
Pensée du jour

Un père a dit à sa fille « Tu as fini tes études, voici une voiture que j’ai achetée il y a quelque temps… Il a quelques années. Mais avant que je te la donne, emmène-la chez au parking de la ville, propose la à la vente , regarde combien ils proposent. «
La fille est allée au parking, est revenue chez son père et lui a dit : « Ils ont offert 1000 euros car elle a l’air très usée ! »
Le père a dit : « Garde-la et emmène la au prêteur sur gage ».
La fille est allée chez le prêteur sur gages, retourne chez son père et lui dit : « Le prêteur sur gage a offert 100 euros parce que c’est une très vieille voiture »
Le père demande alors à sa fille d’aller dans un club automobile passionné et de leur montrer la voiture.
La fille a emmené la voiture au club, est revenue chez son père et a dit : « Certaines personnes dans le club m’ont offert 100 000 € parce que c’est une voiture rare qui est en bon état et difficile à trouver. «
Puis le père a dit : « Je voulais que tu saches que tu ne vaux rien si tu n’es pas au bon endroit ». Si vous n’êtes pas apprécié, ne soyez pas en colère, cela signifie que vous êtes au mauvais endroit.
Ne restez pas dans un endroit où personne ne voit votre valeur.
Mabelle
Durant une période de famine, un boulanger riche et généreux fit venir vingt des enfants les plus pauvres de la ville et leur dit : « Ce panier contient une miche de pain pour chacun de vous.
Prenez-la et revenez tous les jours à la même heure, jusqu’à ce que Dieu nous envoie des jours meilleurs. »
Les enfants, affamés, s’empressèrent autour du panier, se disputant les plus grosses miches.
Finalement, ils repartirent sans même se donner la peine de remercier le bon vieux boulanger.
Mais Gretchen, une petite fille pauvrement vêtue, n’avait pas pris part à la bousculade ; elle avait attendu tranquillement que les choses se calment.
Lorsque les enfants malpolis furent partis, elle prit le dernier pain qui restait dans le panier, baisa la main du gentil boulanger, et rentra chez elle.
Ceci se renouvela.
Un jour, les enfants ne se conduisirent guère mieux, et la pauvre petite Gretchen dut se contenter d’une miche de pain deux fois plus petite que celle de la veille.
Lorsqu’elle fut rentrée chez elle, sa maman coupa le pain en deux, et plusieurs pièces d’argent toutes neuves tombèrent sur la table.
Sa maman s’en inquiéta : « Ramène immédiatement l’argent au bon monsieur ! Les pièces ont dû tomber dans la pâte par erreur. Dépêche-toi, Gretchen, fais vite ! »
Lorsque la petite fille rapporta au boulanger ce que sa maman lui avait dit, il répondit : « Mais non, mon enfant, ce n’était pas une erreur. J’ai mis moi-même ces pièces d’argent dans le plus petit des pains pour te récompenser. Sois toujours, toute ta vie, aussi douce, aussi gentille et aussi reconnaissante. Rentre vite chez toi, et dis à ta maman que cet argent vous appartient ! »
Le « vol de l’énergie vitale »…est quelque chose de très fréquent. Je préfère l’appeler les fuites énergétiques car personne ne peut nous prendre ce que nous n’avons pas accepté souvent inconsciemment de donner ou de retenir. Nous sommes partie active dans ces luttes de pouvoir, en prendre conscience est la première façon de s’en libérer.
Nous sommes faits majoritairement d’énergie, sous des formes plus ou moins denses, et nous en brûlons tous les jours. Lorsqu’on ne sait pas faire le plein de façon saine et naturelle, on en vole aux autres. Les humains sont empêtrés dans cette lutte énergétique incessante, et une concurrence inconsciente qui explique bien des conflits, situations, et comportements.
Dans son livre jalon « La Prophétie des Andes » (https://amzn.to/3HhXfop), James Redfield décrit quatre mécanismes de vol d’énergie.
