Archives de catégorie : Inspirations

Tous ces animaux à apprivoiser

Un jour, une personne se rendit sur la montagne où se réfugiait une femme ermite qui méditait, et lui demanda : « Que fais-tu dans une telle solitude ?

-Je dois dresser deux faucons et deux aigles, tranquilliser deux lapins, discipliner un serpent, motiver un âne et apprivoiser un lion.

Et où sont-ils, je ne les vois pas ?

-Je les ai à l’intérieur. Les faucons se jettent sur tout ce qui se présente à moi, bon ou mauvais, je dois les entraîner à se jeter sur les bonnes choses. Ils sont mes yeux. Les deux aigles, avec leurs serres, blessent et déchirent, je dois leur apprendre à ne pas faire de mal. Ce sont mes mains. Les lapins veulent aller où ils veulent, et ne pas affronter les situations difficiles, je dois leur apprendre à être calmes même s’il y a de la souffrance, ou si je trébuche. Ce sont mes pieds. L’âne est toujours fatigué, têtu, il ne veut pas porter sa charge plusieurs fois. C’est mon corps. Le serpent est le plus difficile à apprivoiser. Même si il est enfermé dans une cage solide, il est toujours prêt à mordre et à empoisonner quiconque se trouve à proximité. Je dois le discipliner. C’est ma langue. J’ai aussi un lion. Oh… comme il est fier, prétentieux. Il se prend pour un roi. Je dois le dompter. C’est mon ego.  Comme tu peux le voir, mon ami, j’ai beaucoup de travail. Et toi, sur quoi travailles-tu ? »

Source, le chemin du shamane.

Adieu

L’absence et la mort ne diffèrent pas beaucoup ; donc, on ne se quitte pas, on se perd de vue ; mais on sait bien que, n’importe où, on se retrouvera. Aussi je ne dis jamais adieu dans le sens de « Dieu nous sépare ! »je le dis toujours dans le sens « Au revoir en Dieu, sur cette terre ou sur une autre!»

Peut être une illustration

Est-ce que l’on ne fait pas de progrès tant qu’on veut vivre et tant qu’on croit à l’idéal ? est-ce que l’idéal ne sert qu’à cette vie d’un jour ou deux sur la terre ? Ne croyez pas cela.Nous emportons avec nous ce que nous avons acquis, et nous l’emportons pour l’accroître dans l’éternité. Qu’importe que, dans une ou deux de nos existences, nous n’ayons pas été assez encouragés, si nous avons entretenu le feu sacré en nous et dans les autres ?Ne comptez pas pour rien ces heures où vous donnez, avec votre âme, celle des grands maîtres à vos amis ; tout cela, c’est un échange, entre eux, vous et nous, de ce qu’il y a de meilleur et de plus élevé dans le sanctuaire commun.- George Sand.

Nous n’avons pas détruit la planète

Le texte que vous allez lire ci-dessous est un message anonyme d’un Français de « l’ancienne génération » qui tente de remettre un peu les points sur les « i » et répond à l’idée et au jugement souvent préconçus que les plus jeunes peuvent se faire des « anciens » concernant leur « inaction écologique » et la vie d’avant plus globalement.

« Il est temps de remettre les pendules à l’heure avec une dose de réalité et de vérités.

À mon époque, je me souviens d’aller chercher du lait à la laiterie du village avec un bidon en fer blanc, que j’ai utilisé pendant plus de 15 ans sans en changer. Ce lait était naturel, non traité, directement extrait du pis de la vache. Les briques de lait n’existaient pas. Bon nombre d’enfants de campagne allaient chercher le lait et le beurre à la ferme à pied parcourant plusieurs kilomètres.

Nous lavions les linges et couches des bébés à la main et non pas en faisant tourner des machines à laver tous les jours.

Nous ne prenions pas des douches de 15 minutes tous les matins. On se lavait avec des gants de toilettes et parfois avec des bassines d’eau car tout le monde n’avait pas de douche ou de baignoire.

Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

Les vêtements étaient séchés en plein air sur une corde et non pas dans des sèche linges électriques. (Cette femme ramasse son linge gelé)

Notre réveil était à remonter chaque soir.

Dans la cuisine, nous mettions la main à la patte pour préparer les repas. Pas de gadgets électriques conçus pour tout faire sans effort, ces appareils qui consomment autant ou plus d’électricité que nous pouvions en produire.

Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

Lorsque nous emballions des articles fragiles à envoyer par la poste, nous utilisons du papier journal ou de la ouate pour les protéger, dans des boîtes déjà utilisées, tout était de la récup’ et non pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

Il n’y avait pas non de tondeuses à essence autoportées ou autopropulsées. C’était à la force des bras.

Nous étions physiquement actifs, pas besoin de fréquenter une salle de sport pour courir sur des tapis roulants électriques enfermés comme des souris en cage.

Les vêtements des enfants était récupéré entre frères et sœurs jusqu’à usure complète. Aujourd’hui les jeunes achètent tout neuf et les jettent à peine usés.

Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

Nous buvions de l’eau à la fontaine lorsque nous avions soif. Il fallait marcher. Nous n’utilisons pas de gobelets ou de bouteilles en plastique jetables.

Nous prenions le plus souvent le car ou le train, et les enfants se rendaient à l’école à vélo ou à pied, au lieu d’utiliser une ou plusieurs voitures familiales avec maman ou papa en chauffeur de taxi 24 heures sur 24 à disposition et d’avoir son propre véhicule à 17 ans pour se rendre à l’école.

Les enfants utilisaient le même cartable pendant plusieurs années. Les cahiers se poursuivaient d’une année à l’autre, et les crayons de couleur, gommes, taille-crayon et autres fournitures duraient aussi longtemps que possible. Pas de cartable flambant neuf chaque année ni de cahiers jetés à la fin de juin pour être remplacés par de nouveaux, accompagnés d’un nouveau slogan !

Pendant les vacances scolaires d’été nous allions ramasser des haricots et des pommes de terres, accroupis ou à genoux sur la terre sous le soleil brûlant. Nous n’étions pas sur nos téléphones à refaire le monde à discuter sur le dos des vieux cons.

Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

Il n’y avait qu’une prise de courant par pièce, pas de multiprises pour alimenter tous les gadgets électroniques dont les jeunes d’aujourd’hui ne peuvent plus se passer.

Nous passions notre temps, rassemblés dans la pièce commune, à jouer, à écouter des histoires ou à écouter la seule radio familiale. Il y avait un vrai échange. Aujourd’hui chacun est cloitré dans sa chambre la tête baissée sur les écrans.

Alors, oui c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. Mais nous étions déjà sans même le savoir bien plus écolos que la majorité de ceux qui nous accusent aujourd’hui de n’avoir rien fait.

Les jeunes d’aujourd’hui (bien sûr, il y a des exceptions) ne savent souvent plus écrire deux lignes sans faire vingt fautes d’orthographe, mais ils se croient capables de donner des leçons aux autres. Alors s’il vous plait, respectez vos « anciens ». Merci. »

Signé : un français anonyme

Citation de la semaine

Peut être une représentation artistique de 1 personne

«Tout, autour de nous, change sans cesse. Chaque jour, le soleil illumine un monde nouveau. Ce que nous appelons routine est rempli d’occasions nouvelles, mais nous ne savons pas voir que chaque jour est différent du précédent. Aujourd’hui, quelque part, un trésor vous attend. Ce peut être un petit sourire, ce peut être une grande conquête, peu importe. La vie est faite de petits et de grands miracles. Rien n’est ennuyeux, car tout change constamment. L’ennui n’est pas dans le monde, mais dans la manière dont nous voyons le monde.»

Paulo Coelho

Leur plus grosse erreur

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage ce matin

Un très beau texte d’Alejandro Jodorowski – Prenez soin de vous

Mabelle

« Leur plus grosse erreur : ils savaient que le collectif humain atteignait une vibration très élevée, mais ils ignoraient le nombre d’âmes éveillées.

