Archives de catégorie : Inspirations

Psychologie positive

Bonjour, je vous souhaite en forme

Qu’elles soient verbalisées ou écrites, nos pensées influencent le cours de notre vie de tous les jours. La pensée crée (loi d’attraction). Ce que nous pensons aujourd’hui façonne notre devenir.

Psychologie: La puissance de « la Pensée Positive » ! – Le7tv.ma

VIBRATIONS, ONDES, FRÉQUENCES
Les pensées sont de la pure énergie. Lorsque Nikola Tesla et Albert Einstein ont émis l’hypothèse que tout ce qui existe dans notre univers étaient le résultat de nos pensées, ils ont été ridiculisés par la communauté scientifique de l’époque. Il est quand même étonnant qu’aujourd’hui les scientifiques du monde entier sont unanimes : Tesla et Einstein avaient raison ! Toutes nos pensées partagées sur le web sont transformées en lumière et voyagent à la vitesse de la lumière sur la toile au moyen de fibres optiques. Chaque pensée que nous avons ne prend qu’une nanoseconde pour faire le tour de la planète et vu que nous sommes tous interconnectés et que nous ne faisons qu’un, nos pensées affectent l’ensemble de tous les êtres humains de la Terre (loi morphogénétique).

CHANGER SON MODE DE PENSÉE POUR CHANGER LE MONDE
Alors ne serait-il pas plus bénéfique pour l’humanité si tous ensemble nous changions nos pensées négatives (qu’elles soient écrites, verbalisées ou non) par des pensées positives ? Tout ce qui arrive sur la planète présentement est le fruit de nos pensées dominantes. Nous partageons et entretenons des pensées de peur et de maladie et la peur et la maladie s’installent de plus en plus dans les pensées (égrégores).

PENSONS SANTÉ
Au lieu de penser au pire scénario à venir, pensons et visualisons un lendemain meilleur pour tous. Il faut arrêter de penser à ce que nous ne voulons pas car en pensant ainsi nous l’attirons davantage. En tant qu’êtres humains, notre tâche consiste à nous en tenir aux pensées liées à ce que nous voulons, à faire en sorte que cela soit absolument clair dans notre esprit. Nous devenons le reflet de nos pensées dominante et si nous arrivons à projeter en pensée ce que nous désirons et à faire de cette pensée une pensée dominante, nous l’attirons dans notre vie.

LA PENSÉE PRODUIT DU RÉEL
Nos pensées deviennent réalité. Soyons à l’écoute de nos pensées et prêtons l’oreille aux mots qu’elles murmurent. Une épidémie fait rage présentement et c’est l’épidémie du « je ne veux pas ». Les gens alimentent cette épidémie lorsqu’ils permettent à leurs pensées, leurs paroles, leurs actes et leur concentration de converger vers ce qu’ils ne veulent pas.

NOUS RÉCOLTONS CE QUE NOUS SEMONS
La physique Quantique stipule que l’Univers tout entier a émergé de la pensée. Nous façonnons notre vie et notre futur avec nos pensées. Nous créons notre vie. Nous récoltons ce que nous semons ! Nos pensées sont des graines et la récolte dépend de la qualité du semis. Peu importe le lieu où nous nous trouvons présentement, peu importe ce qui se passe dans notre vie, nous pouvons commencer à choisir consciemment nos pensées, pouvant ainsi changer notre vie.

Vous avez le pouvoir de donner le coup d’envoi dont l’écho se répandra tout autour de vous et du monde entier.

Pensez-y POSITIVEMENT !

Mabelle

Que l’amour soit ton bouclier

Bonjour,

J’espère que vous allez bien.

Je vous partage une belle vidéo

Et voici la transcription intégrale du texte :

Au commencement était le Verbe, et le Verbe était tourné vers la Lumière, et le Verbe était la Lumière. Tout fut par Lui et rien de ce qui fut, ne fut sans Lui. En Lui était la Vie, et la Vie était la Lumière des hommes, et la Lumière brille dans les ténèbres et les ténèbres ne l’ont point comprise.

Je suis venu pour qu’ils aient la Vie, et pour qu’ils l’aient en abondance.

Tiens-toi tranquille et regarde la délivrance que l’Éternel va t’accorder en ce jour. Ne juge point selon les apparences, mais juge selon le jugement juste, l’épée de la Vérité, le raisonnement divin. Rejette de ton esprit tout ce qui n’est pas conforme aux principes de la Vie, de l’Amour, de la Paix, de la Justice et de l’Harmonie.

Le monde que tu vois est le monde que tu es. Tel un homme pense dans son coeur, tel il est : divin, s’il voit le Divin, poussière, s’il voit la poussière. Rien n’est bon ni mauvais, si ce n’est ce qu’en fait la pensée. Choisis la Vérité qui ne change jamais afin de te tenir au-dessus de la contradiction, au-dessus des apparences qui varient sans cesse. Mange et digère la Vérité profonde afin qu’Elle s’intègre dans ton courant sanguin et puisse s’exprimer à travers toi. Alors, le désert se réjouira, il fleurira comme la rose.

Au commencement était le Verbe, et le Verbe était tourné vers la Lumière, et le Verbe était la Lumière. Alors, le Verbe s’est fait chair et nous avons vu Sa gloire.

