
Qui va changer ta vie ?

Un voyageur quitta l’Inde pour se rendre en Afrique afin d’y acheter des produits locaux et des animaux. Alors qu’il se trouvait dans la jungle, il vit des milliers de magnifiques perroquets bariolés qui savaient parler. Il décida de capturer l’un de ces perroquets doués de parole et de le ramener chez lui pour en faire un oiseau domestique. Une fois arrivé chez lui, il mit le perroquet en cage et le nourrit de délicieuses graines et de miel. Il faisait écouter de la musique à son oiseau et le traitait bien.
Lorsque le moment fut venu de retourner en Afrique, deux ans plus tard, il demanda à son perroquet s’il souhaitait faire parvenir un message à ses amis dans la jungle. Le perroquet pria son maître de leur dire qu’il était très heureux en cage, que chaque journée était très agréable et qu’il les aimait tous.
Quand le voyageur arriva en Afrique, il transmit ce message aux perroquets de la jungle. Juste au moment où il finissait de leur donner ce message, les yeux de l’un des perroquets s’emplirent de larmes et il tomba raide mort. L’homme en fut alarmé et conclu que ce perroquet avait probablement eu des liens très étroits avec celui qui se trouvait dans la cage et que tel était la raison de sa tristesse et de son décès.
Lorsque le voyageur rentra en Inde, il raconta à son oiseau domestique ce qui s’était passé. Au moment où il termina son histoire, les yeux du perroquet domestique s’emplirent de larmes et il tomba raide mort dans sa cage. L’homme en fut stupéfait, mais il conclut que son oiseau était mort de désespoir d’entendre les nouvelles du décès de son grand ami dans la jungle.
Le commerçant ouvrit la cage et jeta l’oiseau mort sur un monceau de déchets.
L’oiseau domestique déploya alors immédiatement ses ailes et se percha sur une branche dans le jardin.
– Eh bien, tu n’es pas mort du tout ! Mais pourquoi as-tu agi ainsi ? Tu m’as dupé !
– Car cet oiseau d’Afrique m’a envoyé un message très important.
– Quel était ce message ?
– Il m’a dit que si l’on veut s’échapper de sa cage, il faut mourir pendant qu’on est en vie.
« Mourir pendant que nous sommes en vie nous donne la seule occasion que nous n’aurons jamais de sortir de cet emballage qui nous contient temporairement. » – Dr Wayne Dyer
» Vis, toujours, avec cette conscience de n’être inférieure à personne mais aussi avec l’humilité de ne te savoir supérieure à personne ».
Antonia Gravina
L’homme se contente de naître, grandir, travailler, payer ses taxes, consommer, se distraire pour oublier à quel point tout cela n’a pas le moindre sens, il détruit sa santé et meurt.
Mais l’homme sait-il vraiment qui il est ? Se pose-t’il seulement la question ?
Bonjour, je vous espère en forme
Je vous partage, ce matin, un texte de Paul Degryse
Selon les chamans toltèques, il y a deux sortes d’humains sur Terre : ceux qui prennent le temps de s’interroger sur les gens et sur le sens de l’univers et de se demander qui ils sont et ce qu’ils font là, des hommes que les réponses toutes faites proposées par la société dans laquelle ils vivent ne satisfont pas et qui vont faire de ces deux questions le fondement d’une vie nouvelle, imprégnée d’un irrésistible parfum de liberté.
Et puis il a les autres, ceux qui, riches ou pauvres, cultivés ou non se seront très tôt laissés hypnotiser par le brouhaha, les nécessités et les mirages de la vie quotidienne au point de ne jamais trouver le temps de se poser ce genre de questions, les trouvant inutiles ou même absurdes, une attitude et un choix que les chamans appellent « succomber à l’hypnose socialitaire ».