Ils ont fait une erreur de jugement.

Et ils ont eu peur.

Maintenant, ils ne se cachent plus.

Ils sont désormais pressés de lancer officiellement un « nouvel ordre mondial ».

Désormais, leurs attaques sont droites et frontales.

Et les attaques vont augmenter.

Ils essaieront par tous les moyens d’empêcher les gens de se réveiller.

Ils essaieront par tous les moyens que les personnes « réveillées » ne puissent pas communiquer afin qu’elles ne réveillent pas les autres.

Ils essaieront par tous les moyens de faire des éveillés des fous ou des criminels.

Quoi qu’ils fassent, cela n’a pas d’importance.

Le saut quantique a déjà eu lieu.

Il est imparable.

L’humanité considère déjà les plantes et les animaux comme des âmes qui les égayent.

L’humanité respecte déjà la terre mère.

L’humanité comprend déjà qu’il n’y a pas de séparation.

Les âmes qui s’incarnent maintenant arrivent déjà en tant qu’enseignants.

Il ne s’agit plus d’expérimenter.

Ils ne s’incarnent que pour apprendre à aimer.

Nous pouvons être témoins ou non de ce changement total.

La transition peut prendre une semaine ou 300 ans.

Mais il est imparable.

Peu importe ce qui se passe pendant la transition, n’oubliez pas une chose : vous êtes celui à qui vous avez proposé.

Être ici et maintenant.

Peu importe ce qui se passe pendant la transition

Tout ce que vous voyez.

Vous êtes les moteurs du changement.

Une seule chose vous est demandée.

Seulement une.

Ne soyez pas de la nourriture.

C’est la seule chose que vous avez à faire.

Une chose simple.

Ne soyez pas de la nourriture.

Les êtres humains sont l’un des générateurs les plus puissants qui soient.

Nous sommes un vortex.

Selon la polarité sur laquelle vous vous alignez, vous créez des fréquences hautes ou basses.

Ces entités sombres se nourrissent de basses fréquences, nous les nourrissons depuis des millénaires.

Le réveil de l’humanité a poussé le vortex collectif vers les hautes fréquences.

C’est pourquoi ils attaquent avec une telle férocité.

Ils ont faim.

Connectez-vous avec votre âme.

Et regardez-vous.

Si votre âme résonne avec ces mots, ne donnez pas une seconde supplémentaire de votre existence pour être de la nourriture.

Éliminez les passions fondamentales de votre vie.

La haine, le ressentiment, l’envie, la peur, les vices, la camelote, les mensonges, l’ambition. Égoïsme, tristesse, méfiance.

Tout cela génère une énergie dense.

Nourriture pour l’obscurité.

Soyez conscient de vos émotions.

Écoutez-vous.

Pour vous.

Et si, à n’importe quelle occasion, vous vous sentiez dans l’une de ces basses vibrations, changez automatiquement votre énergie.

Jouez de la musique qui vous élève.

Chantez pour elle.

Dancez.

Respirez.

Allumez l’encens.

Embrasse ton chats.

Faites un câlin à votre ami.

Embrasse ton chien.

Faites un câlin à votre mère.

Embrassez les animaux de votre famille.

Faites une promenade dans la nature.

Méditez.

Faites de l’exercice.

Faites ce que vous devez faire, mais changez cette énergie immédiatement.

Parce que vous servez de la nourriture.

Soyez toujours conscient.

Et la seule chose qu’on vous demande, c’est de ne pas nourrir les hordes sombres.

Nourrissez votre âme de tout ce qui vous aide à vous élever.

Si vous vous habituez à vivre dans la fréquence de l’amour, votre réalité se transformera en votre volonté sans effort.

Vous êtes un être puissant.

Vous êtes imparable.

Ne craignez rien.

Libérez votre esprit de la matrice.