Seul l’être psychique profond, quand il se dévoile et émerge avec son plein pouvoir, peut te conduire sans dommage à travers embûches et pièges. A chaque moment, il surprend, démasque, rejette les mensonges du mental et de la vie, saisit la Vérité de l’Amour divin et La dégage des ardeurs excitées du mental ou de l’enthousiasme aveugle et fallacieux de la force de vie. Mais, par contre, toutes les parties essentiellement vraies dans l’être mental, vital et physique, il les désembourbe et les prend avec lui dans le voyage jusqu’à ce qu’elles se tiennent droites sur le sommet, neuves en esprit et, sublimes en leurs formes. Et cependant, la direction de l’être psychique profond ne se révèle pas suffisante tant qu’il n’a pas réussi à se soulever jusqu’aux niveaux spirituels les plus élevés, et que l’étincelle ou la flamme divine, descendue ici-bas, n’a pas rejoint léther flamboyant de son origine. Car là ce n’est plus le domaine d’une conscience spirituelle encore imparfaite, à moitié perdue à elle-même sous les couches épaisses du mental, de la vie et du corps, mais c’est la pleine conscience spirituelle dans sa pureté, sa liberté et sa largeur intense. Là, c’est le Connaisseur éternel qui devient le connaisseur en nous, le moteur et l’utilisateur de toutes connaissances et, de même, c’est l’Éternel bienheureux qui devient ladoré, attirant à lui-même cette parcelle divine et éternelle de son être et de sa joie sortie de Lui pour jouer dans l’univers. C’est l’Amant infini qui répand partout son heureuse unité dans la multitude de ses propres Moi manifestés. Là, toute la beauté du monde est la beauté du Bien-Aimé, et toutes les formes de beauté sont contraintes de se tenir sous la lumière de cette éternelle beauté, et de se soumettre au pouvoir sublimateur et transfigurateur de la perfection divine dévoilée.

Au commencement était le Verbe, dans le Verbe était la Vie, et la Vie était la Lumière des hommes. Il était dans le monde et le monde fut par Lui, et le monde ne L’a pas reconnu.

Mon enfant, l’Amour sans limites brise aussi les limites des mots. Je dispose en ton coeur, sur tes lèvres, des ascensions, de sorte que tous les mots dont tu te sers fassent explosion vers le haut, et que chacun d’eux dépasse celui qui précède et t’introduise à une mission plus excellente.

Tu vas ! Que partout où tu iras, tu te sentes envoyé, porteur d’un message divin.

Tu viens ! D’où que tu viennes, sens-toi attendu. Sens que tu marches et que tu es intérieurement lié à ce terme. Hâte-toi vers cette rencontre que J’ai préparée.

Tu vois ! Je désire que tu regardes et que toutes visions deviennent en toi contemplation attentive.

Tu entends ! Je désire que tu écoutes, que tu prêtes l’oreille et que, au-delà de percevoir, tu veuilles recevoir.

Tu parles ! Je veux plutôt que tu dises et que tu transformes la parole neutre en une communication personnelle et intime. Ces verbes, tu les vois monter de clarté en clarté mais, au sommet, il est un verbe tel qu’on ne peut aller plus loin : c’est le verbe donner , car le don abolit la possession propre, encore est-il qu’à l’intérieur même du don retentissent des appels de plus en plus exigeants : la divine logique du don, Ma logique, se meut du don partiel au don total, du don de la chose au don de soi.

Mon enfant, laisse-Moi mettre les paroles sur tes lèvres, apprends à faire de chacune d’elles autant de strophes d’un cantique, des degrés, au terme duquel tu apercevras, au dernier tournant de la route, la terre perdue, la terre pressentie, la terre promise.

Au commencement était le Verbe, en Lui était la Vie, le Verbe était la vraie Lumière qui, en venant dans le monde, illumine tout homme. De sa plénitude, tous, nous avons reçu et grâces sur grâces.

Je veux t’attirer et te conduire au désert. Là, Je parlerai à ton cur; là, Je te redonnerai tes vignes; là, tu chanteras comme au jour de ta jeunesse. En ce jour-là, tu M’appelleras mon Époux et non plus mon Maître et c’est de Moi que tu recevras ton fruit, car Je fais pour toi des merveilles.

Debout, rayonne, car voici ta Lumière, et sur toi se lève la gloire du Très-Haut, tandis que les ténèbres s’étendent sur la terre et l’obscurité sur le peuple. Mais sur toi se lève le Très-Haut et Sa gloire t’illumine.

Les nations vont s’acheminer vers ta lumière, et les rois vers le rayonnement de ton aurore. Lève les yeux aux alentours et regarde, tous se rassemblent pour venir à toi, tes fils arrivent de loin et tes filles qu’on porte sur la hanche. Cette vue te rendra radieuse, ton coeur palpitera et se dilatera, car les richesses de la mer afflueront vers toi et les trésors des nations viendront à toi.