L’Intimidateur : vole l’énergie en râlant de colère, opprimant, menaçant, imposant, frappant. La peur, en effet, vide le méridien des Reins, siège du stock d’énergie vitale et de l’énergie originelle. L’Intimidateur n’a plus qu’à récupérer cette énergie qui s’échappe violemment et complètement.
L’Interrogateur : vole l’énergie en questionnant à tout propos. Les enfants utilisent inconsciemment cette technique. Les adultes l’utilisent par curiosité excessive, jalousie, pour trouver la faille et mieux rabaisser ou critiquer. Ce mécanisme vide l’élément Terre (méridiens de l’Estomac et de la Rate), siège de la confiance en soi, le méridien de la Vésicule Biliaire (concentration, imagination, réflexion), et le méridien du Maitre du Cœur (interaction avec les autres), car ici les frontières personnelles sont violées.
L’Indifférent : vole l’énergie en se renfermant sur lui-même, laissant l’autre s’épuiser à le questionner et se demander ce qui ne va pas, voire à se sentir coupable. Cette technique vide les méridiens de l’Élément Terre (confiance en soi, anxiété/Rate).
Le Plaintif : vole l’énergie en se plaignant et en racontant ses malheurs à longueur de journée. Tout est noir, et il/elle a besoin de le faire savoir au monde entier pour aller mieux.
Je vous devine en train de mettre des noms sur ces profils (« Ça c’est exactement mon mari/compagnon ! », « Ah oui, ma mère fait tout le temps ça ! »…)… Très bien ! Sachez reconnaître les voleurs d’énergie, petits et grands.
Prise de responsabilité : A présent, réfléchissez à votre cas personnel ! Vous reconnaissez-vous dans l’une (ou plusieurs) de ces descriptions ? Faites-vous partie d’un de ces jeux de pouvoir en jouant un de deux rôles ou en donnant votre pouvoir à l’autre ? Si oui, il est temps de changer de technique. Les relations avec votre entourage s’en porteront bien mieux.
Comment accumuler de l’énergie sans la voler aux autres ?
– Respirer profondément
– Capter l’énergie des plantes (balades en forêt, plantes à la maison)
– Marcher pieds nus dans des lieux naturels, ou sur des matériaux naturels chauds (bois, laine)
– Manger des aliments vivants (fruits, légumes, graines germées, algues)
– Augmenter ses pensées positives
– Faire le tri dans ses relations (éviter les vampires d’énergie et les manipulateurs)
– Faire de l’exercice (pas forcément du sport, il s’agit juste de se bouger !)
Les champs énergétiques des êtres vivants se mêlent constamment, s’entrecroisent et s’influencent. Faites-vous du bien, et faites du bien aux autres, en vous gorgeant d’énergie, sans la voler !
Extrait du Livre « Guérir par La Lumière » de Barbara Ann Brennan https://amzn.to/3kPGyJA
Prenez soin de vous et de votre énergie
Mabelle
Bonjour, je vous espère en forme. Je vous partage ce matin un texte à méditer, avant qu’il ne soit trop tard.
On raconte que lors d’une de ses réunions, Hitler a demandé
qu’on lui apporte une poule. Il l’a attrapée fort d’une main pendant qu’il la plumait de l’autre.
Se débattant de douleur, la poule a voulu fuir, mais elle n’a pas pu car l’étreinte était au-dessus de ses forces.
Après avoir complètement plumé l’infortunée poule, Hitler a ramassé toutes les plumes en disant à ses collaborateurs :
« Maintenant, regardez ce qui va se passer. »
»Hitler lâcha la poule sur le sol et s’éloigna d’elle. Il prit une poignée de grains de blé, commença à marcher
dans la pièce en jetant les grains de blé sur le parquet derrière lui.
Ses collaborateurs, interloqués, constatèrent que la poule, bien qu’effrayée et saignant, suivait avec douleur, mais docilement son bourreau pour ramasser quelques miettes, qu’Hitler laissait tomber derrière lui en tournant dans la pièce.