Concentrez-vous sur ce que vous désirez.

Mais surtout, amusez-vous, soyez heureux, souriez, chantez, dansez.

Amour.

Nous sommes vivants aimant tout.

Et vous en faites partie.

Avec les étoiles et le soleil.

Et toutes les galaxies de l’univers.

Tu es l’amour. « 

Une belle histoire à transmettre

Bonjour, je vous espère en pleine forme. Je vous partage une merveilleuse histoire vraie. J’espère qu’elle vous parlera.

Cela arrivait tous les vendredis soirs, presque sans faute, quand le soleil ressemblait à une orange géante et commençait à plonger dans l’océan bleu.

Le vieux Ed est venu se promener le long de la plage jusqu’à sa jetée préférée.

Serré dans sa main osseuse, il y avait un seau de crevettes. Ed marche jusqu’au bout de la jetée, où il semble qu’il ait presque le monde pour lui. L’éclat du soleil est un bronze doré maintenant.

Tout le monde est parti, sauf quelques joggerus sur la plage. Debout au bout de la jetée, Ed est seul avec ses pensées… et son seau de crevettes.

Bientôt, il n’est plus seul. Dans le ciel, un millier de points blancs viennent hurler et hurler, en ailant leur chemin vers ce cadre grincheux debout là au bout de la jetée.

Bientôt, des dizaines de mouettes l’ont enveloppé, leurs ailes battant et battant sauvagement. Ed est là à jeter des crevettes aux oiseaux affamés. Comme il le fait, si vous écoutez attentivement, vous pouvez l’entendre dire avec un sourire : Merci. Merci.

Dans quelques petites minutes le seau est vide. Mais Ed ne part pas. Il se tient là perdu dans ses pensées, comme s’il était transporté à un autre moment et à un autre endroit

Quand il se retourne enfin et commence à marcher vers la plage, quelques-uns des oiseaux sautent le long de la jetée avec lui jusqu’à ce qu’il arrive aux escaliers, et ensuite eux aussi s’envolent. Et le vieux Ed descend tranquillement au bout de la plage et rentre chez lui.

Si vous étiez assis là sur la jetée avec votre ligne de pêche dans l’eau, Ed pourrait sembler être un drôle de vieux canard, comme disait mon père. Ou, pour les spectateurs, il n’est qu’un autre vieux codger, perdu dans son monde bizarre, nourrissant les mouettes avec un seau plein de crevettes.

Pour le spectateur, les rituels peuvent paraître très étranges ou très vides. Ils peuvent sembler tout à fait sans importance… peut-être même beaucoup de bêtises.

Les vieux font souvent des choses étranges, du moins aux yeux des Boomers et des jeunes.

La plupart d’entre eux auraient probablement éliminé Old Ed, là-bas en Floride… C’est dommage. Ils feraient bien de mieux le connaître.

Son nom complet : Eddie Rickenbacker. C’était un héros célèbre pendant la Première Guerre mondiale, puis il a été pendant la Seconde Guerre mondiale. Lors d’une de ses missions de vol à travers le Pacifique, lui et son équipage de sept membres sont tombés. Miraculeusement, tous les hommes ont survécu, sont sortis de leur avion et sont montés dans un radeau de sauvetage.

Le Capitaine Rickenbacker et son équipage ont flotté pendant des jours sur les eaux rudes du Pacifique. Ils ont combattu le soleil. Ils ont combattu les requins. Ils ont surtout combattu la faim et la soif. Au huitième jour, leurs rations étaient épuisées. Pas de nourriture. Pas d’eau Ils étaient à des centaines de miles de la terre et personne ne savait où ils étaient ni même s’ils étaient en vie.

Chaque jour à travers l’Amérique, des millions se demandaient et priaient pour qu’Eddie Rickenbacker puisse être retrouvé vivant.

Les hommes à la dérive avaient besoin d’un miracle. Cet après-midi-là, ils ont eu un simple service de dévotion et ont prié pour un miracle.

