Archives de catégorie : Inspirations

Nul n’est comblé

Nul n’est comblé. Il y a toujours un besoin quelque part, un oubli, un manque lancinant. On a beau se répéter que tout va bien, que tout est au mieux, ce n’est pas vrai.

Peut être de l’art

Que l’on habite dans un palais ou dans un gourbi ,que l’on s’habille de soie ou de gardes, que l’on soit courtisé ou vomi, on a obligatoirement besoin de quelque chose, ou de quelqu’un. On implore un regard, un mot, un signe, et souvent nos prières les plus ferventes s’avèrent irrecevables. Pourquoi ? Parce que c’est ainsi.Inutile de chercher la faille, la faille est en chacun de nous ,elle est dans toutes ces questions que l’on se pose et qui ne nous avancent à rien…Yasmina Khadra

Citation

A méditer en ces temps de libération :

 » Tous les changements, même les plus désirés, entraînent une certaine mélancolie, car ce que nous laissons derrière nous fait partie de nous-mêmes. Mais il faut mourir dans une vie avant de naître dans une autre. »

Anatole France

Petit mantra

Bonjour, ce matin, un petit mantra de Monique Duhamel

Je me sens vivant, je choisis de me réveiller en respectant ma valeur, pour vivre intensément et en harmonie les expériences magiques qui viennent à moi, je suis dans l’accueil et la gratitude.

Je suis libre dans qui je suis, je n’appartiens à personne, l’enfermement n’est qu’illusion et j’ai le choix d’y rester ou d’en sortir, la liberté d’être, de faire, m’appartient, je suis responsable de ma vie.

Je laisse aller ce qui ne me sert plus, je me libère de tout ce qui n’est pas un support à mon bonheur, j’accepte de devenir un Être profond, de réveiller la magnifique divinité en moi, dans la paix, la pure joie, le pur amour.

Prenez soin de vous – Mabelle

Vous me demandez

Tu me demandes pourquoi je peux rire et être heureuse ? Parce que j’ai traversé tellement de sombres vallées de tristesse dans ma vie que je profite de chaque occasion pour rire et être heureuse.

Tu me demandes pourquoi je suis si forte ? Parce que dans ma vie, c’est comme ça que je fais de nombreuses situations de faiblesse. Je l’ai vécu et pourtant je l’ai surmonté pour reconnaître ma force.

Tu me demandes pourquoi je peux être si reconnaissante ? Parce qu’il y a eu des moments dans ma vie où tant de choses ont disparu, où il me restait si peu, que j’ai appris à apprécier tout ce que j’ai et ce qui est là.

Tu me demandes pourquoi je peux me défendre comme ça ? Parce qu’il y a eu des situations dans ma vie où les autres avaient tellement de pouvoir sur moi que je ne pouvais m’empêcher d’apprendre à parler pour moi-même.

Tu me demandes pourquoi je suis si courageuse ? Parce que j’ai vécu et vécu tant de peurs dans ma vie et j’ai appris qu’on peut encore avancer.

Tu me demandes pourquoi je peux aimer autant ? Parce que je sens dans mon cœur que la chose la plus importante dans la vie est l’amour. Parce que c’est cela qui me dirige, me guide, me permet de me relever, me donne de la force, me relie aux autres et leur permet de vivre dans mon cœur de manière inoubliable et pour toujours.

Prenez soin de vous

Mabelle

Sur la même longueur d’ondes et la même fréquence

Bonjour, je vous espère en forme. Je vous partage un article de Joéliah.

Prenez soin de vous.

Mabelle

« Quand une personne éveillée rencontre une autre qui vibre sur la même fréquence, la connexion se fait instantanément.

Elles n’ont pas besoin de parler, de se raconter leur passé parce qu’elles savent qu’il n’a été là que pour libérer tout ce qui retenait aux souffrances et aux attachements extrêmes.

Elles sont là, juste à vibrer dans la vibration du moment présent, prenant la vie comme elle se présente.

Elles se soutiennent, s’encouragent, s’aident ou se taisent en savourant juste la connexion parfaite.

Souvent la complicité est naturelle, spontanée et la joie manifeste.

La vibration est soutenue au niveau du coeur, naturellement, comme si elles se connaissaient depuis toujours.

Il n’y a pas d’orgueil, de concurrence, pas de ‘je suis, je fais, je guéris, pas besoin de titre…’ sachant que c’est l’énergie qui agit à travers elles et qu’elles ne sont qu’un canal de pure conscience.

Elles sont juste bien ensemble et reconnaissent leur valeur réciproque en toute simplicité.

