Archives de catégorie : Inspirations

Vivre sa vie

« Elle achetait des livres qui lui parlaient de spiritualité, d’unité, d’émotions positives, de lumière et d’amour inconditionnel.

Elle essayait de toutes ses forces d’être parfaite, et de l’atteindre ce Ciel que ces récits décrivaient !

Elle essayait de gommer ses ombres, pour atteindre cette lumière.

Elle essayait d’être joyeuse, alors qu’elle était souvent triste.

Elle essayait d’être linéaire alors que tout en elle n’était que chaos et tsunami.

Elle essayait d’être calme alors qu’elle sentait la tempête.

Elle tentait de répondre à ce que ces sages écrivaient. Mais plus elle lisait, plus elle essayait…Et plus elle échouait.

Elle restait immuablement humaine et duale, avec ses émotions paradoxales.

Elle était l’inverse de tout ce qui était écrit ; Et s’écroulait donc accablée et accroupie.

Pourquoi donc n’était-elle pas parfaite comme tous ces gens qui savaient, qui étaient des êtres illuminés et éveillés ?

Épuisée, elle alla se coucher et se mit à rêver.

En songe, elle vit une grande salle : d’un côté des hommes cravatés et même certains sages ; de l’autre des musiciens, chanteurs et poètes délurés, dans un vaste bordel coloré.

Les cravatés, ne pouvant tolérer une telle pagaille, partirent sur le champ ! Et il ne restait dans cette salle que tous ces gens étonnants !

Surprise, au réveil elle comprit. Elle mit de côté tous ses livres, et décida de vivre !

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Elle accepta alors toute son humanité,Ses sautes d’humeur, et son cœur parfois fermé.

Elle accepta toutes ses parts et sa dualité !

Et grâce à cela, elle trouva enfin son unité. Son cœur s’ouvrit alors en corolle, car elle ne jouait plus aucun rôle.

Pour une fois elle s’aimait, même si rien n’était parfait. Elle aimait même tout ce qu’elle avait tant cherché à masquer toutes ces années.

Elle arrêta donc de se faire violence, et entra dans sa propre danse.

Elle n’écouta plus les savants, mais son élan vibrant.

Elle devint une femme sauvage, capable parfois d’être en rage. Elle pouvait pleurer, car elle en connaissait la beauté.

Elle accepta sa nature de femme cyclique, et devint magnifique.

Elle comprit que tout ce qui vivait en elle était divin, et la lumière vint enfin !

Elle ne cherchait plus la perfection linéaire, car elle sentait qu’elle était comme le mouvement de la Terre.

Elle dansait, chantait et riait maintenant de sa nature paradoxale et cyclique. Et tout en elle était apaisé, car il n’y avait plus besoin de chercher. Juste sentir la brise des étoiles sur sa peau et écouter le cantique des oiseaux.

Elle était maintenant l’océan qui voyait ses vagues. Elle était la conscience qui vivait ses émotions. Elle était le divin qui vivait dans son corps humain. Elle était l’espace infini qui vivait le temps fini. Elle était le calme qui regardait ses tempêtes. Elle était l’unité qui vivait sa dualité. Tout en elle s’était réuni. Et elle vivait sa vie. »

Caroline Gauthier – « Au nom du corps »

Je suis païenne

Je m’harmonise avec les quatre éléments de la nature, la Terre, l’Air, le Feu, l’Eau et le cinquième élément l’Esprit, qui est la force spirituelle qui les relie tous. Je vois ces éléments dans la nature, la Terre dans le sol et les rochers ; l’air dans les vents et l’atmosphère ; le Feu dans l’éclair, le feu et électricité ; l’eau dans les cascades, les fleuves, les océans, les pluies et toutes les formes liquides de la planète ; l’Esprit comme l’Unité divine. Je vois aussi ces Eléments comme des aspects de Soi.

Ma physiologie et mon corps physique est ma Terre ; mon intellect et ma pensée sont mon Air, ma volonté et mes actions sont mon Feu ; mes émotions et sensations sont mon Eau et mon Soi Intérieur, mon Ame et mon Esprit.

Peut être une image de une personne ou plus et ciel

J’essaie de me garder en bonne santé et d’équilibrer toutes ces parties de Soi. Je travaille à restaurer l’équilibre des éléments dans l’environnement.Je suis Païenne. J’entends le cri de ma Mère la Terre qui est bouleversée par le tort qui est fait à l’environnement par l’humanité.