Je ferai régner sur toi la paix et gouverner la justice. On n’entendra plus parler de violence dans ton pays, de ravages, ni de ruines dans ton territoire. Ton Soleil ne se couchera plus, ta Lune n’aura plus de déclin, car tu auras en permanence le Très-Haut pour Lumière, et les jours de ton deuil seront terminés. Tu seras une couronne éclatante, un turban royal dans Ma main. On ne te nommera plus délaissé, on ne nommera plus ta Terre désolation, mais on l’appellera mon plaisir en elle, car Je mets mon plaisir en toi et ta terre aura un époux. Comme un jeune homme s’unit à une vierge, ainsi tes fils s’uniront à toi et comme la fiancée fait la joie de son fiancé, ainsi tu seras Ma joie.

Que l’Amour soit ton bouclier !

Je veux te révéler le sens de cette vie : Aimer et être Aimé , car ton Père céleste est Amour, car ta mère, la Terre, est Amour, car le fils de l’homme est Amour; c’est par l’Amour que les trois ne font qu’Un.

Tout ce qui existe a été conçu suivant la loi de l’Amour qui est Sagesse.

Le seul chemin qui mène au bonheur est celui de l’Amour. Aimer, c’est voir la divinité dans cet autre que tu aimes. Qu’il voit cette divinité en toi est le signe de son amour, car la Divinité est Amour. Faire la volonté céleste, c’est donner cet Amour à tous les êtres. Si tu sais voir la divinité partout où tes yeux se posent, tu ne manqueras de rien. Si tu aimes quelqu’un, tu réponds à l’Amour divin à travers celui que tu aimes. Si tu t’aimes toi-même, tu deviendras parfait, car tu sauras voir l’Être divin qui est en toi, et tu le manifesteras en purifiant chaque jour davantage ton corps, ton âme et ton esprit. Alors, la compassion jaillira de ton coeur, tu comprendras les peines de tous les êtres et tu pourras les aider.

Que l’Amour soit ton bouclier !

Ne maudis pas celui qui t’a fait du mal, il n’était pas encore éveillé à l’Amour. Sa véritable nature qui est tournée vers le bien ne s’est pas encore révélée. Pardonne-lui afin qu’il puisse comprendre le mal qu’il t’a fait et ainsi s’éveiller à la Vie divine. Pardonner, c’est se libérer de toute rancune et faire confiance à la loi de la justice cosmique. Si tu te libères de toute rancoeur, cette justice se manifestera sous tes yeux.

Si tu aimes, tu prends conscience de la force divine qui t’habite et tu peux soulever des montagnes. D’où que vienne l’amour, respecte-le, car c’est cette force qui t’est envoyée. Quand tu dis : je t’aime , pense que ce je qui aime est la divinité en toi. Quand on te dit : je t’aime , pense que ce je qui t’aime est la divinité en l’autre. Ainsi, tu n’auras plus jamais peur de l’amour, tu t’y plongeras et deviendras Amour.

Tous les êtres méritent ton Amour, car c’est cette énergie divine que tu aimes en eux. Aussi dois-tu voir le bien dans chaque être que tu rencontres, et ce bien se manifestera. Ce sur quoi tu portes ton attention se développe toujours. En toi-même, comme en chacun, vois les qualités de lâme afin qu’elles puissent jaillir pour apporter au monde sa guérison.

Les défauts ne constituent que l’enveloppe, l’apparence extérieure de l’être humain, non son essence. Seul l’Amour permet de pénétrer cette écorce de la personnalité, de découvrir les richesses cachées de l’âme. L’Amour traverse les apparences.

Si tu veux recevoir l’Amour de tous, aime la perfection latente en chacun, ainsi tu aideras chaque âme à se réaliser. L’Amour est ta seule richesse inaltérable. Qu’il soit dans ton regard afin que chaque chose te montre sa réalité intérieure.

Que l’Amour soit ton bouclier !

Aimer, c’est devenir un avec l’être que tu aimes et non pas devenir un objet pour lui, ni le considérer comme un objet pour toi. Devenir un avec la personne que tu aimes supprime le rapport de force, et permet de vivre dans la vibration de l’Amour réalisé. Elle seule peut apporter ton épanouissement, en elle la soif et la faim n’existent plus et le rapport de force se limite aux jeux qui poussent les corps l’un vers l’autre. Il ne déborde plus dans la vie affective ou sociale et la guerre des sexes, qui est à la racine de toutes les guerres, disparaît. Toutes les formes de guerres ne sont que le reflet de cette mésentente entre le mâle et la femelle dans chaque être humain : mésententes entre le conscient et le subconscient, entre l’esprit et l’âme, entre les pensées et les sentiments. Unis tes pensées et tes sentiments autour de la voie de l’Amour afin de rétablir la paix à l’intérieur de toi-même. L’homme et la femme en toi seront réconciliés et ne feront plus qu’un, alors tu verras s’accomplir le souhait de ton coeur. Alors seulement tu reconnaîtras l’être qui aura fait le même travail que toi pour permettre d’établir la paix en lui comme dans le monde, alors seulement tu pourras devenir Un avec lui.

Quand deux âmes ne font qu’Un, elles se comprennent d’un seul regard, gestes et paroles deviennent inutiles pour elles.

Souviens-toi toujours de ceci : ce que tu établis à l’intérieur de toi-même se matérialise à l’extérieur. Le monde des causes est en toi. Installe en toi l’Amour, marie ton corps à ton esprit.