Si une tension se manifeste, aussitôt elles cherchent ce qui a pu dérégler la bonne harmonie pour vite réajuster ce qui doit l’être.

La personne éveillée a traversé bien des chemins chaotiques qui ont pu fragiliser son corps, brassé des tempêtes émotionnelles qui ont mis son ventre, ses poumons ou autre partie du corps à rude épreuves.

Elle sait au fond de son cœur ce qu’est une épreuve et souhaite profondément le bon en chaque autre personne.

Elle ne prend pas parti car elle sait que tout est juste, même si elle ignore le fondement profond du « pourquoi d’autres ont à vivre tant d’épreuves ».

Elle prie pour la paix, pour la bienveillance et la justesse divine.

La personne éveillée est humble, simple, dans la joie, souvent empathe et compatissante tout en ayant lâché le besoin de secourir l’autre. Elle fait de son mieux pour aider si on lui demande.

Elle est à l’écoute de ses sens, de son cœur et perçoit au-delà du perceptible pour que tout soit bien aligné Terre/Ciel et sait ressentir les vibrations qui veulent la vampiriser ou profiter d’elle.

Elle sait reconnaitre la fausse lumière et s’en éloigner avec respect des expériences de chaque personnes sachant par où elle est passée et que le réveil n’est pas le même pour tous.

Elle n’accuse plus les autres de ses maux, ne parle plus d’entités malveillantes, de sorts jetés sachant qu’elle a la force lumière en elle et que c’est cette lumière et l’amour source qui peut tout libérer.

Elle coupe avec tout ce qui peut la perturber et se branche sur ce qui peut l’élever.

Une personne éveillée est charismatique, droite et persévérante dans la même lignée d’élévation.

Elle est profondément gentille et généreuse spontanément sans chercher de remerciement ou de gloire dans le don tout en étant vigilante de rester intègre et de se respecter.

Confrontée à des épreuves, elle se laisse plonger dans les souffrances de son âme avant de réagir avec amour dans sa résilience.

Elle libère ses blessures du mieux possible, accepte ses parts d’ombre tout en cherchant à ne pas les nourrir.

Elle pardonne facilement afin d’être libre d’attaches.

Elle sait que son ego, sa part d’humanité est parfois difficile à dompter et apprend à le calmer.

Un éveillé accueille ce qui s’en vient, simplement tout en veillant à maintenir la paix.

Il observe pour savoir, pour faire des choix conscients.

Il libère les programmes de dualité intérieure et extérieure et sait qu’il est Un avec les autres dans le champ quantique.

Son rêve est que la conscience s’ouvre chez ceux qui sont embourbés dans leurs egos et leur séparation de la Source, et souhaite un changement de paradigme salvateur, une rédemption de l’âme pour tous.

Les personnes réellement éveillées ne recherchent ni titre, ni nom prestigieux, ni gloire ni fortune tout en ayant le sens de la valeur de tout ce qui est, et dans la foi que la Source peut leur donner ce qu’elles vibrent et ont besoin pour vibre confortablement.

Elles sont dans la gratitude permanente, dans l’émerveillement des cadeaux de la nature, dans l’enthousiasme de la vie.

Elles aiment et ont de la compassion pour tous les humains et les animaux.

Elles apprécient la beauté de la nature, le sentiment de paix et de plénitude intérieure.

Elles œuvrent du mieux possible à manifester leurs talents et leurs possibilités avec bienveillance et sont heureuses de vivre et de partager leurs savoirs et leurs dons tout en sachant qu’ils ont une valeur a respecter.

TOUS les êtres sont appelés à s’éveiller, a retrouver la connexion avec la Source divine.

Heureux ceux qui entendent l’appel des trompettes angéliques actuelles et osent libérer les entraves de la séparation et du bas astral.

Le temps de l’éveil est manifeste.

Des parcelles de vérité se dévoilent de plus en plus chaque jour afin de permettre aux êtres de retrouver leur part divine, loin des religions, des dogmes et de tout ce qui est à l’extérieur.

C’est l’énergie de l’ère du Verseau, des révélations, de la transcendance qui se met en action.

Les règles du jeu de la dualité sont en cours de changement pour ceux qui désirent jouer différemment, avec plus d’amour et de lumière, de conscience et de paix, de fraternité et de solidarité.

Il est temps de se positionner, d’écouter son vrai Soi, la Source en soi pour reconnecter son entièreté.

Temps d’apprendre à communiquer avec sa source, ce qui est lumineux en soi et ses aidants intérieurs.