Je suis consterné par la pollution de l’air, de la terre, des eaux et par le jeu de la domination que jouent les nations avec le feu des missiles nucléaires et autres armes de destruction massive. Je suis aussi concerné par la pollution spirituelle de la planète, l’égoïsme, la haine, la cupidité ainsi que le pouvoir, la dépendance, la violence et le désespoir. Tandis que je perçois ces problèmes, je sens en même temps la purification et le soin apportés à la planète terre.

Je sais que je peux aider à mon échelle la Planète à atteindre un plus grand équilibre en cherchant l’harmonie dans ma vie propre, en étant un catalyseur pour restaurer l’équilibre dans les vies d’autres individus et en travaillant pour un meilleur environnement. Je sais que mes attitudes et ma façon de vivre peuvent marquer une différence.

J’essaie d’être un canal pour la guérison et l’équilibre. Je fais de la responsabilité écologique une partie personnelle de ma vie quotidienne. J’essaie de vivre dans l’harmonie avec les autres membres de la famille de la Nature.

Je suis Païenne. La spiritualité naturelle est ma religion et la fondation de ma vie. La nature est mon professeur spirituel et mon livre sacré. Je suis une partie de la Nature et elle est une partie de moi. Ma compréhension des mystères intérieurs de la nature croît tandis que je voyage sur ce sentier spirituel. Clarisse Marche

Solitude bien-aimée ou détestée

La solitude apparaît à certains comme la pire des épreuves, surtout lorsqu’on a l’impression qu’elle s’éternise. Pour d’autres, la solitude est recherchée, bénie et bienvenue, comme si on manquait de ces moments seul avec soi. Les anglophones ont deux mots différents pour désigner le fait d’être seul : « alone » qui signifie être seul, et « lonely » qui veut dire se sentir seul.

La solitude imposée par la Vie, peu importe par qui elle vient, est souvent perçue comme étant lourde, triste, difficile à supporter, trop longue dans le temps. Pour d’autres, elle est un arrêt bienfaiteur, une pause dans le chaos quotidien, un moment de grâce et de repos, de calme et de paix.

Qu’est-ce qui fait que pour certains la solitude est difficile alors qu’elle est bienvenue pour d’autres? Où portons-nous notre regard? Quand notre regard est constamment tourné vers l’extérieur, nous nous coupons de nous-mêmes et n’avons plus accès à notre paix intérieure. Nous sommes dans l’inquiétude, nous nous comparons aux autres, nous nous ennuyons du passé, de la vie d’avant, nous résistons à ce qui est, à la réalité présente. Car quand notre regard est dirigé surtout vers l’intérieur de Soi, nous retrouvons cette paix profonde, cette joie qui nous habite, ces sentiments de plénitude et d’abondance, même quand nous avons peu.

Peut être une image de plein air, arbre et texte qui dit ’Quand notre regard est tourné vers l'extérieur, la solitude ressemble à l'enfer. Mais quand le regard se pose sur notre intérieur, c'est le paradis qui nous accueille! Dans le Co“ur de notre cœur, la solitude n'existe pas, car nous sommes unis à tout l'Univers. Le monde autour va peut-être mal mais nous, nous allons bien! DianeGagnon.Auteur.Coach www.dianegagnon.com www.youtube.com/c/dianegagnon’

Nous sommes connectés à l’Amour que nous Sommes et qui constitue chaque molécule de notre être véritable. Lorsque nous sommes dans l’Amour, dans cet Amour, nous ne nous sentons jamais seuls. Nous voyons la Beauté en toutes choses, nous choisissons de vivre dans la douceur, d’accueillir ce qui est, sans y résister, même quand cela n’est pas notre préférence. Quand notre regard est posé sur notre vie intérieure, nous sommes comblés avec très peu. Le monde autour va peut-être mal mais nous, nous allons bien!

Cela ne fait pas de nous des personnes qui manquent de compassion pour la souffrance ou les difficultés des autres. Seulement, nous savons que nous sommes tellement plus puissants et que nous avons un impact tellement plus grand sur le bien-être de la planète lorsque nous vibrons et vivons dans l’Amour que lorsque nous nous laissons érafler par les aspérités cornues de l’extérieur.

Dans les conditions actuelles, nous sommes plus que fortement invités à tourner notre regard vers la Conscience que nous sommes. Car il n’y a quel là que nous sommes véritablement en paix, peu importe ce qui se passe dans le monde. C’est un apprentissage douloureux au début, car nous voudrions que notre situation soit autrement, mais c’est l’apprentissage le plus libérateur qui soit. Nous sommes libres quand plus rien de ce qui se passe autour ne nous affecte. Et cela, nous pouvons tous y arriver.

