Archives de catégorie : Inspirations

Comment soutenir son système immunitaire

Bonjour,

J’espère que vous allez bien et que vous profiterez du week-end pour vous ressourcer au maximum.

Depuis maintenant plus d’un an et demi nous vivons dans un monde de folie et, je l’ai déjà répété plusieurs fois, aucun média ou médecin ne parle de parle de notre système immunitaire, comme s’il avait subitement disparu et que le seul moyen d’éviter une maladie serait devenu la « vaccination » et l’éloignement de nos proches.

Immunité : l'inné ou l'acquis ?

C’est pourtant tout le contraire qui est vrai puisque notre immunité est fortement influencée par nos émotions (nous connaissons tous quelqu’un qui fait une gastro après chaque dispute, un rhume après un chagrin ou une crise cardiaque suite à une rupture sentimentale). Depuis le début de cette crise les médias ont tout fait pour abaisser nos défenses immunitaires en nous enfermant à l’intérieur (plutôt que de profiter des rayons du soleil qui permet au corps de synthétiser la précieuse vitamine D), en imposant le port d’un morceau de papier sur notre visage (qui ne protège nullement d’aucun virus s’il y en avait eu un et nous empêche de nous oxygéner correctement, sans parler des composants de ces masques qui rien qu’à eux seuls sont une preuve de la malveillance à notre égard), en nous coupant de nos proches, de nos relations importantes pour notre moral et par conséquent pour notre immunité.

Je ne suis pas la seule à comprendre que tout est mis en place, non pas pour que nous soyons en santé, mais au contraire pour nous rendre malades. J’aime beaucoup Mika Denissot, sa vision de la vie et du monde. Je vous partage ici une petite vidéo dans laquelle il nous parle justement d’immunité : https://www.youtube.com/watch?v=sDtE8boSfuA

Et puis aussi une deuxième vidéo où il nous explique sa vision de la mort : https://www.youtube.com/watch?v=b34epGZbqpw

Prenez soin de vous

Mabelle

Comment nous avons été endoctrinés

Bonjour, J’espère que vous êtes en forme

« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. »

Günther Anders, « L’Obsolescence de l’homme », 1956 https://amzn.to/3FBOBzC

Finalement, cela rejoint le livre d’Aldous Huxley « Le meilleur des mondes »

La dictature parfaite :

« une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce, à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude » https://amzn.to/3lyoDok

Ne serait il pas grand temps de se réveiller ?

Mabelle

Etre soi

— Maître, je suis fatiguée de cacher qui je suis vraiment, à mes amis, à mes parents, au monde… J’aimerais arriver à être moi, sans compromis, cesser de me corrompre pour plaire, de faire semblant pour ne pas blesser, ou être jugée…

— C’est de toi-même que tu te caches… Si tu ne peux être toi- même face au monde, c’est parce que tu ne te regardes pas en face. Il y a une part de toi que tu cherches à fuir. Un aspect de toi que tu ne souhaites pas que les autres voient, et te renvoient.

— Pouvez-vous m’en dire plus ?

— Toute ta vie, n’est qu’une succession d’échecs. Un immense échec. Tu n’as rien réussi, ni ce qu’on a toujours attendu de toi, ni ce que tu as le plus espéré. En même temps, toute ta vie est une succession de succès, tu as absolument tout réussi, traversé toutes les épreuves, et remporté toutes les batailles que tu as menées. Tu es ridicule et grandiose, minable et majestueuse, incapable de regarder ces deux vérités en face et d’embrasser ce que tu es vraiment, alors tu te bats pour être le contraire de ce que tu ne veux pas voir de toi. Ces deux extrêmes te sont insupportables, alors tu traverses la vie en essayant de tenir debout au milieu. Et ta vie est une tentative de sauvegarde des apparences, que tu considères à présent comme un insupportable compromis, un éternel mensonge au monde, qui cache la plus grande vérité à ton sujet.

— Laquelle est-elle ?