Que l’Amour soit ton bouclier !

Ne te demande pas et ne demande pas si on t’aime. Douter de l’Amour que l’on te porte, c’est douter de la force de vie elle-même. C’est aussi absurde que de douter du lever du jour après chaque nuit.

L’Amour te protège en toutes circonstances, alors ne crains jamais de trop aimer. Le monde a besoin de ton Amour et l’on n’aime jamais trop. Chaque graine d’Amour que tu sèmes te reviendra multipliée. Laisse sa liberté à la personne que tu aimes. Apprends à aimer comme aime le soleil: il répand sa chaleur sur tous sans distinction, il n’attend rien en retour, et nul ne peut l’éteindre.

Transforme en Amour la jalousie qui, comme le doute, détruit l’Amour, ou manifeste aussi ce que l’on craint, car le doute, de manière égale au désir, a pouvoir de création dans ton imagination. Le véritable Amour bannit le doute, il ne peut que grandir, il apporte la santé, l’abondance, la connaissance et la paix; nul ne peut l’offenser.

L’Amour fait acquérir les qualités, les défauts de l’être aimé, car l’amoureux fixe son attention sur celui qu’il aime. Exerce-toi à ne voir que les qualités en l’élu de ton couer, ainsi tu les manifesteras toi-même et tu l’aideras à dissoudre ses défauts. Le diable mourra de ton indifférence.

L’Amour ne se venge jamais. Trouve en Lui la force d’aimer le Divin caché dans ton ennemi; il se transformera sous tes yeux en ami. Au lieu de descendre à son niveau en cherchant à te venger du mal qu’il t’a fait, tu l’aideras à monter vers la Lumière qui brille en toi.

L’Amour est miséricorde. Si la pensée de quelqu’un demeure en toi, tu sauras que tu es aimé de celui-là.

L’Amour est confiance absolue. Ton amour n’est pas vrai si tu admets que l’être aimé peut te faire du tort.

Que l’Amour soit ton bouclier !

L’Amour est patience et don de soi. Il fait entendre la musique de l’univers. Si tu t’y opposes, tu souffriras. Laisse-le couler en toi, il est Vie éternelle.

Le seul but du travail de régénération est de te transformer en canal parfait de l’Amour. Ce corps grossier deviendra corps divin afin de te révéler les degrés supérieurs de l’Amour où toute contradiction s’évanouit.

L’Amour s’apprend. Commence par aimer de ton mieux une personne que tu entoureras de tes plus belles pensées, puis étends cet amour peu à peu aux autres, sans cesser d’aimer la première. Ainsi, tu deviendras un avec toute l’humanité et tu auras réalisé ta mission sur cette terre.

Que ton Amour s’étende à tout ce qui vit, à tout ce qui t’entoure. La Vérité se dévoile devant l’homme de l’Amour !

L’Amour est nourriture pour ton âme, si tu cesses de t’en alimenter, tu perdras la vie.

L’Amour divin est la force magique qui accomplit tous les miracles. Lui seul peut te laver et te libérer de tes chaînes. Ne cherche pas ailleurs la pierre philosophale des alchimistes. L’Amour est ta baguette magique, il rend le mal impuissant, il établit le règne du bonheur, il apporte avec lui tous les biens : la vie, la santé, la beauté, la réussite, il te les donnera. Aime d’abord et tu seras aimé et l’Amour te couvrira de ses bénédictions. Tu apporteras la joie autour de toi. Tu donneras et recevras la vie en abondance. Près de toi les malades guériront.

L’Amour est la science de toutes les sciences. L’intelligence sans Amour n’est que sottise.

Que l’Amour soit ton bouclier !

Dès que tu aimeras, le sens de l’Amour te sera révélé. L’Amour est l’eau qui arrose le jardin de ta vie et lui donne fleurs et fruits. Accepte-le pour que tes oeuvres soient  grandes et puissent contribuer à l’évolution de l’homme. L’Amour est harmonie et liberté. Jette tes faiblesses à son feu, elles se transformeront en force.

Seule la pureté qui est perfection permet à l’Amour de demeurer. Si tu veux rester pur dans tes pensées, dans tes sentiments et dans tes actes, tu t’opposeras aux grands courants contraires, et cela risque de te faire souffrir, mais sache que cette souffrance n’est qu’un prélude à l’Amour. A ce moment-là, garde en ton coeur la reconnaissance pour chaque petite joie que tu reçois au long des jours. Ainsi, tu prépareras ton organisme à supporter les gigantesques vibrations de l’Amour divin qui ouvrira tes sept étoiles.

Seul ce qui a été accompli avec Amour demeurera, car ton Père céleste est Amour, car ta mère, la Terre, est Amour, car le fils de l’homme est Amour; c’est par l’Amour que les trois ne font qu’UN.

Que l’Amour soit ton bouclier !

Nos systèmes de santé

Bonjour,

Comment allez vous ?