Quand notre regard est tourné vers l’extérieur, la solitude ressemble à l’enfer. Mais quand le regard se pose sur notre intérieur, c’est le paradis qui nous accueille! Dans le Cœur de notre cœur, la solitude n’existe pas, car nous sommes unis à tout l’Univers. Le monde autour va peut-être mal mais nous, nous allons bien!

Changer

— Es-tu prêt à changer de vie ?

— Changer de vie ?

— Oui, changer de mode de vie !

— Comment pourrais-je savoir si je suis prêt, alors que je ne connais pas cette « nouvelle vie » dont tu parles ?

— Oui, c’est vrai. Mais es-tu prêt à accueillir le fait de changer de mode de vie ?

— Eh bien, je suis prêt à accueillir ce qui est, car j’ai la FOI absolue.

— As-tu vraiment la FOI absolue ?

— Je pense que oui. J’ai la FOI en un plan Divin, quelque chose de bien plus grand que moi. Ce que je nomme plus grand que moi est aussi une part de moi, plus grande, que je connais, mais qui dépasse ma volonté personnelle.

— Tu as donc bien saisi le sens de cela. Bien. La volonté de la personnalité humaine souhaite rester dans son confort, ses sécurités, ce qui est connu, dans ce qu’elle contrôle, et ce, sans effort. Mais au-delà de la personnalité, il y a la volonté de l’essence Divine, qui est aussi en chacun. Ainsi, es-tu vraiment prêt à changer de vie ?

— Et bien si cela est la volonté de ce qui doit être, que cela soit. J’ai la FOI en ce qui est, en ce qui doit être, et en ce qui sera.Car en vérité, la vérité EST, et la vérité SERA.

— Et bien que cela soit ainsi, puisque tu l’acceptes. Et donc, acceptes-tu qu’une part de toi puisse mourir ?

— Oui, ce qui doit mourir laisse ainsi la place à ce qui doit naître, ou (re) naître. Rien ne peut (re) naître sans que quelque chose ne meure. J’ai la FOI absolue en ce qui doit mourir, comme en ce qui doit (re) naître. Même si cela implique un nouveau mode de vie, dont je n’ai aucune connaissance, ni aucun contrôle d’ailleurs. La seule chose que je peux assumer, c’est le choix de nourrir ce qui est, ou pas, et le choix aussi de nourrir les émotions, intentions, pensées et paroles que ce mode de vie m’invitera à vivre, quel qu’il soit. J’ai aussi le choix du regard que je porte sur cette autre façon de vivre, et la conscience de savoir depuis quel endroit intérieur de moi je regarde cela.

Peut être une illustration de plein air

— Oui, c’est bien cela.

— Le présent est à vivre, et nous avons le choix de le vivre avec amour, ou avec peur.

— Et cela est vrai aussi. Il est bon de se rappeler que la peur ne veut pas dire « NON ». Et ainsi, es-tu prêt à accueillir un nouveau mode de vie ?

— Et bien, cela fait partie du voyage, du chemin. Je me dédie au service de la vie, de la vérité, et du chemin. Il est écrit, et inscrit depuis l’éternité, et au-delà de la volonté personnelle. Et en ce sens, je suis prêt à m’en remettre à ce qui doit être, dans l’absolue FOI.

— Voilà une vérité que chacun devrait entendre et vivre.Et donc, comment vois-tu cette nouvelle vie ?

— Je ne puis voir ce que je ne connais pas encore.

— Mais peux-tu l’imaginer ?

—Je peux juste l’imaginer oui, mais si je l’imagine, cela veut dire que je pourrais projeter quelque chose de beau, de sublime, de vrai, d’authentique, de magique, de l’amour absolu.

— Oui, c’est cela, tout comme chaque être humain pourrait y projeter ses peurs aussi, ainsi que les émotions, les pensées et les paroles qui vont de pair avec les peurs.

— Oui, évidemment, chaque être humain a intérieurement la maitrise, la sagesse absolue, pour maitriser et contrôler ses peurs. Chaque être humain peut donc manifester une réalité, en fonction de sa vérité intérieure, au-delà même de ses peurs. Et s’il a la FOI absolue et qu’il a touché l’Amour absolu, alors, sa manifestation sera le reflet de l’énergie de son intérieur.

