Archives de catégorie : Inspirations

Je regarde ma vie

Je me suis assise un instant au bord de ma vie ! J’ai regardé passer les gens qui l’avaient remplie…

Il y avait des bons, des gentils et des méchants.

Vus d’ici, je pouvais les contempler en pensant

Que certains l’avaient comblé de beaucoup de joies,

Que d’autres, en revanche, avaient abusé de moi.

Jeune Femme Avec Sac à Dos Assis Sur Le Bord De La Falaise Et En Regardant  Vers Les Montagnes Et Le Ciel Clair. Été Randonnée Aventure Banque D'Images  Et Photos Libres De

Fallait-il, de ces derniers, regretter leur passage ? Sachant qu’avec eux j’avais fait l’apprentissage

De la méfiance, du mensonge et de la trahison… Et qu’ils avaient été une leçon, me réveillant de mes songes !

J’étais assise, sereine et à voir l’ensemble ainsi, je me rendais compte qu’il ne restait que les bons et les gentils.

À regarder dans ma direction avec franchise, je ne voyais plus les visages de mes méprises.

Je me suis levée et vers la franchise j’ai tendu les bras…

J’ai, d’un battement de cil, déshumanisé les scélérats !

Le regard droit vers le reste de mon chemin, je me suis prise, pour le reste de la route, par la main,

Et j’ai dit : « Viens, on part ensemble vers demain ».

Marie Buisson

Attraper le bonheur

Attraper le bonheur, c’est vouloir retenir un papillon dans sa main ou le prendre avec un filet.

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Tu précipites le filet sur lui et il s’abîme, c’est un bonheur gâché.
Si c’est un bonheur agile, on ne ne peut le faire prisonnier et l’on court sans fin, c’est une agitation inutile, le bonheur est parti.
Parfois il se laisse prendre sans dommage, il ne s’est pas débattu et il reste bien sage, un peu frileux sous le filet. C’est un bonheur fragile, fatigué, malade peut-être.
Si tu attrapes un beau bonheur, un papillon rare, sans l’abîmer, si tu le prends dans ta paume et que tu la refermes pour l’emprisonner, il ne reste que de la poussière de bonheur sur les doigts, si tu le piques sur un bois, il meurt.
Il faut être comme l’arbre à papillons, prêt à accueillir le bonheur, et tu verras, il viendra sur ton épaule.
Bernard Giraudeau

Se choisir

Se choisir c’est :

Dire NON parce que je suis fatigué et que j’ai besoin de repos.

Dire NON parce que ça dépasse mes limites physiques et/ou émotionnelles.

Dire NON parce que ce n’est pas une urgence.

Dire NON parce que ça ne correspond plus à ce que je veux. Dire NON parce que ça ne correspond pas à mes valeurs.

Peut être un gros plan de 1 personne et neige

Dire NON parce que ce genre d’activité m’ennuie.

Dire NON parce que ce genre de personne me prend toute mon énergie.

Dire NON parce que je ne me sens pas respecté dans mon corps quand tu agis ainsi.

Dire NON parce que je ne me sens pas valorisé lorsque je suis en ta présence.

Dire NON parce que je n’ai pas de joie à faire cela.

Dire NON parce que ce n’est tout simplement pas ce que je veux !

Tous, nous avons nos limites qui sont personnelles et qui ne se comparent pas à celles des autres. Le plus souvent, la peur de perdre, la peur de blesser ou la peur de décevoir va faire en sorte que nous n’oserons pas nous choisir.

La culpabilité peut aussi être un facteur important qui joue dans nos décisions.

Prenez un moment pour regarder ce qui vous empêche de dire NON.

Par la suite, un pas à la fois, osez vous choisir.

De qui dépend notre bonheur ?

Lors d’un séminaire consacré aux couples à l’Université de Fresno (Californie), un des conférenciers a demandé à une femme dans l’assistance : « Votre mari vous rend heureuse ? Vous rend-il vraiment heureuse ? »

À ce moment, le mari a relevé la tête, totalement sûr de lui. Il savait que son épouse répondrait par l’affirmative car elle ne s’était jamais plainte pendant leur mariage.

Cependant, sa femme a répondu par un « non » tonitruant, un « non » bien catégorique !  » Non, mon mari ne me rend pas heureuse ! »

Son mari était complètement déconcerté, mais elle a continué : « Mon mari ne m’a jamais rendu heureuse et Il ne me rend pas heureuse ! Je suis heureuse. Le fait d’être heureuse ou pas ne dépend pas de lui, mais de moi. Mon bonheur ne dépend que d’une seule personne : MOI ! C’est moi qui décide que je serai heureuse dans chaque situation et à chaque moment de ma vie, car si mon bonheur dépendait de quelqu’un, de quelque chose ou d’une circonstance sur la face de la terre, j’aurais de graves problèmes.

