Archives de catégorie : Inspirations

Les leçons du temps

Au fil du temps, les années te changent et t’apprennent à voir les choses différemment. Tu n’as plus besoin de te disputer ou de te fâcher, tu apprends à économiser tes mots, à éviter les conversations inutiles et à garder tes conseils pour toi.

Avec le temps, tu comprends que si quelqu’un t’aime, tu restes. Si on t’ignore, tu t’éloignes. Et si quelque chose te tracasse, tu apprends à laisser tomber…

Les années font le tri, et au final, il reste moins de monde autour de toi, mais ceux qui restent sont les meilleurs, et tu les apprécies encore plus.

Le temps t’enseigne que parfois tu craques, mais tu te relèves. Parfois, tu gagnes, et d’autres fois, tu apprends. Parfois, tu t’attaches, et parfois, tu te détaches…

Le temps m’a tout appris, et pour ça, je lui dis merci.

« Auteur Anonyme « 

Les 12 clés de l’évolution

Bonjour,

Je vous espère en forme.

🔑1- L’autre n’existe pas pour te plaire ou te déplaire. L’autre existe pour t’enseigner.

🔑2-Personne n’est coupable de ce que tu ressens. C’est toi qui choisis les sentiments que tu as en ce moment. Seulement toi.

🔑3- L’art de vivre sans attente, mais avec de la perspective est la clé pour ne pas se frustrer.

🔑4-Guérir en soi l’addiction au besoin d’approbation de l’autre. C’est seulement alors que tu pourras profiter de l’audace et de la confiance naturelle de ton esprit, de ton essence.

🔑5- Tu n’as aucun contrôle de quoi que ce soit d’extérieur, peu importe à quel point tu penses l’avoir. Libère toi de la nécessité de contrôler, c’est seulement alors que tu auras le contrôle sur toi-même et sur ta vie

🔑6- Ne t’éloigne pas de toi-même pour essayer de  »intégrer’ dans l’espace étroit de pensée que l’autre a envers toi. Ça ne marchera pas. Quand tu t’annules pour faire plaisir à quelqu’un ta lumière s’éteint

🔑7- Ne crois pas ce que les autres te disent, aussi romantique et poétique soit-il. Ce qui compte ce sont les attitudes et non les mots.

🔑8- Abandonne l’orgueil et l’illusion de croire que tout sera comme tu veux, désire ou a besoin. Apprends à couler avec la vie, embrassant ton humilité et ta souplesse.

🔑9- Tout est éphémère. De près la vie est une tragédie, de loin c’est une comédie. Dans quelques temps, tu vas rire de tous les drames que tu as créés. Parce que tout arrive.

🔑10- Tu es responsable de tout ce qui se passe dans ta vie. Tes pensées et sentiments prédominants façonneront ta réalité, que tu le veuilles ou non. Donc si tu veux changer ta réalité, change tes pensées et sentiments.

🔑11- Vis avec simplicité et plus de réalité. Ce n’est qu’alors que tu émergeras qui tu es vraiment. Cela te rendra authentique et transparent.

🔑12 – Le bonheur est une tâche intérieure. Ris plus et ne prenez pas tout au sérieux. Après tout, l’essence de la vie c’est de découvrir et de profiter de cette merveilleuse aventure

🩵✨️🩵Amour et lumière🩵✨️🩵

Mabelle

Aucune description de photo disponible.

Aujourd’hui décide de vivre

⏳️Aujourd’hui est un nouveau jour, une nouvelle opportunité de changer quelque chose dans ta vie, ne laisse pas le temps se perdre en tergiversations inutiles,

⏳️Ne tue pas le temps par ta dualité intérieure, ne reste plus enfermé dans ce que tu connais, ose l’aventure de te découvrir plus grand, plus fort, plus téméraire.

⏳️Le monde que l’on te décrit comme sombre, douloureux, difficile n’est que l’image de la peur inspirée par le pouvoir d’une poignée d’humain en quête de devenir Dieu,

⏳️Ne rentre pas dans cette mascarade, vis la vie à ta façon, ose regarder de l’autre côté du rideau de fer et voit la beauté, l’amour qui t’entoure, accepte l’être merveilleux que tu es et participe à ta découverte, le reste n’est qu’illusion.

⏳️Aujourd’hui, prend la ferme décision de vivre intensément, colore-la de ta vibration, prend le soleil pour exemple, quoi qu’il se passe, il continue de briller, de réchauffer, prend conscience que toi aussi tu peux être aussi lumineux, aussi doux que lui.

⏳️Ne te laisse plus impressionner et/ou déstabiliser par ce qui n’est pas toi.

⏳️Offre à ton âme, à partir d’aujourd’hui, le cadeau de vivre chaque jour dans la totalité des heures qu’il contient, sans te laisser mourir ou trop poursuivre des chimères.

⏳️Vis simplement, respire la vie, aime la vie, ne la repousse pas et ne te dissimule pas derrière une excuse.

⏳️Vis le jour présent.

⏳️Aujourd’hui et pour le reste de ton temps terrestre, décide de vivre libre des contraintes que tu te mets seul, des combats inutiles que tu mènes, des colères qui ne sont que le reflet de tes frustrations, des idées préconçues, ne t’éparpille plus, pose-toi dans le calme de ton cœur.