— Voilà un grand enseignement. Mais qui enseigne à qui ? Cela se passe de toi à moi, de nous à nous, de la vie a toi, de toi à la vie, de moi à la vie, et de la vie à moi.

— Voilà qui est sage. Mais qui a posé des questions ? Et qui a eu des réponses ?

— Nous sommes la question, autant que nous sommes la réponse.

— Évidemment !

— Nous sommes notre propre chemin, tout comme nous en sommes la destination.C’est encore une évidence.

— Maintenant, sachant cela, es-tu prêt à perdre ce qui pourrait arriver ?

— Comment pourrais-je être prêt à perdre ce que je ne connais pas encore ?

— Perdre cette nouvelle vie qui t’attend !

— Puisque je ne la connais pas encore, cela veut dire aussi que je ne la possède pas, ni que je l’ai d’une façon absolue, ni que cela est permanent, acquis. Ainsi, comment pourrais-je perdre ce que je ne possède pas ?

— Oui, c’est bien cela, il est bon de comprendre que rien n’est acquisition, ni possession définitive. Rien n’appartient à rien, c’est le cycle impermanent de la vie.

— Oui, il en est ainsi. Et quoi qu’il puisse se produire, il est bon d’aimer d’un amour absolu ce qui est, ce qui doit être, et ce qui sera.

— Cela est une évidence. Et sachant cela, l’être humain doit comprendre que tout ce qu’il croit posséder le possède en vérité.

— Il en est ainsi.

— Et bien, ainsi, je peux accueillir ce qui est, et ce qui sera, puisque mon pouvoir absolu est l’amour absolu. Ainsi, rien n’est attaché ni attachant. Rien n’est attendu, ni en attente ni en dépendance.

— Alors, l’enseignement est acquis. Tu le sais, tu le comprends, tu l’intègres, et donc, tu peux pleinement l’incarner dans ta vie.

— Oui, cela est

— Alors, es-tu prêt ?

— Je l’ai toujours été.

— Ainsi, la (re) naissance peut se vivre, sur le chemin, dans la vérité, et selon le déroulement de la vie, avec l’amour et la FOI absolue.

Cet enseignement ne vous demande pas de commenter pour dire là où vous en êtes, ou si vous êtes sur le « bon chemin » ( car en vérité, il n’y a pas de mauvais chemin), ou encore si vous êtes prêt. . Ceci vous invite juste à savoir si vous avez compris cet enseignement, dans une véritable profondeur, et non en surface, et si vous pouvez l’intégrer, et l’incarner pleinement dans votre vie.

Conrad

Deviens toi

Bonjour, J’espère que vous allez bien. Je vous partage un petit texte à méditer ce matin. Il me semblait l’avoir partagé mais je ne le vois plus. Peut-être pas enregistré, ça m’arrive ça !

Moi : Bonjour Dieu.

Dieu : Bonjour.

Moi : Je tombe en morceaux. Peux-tu me réparer?

Dieu : Je ne préférerais pas.

Moi : Pourquoi ?Dieu : Parce que tu n’es pas un puzzle.

Moi : Pourtant regarde toutes les pièces de ma vie qui tombent par terre!

Dieu : Laisse-les là pour l’instant. Elles tombent pour une raison. Laisse-les par terre un moment et alors seulement tu décideras si tu as besoin de reprendre l’une de ces pièces.

Moi : Tu ne comprends pas! Je me disloque!

Dieu : Non, tu ne comprends pas. Tu te transcendes, tu évolues. Ce que tu ressens ce sont des douleurs de croissance. Tu es en train de te débarrasser des choses et des gens qui te retiennent en arrière dans ta vie. Les pièces ne tombent pas. Elles se mettent en place. Détends-toi. Prends une profonde respiration et laisse tomber toutes ces choses dont tu n’as plus besoin. Arrête de t’accrocher à des pièces qui ne sont plus toi. Laisse-les tomber. Laisse-les partir.

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Moi : Si je fais ça, que me restera-t-il ?

Dieu : Seulement les meilleures parties de toi.

Moi : J’ai peur de changer.Dieu :

Je ne cesse de te le dire: TU NE CHANGES PAS! TU DEVIENS!

Moi : Je deviens, Qui?

Dieu : Tu deviens Qui je t’ai créé à être! Une personne de lumière, d’amour, de charité, d’espoir, de courage, de joie, de pardon, de grâce et de compassion. Je t’ai créé pour tellement plus que ces parties creuses dont tu avais décidé de te parer et auxquelles tu t’accroches avec tellement d’avidité et de peur. Laisse ces choses tomber de toi. Je t’aime! Ne change pas! Deviens! Deviens Qui je veux que tu sois, Qui je t’ai créé. Je vais continuer à te le répéter jusqu’à ce que tu t’en souviennes.