Qui sont ces couples heureux et comment font-ils ? - Fifty & Me MAGAZINE

« Tout ce qui existe dans cette vie change en permanence : l’être humain, la richesse, mon corps, le climat, ma volonté, les plaisirs, les amis, ma santé physique et mentale. Enfin, … la liste est interminable.

Je dois décider d’être heureuse indépendamment de tout le reste. Que ma maison soit vide ou pleine, je suis heureuse !

Que je sorte accompagnée ou seule, je suis heureuse ! Que je gagne un bon salaire ou non, je suis heureuse ! Je suis aujourd’hui mariée mais j’étais déjà heureuse célibataire. Je suis heureuse par moi-même .

J’appelle « des expériences » les autres choses, personnes, moments, situations. Elles peuvent ou non m’apporter des moments de joie ou de tristesse.

Quand une personne que j’aime meurt, je suis une personne heureuse qui vit un moment inévitable de tristesse.

J’apprends grâce aux expériences passagères et je vis celles qui sont éternelles comme aimer, pardonner, comprendre, aider, accepter, consoler.

Certaines personnes affirment : Aujourd’hui, je ne peux pas être heureux parce que je suis malade, parce que je n’ai pas d’argent, parce qu’il fait très chaud, parce qu’il fait trop froid, parce que quelqu’un m’a insulté, parce qu’une personne ne m’aime plus, parce que je n’ai pas su me mettre en valeur, parce que mon mari n’est pas tel que je l’espérais, parce que mes amis ne me rendent pas heureux, parce que mon travail est inintéressant, et ainsi de suite.

J’aime la vie que je mène mais pas parce que ma vie est plus facile que celle des autres. C’est parce que j’ai décidé d’être heureuse et je suis responsable de mon bonheur.

Quand j’enlève cette obligation à mon mari et à toute autre personne, je les libère du poids de me porter sur leurs épaules. Leur vie est beaucoup plus légère. Et c’est ainsi que j’ai réussi à avoir un mariage heureux tout au long de ces années. »

Ne laissez donc jamais entre les mains d’une autre personne une responsabilité aussi grande que d’assumer et de susciter votre bonheur. Soyez heureuse et heureux, même quand il fait chaud, même quand vous êtes malades, même quand vous n’avez pas d’argent, même quand une personne vous a blessé ou blessée, même quand on ne vous aime pas ou qu’on ne vous estime pas à votre juste valeur.

Un conseil valable pour les femmes et les hommes de tout âge.

Car le bonheur ne dépend de personne !

Il ne dépend que de vous !

Mabelle

L’abus

Bonjour, je vous partage un texte qui me parle, d’Alexander Hocq, Love Coach, auteur et conférencier expert dans les domaines de la séduction, de la dépendance affective, de la vie de couple et de la reconquête…

Peut être une image en noir et blanc de une personne ou plus

Pour une fille qui a été victime d’abus psychologique, l’amour devient une chose qu’elle a du mal à définir.

Son agresseur a changé sa façon de voir la réalité.

C’était normal pour lui de lui dire je t’aime un instant, et juste après l’insulter de tous les noms et lui dire les choses les plus cruelles.

Il l’embrassait et la prenait dans ses bras, puis lui criait dessus et cassait les assiettes pendant qu’ils se disputaient.

C’était toujours elle qui était coupable pour tout. Il avait tellement un don pour jouer la victime qu’elle pensait vraiment que le problème était en elle.

Elle pensait qu’elle devait changer. Elle pensait que c’était de sa faute si elle était malheureuse.

Vous voyez, l’abus psychologique lui a fait croire qu’elle n’était pas assez bien. Cela lui a fait croire qu’elle n’est pas digne d’amour et que la plupart des choses qui lui sont arrivées étaient en quelque sorte de sa faute.

Il lui a fallu beaucoup de temps pour réaliser qu’il ne s’agissait jamais d’elle.

Elle a dû reconstruire sa vie. Elle a travaillé sur ses insécurités et a retrouvé son estime de soi. Peu à peu, elle a appris à s’aimer à nouveau.

L’abus émotionnelle l’a appris à se méfier. Elle a retrouvé sa paix intérieure. Elle a renouvelé sa vie.

Elle est devenue heureuse toute seule, et il lui a fallu tellement de temps pour y arriver qu’elle a peur de le perdre.

Elle a peur que quelqu’un la blesse à nouveau, la ramène au début et que tous ses efforts aient été vains.

Elle n’arrête pas de se dire que tous les hommes ne sont pas son ex. Qu’ils ne sont pas tous pareils. Mais elle ne peut s’empêcher d’avoir peur.

C’est pourquoi elle a besoin de quelqu’un avec qui elle se sentira en sécurité. E

lle a besoin de quelqu’un en qui elle peut avoir confiance. C’est pourquoi elle croit qu’il faut prendre le temps pour faire avancer les choses et créer cette confiance avec son partenaire.