Aventuriers de l’esprit, les premiers, s’ils persévèrent ont une chance de devenir les créateurs de leur vie, portés par l’énergie du mystère de l’existence parce qu’ils l’auront regardée en face et acceptée. Les seconds vivront le plus souvent dans le conformisme de leur époque, serviteurs du système en place, tournant le dos à l’inexpliqué et, par là, à eux-mêmes.
Le monde est en effet le miroir que chaque individu perçoit, une projection de soi, un processus circulaire que les chamans appellent « l’anneau de pouvoir ». Comme le miroir, le monde ne nous renvoie que la représentation qu’en fabriquent nos perceptions personnelles, nos croyances et nos humeurs. Le vrai pouvoir de changer les choses se découvre et s’exerce à l’intérieur de soi, sur l’intérieur de soi.
Tous les psychothérapeutes dignes de ce nom et tous les chamans pratiquant la guérison spirituelle depuis de longues années sont amenés un jour ou l’autre à se demander pourquoi il est si difficile pour l’être humain de changer des croyances ou des comportements qui sont pourtant, à l’évidence, la cause de tant de souffrances, de mal-être et même de graves maladies. Mais il leur suffit de se rappeler combien de mémoires ancestrales, prénatales familiales, éducatives et socialitaires ont façonné leur personnalité pour avoir la réponse : l’homme est littéralement et jusqu’au plus profond de ses cellules infiltré de programmations d’ordre karmique, culturel et affectif qui sont autant d’obstacles à tout changement.
Travailler sur soi devient ainsi le seul espoir pour l’homme de se libérer et de devenir celui que, tout au fond de lui, son nagual lui murmure qu’il peut-être. Il est bien placé pour cela puisqu’en lui résident tous les changements et les potentiels créatifs de l’univers !
« L’homme ne naît pas libre mais il est libre de se libérer ». C’est donc pour lui à la fois une chance extraordinaire d’en avoir un jour le désir et sa plus grande responsabilité.
Les sages taoïstes désignent le travail sur soi par l’expression « chevaucher le tigre ». Le tigre représente à leurs yeux cette force irrépressible qui fait mourir et renaître en permanence tous les êtres. En travaillant sur soi, on ose affronter au lieu de fuir, on bondit sur son dos, on l’enfourche et on se fond dans sa force pour mieux orienter celle-ci pendant que s’éveille peu à peu la conscience de notre identité avec lui.
Prenez soin de vous
Mabelle
Bonjour,
Je vous espère en forme en ce dimanche estival.
Je vous partage quelques extraits d’un livre très intéressant, même si je l’ai trouvé bien cher https://amzn.to/3Q7Ms6q
Un peu moins cher pour ceux qui possèdent un Kindle, ce qui n’est pas mon cas https://amzn.to/44FUasY
« Les « Ordres des médecins » : un repaire de délinquants en blouse blanche et stéthoscope au cou ? »
« La Cour des comptes a contrôlé le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM1116), ainsi que 46 conseils départementaux (sur 101) et les 24 conseils régionaux.
En décembre 2019, elle a publié un rapport de 187 pages intitulé : « L’Ordre des médecins – Rapport public thématique » (consultable et téléchargeable sur le site de la Cour des comptes).
» Elle a adjoint à ce rapport une synthèse de 24 pages, intitulée « L’Ordre des médecins – Rapport public thématique – Synthèse » (également consultable et téléchargeable sur le site de la Cour des comptes1118).
» Les sommaires de ces deux documents laissent songeurs sur la probité et l’honnêteté des « médecins » qui siègent au sein de ces ordres, dans la mesure où ils détiennent de véritables pouvoirs de sanctions de leurs confrères qu’ils peuvent sans autre forme de procès radier de la profession.
