
Citation de la semaine

Bonjour, j’espère que vous allez bien
Anne Ancelin Schützenberger, née en 1919 à Moscou, est une figure emblématique de la psychologie moderne. Professeure émérite à l’université Nice-Sophia-Antipolis, elle a dédié sa vie à l’étude des traumatismes transgénérationnels, explorant comment les événements et les émotions non résolus des générations précédentes peuvent influencer les générations actuelles.
Son approche unique a mis en lumière l’importance des histoires familiales et de leur impact sur la santé mentale des individus.
Parmi ses ouvrages les plus influents, on retrouve « Aïe, mes aïeux ! » qui est devenu un best-seller. https://amzn.to/3ERRFIs
Dans cet ouvrage, elle explore en profondeur les liens transgénérationnels et comment les secrets de famille et les non-dits peuvent affecter la vie des descendants. Elle évoque l’importance de comprendre notre histoire familiale pour mieux se libérer de ses entraves.
L’ouvrage s’ouvre sur l’anecdote d’un perroquet, symbole de la répétition des schémas familiaux. L’auteure souligne la nécessité d’une approche éthique en psychogénéalogie.
Un élément central est le « génosociogramme », outil permettant de visualiser les dynamiques familiales. Grâce à cette compréhension, l’individu peut vivre de manière plus authentique, libéré des poids du passé.
Un autre ouvrage clé est « Ces enfants malades de leurs parents », co-écrit avec le docteur Ghislain Devroede, offrant des prises de conscience sur les dynamiques familiales et leur impact sur la santé mentale des enfants.https://amzn.to/3LxPrlr
Anne Ancelin Schützenberger a laissé un héritage durable, inspirant de nombreux professionnels à adopter une approche plus holistique et intégrative de la psychologie.
L’anecdote du perroquet est racontée au début du livre :
Un été, l’auteure se trouvait en vacances chez des amis dans le midi. Tôt le matin, elle s’était aventurée dans le jardin pour admirer le lever du soleil. Tout était paisible jusqu’à ce qu’une voix impérative crie : « À table ! ». Suivant cette voix, elle se précipita dans la salle à manger, mais il n’y avait personne. La voix, masculine et autoritaire, continuait de donner des ordres. C’était comme si quelqu’un appelait tout le monde à se rassembler pour le repas.
Plus tard, lors du petit déjeuner, son ami Michel lui expliqua que cette voix provenait du perroquet de la famille, un oiseau centenaire qu’il avait hérité de son grand-père. Ce perroquet avait la particularité de « parler » comme on le faisait autrefois dans la famille. Il répétait des phrases qu’il avait entendues dans le passé, imitant parfaitement les voix des membres défunts de la famille. Personne ne savait exactement ce qui déclenchait la mémoire du perroquet ni les voix qui allaient émerger.
Pour l’auteure, ce perroquet symbolisait le passé vivant, toujours présent et interagissant avec le moment présent. C’était une manifestation concrète de la manière dont les souvenirs, les émotions et les traumas des générations précédentes peuvent continuer à résonner dans les vies actuelles.
Un autre ouvrage clé est « Ces enfants malades de leurs parents », co-écrit avec le docteur Ghislain Devroede, offrant des prises de conscience sur les dynamiques familiales et leur impact sur la santé mentale des enfants.https://amzn.to/3LxPrlr
Anne Ancelin Schützenberger a laissé un héritage durable, inspirant de nombreux professionnels à adopter une approche plus holistique et intégrative de la psychologie.
Et vous, ne faites vous pas certaines chose machinalement parce que vos parents ou arrière-arrière-grands-parents le faisaient ? N’avez vous pas certaines peurs ou croyances qui vous limitent dont vous ne comprenez pas l’orignie ? N’avez-vous pas certaines douleurs physiques inexplicables ? Ne vous arrive-t-il pas d’avoir une réaction disproportionnée face à un événement sans comprendre vous même pourquoi vous avez cette réaction ? Et si vous pouviez trouver une explication dans les générations qui vous ont précédées ?