Je vous partage ce matin un texte de Claude Leclerc, auteur de l’ouvrage La sortie est à l’intérieur https://amzn.to/359DfFj

Belle lecture

Mabelle  
                                                               

Amour… 
 
Nos systèmes de santé 
Malheureusement 
Ne connaissent rien à la santé… 
Leur expertise est au niveau du diagnostic 
De symptômes auxquels on donne le nom de maladie… 
La plupart du temps, on ne soigne pas la personne 
Ni même le corps, ni même un organe 
Mais un symptôme lié à un organe… 
Vision étroite, en tunnel 
Deshumanisante… 
Nos systèmes de santé 
Malheureusement 
Ont une perception très grossière 
Matérialiste, chimique 
De l’être humain… 
Même la peur, l’angoisse 
Même le bonheur 
Sont des phénomènes chimiques… 
Tristesse et désolation ! 
En vérité 
Le subtil précède le grossier 
Le psychologique précède le physique 
Le spirituel précède le psychologique… 
Un symptôme dysfonctionnel  
N’est jamais lié à un organe particulier 
Ni même au corps physique 
Ni même, en dernière analyse, au corps psychologique… 
Un symptôme dysfonctionnel 
Est toujours un symptôme de déséquilibre 
De l’ensemble du système 
Dont la cause remonte toujours  
Au niveau spirituel…  
Nous existons simultanément à trois niveaux 
Du plus subtil au plus grossier : 
Spirituel, psychologique, physique… 
Le psychologique inclut les pensées et les émotions… 
La santé est l’état d’équilibre, de paix et d’harmonie 
Lié à l’être spirituel, primordial, que nous sommes 
Constitué essentiellement de conscience et d’amour… 
Tout déséquilibre à ce niveau 
Un état de conscience ou d’amour déficient 
A des répercussions au niveau mental-émotif 
En attirant vers la personne des croyances toxiques 
Qui à leur tour ont des conséquences sur l’harmonie physique 
Et génèrent des symptômes dysfonctionnels 
Que la médecine étiquette de « maladie »… 
Le déséquilibre au niveau grossier, physique 
N’est que le reflet d’un déséquilibre du mental-émotif 
Qui lui-même est le reflet du déséquilibre spirituel… 
Tant qu’on regardera l’être humain ou même animal 
Comme un morceau de viande ou un complexe chimique 
Sans âme 
On perpétuera la souffrance physique et psychologique 
Et on fera vivre très grassement nos médecins matérialistes… 
Les problèmes physiques, psychologiques, sociaux 
Et même environnementaux 
Détruisent lentement, mais sûrement, toute vie sur terre… 
Ils sont tous liés à un manque de conscience et d’amour ! 

La solution ? 

Le « Connais-toi toi-même » de Socrate… 
L’être avisé, éveillé à sa vraie nature 
Sait que l’état de santé est l’état d’équilibre 
De bonheur profond 
Qu’il est lorsqu’il s’abandonne à sa nature sacrée… 
Il sait aussi que toute déconnexion d’avec son être réel 
Toute croyance dans laquelle il se laisse absorber 
Toute séparation d’avec sa nature cosmique 
Aura comme résultat un déséquilibre  
Aux niveaux psychologique et physique 
Que des esprits inconscients et dépourvu d’amour 
Auront tendance à traiter avec des produits chimiques 
Croyant puérilement que la cause se trouve à ce niveau… 
Un système de santé digne de ce nom 
Dépenserait 90 % de ses ressources 
À faire l’éducation des gens 
Pour leur apprendre à se connaitre en profondeur 
Pour les aider à découvrir les secrets de la santé véritable… 
 
Amour…

Paralysie

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L’esprit humain peut-être miraculeux

Mais aussi, et de loin, le plus paresseux

A comprendre les changements opérés

Par des situations, des événements donnés

Telle la grenouille qui s’ébouillante instantanément

Ce syndrome se retrouve chez beaucoup de gens

Qui restent statiques physiquement et mentalement

Et dont la réactivité est proche du néant

Telle une paralysie faciale et spirituelle

Dans un déni persistant et cruel

Le basculement se produit en toute indifférence

La société de consommation en est une des conséquences

La conscience n’est pas forcément vivace

Face à la lenteur des temps qui passent

Pourtant, de grands bouleversements se sont transformés

En à peine quelques mois, quelques années

Aliéné par les soucis du quotidien

Beaucoup se disent qu’on n’y peut rien

Et que même si on bougeait le petit doigt

Un de remplacé, ils sont tous les bouffons du roi

Pourtant, l’opposition commence déjà par dire non

A ce qui est anormal, à ce que l’on trouve abscon

Car chacun a le pouvoir de marquer sa différence

Les actes sont un risque, les mots ont un sens !

© Nicolas BOUVIER

Ceux qui ont compris, ceux qui ferment les yeux

Pour nous qui avons accepté de voir, les deux années passées auront produit une grande clarté.

Pour nous qui avons accepté de déblayer, le champ est libre.

Nous sommes sur le point de vaincre parce que nous sommes plus « profonds ».