Moi : Encore une pièce qui part.

Dieu : Oui. Laisse comme ça.

Moi : Alors… Je ne suis pas cassé?

Dieu : Non, mais, comme l’aube, tu brises l’obscurité. C’est un jour nouveau. Deviens!! Deviens qui tu es vraiment!!

J’apprends lentement

J’apprends lentement que je n’ai pas à réagir à tout ce qui me dérange.

J’apprends lentement que l’énergie qu’il faut pour réagir à chaque mauvaise chose qui vous arrive, vous épuise et vous empêche de voir les autres bonnes choses de la vie.

J’apprends lentement que je ne vais pas être le réconfort de tout le monde et que je ne pourrai pas amener tout le monde à me traiter comme je veux être traité et ce n’est pas grave.

J’apprends lentement qu’essayer si fort de « gagner » n’importe qui n’est qu’une perte de temps et d’énergie et que cela ne vous remplit que de vide.

J’apprends lentement que ne pas réagir ne signifie pas que je suis d’accord avec les choses, cela signifie simplement que je choisis de m’élever au-dessus.

Peut être une image de 1 personne

Je choisis de tirer la leçon qu’elle m’a servie et d’en tirer des leçons. Je choisis d’être la plus grande personne. Je choisis ma tranquillité d’esprit parce que c’est ce dont j’ai vraiment besoin.

Je n’ai pas besoin de plus de drame. Je n’ai pas besoin que les gens me fassent sentir que je ne suis pas assez bien. Je n’ai pas besoin de bagarres, d’arguments et de fausses connexions.

J’apprends lentement que parfois, ne rien dire du tout, dit tout. J’apprends lentement que réagir à des choses qui vous dérangent donne à quelqu’un d’autre un pouvoir sur vos émotions.

Vous ne pouvez pas contrôler ce que font les autres, mais vous pouvez contrôler la façon dont vous réagissez, comment vous le gérez, comment vous le percevez et combien vous voulez en prendre personnellement.

J’apprends lentement que la plupart du temps, ces situations ne disent rien sur vous et beaucoup sur l’autre personne.

J’apprends lentement que toutes ces déceptions sont peut-être juste là pour nous apprendre à nous aimer parce que ce sera le bouclier dont nous avons besoin contre les gens qui essaient de nous abattre. Ils nous sauveront lorsque les gens essaieront d’ ébranler notre confiance ou lorsqu’ils essaieront de nous faire sentir que nous ne valons rien.

J’apprends lentement que même si je réagis, cela ne changera rien, cela ne fera pas que les gens m’aimeront et me respecteront soudainement, cela ne changera pas comme par magie leurs esprits. Parfois, il vaut mieux laisser les choses aller, laisser les gens partir, ne pas se battre pour la fermeture, ne pas demander d’explications, ne pas courir après les réponses et ne pas s’attendre à ce que les gens comprennent d’où vous venez.

J’apprends lentement que la vie est mieux vécue lorsque vous ne la centrez pas sur ce qui se passe autour de vous et que vous la centrez plutôt sur ce qui se passe à l’intérieur de vous. Travaillez sur vous-même et sur votre paix intérieure et vous réaliserez que ne pas réagir à chaque petite chose qui vous dérange est le premier ingrédient pour vivre une vie heureuse et saine.

« Rania Naim – Sagesse amérindienne

Belle leçon de vie

Avant de mourir, un père a dit à son fils : ”Voici une montre que ton grand-père m’a donnée et qui a plus de 200 ans, mais avant de te la donner, vas à la boutique de la première rue et dis-lui que tu veux la vendre pour savoir combien elle peut coûter”.

Vieille Montre De Poche Ancienne Placée Sur Le Sol Dans La Forêt Et La  Lumière Du Soleil Du Matin | Photo Premium

Le gamin y est allé, puis est revenu vers son père et a dit : « L’horloger voulait payer 2 euros parce que c’est vieux ».

Le père a répondu : ”Maintenant, va au café”. Il y est allé, puis est revenu et a dit : “Il voulait payer 5 euros”.

Le père rajouta : ”Maintenant, vas au musée et montre-leur cette montre”. Il est allé, puis est revenu et a dit à son père « ILS M’ONT PROPOSÉ UN MILLION D’EUROS POUR CETTE MONTRE”.