La confiance n’est plus quelque chose qu’elle donne gratuitement. Il faut la mériter.

Elle a besoin d’un homme qui comprendra cela. Un homme qui n’hésitera pas à baisser d’un ton et être tout ce dont elle a besoin.

Si elle trouve cet homme, elle baissera sa garde mais pas avant.

Elle a besoin de quelqu’un qui lui apprendra à arrêter de se battre contre ses sentiments.

Elle a peur de se laisser aller et d’avoir des vrais sentiments. C’est pourquoi chaque fois qu’elle voit qu’elle devient proche de quelqu’un et qu’elle s’attache trop, elle fait marche arrière. Elle s’éloigne, tout en espérant qu’il la ramène encore plus fort.

Elle espère qu’il la rassurera et lui dira que tout ira bien. Quand elle trouvera quelqu’un comme ça, elle donnera peut-être une chance à l’amour, mais pas avant.

Elle veut se sentir suffisamment en sécurité avant de prendre n’importe quel risque.

Elle croit toujours en l’amour, et elle en a toujours envie, mais elle a des normes plus élevées maintenant.

S’il y a une lueur d’espoir dans tout ce qu’elle a vécu, c’est qu’elle a appris à quel point elle est forte et qu’elle doit s’aimer et s’apprécier davantage.

Elle a appris ces leçons à la dure, mais au moins maintenant elle n’a aucun problème à laisser tomber quand elle voit des signes avertisseurs de comportements toxiques et abusifs qu’elle a endurés.

Elle ne tolérera plus jamais une telle chose. Elle a placé la barre plus haut, et ses standards sont plus élevés maintenant.

Elle n’est pas irréaliste. Elle sait juste à quoi l’amour ne devrait jamais ressembler.

Elle sait que l’amour ne devrait pas être une torture. Elle sait que l’amour ne devrait pas vous faire vous sentir mal dans votre peau.

Elle sait que l’amour ne doit pas vous tuer émotionnellement. Elle sait que l’amour devrait être bon et avoir de la complicité. Elle sait que l’amour ne devrait qu’ajouter au bonheur. Elle sait que l’amour ne fait pas mal. Elle sait que l’amour donne des ailes.

Les vieilles âmes

LA SOLITUDE DES ÊTRES ÉVEILLÉS – Dans l’histoire de l’humanité, il y a toujours eu des personnes qui se sentent seules malgré le fait d’être entourées de gens. Pourquoi ne s’intègrent-elles pas dans le monde commun ? Pourquoi semblent-elles être des personnes différentes ou rares ? Et pourquoi ne semblent-t-elles pas se conformer à rien ?

DE VIEILLES ÂMES – Parce que ces gens sont en fait de « vieilles âmes » leur conscience sait que leur corps est d’ici, mais leur esprit appartient aux cieux étoilés. Ce sont des personnes qui vivent dans le monde réel, celui de la magie et de l’esprit et non dans le monde des illusions vendu comme le monde réel. Le solitaire a peu d’ami(e)s parce que par vibration il ne se connecte qu’à peu de personnes. Sa maison est un sanctuaire de sa magie que tout le monde ne comprend pas ; les bougies, les cristaux, les encens, l’artisanat, les plantes, abondent partout.

DIFFÉRENT MAIS PAS OPPOSÉ – Il n’est pas ordinaire et son environnement non plus. Il n’est pas compris mais ne s’en soucie pas. Il ne parle ni de mode ni de l’actualité médiatique ; il parle d’Univers, de conseils, de rêves, de magie, d’esprits, de conscience, de spiritualité, d’amour… Il est hautement emphatique, sensible, vrais et ne s’adapte pas à un monde d’apparences, de déguisements ou de façades.

POURQUOI CETTE SOLITUDE ? D’abord, parce qu’il sait que le matériel n’est pas tout et qu’il reconnaît notre matière et notre esprit de dualité. Parce que l’esprit lui apprend d’abord à s’aimer et savoir être avec lui-même, puis à partager avec les autres et à s’étendre de lui-même aux autres.
Une telle personne n’a pas peur de la solitude au contraire, elle l’utilise pour sa croissance, pour se regarder à l’intérieur et activer davantage ses sentiments qu’elle partage ensuite en cercles avec d’autres personnes, qui, bien qu’elles soient distantes, se sentent proches par affinité des fréquences vibrationnelles.

Une telle personne doit décomposer de nombreuses contre-vérités à sa manière sur son chemin avant de la rencontrer ou de se rencontrer elle-même, vivante dans d’autres corps. Mais quand elle se retrouve… sa famille d’âmes apparaît sur son chemin.
Alors oui parfois nous nous éloignons des autres, mais c’est pour nous retrouver.