⏳️Accepte de faire bouger ta vie vers le seul but de ton incarnation, te découvrir, t’élever, te bonifier. Respecte ici et maintenant cet engagement envers toi-même, reconnais que la source divine en toi continue son travail intérieur, donne-lui la main et ose vivre ce que tu es.

Source : Monique Damel. La Voie de l’Etoile.

🩵Prends ce qui resonne pour toi 🩵

Mabelle

Pensée pour tous ceux qui ont été sacrifiés

« Car le pouvoir issu de la révolution de 1789, non seulement n’a pas abdiqué, mais il n’a pas cessé son oeuvre de destruction. Il s’y est même acharné d’avantage et avec une sorte de furie. Il détruit non seulement la civilisation et les fondements de notre société, mais aussi tout ce qui pourrait en rappeler le souvenir. L’éducation dite nationale est le principal outil de la destruction. Elle installe pour toujours l’oubli, l’ignorance et la perversion des moeurs. » (extrait de l’avant propos, pp. 8-9).

https://amzn.to/3OPnJSq

D’où vient le mal

D’où vient le mal , Léon Tolstoï .

Un ermite vivait dans la forêt, sans avoir peur des bêtes fauves. L’ermite et les bêtes fauves conversaient ensemble et ils se comprenaient. Un jour, l’ermite s’était étendu sous un arbre ; là s’étaient aussi réunis, pour passer la nuit, un corbeau, un pigeon, un cerf et un serpent. Ces animaux se mirent à disserter sur l’origine du mal dans le monde. Le corbeau disait : – C’est de la faim que vient le mal. Quand tu manges à ta faim, perché sur une branche et croassant, tout te semble riant, bon et joyeux ; mais reste seulement deux journées à jeun, et tu n’auras même plus le cœur de regarder la nature ; tu te sens agité, tu ne peux demeurer en place, tu n’as pas un moment de repos ; qu’un morceau de viande se présente à ta vue, c’est encore pis, tu te jettes dessus sans réfléchir. On a beau te donner des coups de bâton, te lancer des pierres ; chiens et loups ont beau te happer, tu ne lâches pas. Combien la faim en tue ainsi parmi nous ! Tout le mal vient de la faim.

Le pigeon disait : – Et pour moi, ce n’est pas de la faim que vient le mal ; tout le mal vient de l’amour. Si nous vivions isolés, nous n’aurions pas tant à souffrir : tandis que nous vivons toujours par couples ; et tu aimes tant ta compagne, que tu n’as plus de repos, tu ne penses qu’à elle : A-t-elle mangé ? A-t-elle assez chaud ? Et quand elle s’éloigne un peu de son ami, alors tu te sens tout à fait perdu ; tu es hanté par la pensée qu’un autour l’a emportée, ou qu’elle a été prise par les hommes. Et tu te mets à sa recherche, et tu tombes toi-même dans la peine, soit dans les serres d’un vautour, soit dans les mailles d’un filet. Et si ta compagne est perdue, tu ne manges plus, tu ne bois plus, tu ne fais plus que chercher et pleurer. Combien il en meurt ainsi parmi nous ! Tout le mal vient, non pas de la faim, mais de l’amour.

Le serpent disait : – Non, le mal ne vient ni de la faim, ni de l’amour, mais de la méchanceté. Si nous vivions tranquilles, si nous ne nous cherchions pas noise, alors tout irait bien : tandis que, si une chose se fait contre ton gré, tu t’emportes, et tout t’offusque ; tu ne songes qu’à décharger ta colère sur quelqu’un ; et alors, comme affolé, tu ne fais que siffler et te tordre, et chercher à mordre quelqu’un. Et tu n’as plus de pitié pour personne ; tu mordrais père et mère ; tu te mangerais toi-même ; et ta fureur finit par te perdre. Tout le mal vient de la méchanceté.

Le cerf disait : – Non, ce n’est ni de la méchanceté, ni de l’amour, ni de la faim que vient tout le mal, mais de la peur. Si on pouvait ne pas avoir peur, tout irait bien. Nos pieds sont légers à la course, et nous sommes vigoureux. D’un petit animal, nous pouvons nous défendre à coups d’andouillers ; un grand, nous pouvons le fuir : mais on ne peut pas ne pas avoir peur. Qu’une branche craque dans la forêt, qu’une feuille remue, et tu trembles tout à coup de frayeur ; ton cœur commence à battre, comme s’il allait sauter hors de ta poitrine ; et tu te mets à voler comme une flèche. D’autres fois, c’est un lièvre qui passe, un oiseau qui agite ses ailes, ou une brindille qui tombe ; tu te vois déjà poursuivi par une bête fauve, et c’est vers le danger que tu cours. Tantôt, pour éviter un chien, tu tombes sur un chasseur, tantôt, pris de peur, tu cours sans savoir où, tu fais un bond, et tu roules dans un précipice où tu trouves la mort. Tu ne dors que d’un œil, toujours sur le qui-vive, toujours épouvanté. Pas de paix ; tout le mal vient de la peur.

Alors l’ermite dit : – Ce n’est ni de la faim, ni de l’amour, ni de la méchanceté, ni de la peur que viennent tous nos malheurs : c’est de notre propre nature que vient le mal ; car c’est elle qui engendre et la faim, et l’amour, et la méchanceté, et la peur.