Mabelle
Bonjour, je t’espère en forme.
Je te partage ce matin du texte de Monique Damel.
Prends soin de toi. Mabelle
Ne permets pas à ton cœur de se laisser envahir par la crainte ou la peur de l’échec, du vide, de la solitude.
Accueille tout avec foi et confiance, prend exemple sur la fleur, qui accueille, la pluie, le vent, la chaleur pour s’épanouir et devenir belle, elle connait sa force intérieure.
Accueille le fait que tu es aimé, guidé et soutenu, si tel est ton choix, par ta force de vie, c’est là que se trouve la source du bonheur pour toi, ouvre la voie à ta conscience divine.
Accueille la transformation qui s’opère autour de toi et en toi. Consens à te séparer de ton vieux personnage, de ta vieille peau, plus vite tu en es dépouillé, plus rapidement, tu vas intégrer l’être d’amour que tu es.
Accueille l’action du pardon pour les autres et envers toi, c’est l’intégration de la grande miséricorde qui agit à travers ton être de lumière, ne t’en prive pas, c’est un cadeau de l’univers.
Accueille l’amour universel, joue, ris, comme un enfant, rend grâce pour l’abondance de bienfaits qui est dans ta vie, honore le divin en toi, tu es un dieu éternel qui brûle d’amour, dispense-le en ne t’oubliant pas, laisse-toi combler, c’est ton droit d’âme de lumière.
Accueille simplement le fait que le ciel communique avec la terre, qu’il n’y a aucune séparation, qu’en ayant ton regard tourné vers l’amour, tu es témoin de sa puissance de réalisation dans les cœurs et sur tous les plans d’ici et d’ailleurs.
Selon Lise Bourbeau, cinq blessures fondamentales sont à l’origine de nos maux qu’ils soient physiques, émotionnels ou mentaux. https://amzn.to/46pCVfB
Grâce à une description très détaillée de ces blessures, Lise nous mène vers la voie de la guérison. https://amzn.to/48twOJ2
Quand ces 5 blessures sont en voie de guérison, voici ce qui se passe en nous.
✨La blessure de REJET :
Est en voie de guérison lorsque tu prends de plus en plus ta place, que tu oses t’affirmer. En plus si quelqu’un semble oublier que tu existes, tu peux être quand même bien dans ta peau. Il t’arrive beaucoup moins de situations où tu as peur de vivre la panique.
🌹La blessure d’ABANDON :
Est en train de se rétablir lorsque tu te sens bien même si tu es seul et que tu recherches moins l’attention. La vie est moins dramatique. Tu as de plus en plus envie de suivre tes projets et mêmes si certains ne t’appuient pas, tu peux continuer.
🦋La blessure d’HUMILIATION :
Est en voie de guérison lorsque tu prends le temps de vérifier tes besoins avant de dire oui aux autres. Tu en prends beaucoup moins sur tes épaules et tu te sens libre. Tu arrêtes de te créer des limites pour toi. Tu es capable également de faire des demandes sans te croire dérangeant.
🌺La blessure de TRAHISON :
Est en voie de guérison lorsque tu ne vis plus autant d’émotions au moment où quelqu’un ou quelque chose vient déranger tes plans. Tu lâches prise plus facilement.
Je précise que lâcher prise signifie arrêter d’être attaché aux résultats, arrêter de vouloir que tout se passe selon notre planification.Tu ne cherches plus à être le centre d’attraction. Lorsque tu es fier de toi suite à un exploit, tu peux être bien même si les autres ne te reconnaissent pas.
🙏La blessure d’INJUSTICE :
Est en voie de guérison lorsque tu te permets d’être moins perfectionniste, de faire des erreurs sans vivre de colère ou de critique à toi-même. Tu t’accordes le droit de montrer ta sensibilité, de pleurer devant les autres sans perdre le contrôle et sans peur du jugement des autres.
Ne serais-ce pas merveilleux d’être enfin qui tu es vraiment ?
Mabelle
Bonjour, comment allez-vous ce matin ?