S’adressant alors à ses acolytes surpris, Hitler leur dit :
« Ainsi, vous venez de voir de quelle manière on gouverne facilement les peureux, les lâches ou les faibles.
Vous avez vu comment la poule m’a suivi, malgré la douleur que je lui ai causée? Je lui ai tout pris…, les plumes et la dignité, mais elle me suit quand même* en quête de remoulages. »
Ainsi, la plupart des gens, en quête de quelques miettes (nourriture pour un ou deux jours, … un habit, une bière,…)
suivent leurs gouvernants et politiciens, malgré les mensonges, les promesses non tenues et la peine que ceux-ci
leur infligent en leur ôtant la santé, l’éducation et la dignité.
« Le peuple suit toujours celui qui lui donne les miettes du jour. »
Pensez y quand ils vous disent :
»Pour votre sécurité, vous n’aurez plus de liberté »
La patience est l’art de lâcher prise, de faire confiance, de garder espoir et de savoir qu’au bout du compte, il y aura un résultat, quel qu’il soit.
C’est avoir l’intime certitude qu’il vaut parfois mieux inspirer un grand coup que d’expirer son exaspération.
C’est tenir la main d’un ami cent fois alors qu’il se débat avec ses leçons de vie.
C’est recommencer le même trajet jusqu’à ce que nous le maîtrisions.
C’est accueillir les défaillances avec amour et sans jugement.
C’est accepter de ne pas avoir le contrôle sur quoi que ce soit, tout en demeurant maître de soi.
La patience, c’est ce qui donne à la Vie le temps d’agir dans notre vie.
C’est l’espoir, la Foi, la sérénité.
Diane Gagnon
AIMER D’UNE FAÇON INCONDITIONNELLE SIGNIFIE-T-IL DEVOIR TOUT ENDURER DE LA PART DES AUTRES?
J’ENTENDS RÉGULIÈREMENT DES GENS DIRE QUE L’AMOUR INCONDITIONNEL EST POSSIBLE AVEC CERTAINES PERSONNES OU DANS CERTAINES SITUATIONS, MAIS QU’AVEC D’AUTRES, C’EST TOUT SIMPLEMENT IMPOSSIBLE.
Monsieur me dit par exemple que s’il aime son fils d’une façon inconditionnelle quand il découvre que ce dernier se drogue et de ce fait ne le lui interdit pas, cette décision est très malsaine et ne peut définitivement pas être une preuve d’amour de la part d’un père. Il est convaincu que son fils continuera à se droguer s’il le lui permet et qu’un père qui aime son fils ne peut certainement pas prendre une décision qui lui nuirait.
Ce genre de résistance et d’objection typiques de la plupart de nous n’est qu’une expression de notre ego. Celui-ci ne peut absolument pas comprendre les notions spirituelles. Le concept de l’amour inconditionnel fait partie du monde spirituel et non du monde matériel qui comprend les aspects physique, émotionnel et mental de l’humain.
Aimer inconditionnellement veut dire accepter, reconnaître, observer une attitude sans la juger ou la condamner. Que cette attitude soit positive ou négative, on l’observe et on l’accepte tout simplement en se souvenant que chaque humain a le droit d’être différent. Mentalement, nous croyons qu’accepter signifie être d’accord avec l’attitude (être) et le comportement (action). Quand nous sommes influencés par notre aspect matériel, nous nous fions à notre perception qui est basée sur tout ce que nous avons appris dans le passé. La perception vient toujours de la mémoire ou l’expérience passée de la personne qui perçoit. Nous percevons donc en général d’une façon différente des autres.
En revenant à l’exemple précédent du père qui découvre que son fils se drogue, il est évident que sa perception de l’amour inconditionnel vient de sa dimension mentale. Il croit qu’aimer son fils inconditionnellement signifie être d’accord avec sa décision. Voilà pourquoi il résiste autant à expérimenter cette forme d’amour. Il dira : Je ne peux pas dire à mon fils que je l’accepte, car il continuera à se droguer et peut-être encore plus s’il sait qu’il a mon approbation.