Ils ont essayé de faire la sieste. Eddie s’est penché en arrière et a tiré sa casquette militaire sur son nez. Le temps a traîné. Tout ce qu’il pouvait entendre c’était la claque des vagues contre le radeau… soudainement Eddie a senti quelque chose atterrir sur le haut de sa casquette. C’était une mouette !

Le vieux Ed décrirait plus tard comment il était parfaitement assis immobile, planifiant son prochain mouvement. Avec un éclair de la main et un cri de la mouette, il a réussi à l’attraper et à lui tordre le cou. Il a arraché les plumes, et lui et son équipage affamé en ont fait un repas – un très léger repas pour huit hommes. Puis ils ont utilisé les intestins comme appât. Avec, ils ont attrapé du poisson, ce qui leur a donné de la nourriture et plus d’appât et le cycle a continué. Avec cette simple technique de survie, ils ont pu supporter les rigueurs de la mer jusqu’à ce qu’ils soient retrouvés et sauvés après 24 jours en mer.

Eddie Rickenbacker a vécu de nombreuses années au-delà de cette épreuve, mais il n’a jamais oublié le sacrifice de cette première mouette qui a sauvé la vie… Et il n’a jamais cessé de dire : ‘ Merci. ‘ C’est pourquoi presque tous les vendredis soirs il marchait jusqu’au bout du quai avec un seau plein de crevettes et un cœur plein de gratitude.

Référence : (Max Lucado, « Dans l’œil de la tempête », pp… 221, 225-226)

PS : Eddie Rickenbacker était le fondateur de Eastern Airlines. Avant la Première Guerre mondiale, il était pilote de course automobile. Pendant la Première Guerre mondiale, il était pilote et est devenu le premier as de l’Amérique. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il était instructeur et conseiller militaire, et il a effectué des missions avec les pilotes de combat. Eddie Rickenbacker est un vrai héros américain. Et maintenant vous connaissez une autre histoire sur les épreuves et les sacrifices que les braves hommes ont endurés pour votre liberté.

J’ai choisi de transmettre cette histoire comme elle m’a été transmise. C’est une grande histoire que beaucoup ne connaissent pas… Je pense que cela illustre quelques leçons de la vie qu’il faut retenir.

Il faut être prudent avec les vieux, on ne sait jamais ce qu’ils ont fait au cours de leur vie.

Cela me parle aussi du fait que nous ne savons jamais à quoi nous sommes confrontés, mais quand nous mettons notre talent mentalement et physiquement ensemble, nous pouvons tout surmonter, mais nous ne devons jamais oublier ce que nous avons appris et de nous rappeler de remercier ceux qui nous ont aidé à nous tirer de toute épreuve, même si nous avons appris si c’était quelque chose qui pour beaucuoup peut parître apparemment dénué de sens comme une mouette.

Mabelle

Quand les parents vieillissent

QUAND LES PARENTS VIEILLISSENT…

Laissez-les vieillir avec le même amour qu’ils vous ont laissé grandir…

Laissez-les parler et raconter des histoires répétées avec la même patience et le même intérêt qu’ils ont entendu les vôtres dans votre enfance…

Laissez-les surmonter, comme tant de fois où ils vous laissent gagner …

Laissez-les profiter de leurs amis comme ils vous laissent …

Laissez-les profiter des discussions avec leurs petits-enfants, car ils vous voient en eux …

Laissez-les profiter de vivre parmi les objets qui les accompagnent depuis longtemps,parce qu’ils souffrent quand ils sentent que vous arrachez des morceaux de cette vie …

Laissez-les se tromper, comme tant de fois vous vous êtes trompés et ils ne vous ont pas embarrassé en vous corrigeant …

LAISSEZ-LES VIVRE et essayez de les rendre heureux durant le dernier tronçon du chemin qu’il leur reste à parcourir

Donnez-leur la main, tout comme ils vous ont donné la main quand vous avez commencé votre chemin ! ❤»