Je vous partage ce matin un texte de Laurence Simonnet, en espérant qu’il vous parlera autant qu’à moi.
Prenez soin de vous.
Mabelle
J’ai été trop souvent enfermée et limitée !
Tout d’abord, dans mon corps. Depuis enfant, je me souviens d’être en conscience que je suis plus que ce corps, plus que mon âge et que j’ai accès à d’autres réalités que celle que me proposaient mes parents, ma famille, l’école.
Ensuite, dans la fille que j’étais et qui a subi des moqueries sur sa sensibilité extrême, de son côté fleur de peau, fleur bleue. J’ai cru que je rencontrais une difficulté et non eux. Ils ressemblaient à toutes les autres personnes.
À l’adolescence, quel enfermement ! Ce corps qui s’est transformé, qu’il me faut assumer, montrer, subir les mains baladeuses, hasardeuses, les remarques désobligeantes, les dragues, les blagues à deux sous, les invitations intéressées… Et, pourtant, j’étais en conscience de tout ce qui se déroulait : l’enjeu !
Puis vint la jeune femme si naïve avec juste l’envie de vivre cet Amour qu’elle contactait dans son cœur, qui coulait en elle de la Source. Naïve, je n’imaginais même pas que la prison de l’adolescence que je quittais avec joie, allait m’enfermer dans une prison dorée.
Et, me voilà, mère de deux filles… 1ᵉʳ déclic.
Une nouvelle porte s’ouvre dans ma conscience. Je demande à les accompagner dans ce que je ressens au fond de mon Cœur, de mon âme. Je re-découvre tout ce qu’enfant, je voyais, je vivais, aspirais, étais. Tout était là, inscrit en mon cœur. Tout m’est revenu, tout s’assembla : le puzzle du Grand Plan. J’avais retrouvé mes ailes.
J’ai élevé mes filles avec d’autres réalités tout en conservant bien les pieds sur Terre. Les laissant explorer les Mondes que je connaissais et dont personne n’avait pu m’accompagner, me guider enfant. Je les initiais, je me guérissais. Enfin !
Je me sentais alors de plus en plus vivante, vivifiée malgré cette prison dorée.
Alors, j’ai commencé à rêver de liberté, d’espaces, de découvertes, d’envies, de beauté, de besoins.
2ᵉ déclic : je peux me libérer moi-même et divorcer.
Démarches, logement, écoles… Tout était d’une justesse, guidée, accompagnée, j’avais déployé mes ailes.
J’ai semé des graines d’amour et d’éveil dans les cœurs des personnes se présentant à moi tant en formation qu’en consultations. J’ai enseigné, transmis depuis plus de 26 ans.
J’ai continué à distribuer mes semences d’Amour et d’éveil à chaque instant parfaitement aligné à ce que je suis.
Divorcée, j’ai pris conscience, à nouveau, de mon enfermement. Je donnais mes stages chez moi, je consultais chez moi, je recevais chez moi… Bref, je ne sortais jamais et je travaillais toujours.
3ᵉ déclic : je peux sortir de ma zone de confort. Oui, mais…
Mon corps, je l’avais totalement oublié, dénigré, laissé pour compte. Il avait des kg en trop, il faisait du « sur place », il était coincé. J’ai oublié que j’étais une femme avec ses envies, ses désirs, ses plaisirs…
4ᵉ déclic : je suis un TOUT, et je peux emporter mon corps dans mon aventure. Changements d’alimentation, reprise de la marche quotidienne. Je me suis mise à l’aimer, mon corps qui deviendra mon meilleur ami qui ne ment jamais. Il retranscrit la vérité de l’instant et sans détour.
Je ressentais tout grâce à lui, mais je n’avais pas compris son utilité dans mon développement personnel de femme.
5ᵉ déclic : je me suis enfermée toute seule.
Par peurs, par différence, par confusion, je me suis protégée.
Aujourd’hui, les murs sont devenus des grillages, et les grillages sont devenus des tremplins sur lesquels je prends mon envol vers la liberté.