Temps de lâcher ce qui est faux, ce qui tire vers le bas, ce qui empêche de manifester ce qui vibre fortement au fond de soi depuis des années.

Temps d’être réellement l’Être que l’on désire manifester au monde, celui que son âme appelle de toutes ses forces.

Temps de s’aimer suffisamment pour révéler la lumière-amour qui est notre vraie nature saine.

Temps de lâcher ses démons, ses peurs, ses craintes, ses attachements, ses attentes pour entrer dans la joie manifeste du Royaume de paix intérieur.

Que le meilleur de soi soit ! »

Joéliah

Une promesse est une promesse

Bonjour, je vous espère en forme. Je vous partage un petit texte sur la valeur d’une promesse.

“Une nuit froide, un milliardaire a rencontré un vieil homme pauvre dehors. Il lui a demandé : « ne sentez vous pas le froid à l’extérieur ?

Et pourquoi ne portez-vous pas de manteau ? »

Le vieil homme répondit : « Je n’ai pas de manteau et je suis habitué au froid. »

Le milliardaire a repris : « Attendez-moi. Je vais maintenant rentrer dans ma maison pour vous en rapporter un. »

Le pauvre homme est devenu si heureux et a dit qu’il l’attendrait.

Le milliardaire est entré dans sa maison et s’est occupé d’autres choses et a oublié le pauvre homme.

Au matin, il se souvint de ce pauvre vieil homme et il partit à sa recherche mais il le trouva mort à cause du froid, mais il laissa une NOTE « Quand je n’avais pas de vêtements chauds, j’avais le pouvoir de lutter contre le froid parce que j’y avais l’habitude. Mais quand tu m’as promis de m’aider, je me suis attaché à ta promesse et cela m’a pris le pouvoir de résister.

Ne promets rien si tu ne peux pas tenir ta promesse. Cela pourrait ne rien dire pour toi, mais cela pourrait tout signifier pour quelqu’un d’autre.”

Mabelle

Tous ces animaux à apprivoiser

Un jour, une personne se rendit sur la montagne où se réfugiait une femme ermite qui méditait, et lui demanda : « Que fais-tu dans une telle solitude ?

-Je dois dresser deux faucons et deux aigles, tranquilliser deux lapins, discipliner un serpent, motiver un âne et apprivoiser un lion.

Et où sont-ils, je ne les vois pas ?

-Je les ai à l’intérieur. Les faucons se jettent sur tout ce qui se présente à moi, bon ou mauvais, je dois les entraîner à se jeter sur les bonnes choses. Ils sont mes yeux. Les deux aigles, avec leurs serres, blessent et déchirent, je dois leur apprendre à ne pas faire de mal. Ce sont mes mains. Les lapins veulent aller où ils veulent, et ne pas affronter les situations difficiles, je dois leur apprendre à être calmes même s’il y a de la souffrance, ou si je trébuche. Ce sont mes pieds. L’âne est toujours fatigué, têtu, il ne veut pas porter sa charge plusieurs fois. C’est mon corps. Le serpent est le plus difficile à apprivoiser. Même si il est enfermé dans une cage solide, il est toujours prêt à mordre et à empoisonner quiconque se trouve à proximité. Je dois le discipliner. C’est ma langue. J’ai aussi un lion. Oh… comme il est fier, prétentieux. Il se prend pour un roi. Je dois le dompter. C’est mon ego.  Comme tu peux le voir, mon ami, j’ai beaucoup de travail. Et toi, sur quoi travailles-tu ? »

Source, le chemin du shamane.

Adieu

L’absence et la mort ne diffèrent pas beaucoup ; donc, on ne se quitte pas, on se perd de vue ; mais on sait bien que, n’importe où, on se retrouvera. Aussi je ne dis jamais adieu dans le sens de « Dieu nous sépare ! »je le dis toujours dans le sens « Au revoir en Dieu, sur cette terre ou sur une autre!»

Peut être une illustration

Est-ce que l’on ne fait pas de progrès tant qu’on veut vivre et tant qu’on croit à l’idéal ? est-ce que l’idéal ne sert qu’à cette vie d’un jour ou deux sur la terre ? Ne croyez pas cela.Nous emportons avec nous ce que nous avons acquis, et nous l’emportons pour l’accroître dans l’éternité. Qu’importe que, dans une ou deux de nos existences, nous n’ayons pas été assez encouragés, si nous avons entretenu le feu sacré en nous et dans les autres ?Ne comptez pas pour rien ces heures où vous donnez, avec votre âme, celle des grands maîtres à vos amis ; tout cela, c’est un échange, entre eux, vous et nous, de ce qu’il y a de meilleur et de plus élevé dans le sanctuaire commun.- George Sand.