En réalité, accepter véritablement c’est pouvoir dire oui à ce qui se passe même et surtout lorsque nous ne sommes pas d’accord. Nous savons que nous ne sommes pas d’accord, que ce genre d’attitude ne correspond pas à notre préférence, mais nous pouvons accepter que pour le moment ce soit ce qui se passe. Voilà ce que signifie accepter, aimer d’une façon inconditionnelle. Il est impossible à qui que ce soit de VRAIMENT SAVOIR ce que veut dire aimer inconditionnellement tant que cette forme d’amour n’a pas été assimilée et expérimentée.
L’étape nécessaire pour arriver à aimer inconditionnellement est de reconnaître que chaque personne sur terre est responsable à 100 % de ses actes. Oui mais mon fils n’a que 15 ans, je suis encore responsable de lui me dira le papa. En devenant une personne responsable, ce père saura que son enfant peut décider ce qu’il veut dans la vie, car c’est lui-même qui devra assumer les conséquences de ses actes.
L’autre étape nécessaire pour une vraie prise de responsabilité de la part du père est de savoir qu’il s’est attiré un fils qui lui fait vivre des choses difficiles pour apprendre à s’accepter lui-même. Le moyen pour découvrir ce qu’il doit accepter dans la façon d’être de son fils est de vérifier de quoi il le juge quand il se drogue. S’il le juge d’être lâche, faible ou dépendant, son fils est dans sa vie pour l’aider à découvrir qu’il n’accepte pas d’être ainsi lui-même et ne se le permet pas. Ni le père, ni le fils n’acceptent ses façons d’être.
Vous constaterez que je parle toujours d’accepter une attitude, une façon d’être et jamais un comportement. Cela signifie que ce n’est pas le fait de se droguer que le père doit accepter, c’est accepter ce qu’il juge d’ÊTRE lâche, faible et dépendant.
Pour terminer, voici comment un papa pourrait approcher son fils dans ce genre de situation : J’ai découvert que tu te drogues et je veux te dire que je ne suis pas du tout d’accord. Ça me fait beaucoup de peine et me fait très peur. Je sais que je pourrais t’interdire la drogue, te menacer de ne plus te donner d’argent de poche, t’interdire de sortir de la maison, mais je sais aussi que tu finirais par trouver un moyen de le faire quand même. Et puis mon attitude contribuerait à nuire beaucoup à notre relation. J’ai appris que je dois utiliser cette situation pour découvrir ce qu’elle peut m’apprendre et pour y arriver, je dois découvrir ce que je te juge d’être. Eh bien, je te juge d’être lâche, faible et dépendant. Il semblerait que si je te juge d’être ainsi, cela indique que je me juge aussi de l’être parfois avec moi-même ou les autres et que toi aussi tu me juges parfois. Peux-tu me dire dans quelles circonstances tu m’as jugé d’être lâche, faible et dépendant avec toi ou avec quelqu’un d’autre ?
Dès l’instant où une personne se permet ce genre d’expérience, il se produit ce que j’appelle un miracle. Dans notre exemple, le fils, ne se sentant pas jugé par son père, se sentira libre de lui répondre à quel moment il l’a jugé. Le miracle est que le père et le fils se sentiront mieux après leur conversation, ils sentiront le respect de l’autre. Le fils pourra partager avec son père comment il vit son expérience. Ce n’est que lorsqu’il décidera qu’il ne veut plus assumer les conséquences nuisibles de sa dépendance qu’il pourra arrêter. De nombreux parents m’ont raconté que leur enfant avait arrêté très rapidement la drogue après une conversation de la sorte.
Un autre moyen utilisé par de nombreux parents semble produire de très bons résultats. Le père demanderait à son fils Si les rôles étaient inversés, que ferais-tu à ma place ? Quelles sont les mesures, les décisions que tu prendrais ? Il se peut que le fils lui dise qu’il ne lui donnerait plus d’argent de poche et qu’il devrait travailler pour payer sa drogue. Ainsi, le père pourrait donner des travaux à faire à son fils ou lui permettre de gagner ailleurs l’argent dont il a besoin. Il est important que le parent respecte la suggestion de son enfant. Elle est d’ailleurs assez souvent plus sévère que ce que le parent aurait décidé.