» Qu’on en juge avec un extrait du sommaire du rapport de synthèse de 24 pages
» • Un manque de rigueur dans le traitement des plaintes et une justice disciplinaire marquée par des dysfonctionnements
» • De grands désordres comptables et de gestion
» • Pratiques non conformes aux règles comptables
» • Falsification d’écritures comptables
» • Disparition (destruction) de pièces (comptables)
» • Détournements de fonds »
« Les généreuses conventions entre les laboratoires pharmaceutiques et les médecins »
« Par ailleurs, on apprend en page 92 du rapport intégral qu’il existe ‘ des plafonds en dessous desquels l’Ordre donne un avis favorable aux conventions (entre un laboratoire pharmaceutique et un médecin) qui lui sont soumises ’ :
» – honoraires : 250 €/heure ;
» – nuitée à l’hôtel : 250 € ;
» – repas : 70 €.
» À la même page, on apprend que selon la Cour des comptes, il n’y aurait jamais aucune poursuite disciplinaire à l’encontre de médecins pour « non-respect d’un avis de l’Ordre sur une convention irrégulière [entre un médecin et un laboratoire pharmaceutique (NDÉ)]. »
« L’absence de sanctions imposées aux médecins fautifs (page 93 du rapport intégral) »
« À titre illustratif, entre 2016 et 2018, 82 conventions ont été transmises pour des prestations assurées par le Pr X, chef de service à temps complet dans un CHU, pour un montant de 726 000 €. Parmi elles, une convention relative à trois études d’expertise-conseil [on aimerait les lire NDLR] pour le compte du laboratoire T. d’un montant de 535 000 € sur une durée de quatre ans, débutée en septembre 2016, n’a été transmise à l’Ordre que le 14 février 2018. Le Conseil national a émis un avis défavorable en raison d’une demande parvenue hors délais, de l’absence d’autorisation de cumul signée par l’établissement employeur et parce que les honoraires et le nombre de jours trop élevés étaient contraires au caractère d’activité accessoire. Aucune poursuite disciplinaire n’a été engagée contre ce médecin pour manquement à la déontologie. »
« L’Ordre des médecins préfère interdire d’exercice les médecins qui soignent les malades avec des médicaments efficaces, mais interdits par le président de la République et son ministre de la Santé, que de sanctionner des médecins fautifs »
« En résumé, si comme le docteur Grégory Pamart (voir supra), vous sauvez la vie d’un malade en le soignant gratuitement alors que son médecin traitant refusait de le faire, l’Ordre des médecins vous poursuivra (et ne vous lâchera pas) en vous menaçant de vous radier de la profession et d’engager des poursuites pénales contre vous.
En revanche, si vous touchez plus de 726 000 € d’un laboratoire pharmaceutique, dont 535 000 € pour 3 « études » d’expertise-conseil, alors que vous êtes professeur de médecine et chef de service d’un CHU à temps complet, et payé généreusement pour cela, et alors même que l’Ordre a émis un avis défavorable à la convention qui vous lie avec ce laboratoire si généreux (avec l’argent des assurés sociaux), vous pouvez dormir paisiblement et vous offrir un chalet au bord des pistes de ski avec piscine chauffée, ainsi que la voiture de luxe avec laquelle vous y emmènerez vos maîtresses ou vos amants.
» Des pratiques qui ne seraient pas admissibles dans une démocratie citoyenne
» Ces documents révèlent des pratiques qui ne seraient pas admissibles dans une démocratie citoyenne et qui seraient sévèrement condamnées avec des séjours par la case prison et une interdiction d’exercer à vie.
» Mais en France, ce n’est pas le cas, les politiciens et les juges laissent faire ; l’important, c’est que ces ordres professionnels sanctionnent les médecins qui n’entrent pas dans le rang et qui ne se soumettent pas aux intérêts de Big Pharma et aux directives de leurs représentants à la tête de l’État français. »
« Tenir en laisse les médecins et veiller aux intérêts de Pfizer & Co. »
« Les interdictions d’exercer distribuées par ces Ordres à l’encontre des médecins qui ont refusé les injections mortelles à ARNm de Pfizer & Co., ou encore à l’encontre des médecins qui ont continué à soigner leurs patients avec des médicaments efficaces comme l’hydroxychloroquine et l’azithromycine, en sont la parfaite et indiscutable démonstration : ces Ordres n’existent que pour tenir en laisse les médecins et, depuis 2020, ils ont reçu pour mission de veiller à ce que leurs ordonnances ne représentent pas un obstacle aux bénéfices de Pfizer & Co. et au programme de dépopulation de la planète des milliardaires mondialistes, qu’ils le veuillent ou non.
