapidement ses émotions lourdes, faire de l’exercice simple quotidiennement comme le jardinage, monter les escaliers ou marcher.

Il y a aussi le fait de bien s’hydrater, de boire des tisanes adaptées, du vin pur comme à Icaria en Grèce, du bon miel cru, accomplir des tâches pour plusieurs.

Donner du temps aux choses qui comptent vraiment.

La foi joue beaucoup aussi, soit prier ensemble, soit avoir un autel pour honorer ses ancêtres ou ce qui représente la force de vie, capter l’essence de vie, se relier à la Source.

Partager, donner, faire du bénévolat, penser aux autres est essentiel.

Et surtout avoir un objectif de vie à entretenir, appelé aussi IKIGAI.

C’est sa raison d’être sur Terre, ce qui donne de la valeur à sa vie.

Ce n’est pas forcément quelque chose de grandiose, juste ce qui donne envie d’être et de s’accomplir. Et il peut changer.

Cela peut être un sport ou une activité artistique, broder, tricoter, enseigner, cuisiner, écrire, chanter, bricoler, être artiste, s’occuper d’animaux ou d’enfants…

Lorsque l’on a trouvé son objectif, ou qu’il nous a trouvé, la vie prend toute sa saveur.

C’est se lever le matin et avoir envie de le suivre.

Souvent, des personnes qui entrent en maison de retraite, ne peuvent plus activer leur Ikigaï, et perdent le goût de vivre et raccourcissent leur temps de vie. Également lorsqu’une personne, suite à un choc (accident, faillite, deuil…) ne peut plus le pratiquer.

Les habitudes de la vie moderne aussi peuvent considérablement raccourcir la vie comme la sédentarité, fumer, se droguer, avoir des idées noires, entretenir des peurs, prendre des médicaments régulièrement, manger industriel et boire chimique. Les jeunes d’Okinawa, l’île reconnue des centenaires, sont maintenant obèses depuis que les fast-food ont été installés sur l’île.

La longévité à chuté sévèrement.

Alors quel est votre Ikigaï, ce qui nourrit votre âme ?

Si vous en avez un, chérissez-le ! Bénissez-le ! Faites-le rayonner dans votre monde.

Prenez en soin au quotidien

Mabelle