Je vous souhaite de profiter des nombreuses occasions qui se présentent chaque jour pour pratiquer à vous aimer, ainsi que les autres, inconditionnellement. Chaque fois que vous le ferez, ce sera comme renforcer un muscle, cela deviendra de plus en plus facile à répéter.
Avec amour,
Lise Bourbeau
Peu importe ce que nous voulons, ce à quoi nous aspirons, ce que nous craignons, ce que nous visons comme objectif, peu importe tout cela, tout part de notre état intérieur au moment où l’intention naît.
Ainsi, nous pouvons avoir envie de clarifier un différend avec un ami : si nous le faisons dans le but de lui montrer à quel point il a tort ou à quel point nous avons raison, le résultat sera complètement différent que si notre intention part d’un élan du cœur pour rétablir la communication avec harmonie ou pour terminer la relation en beauté.
Parfois nous optons entre deux choix en retenant le choix « sensé’ celui qui semble le plus avantageux. Notre intention part donc de la tête ou de la peur du manque, ou de la peur tout court. Mais si notre choix procède d’un senti très fort nous amenant à faire un choix différent, qui peut paraître incompréhensible aux yeux des autres mais qui semble aligné sur notre âme, alors il est assuré que nous faisons le meilleur choix, celui qui aura des retombées positives pour tous, sans faire de véritables perdants.
Si nous ressentons l’élan d’aider une personne chère temporairement dans le besoin, non pas pour avoir l’air d’une bonne personne généreuse mais parce que notre cœur nous souffle à l’oreille que c’est la bonne chose à faire, peu importe l’image ou les répercussions, alors notre élan part de cet espace d’amour en nous qui sait ce qui est le mieux en ce moment, pour l’autre et pour soi.
Le résultat de ce que nous faisons est toujours tributaire de notre intention de départ.
Peu importe les efforts que nous y mettrons, les calculs que nous ferons, les contacts que nous impliquerons, tant que notre intention de départ n’est pas issue de l’Amour, de la paix intérieure, de la joie ou de la sagesse, nous obtiendrons toujours en retour l’effet boomerang de notre intention première.
Cet espace d’Amour et de sagesse est toujours accessible, toujours disponible en nous. Il n’en tient qu’à nous de l’écouter, de la laisser monter, d’entendre sa petite voix, de voir ses signes, de laisser son énergie traverser notre corps et d’agir en posant l’action juste parce que née du meilleur de nous-mêmes. Pour cela, il nous suffit de nous arrêter quelques minutes, quelques secondes même, avec un peu de pratique, et de faire taire notre mental pour nous mettre à l’entière disposition de cette vie qui se vit à travers nous.
Trop souvent nous avons agi par peur : peur du manque, peur de ce que les autres vont penser, peur de l’image que nous donnons, peur de faire la peine et de ne plus être aimés, peur de nous tromper, peur de nous faire avoir… Tant de peurs qui inhibent nos élans d’amour toujours justes et sages.
Faisons de la place pour que nous soyons de plus en plus à l’écoute de notre sagesse intérieure, mettons de côté nos peurs, et écoutons ce que notre cœur nous dit. Il ne se trompe jamais même si parfois nous pouvons avoir l’impression sur le coup que notre choix n’était pas le meilleur. La Vie se chargera bien, tôt ou tard de nous donner raison d’avoir écouté notre cœur. Tout part de notre état intérieur : on peut se brancher sur nos peurs ou sur notre cœur. Il me semble que nous avons assez écouté nos peurs maintenant, il est temps de nous mettre à l’écoute de notre grande sagesse intérieure, celle de la Vie qui agit à travers nous, par nous, pour nous, en nous.
Diane Gagnon