Je suis la seule à pouvoir me libérer, à m’affranchir de mes prisons physiques, émotionnelles, mentales et même spirituelles.
Je me choisis et je reste en conscience de tous les choix que je prends afin de rester libre.
Aujourd’hui encore, je reste dans l’optique de me libérer davantage, de sortir des chemins battus, de m’autoriser encore davantage à être plus libre, plus moi : à transgresser certaines règles figées et fixées.
6ᵉ déclic : je peux tout et en tout temps de l’instant où je reste en accord avec ce qui vibre en moi et dans le respect.
Je me libère !
Je me libère de tout jugement ou croyance imposé par les autres. Je me libère de mes chaînes invisibles.
Accorde-toi aussi le droit d’être qui tu es et d’oser enfin rayonner !
Pour la plupart d’entre nous, nous passons notre vie à apprendre à lire, à compter, à apprendre des concepts, des idées,des matières académiques, une profession.
Nous apprenons surtout à nous comporter et à agir selon les standards et les règles de la société à laquelle nous appartenons, de la famille dont nous sommes issus et du milieu dans lequel nous évoluons. Nous apprenons à être un bon enfant,un bon élève, un bon parent, un bon employé,un bon patron, un bon conjoint, un bon ami…. Nous apprenons tout cela et bien plus…mais nous n’apprenons pas à être nous-mêmes.
Et nous nous réveillons à 40, 50, 60, 70 anspour réaliser que toute notre vie, nous avons appris pour répondre aux attentes des autres et de la société, mais nous avons oublié d’apprendre à rester nous-mêmes.
Nous avons enfilé comme des vêtements superposés tous ces rôles que l’on nous demandait de jouer au fil des années, tous ces attributs que nous avons jugés importants d’additionner à notre bagage de masques et de déguisementsdéjà bien trop lourd. Nous cherchons même parfois, inconsciemmentou mûs par un faux besoin de sécurité, à préservertous ces apprentissages tellement nous nous sommes identifiés à eux. Nous voulons rester dans ces rôles professionnels et personnels auxquels nous nous sommes assujettis toute notre vie alors que nous avons oublié de mettre la Vie, notre vie, au premier plan.Mais cette époque semble en voie d’être révolue.
Bien des humains, de plus en plus conscients,cherchent à se débarrasser de tout ce qui ne leur appartient pas. Nous cherchons de plus en plus à voyager léger, à nous délester de ces rôles qui nous ont fait oublier de vivre pleinement et de savourer chaque instant, trop occupés que nous étions à jouer le rôle de celui ou celle que nous ne sommes pas. Nous avons soif d’être vrais, d’être authentiques, d’êtres nous-mêmes, de nous affirmer, de « nous dire » comme le dit si bien Jacques Salomé.
Nous voulons désapprendre ces conditionnements qui nous étouffent et qui nous éloignent de notre propre lumière intérieure. Nous cherchons à éviter d’ajouter quelque bagage inutile que ce soit car nous avons bien souvent porté tellement de valises trop lourdes que nous nous y sommes épuisés à tenter de répondreà tout et à tous, en oubliant de nous demander ce que nous voulions vraiment, nous.
Faire le ménage dans sa vie, c’est faire de la placepour du plus beau, c’est sortir les cailloux pourque les plumes puissent s’y inviter, c’est revenir à soi et devenir sa propre référence plutôt que d’aller chercher nos validations à l’extérieur.
Alors désapprenons les conditionnements qui ne nous servent plus, qui nous étouffent, qui nous ralentissent, qui nous alourdissent. Laissons tomber la lourdeur et l’entêtementet faisons confiance à la Vie, à nous, à ce qui vibre en nous. Revenons à nous, soyons à l’écoute de la Vie, laissons-nous et laissons-la nous guider vers ce qui nourrit vraiment notre âme, vers ce qui nous rend heureux, vers ce qui nous élève.
Pour pouvoir s’élever, il faut devenir plus léger… en étant simplement et totalement soi.
~ Diane Gagnon ~