Le père a déclaré : ”Je voulais juste te faire savoir que ta valeur sera reconnue au bon endroit.  Ne te mets pas au mauvais endroit et ne te fâche pas si tu n’es pas apprécié à ta juste valeur. Celui qui connaît ta valeur est celui qui t’apprécie. Ne reste pas dans un endroit qui ne te convient pas ».

L’éveil n’est pas un chemin pour les âmes sensibles

Tu seras humilié. Oh oui.

Mis à genoux. Beaucoup, plusieurs fois.

Ce que tu pensais savoir se dissoudra parfois dans le néant.

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Tes idées les plus brillantes, ton expertise étonnante, le travail de ta vie, tout cela peut s’effondrer, sans grand avertissement.

On te demandera de recommencer, encore et encore.Et encore.

Oh oui, tu toucheras le bonheur et la joie de l’existence, c’est sûr !

Tu riras de la simplicité des choses, certains jours, bien sûr ! Mais il te sera aussi demandé d’affronter tes peurs les plus profondes, d’affronter les ténèbres et la nuit intérieure, de te rendre dans des lieux où habitent des créatures mal-aimées.

Tu te retrouveras dans des poches de chagrin dont tu n’avais jamais soupçonné l’existence.

Tu pleureras un milliard de larmes pour les enfants perdus et abandonnés, à l’intérieur et à l’extérieur.

Tu feras rage jusqu’au ciel, contre tes parents, contre tous les professeurs qui t’ ont déçu, contre les mensonges dont tu as été nourri, contre ceux qui ne se sont jamais présentés quand tu en avais le plus besoin.

Tu trembleras de peur quelques jours.

Certains jours, le sol s’ouvrira et t’ avalera et te recrachera.

Parfois, tu penseras que tu as atteint la fin du chemin, puis tu te retrouveras au putain de début.

Parfois, tu auras envie d’abandonner.Parfois, tu auras l’impression de n’avoir fait aucun progrès.

Parfois, tu maudiras le jour où tu as commencé ce voyage.Mais tu guéris.

Oui, tu l’es. Tu dégeles, annulant des milliards d’années de karma.

Le conditionnement basé sur la peur disparaît et tu rencontres la vie à l’état brut.

Tu retournes à la nature, au Jardin, là où tu as été conçu.

Ce n’est pas toujours facile. Ce n’est pas toujours paisible.

Ce n’est pas toujours la spiritualité qui t’ a été vendue. Ce n’est pas toujours de l’amour, de la lumière, de la joie, de la positivité et de la pure Conscience non perturbée.

Non, c’est un réveil authentique.

Tu es un guerrier de la réalité maintenant, fatigué des conneries et des fausses promesses, pleurant, rageant et riant pour te frayer un chemin dans la terrible et merveilleuse intégrité que tu es.

Tous tes vieux rêves se sont effondrés, mais pas toi.

Les voix de la peur, de la honte et du doute sont peut-être toujours avec toi, mais tu es plus grand qu’elles maintenant.

Tu as des jours où tu te sens tout petit, oui, mais tu as des jours où tu peux tenir tout l’univers dans la paume de ta main.

Tu es devenu fou pour être normal, tu as craqué pour être entier, tu as troqué l’ancienne sécurité pour une vie d’aventure et abandonné les tristes vieux dogmes pour le plaisir de ne pas savoir.

Tu trouves la sécurité dans les endroits les plus sombres, la beauté dans les endroits les plus solitaireset l’amour dans les endroits que tu pensais avoir été abandonnés par l’amour.

Tu n’es jamais abandonné par la vie, car tu es la vie, et même lorsque tu tombes au sol, tu es complètement soutenu par des forces inconnaissables. Et alors. Et alors! Tu tombes! Tu te fais des bleus. Tu as honte pendant un moment. Tu pleures le vieux rêve.

Et alors! Tu cries l’attente et tu te tournes pour faire face à la réalité et ce n’est jamais, jamais aussi mauvais que tu l’avais craint. Tu te relèves, tu t’epoussetes, tu reprends le chemin et tu continues.

Tu n’as jamais quitté le chemin à vrai dire car le chemin ne t’a jamais quitté… toi. Car le chemin se forme sous tes pieds, dans chaque Maintenant, à chaque pas que tu fais ou ne fais pas, se réjouissant de ton chemin unique, te célébrant exactement tel que tu es aujourd’hui, s’inclinant devant tes échecs comme devant tes victoires.

Alors, recommence. Recommence. Et marche.

Jeff Foster