Nous n’avons pas détruit la planète

Le texte que vous allez lire ci-dessous est un message anonyme d’un Français de « l’ancienne génération » qui tente de remettre un peu les points sur les « i » et répond à l’idée et au jugement souvent préconçus que les plus jeunes peuvent se faire des « anciens » concernant leur « inaction écologique » et la vie d’avant plus globalement.

« Il est temps de remettre les pendules à l’heure avec une dose de réalité et de vérités.

À mon époque, je me souviens d’aller chercher du lait à la laiterie du village avec un bidon en fer blanc, que j’ai utilisé pendant plus de 15 ans sans en changer. Ce lait était naturel, non traité, directement extrait du pis de la vache. Les briques de lait n’existaient pas. Bon nombre d’enfants de campagne allaient chercher le lait et le beurre à la ferme à pied parcourant plusieurs kilomètres.

Nous lavions les linges et couches des bébés à la main et non pas en faisant tourner des machines à laver tous les jours.

Nous ne prenions pas des douches de 15 minutes tous les matins. On se lavait avec des gants de toilettes et parfois avec des bassines d’eau car tout le monde n’avait pas de douche ou de baignoire.

Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

Les vêtements étaient séchés en plein air sur une corde et non pas dans des sèche linges électriques. (Cette femme ramasse son linge gelé)

Notre réveil était à remonter chaque soir.

Dans la cuisine, nous mettions la main à la patte pour préparer les repas. Pas de gadgets électriques conçus pour tout faire sans effort, ces appareils qui consomment autant ou plus d’électricité que nous pouvions en produire.

Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

Lorsque nous emballions des articles fragiles à envoyer par la poste, nous utilisons du papier journal ou de la ouate pour les protéger, dans des boîtes déjà utilisées, tout était de la récup’ et non pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

Il n’y avait pas non de tondeuses à essence autoportées ou autopropulsées. C’était à la force des bras.

Nous étions physiquement actifs, pas besoin de fréquenter une salle de sport pour courir sur des tapis roulants électriques enfermés comme des souris en cage.

Les vêtements des enfants était récupéré entre frères et sœurs jusqu’à usure complète. Aujourd’hui les jeunes achètent tout neuf et les jettent à peine usés.

Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

Nous buvions de l’eau à la fontaine lorsque nous avions soif. Il fallait marcher. Nous n’utilisons pas de gobelets ou de bouteilles en plastique jetables.

Nous prenions le plus souvent le car ou le train, et les enfants se rendaient à l’école à vélo ou à pied, au lieu d’utiliser une ou plusieurs voitures familiales avec maman ou papa en chauffeur de taxi 24 heures sur 24 à disposition et d’avoir son propre véhicule à 17 ans pour se rendre à l’école.

Les enfants utilisaient le même cartable pendant plusieurs années. Les cahiers se poursuivaient d’une année à l’autre, et les crayons de couleur, gommes, taille-crayon et autres fournitures duraient aussi longtemps que possible. Pas de cartable flambant neuf chaque année ni de cahiers jetés à la fin de juin pour être remplacés par de nouveaux, accompagnés d’un nouveau slogan !

Pendant les vacances scolaires d’été nous allions ramasser des haricots et des pommes de terres, accroupis ou à genoux sur la terre sous le soleil brûlant. Nous n’étions pas sur nos téléphones à refaire le monde à discuter sur le dos des vieux cons.

Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

Il n’y avait qu’une prise de courant par pièce, pas de multiprises pour alimenter tous les gadgets électroniques dont les jeunes d’aujourd’hui ne peuvent plus se passer.

Nous passions notre temps, rassemblés dans la pièce commune, à jouer, à écouter des histoires ou à écouter la seule radio familiale. Il y avait un vrai échange. Aujourd’hui chacun est cloitré dans sa chambre la tête baissée sur les écrans.

Alors, oui c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. Mais nous étions déjà sans même le savoir bien plus écolos que la majorité de ceux qui nous accusent aujourd’hui de n’avoir rien fait.

Les jeunes d’aujourd’hui (bien sûr, il y a des exceptions) ne savent souvent plus écrire deux lignes sans faire vingt fautes d’orthographe, mais ils se croient capables de donner des leçons aux autres. Alors s’il vous plait, respectez vos « anciens ». Merci. »

Signé : un français anonyme