Prenez soin de vous, prenez soin d’eux

Mabelle

Tentative d’humanisation

Bonjour,

J’espère que vous allez bien

Une petite histoire inspirante ce matin :

Une dame a demandé à un vieux vendeur de rue : « Combien vendez-vous vos œufs ? » Le vieil homme répondit « 0,50 € l’œuf, madame. »


La Dame répond, « Je prends 6 œufs pour 2,00 € ou je pars. »

L’ancien vendeur a répondu : « Achetez-les au prix que vous voulez, Madame. C’est un bon début pour moi parce que je n’ai pas vendu un seul œuf aujourd’hui et j’ai besoin de ça pour vivre. « 

Elle a acheté ses œufs à un prix d’aubaine et est repartie avec le sentiment qu’elle avait gagné. Elle est montée dans sa voiture de luxe et est allée dans un restaurant chic avec son amie. Elle et son amie ont commandé ce qu’ils voulaient. Ils ont mangé un peu et ont laissé beaucoup de ce qu’ils avaient demandé. Ils ont donc payé la facture, qui était de 150 €. Les dames ont donné 200 € et ont dit au propriétaire du restaurant chic de garder la monnaie comme pourboire.

Cette histoire peut sembler tout à fait normale pour le propriétaire du restaurant chic, mais très injuste pour le vendeur d’œufs.

La question que cela soulève est : Pourquoi les gens montrent ils qu’ils ont du pouvoir quand ils achètent aux nécessiteux ? Et pourquoi sont-ils généreux envers ceux qui n’ont même pas besoin de leur générosité ?

J’ai lu quelque part qu’un père avait l’habitude d’acheter des biens aux pauvres à un prix élevé, même s’il n’avait pas besoin de ces choses. Parfois, il payait plus que leur réelle valeur. Ses enfants étaient étonnés. Un jour ils lui ont demandé  » pourquoi tu fais ça papa ? » Le père répondit « C’est de la charité enveloppée dans la dignité. « 

J’ose espérer que ce message de tentative d' »humanisation » sera allé un pas de plus dans la bonne direction.

Prenez soin de vous, mais aussi des autres

Mabelle

Citation de la semaine

« Même si tous les humains possèdent une structure identique, ils sont tous différents dans leur sensibilité, leur compréhension, leurs besoins, leurs aspirations, et ils ne peuvent donc pas avoir la même perception des choses. Alors, quand ils se combattent au nom de la vérité, cette vérité dont chacun se réclame n’est que sa vérité à lui. Vous direz : « Mais alors, il n’y a pas de vérité ? » Si. Plus l’homme s’élève intérieurement en se détachant de ses intérêts personnels, égoïstes, en se purifiant, en se laissant pénétrer par la lumière divine, plus il se rapproche de la vérité. Mais la vérité en tant que principe absolu, il est impossible de dire si nous la connaîtrons un jour. La seule chose que l’on puisse dire avec certitude, c’est que si nous nous efforçons de rejeter les couches opaques formées autour de nous par nos pensées, nos sentiments obscurs et mal maîtrisés, nous nous rapprochons chaque fois un peu plus de la vérité. » 💖
Omraam Mikhaël Aïvanhov

Comment vos pensées influencent votre destin

Bonjour, comment allez-vous ?

Petit partage du texte d’un auteur inconnu.

Prenez soin de vous

Mabelle

« Si vous corrigez votre esprit, le reste de votre vie se mettra en place. » – Lao Tseu

« Vos croyances deviennent vos pensées, vos pensées deviennent vos mots, vos mots deviennent vos actions, vos actions deviennent vos habitudes, vos habitudes deviennent vos valeurs, vos valeurs deviennent votre destinée. » Inconnu

Chaque mot qui sort de notre bouche provient de la faillibilité de l’esprit humain. Nos crânes sont comme de petites impasses de la pensée qui attendent simplement de s’exprimer.

L’utilisation des mots est la seule manière de partager ces pensées les unes avec les autres. Mais d’abord, nos pensées doivent être assez claires pour devenir des mots.