» Que cela rende leurs patients gravement malades ou que cela les tue, ce n’est pas leur problème et encore moins leur préoccupation. »
Prenez soin de vous
Mabelle
Bonjour, je vous espère en forme.
Ce matin, je vous partage un texte de Caroline Gauthier, en espérant qu’il résonnera en vous autant qu’en moi.
« Elle achetait des livres qui lui parlaient de spiritualité, d’unité, d’émotions positives, de lumière et d’amour inconditionnel.
Elle essayait de toutes ses forces d’être parfaite et de l’atteindre ce Ciel que ces récits décrivaient !
Elle essayait de gommer ses ombres pour atteindre cette lumière.
Elle essayait d’être joyeuse, alors qu’elle était souvent triste.
Elle essayait d’être linéaire alors que tout en elle n’était que chaos et tsunami.
Elle essayait d’être calme alors qu’elle sentait la tempête.
Elle tentait de répondre à ce que ces sages écrivaient.
Mais plus elle lisait, plus elle essayait… Et plus elle échouait.
Elle restait immuablement humaine et duale, avec ses émotions paradoxales.
Elle était l’inverse de tout ce qui était écrit et s’écroulait accablée et accroupie.
Pourquoi donc n’était-elle pas parfaite comme tous ces gens qui savaient, qui étaient des êtres illuminés et éveillés ?!
Épuisée, elle alla se coucher et se mit à rêver.
En songe, elle vit une grande salle : d’un côté des hommes cravatés et même certains sages ;
de l’autre des musiciens, chanteurs et poètes déluré dans un vaste bordel coloré.
Les cravatés, ne pouvant tolérer une telle pagaille, partirent sur le champ !
Et il ne restait dans cette salle que tous ces gens étonnants !
Surprise, au réveil elle comprit.
Elle mit de côté tous ses livres, et décida de vivre !
Elle accepta alors toute son humanité, ses sautes d’humeur et son cœur parfois fermé.
Elle accepta toutes ses parts et sa dualité !
Et grâce à cela, elle trouva enfin son unité.
Son cœur s’ouvrit alors en corolle car elle ne jouait plus aucun rôle.
Pour une fois elle s’aimait, même si rien n’était parfait.
Elle aimait même tout ce qu’elle avait tant cherché à masquer toutes ces années.
Elle arrêta donc de se faire violence et entra dans sa propre danse.
Elle n’écouta plus les savants, mais son élan vibrant.
Elle devint une femme sauvage, capable parfois d’être en rage.
Elle pouvait pleurer car elle en connaissait la beauté.
Elle accepta sa nature de femme cyclique et devint magnifique.
Elle comprit que tout ce qui vivait en elle était divin et la lumière vint enfin!
Elle ne cherchait plus la perfection linéaire car elle sentait qu’elle était comme le mouvement de la Terre.
Elle dansait, chantait et riait maintenant de sa nature paradoxale et cyclique.
Et tout en elle était apaisé car il n’y avait plus besoin de chercher.
Juste sentir la brise des étoiles sur sa peau et écouter le cantique des oiseaux.
Elle était maintenant l’océan qui voyait ses vagues.
Elle était la conscience qui vivait ses émotions.
Elle était le divin qui vivait dans son corps humain.
Elle était l’espace infini qui vivait le temps fini.
Elle était le calme qui regardait ses tempêtes.
Elle était l’unité qui vivait sa dualité.
Tout en elle s’était réuni.
Et elle vivait sa vie… «
Prenez soin de vous
Mabelle