Ceux qui croient que les gouvernants font de leur mieux malgré leur incompétence et la bureaucratie qui les cerne,

Ceux qui n’entendent pas le cynisme abyssal qui ricane derrière toutes les proclamations sonores d’humanisme et de bons sentiments,

Ceux qui préfèrent oublier que l’eugénisme, la colonisation, le dressage des populations ou la fondation Rockefeller n’ont jamais poursuivi autre chose que « le bien de l’humanité »,

Ceux qui croient sincèrement que l’on peut « faire le bien des autres » sans commencer par leur imposer et notre définition du bien et notre altérité,

Ceux qui n’éprouvent aucun frisson en découvrant la photo d’un vétérinaire grec devenu PDG de Pfizer et arborant un masque noir sur lequel est imprimé « Science will win »,

Ceux qui croient, d’ailleurs, que la « science » existe quelque part comme un papa sévère et bienveillant, et non comme un champ de bataille où des paradigmes sont continûment assaillis, mis à mal et finalement renversés,

Ceux qui préfèrent ignorer, par orgueil, confort, hébétude ou légèreté, après un bon siècle de raffinement dans la propagande et l’art de la communication, que la vérité était déjà « socialement » défunte et enterrée en 1914,

Ceux qui débattent encore, entre moutons, de savoir si le berger n’aurait pas quelque projet pour leur tête malgré tous les soins qu’il leur dispense,

Ceux qui répugnent à prêter à leurs maîtres des intentions inavouables, de peur de voir s’effondrer à son tour le petit château de mensonges que constitue leur propre existence sociale,

Ceux qui se croient tellement futés qu’ils répètent sur un ton de défi les insanités que le trollage gouvernemental a conçues pour eux,

Ceux qui se sont laissés gagner par l’apathie et la démission intérieure face à l’offensive tous azimuts dont la déclaration de « pandémie mondiale » a donné le signal,

Ceux qui dorment sur leurs deux oreilles alors qu’un président ayant bien potassé son Machiavel prétend, sous couvert de « passe sanitaire », se retailler un corps politique à sa convenance – non, gouverner ce n’est pas prévoir, et ce n’est pas servir non plus, c’est assurément « faire croire » comme disait Richelieu, mais surtout « gouverner, c’est mettre vos sujets hors d’état de vous nuire et même d’y penser »,

Ceux dont le parti est de ne rien prendre à coeur, de ne rien prendre au sérieux, de faire comme si de rien n’était,

Ceux qui n’éprouvent pas comme appelant riposte tout le mal concentré que l’on nous a infligé ces dernières années,

Ceux qui acceptent tranquillement le contrôle total comme condition pour « retrouver la liberté »,

Ceux qui se soumettent à toutes les normes inventées d’hier et de nulle part dans l’espoir d’un « retour à la normale » qui, pour cette raison même n’adviendra jamais,

Ceux qui ne se contentent pas d’obéir à des obligations humiliantes, mais en théorisent en outre la nécessité,

Ceux qui croient qu’il y a des parenthèses dans l’histoire comme il y en a dans les phrases et se rassurent en se disant que celle-ci va bientôt se refermer avec la « victoire sur le virus »

Tous ceux-là, nous ne pouvons rien pour eux.

Extrait du « Manifeste conspirationniste » Editions du Seuil, janvier 2022

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Le sens du mot amour

Bonjour,

Comment allez vous ?

Je vous partage ce matin un texte extrait du site de Nicole Montineri.

Belle lecture

Mabelle

Il y a une grande méprise sur le sens du mot amour. On lui attribue souvent une coloration sentimentale. On le voit ordinairement là où n’existe qu’une dépendance affective ou un attachement exclusif à un être. Ce soi-disant amour se nourrit de nos espoirs, de nos attentes de réconfort, de nos besoins de protection, de nos quêtes de plaisirs, de nos désirs de posséder ou de dominer l’autre. Nous nous efforçons de le faire entrer dans le monde conflictuel de nos petits moi crispés sur des peurs et des blessures. C’est ainsi que, loin de vivre le bonheur tant recherché, nous connaissons le désarroi permanent, entretenu par un tourbillon de plaisirs/malheurs qui ne produit que frustrations et souffrances. Car l’amour est absent là où il y a demande, attente, possession, marchandage, soif de sécurité, désir d’enfermer. L’esprit manipulateur et instable ne peut le toucher. L’amour échappe à toute emprise mentale, à tout désir d’appropriation. Il est libre. Comme la vie. 
 
   L’amour, c’est l’énergie qui parcourt l’univers, qui le pénètre et le soutient, c’est le flux cosmique impersonnel, intemporel, qui se meut en lui-même, sans direction, sans cause et sans but. C’est l’espace vibrant de la vie, silencieux, vide, qui coule en nous en abondance si nous le laissons se déployer. 