— Qu’à la fois tu ne sera jamais à la hauteur de ce qu’on attend de toi, et qu’en même temps, tu as déjà tout réussi, et que tu es sortie triomphante de tout, et qu’il en sera toujours ainsi. C’est en embrassant pleinement ces deux insupportables vérités à ton sujet, que tu transcendes le besoin de paraître ni trop faible, de peur d’être rejetée, ni trop forte, de peur d’être jugée. C’est cela se rencontrer soi, c’est s’accepter dans toute l’étendue de ce que nous sommes, au-delà du perpétuel jugement que tu émets à ton sujet.C’est dire oui, et sourire en face, quand on te dit que tu es belle, grande et extraordinaire. Et dire oui, quand on te fait sentir tout le contraire. Mais fais bien attention, être soi-même, en acceptant ta lumière et ton ombre, irritera et effraiera ceux qui se fuient eux-mêmes… C’est réaliser que ceux qui nous empêchent d’être nous-même, ne se sont jamais rencontrés eux-mêmes, n’ont jamais regardé en face leur incapacité à être ce qu’ils ont envie d’être. Atteindre cet endroit-là de conscience de Soi, puis d’acceptation de ce que tu es vraiment, c’est être capable de s’effondrer, d’abandonner et de se rendre. S’ouvre alors cet espace où tu cesses de te corrompre, de te cacher, de chercher à plaire, et où enfin, tu te rencontres et permets à l’autre de te rencontrer vraiment. C’est cesser ce gigantesque commerce affectif où nous cherchons tous à remplir les attentes de l’autre, pour enfin recevoir ce que nous refusons de voir en nous-même.

Stephan Schillinger – extrait des livres « Par un Curieux Hasard »

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Donne toi de la valeur

eaux minerales en aquarium

«Cette bouteille d’eau au supermarché vaut environ 50 centimes d’€.

Or, cette même bouteille d’eau vaut environ 2€ dans un bar.

Dans un bon restaurant ou dans un hôtel elle peut valoir jusqu’à 5€.

Dans un aéroport, jusqu’à 10€.

Et pourtant, la bouteille, la marque, la quantité, restent identiques !

La seule chose qui change c’est le LIEU !

On comprend que chaque endroit donne une valeur différente au même produit.

C’est pourquoi, quand tout le monde autour de toi te rabaisse, te tire vers le bas, pense à changer d’endroit !

Décide de changer de décor, d’environnement, d’entourage et te diriger vers des endroits où l’on t’accorde la valeur que tu mérites.

Va vers des endroits où tu es considéré à la hauteur de ce que tu es.

Entoure-toi de gens qui t’apprécient vraiment pour ce que tu es, pour ce que tu vaux…

Tu ne peux pas être aimé de tout le monde mais beaucoup de gens aiment ce que tu es car ils sont comme toi… Trouve-les.

Le jugement de ton environnement ne te correspond pas, change-le.

Préserve ta vraie valeur.

Les 4 lois amérindiennes

Bonjour, j’espère que vous allez bien.

Je vous partage ce matin un petit texte inspirant

Prenez soin de vous

Mabelle

Le Chamanisme Amérindien » Aurélien Pastor-Diez

Il existe quatre lois sur la spiritualité amérindienne qui disent que rien ne se passe sans raison dans la vie.

Lorsque vous comprenez cela, c’est très facile à gérer et vous regardez avec confiance ce qui se passe, reconnaissant pour ce qui était là et heureux de ce qui va se passer. 

La 1ère loi dit: 

La personne que vous rencontrez est la bonne. « C’est-à-dire que personne n’entre dans nos vies par accident, toutes les personnes autour de nous qui interagissent avec nous, défendent quelque chose, soit pour nous éduquer, soit pour nous aider dans notre situation. 

La 2ème loi dit: 

Ce qui arrive est la seule chose qui puisse arriver. « Rien mais absolument rien de ce qui nous arrive n’aurait pu être différent. Pas même le moindre détail. Il n’y a tout simplement pas ′′Si je l’avais fait différemment… Cela aurait été différent… » Tout, oui, chaque situation qui nous arrive dans la vie est absolument parfaite, même lorsque notre esprit résiste à notre ego et ne veut pas l’accepter. 

La 3ème loi dit: 

Chaque moment où quelque chose commence est le bon moment. « Tout commence au bon moment, ni tôt ni tard. » Lorsque nous sommes prêts pour quelque chose de nouveau dans notre vie, c’est déjà là pour commencer. 

La 4ème loi dit: 

Ce qui est fini est fini. « C’est si simple. Quand quelque chose se termine dans notre vie, cela sert notre développement » C’est pourquoi il vaut mieux lâcher prise et aller de l’avant, fort de l’expérience acquise. 

Je ne pense pas que ce soit une coïncidence si vous lisez ceci ici.

Si ce texte vous rencontre aujourd’hui, c’est parce que vous remplissez les conditions et comprenez qu’aucune goutte de pluie nulle part dans le monde ne tombe accidentellement au mauvais endroit. 

Que ça se passe bien… 

Aimez de tout votre être… 

Être heureux sans fin… 

Chaque jour est un jour heureux .