Cela paraît simple, mais parfois ce sont les petites choses, les bases, qui nous empêchent d’être clairs.

Parfois, nous devons simplement remettre de l’ordre dans nos esprits pour que nos pensées soient suffisamment claires pour devenir des mots, tout en étant d’accord avec le fait que nous ne serons jamais complètement clairs sur quoi que ce soit.

✨️Nos pensées ne sont que des brouillons de ce que nous percevons, des contours concis d’un cosmos incroyablement vaste.✨️

Faites attention à vos mots, car vos mots deviennent vos actions

Les mots sont les symboles phares de la perception humaine. Notre intonation et notre langage corporel suivent la pensée que nous avons derrière nos mots.

Et pourtant, ils sont tellement plus que cela, car ils nous obligent à nous déplacer, à nous réaligner, à nous recentrer et à évoluer.

Avec eux, nous pouvons renverser les gouvernements, créer une poésie qui brise le cœur et fait grandir l’esprit. Avec eux, nous manifestons l’épanouissement humain. En effet, nos mots deviennent ce que nous faisons.

« Tout le monde a un don. Malheureusement peu de gens savent s’en servir. »

✨️Notre bien-être dépend de nos actions. ✨️

Lorsque nous agissons de manière saine, nous obtenons des résultats sains. C’est aussi simple que cela.

C’est délicat parce que nous plaçons trop souvent la charrue de notre conditionnement culturel avant les boeufs de la loi cosmique.

Dans l’état actuel des choses, nous devons désapprendre ce que notre culture nous a appris et réapprendre ce qu’il faut pour retrouver un équilibre sain et durable avec la nature.

Si nous gardons les habitudes d’une culture malsaine, nous continuerons d’être des personnes malsaines.

Vivre sainement, c’est vivre simplement avec modération.

Les actions saines deviennent des habitudes saines.

✨️Tout comme nous sommes ce que nous mangeons, et nous devenons ce que nous faisons.✨️

Faites attention à vos habitudes, elles deviennent vos valeurs

C’est là que se forme votre identité: dans vos habitudes. Si vos habitudes sont saines, vous serez robuste et capable de vous adapter et de vaincre.

–Si vos habitudes sont malsaines, vous serez faible et incapable de vous adapter aux nombreux changements inattendus que la vie a à offrir.

Méditez sur la façon dont vos pensées sont devenues des paroles, comment vos paroles sont devenues des actions et comment vos actions sont devenues vos habitudes malsaines.

Méditez encore et encore jusqu’à ce que vous arriviez à un endroit où vous êtes assez courageux pour vous transformer (renaissance).

Faites attention à vos habitudes, car vos habitudes façonnent votre destin

«La chaussure qui va bien à une personne est étroite pour une autre ; il n’y a pas de recette de la vie qui aille bien pour tous. » Carl Gustav Jung.

Si vous ne créez pas d’abord des habitudes saines, vous ne serez pas assez robuste pour expérimenter le destin.

✨️Votre destin se résumera simplement à ce que la société vous a appris. L’expérience du destin est un état d’éveil, une prise de conscience de seuils existentiels.✨️

Comme l’a dit Carl Jung: « Tant que vous n’aurez pas rendu l’inconscient conscient, il dirigera votre vie et vous appellerez cela le destin. »

Comme l’a dit Robert Byrne : «Le but de la vie est une vie pleine de sens. »

Leurs pensées sont devenues des mots clairs, leurs mots clairs sont devenus des actions intelligentes, leurs actions intelligentes sont devenues des habitudes saines, et leurs habitudes saines les ont transformés en personnages suffisamment robustes pour s’adapter et surmonter les vicissitudes d’un cosmos en constante évolution.

Ce sont des rappels pour nous tous (car ils sont nous et nous sommes eux) que l’individuation du moi et la réalisation de soi de l’âme sont de vraies possibilités.

Source: Inconnu