Nous ne comprenons pas réellement ce qu’est la vie, cette énergie aimante qui nous traverse sans condition, avec douceur et puissance. Nous bloquons en permanence son mouvement en nous exprimant sur le mode du refus ou de la crainte. Nous ne sentons pas que nous sommes reliés à sa totalité et nous avons peur. Nous nous percevons comme des êtres séparés, agressés en permanence par un monde hostile qui ne répond pas à nos propres désirs. Nous nous attachons à des êtres, mais nous manquons de confiance, qui est l’expression spontanée de l’amour. Nous nous isolons de plus en plus, nous nous fermons à l’énergie qui anime tout l’univers. Nous sommes incapables de rester ouverts, sans motif, dans une attention sensible renouvelée d’instant en instant, qui dévoile notre vulnérabilité mais aussi notre grandeur. C’est le besoin égotique de sécurité qui crée ce désert que nous persistons à appeler amour. Or, l’amour ne peut exister que lorsque l’illusion du moi distinct a été dépassée, par-delà la fausse liberté qui sépare. Il ne force pas l’entrée de la carapace forgée par nos ego. Il n’est pas l’expression d’un processus mental, ne se provoque pas : il nous pénètre librement lorsqu’il n’y a plus personne qui poursuit quelque chose, lorsque l’esprit se calme, lorsque nous sommes en profondeur au coeur de la vie, totalement réceptifs à ce qu’elle nous propose. Patient, il nous attend et s’offre à nous dés que le moi s’efface dans l’abandon de ses vouloirs, s’oubliant dans l’espace de paix dévoilé. Il ne naît pas en nous, mais nous sommes nés de lui. Il n’est autre que la substance véritable de notre être. 

   Au lieu d’échafauder des théories prétentieuses sur la vie, regardons ce qui est là, ce qui s’offre à nous, pénétrons au cœur de chaque instant. Nous rencontrons l’amour à chaque seconde de notre existence, dans chaque petite chose ordinaire de notre quotidien, un geste tendre, une écoute patiente, une parole bienveillante. Il est dans le respect du chemin de chacun, dans l’attention sensible à la souffrance d’autrui, dans le soin à un corps affaibli, dans l’acceptation de l’impermanence au cœur des êtres et des choses. 
 
   Tout ce qui se manifeste est la vie, pure et aimante en son essence. Tout ce qui apparaît est le mouvement de l’amour qui vibre intensément. Même dans la plus cruelle des circonstances, cette énergie intelligente n’est jamais hostile. Elle nous manifeste son amour à travers toutes les expériences qui nous sont proposées. Elle nous apporte ce dont nous avons besoin pour grandir. Elle prend soin de nous, si nous la laissons s’accomplir en nous, si nous nous acceptons en mouvement avec son mouvement. Nul besoin de but égotique. Les choses se réalisent d’elles-mêmes, dans le fait même de vivre. Le sens de notre destinée terrestre est d’aller vers nous-mêmes, à la source de l’énergie de vie, dans ce lieu d’amour où nous nous découvrons vulnérables et protégés. 
 
   Vivons en profondeur, pleinement présents à la vie qui nous porte, quittons la poursuite effrénée où ce monde agité nous entraîne. Essayons de parvenir à la tranquillité intérieure, même au milieu de nos multiples activités. Nous manifestons l’amour dés que nous nous abandonnons à la plénitude du mouvement de la vie et que nous offrons à ceux que nous côtoyons notre paix dévoilée. Habituons-nous au silence de notre être profond. C’est en son sein que l’amour est perçu. Nous le sentons émerger de ce silence, nous traverser et se diffuser librement autour de nous. Cette énergie est d’une intensité incroyable et cependant sa vibration nous pénètre avec douceur. Libérons à l’intérieur de nous l’espace infini qui l’accueillera et lui permettra de s’écouler spontanément. Allégeons-nous, soyons transparents afin de permettre à la Conscience suprême de se refléter amoureusement dans notre être. 
 
   Lorsqu’il fut donné à ma conscience de s’ouvrir et de se déployer à l’infini, révélant la Réalité immuable derrière les apparences, l’énergie d’amour se répandit dans l’espace grand ouvert et l’imprégna durablement de sa pulsation tendre et puissante. Il n’y avait personne qui aimait et « je » n’avait personne à aimer. Il y avait seulement l’Amour, sans limite, vécu intensément dans une perception intemporelle de non-séparation. Dépourvue de toute identification égotique, la conscience fut pénétrée d’une plénitude rayonnante au sein de l’espace immobile, vide d’objet et cependant plein du potentiel infini de création. La réalisation de son union indissoluble avec l’essence cosmique l’inonda d’une joie inaltérable ! 
 
   Nous nous sentons alors tellement vastes que nous ne pouvons plus infliger aux autres ou à nous-mêmes de la souffrance. Après la découverte du lien qui unit le cosmos entier, il n’y a plus aucun tourment dans notre relation à ce monde. Nous vivons sans peurs. Nous ne sommes pas pour autant épargnés par les aléas de l’existence, mais nous les traversons avec la liberté qui nous accompagne. 
 
   Tout est Lui, un flot abondant et éternel d’énergie universelle, tout émerge de cette source illimitée d’une intensité absolue et y retourne. Lorsque nous permettons à son flux d’être en contact direct avec notre espace intérieur, dans l’effacement du moi, dans le vide du silence, l’amour se déploie, joyeux, touche chaque être, profondément, et revient, inaltéré, à sa source. La conscience maintenue sur la source de vie, nous portons un regard unifié sur les êtres humains, sur les animaux, sur la nature. Tout autre regard est superficiel. 
 
   Laissant notre sensibilité ressentir la puissante vibration cosmique, nous nous plaçons dans une perception de présence continue, de non-séparation. Notre joie est permanente car elle ne dépend plus de circonstances extérieures. Chaque contact avec la réalité révèle sa beauté. La paix s’installe durablement en nous, dans la fluidité du présent continu. Chaque évènement est vécu dans une attention sensible, dans une ouverture sans condition. Nous sommes dans l’espace au sein duquel tout se déroule, bien plus vaste et plus profond que notre esprit. Nous sommes, de tout notre être, silencieux et confiants, au cœur de chaque instant de notre existence, qu’il soit triste ou heureux. Vivre ainsi ne laisse aucun regret, aucune blessure. Nous ne rejetons rien de ce que la vie nous présente, car nous savons que tout est don de ce flux cosmique qui se déverse en une expansion féconde et infinie. 
 
   Tout ce qui vient à nous est la grâce intemporelle de la vie. Dés que nous avons réalisé ceci, nous voyons chaque chose dans sa perfection. Nous avons la certitude d’appartenir à une unité ayant un sens. Nous accueillons spontanément le mouvement intelligent qui œuvre en nous et en chaque chose, nous incarnons son offrande en épousant sa fluidité, en nous abandonnant à sa totalité. Vibrer en harmonie avec son expression est amour. Sa beauté reflétée se trouve dans notre acte même de vivre, sans séparation, sans tension. 
 
   Si nous observons le monde selon les apparences, nous ne voyons que son chaos. Mais derrière l’illusion des phénomènes dans laquelle il se débat, il y a le flux éternel qui se meut en lui-même, enveloppe, soutient, pénètre… Tout est saturé d’essence cosmique. Nous évoluons à chaque seconde dans un océan d’amour et cependant, sa réalité n’est pas perçue. Nous ne sentons pas la puissante vibration qui nous porte… Nous croyons ordinairement que l’amour est un sentiment qui émane de notre propre personne. Or, tout ce qui apparaît est l’amour, même si notre pensée l’interprète comme absent. Il n’a ni commencement, ni fin. Il ne cesse de se manifester à travers toutes les formes. C’est cette même énergie que nous exprimons lorsque nous aimons un être. Il n’y a qu’un seul amour. Notre tâche ici est de nous relier à cette énergie, de placer notre conscience dans une perception de présence continue. Nous vivons en elle, nous y sommes reliés substantiellement. Tout est parcouru de cette seule et unique énergie éternellement en mouvement. Nulle part et jamais, nous ne pouvons être hors de l’amour. Il englobe toutes les formes de vie, sans condition. 
 
   Dés que nous découvrons ce flux qui imprègne tout l’univers, dés que nous le voyons en chaque chose, une joie inébranlable nous pénètre. Nous vivons désormais sans peur, nous ne divisons plus la vie, nous ne nous opposons plus aux autres. Notre présence est détendue, ouverte à soi-même et aux autres. Le monde devient ce contenu de paix, au sein même de son mouvement incessant. Nous voyons tout ce qui se manifeste rempli de la même énergie. Notre propre mouvement part du silence, de l’espace largement ouvert où l’énergie de vie –d’amour- se répand à profusion. L’ego, affaibli, s’efface… Les tourments provoqués par son égoïsme, son désir de possession, son besoin d’attachement, sont emportés par le flot puissant qui entre. On réalise que seule l’unité existe. On se voit dans tout ce qui vit et on voit tout en soi-même. Rien ne nous est plus séparé. Dés lors, chaque parole, chaque geste, chaque acte, mûs ainsi par l’abondance de l’énergie consciemment accueillie et reflétée, voyagent loin dans l’espace et transcendent le temps. 
 
   L’amour manifesté est notre éveil à l’unité de la vie. Nous avons rejoint notre part éternelle, cette énergie qui imprègne toute chose, contenue dans chaque cellule, dans chaque particule de matière. Comment pourrait-elle être différente pour chacun d’entre nous ? Nous portons tous l’énergie d’amour en nous. Celui qui accepte de s’y relier en conscience est parcouru du flot vibrant et éternel de la vie. Il a une vision globale, intégrant tout, sans choix, sans discrimination. Aucun conflit ne peut plus s’élever. Où est désormais la violence exercée contre soi et les autres ? Avoir cette intelligence de la globalité, c’est vivre à partir de la conscience pure, à partir de notre véritable nature. C’est notre enfermement égotique qui nous donne l’illusion d’être séparé du courant universel et qui répand en conséquence le chaos sur la terre. 
 
   Nous avons tous la capacité de parvenir à cette perception d’unité, laissant le regard que nous portons sur le monde être le miroir de notre conscience, voyant dans chaque forme de la vie une expression de l’amour infini. Nous sommes alors présents à notre être véritable, reconnu dans sa nature éternelle de paix, et présents aux autres, à leur amour parfois silencieux, à leur quête souvent maladroite, à leurs souffrances inexprimées. Nous sommes réceptifs à tout ce que la vie manifeste, participant avec légèreté et responsabilité à la danse joyeuse du cosmos. Nous sommes animés d’une énergie intacte et non plus morcelée par notre petit moi. Nous gardons entière la puissance de la source et la laissons se répandre telle quelle, indivisible par-delà son flot diversifié à l’infini. Nous voyons la totalité du cosmos rayonner en chaque être animé du même souffle d’éternité. 
L’amour n’a pas d’opposé, car il est la vie même, une, infinie, qui s’accomplit librement en elle-même.