
Citation de la semaine

Comme la louve, je suis éprise de liberté.
Je peux me laisser apprivoiser mais en aucun cas asservir ni domestiquer. Je suis la seule maîtresse de ma vie. Quiconque veut m’étouffer et me restreindre se voit écarté. Je pose mes limites pour conserver mon espace personnel et vital, si tu ne les respectes pas, tu ne fais qu’un court chemin avec moi.
Comme la louve je suis intuitive, dotée de capacités, d’une grande sensibilité. Je suis connectée à mes instincts primaires et profonds. Je perçois ce qui m’entoure intuitivement, instinctivement. Je confonds parfois patience et endurance, allant jusqu’à l’épuisement, avant de rebondir et de dépasser mes limites plus sereinement.
Comme la louve j’ai besoin d’espace, pour m’épanouir. J’aime les bois et les forêts alentours, contrairement à la ville, son béton et ses tours. La connexion à la nature stimule ma créativité et me donne des idées pour de nouveaux projets.
Comme la louve je ne suis pas dans la norme, je ne me conforme pas aux règles. J’ai mon identité propre et me suis détachée des conventions sociales, j’ai l’âme rebelle.
Je suis fidèle et honnête. Je transmets mes connaissances et mes expériences avec détermination, quand je les pense bénéfiques pour la meute et les nouvelles générations.
Comme la louve je suis très attachée à ma meute, mais j’ai aussi besoin de mon indépendance. J’ai mes propres rêves et aspirations et n’entreprends rien sans passion. Je suis protectrice sans te couper les ailes, comprenant trop bien ce besoin d’évolution personnel. Je prends soin des miens, je suis solidaire malgré mon caractère solitaire.
Auteur : Patou Llech
« Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
II enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent.
II ne dure qu’un instant
Mais son souvenir est parfois éternel.
Personne n’est assez riche pour s’en passer,
Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter.
Il créé le bonheur au foyer, soutient les affaires,
II est le signe sensible de l’amitié.
Un sourire donne du repos à l’être fatigué,
Rend du courage aux plus découragés.
Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler
Car c’est une chose qui n’a de valeur
Qu’à partir du moment où il se donne.
Et si quelquefois vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire,
Soyez généreux, donnez-lui le vôtre
Car nul n’a autant besoin d’un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres. »
Raoul Follereau
Le livre d’amour, 1920
Bonjour, j’espère que vous allez merveilleusement bien
Je vous partage ce matin un texte de Alexandre Gruber
» Une personne intuitive est toujours quelqu’un,
qui voit au-delà,
des couches solides de la matière. » …..
« Les personnes intuitives ne sont pas fragiles,
Elles sont sensibles.
Elles peuvent sembler faibles,
Mais elles contiennent en fait,
La force des vieilles âmes.
Votre soutien n’est pas la force physique,
Mais un soutien émotionnel,
Éduqué par les différentes situations de la vie.
Ce sont des âmes qui ont vécu,
D’innombrables existences,
Qui ont approfondi leurs passions,
Qui sont tombées et se sont relevées,
Devant les enseignements universels.
Elles pleurent plus que les autres,
Car elles sont sincères dans leurs sentiments.
Elles sont loin d’être incontrôlables,
Elles savent juste que les émotions,
Lorsqu’elles oppriment,
Ont besoin d’un canal pour sortir.
Elles ressentent, et ressentent trop.
Elles sont comme une antenne,
Extrêmement sensible,
Qui capte tout signal ou ondulation,
Dans l’environnement.
C’est pourquoi elles sont enchantées,
Par les choses simples de la vie,
Elles apprécient les parfums,
Les couleurs,
La poésie qui écrit les sens de l’existence.
Une personne intuitive est toujours quelqu’un,
Qui voit au-delà,
Des couches solides de la matière.
Cela leur permet de sentir,
Ce qui ne s’est pas encore passé,
Ou de savoir exactement,
Où elles devraient et ne devraient pas aller,
Ou quel type d’énergie les gens transportent.
Ce sont des gens qui aiment,
Ont un lien fort avec la nature,
Les animaux,
Les livres,
Et tous les enseignements que la spiritualité,
Apporte au monde.
Elles regardent généralement les étoiles,
Et sourient,
En se souvenant inconsciemment,
De leur maison.
Elles savent qu elles sont là,
Mais qu elles viennent d’en haut !
Ne sous-estimez donc jamais,
La force d’une personne intuitive.
Elle connaît les bonnes âmes,
Et celles qui sont encore en chemin,
Pour trouver leur lumière.
Elle peut tomber,
Mais elle se relèvera toujours.
Car elle apprendra toujours de chaque erreur,
De chaque expérience,
Et en fera sa plus grande force.
Car elle a déjà appris,
À développer sa lumière,
Et elle sait qu’elle est capable d’éclipser ceux,
Qui ne la comprennent pas encore,
Et d’illuminer ceux qui sont,
Dans l’éveil de la conscience.
Une personne intuitive est celle,
Qui porte dans ses pas et dans ses yeux,
La force qui vient de l’âme.
Et cette force anime toute existence ! «
Prenez soin de vous – Mabelle
Bonjour, je vous partage ma pensée du matin en regardant cet oiseau qui se baigne dans mon point d’eau.
Le jour où nous ne nous étonnerons plus,
Le jour où nous ne nous émerveillerons plus,
Le jour où nous ne nous indignerons plus,
Bref le jour où nous ne nous nous emballerons plus,
Alors nous serons morts, ou sur le point de l’être,
Il y a pire que le mépris, c’est l’égocentrisme
Il y a pire que la haine, c’est l’indifférence.
Il y a pire que la méchanceté, c’est la lâcheté.
Il y a pire que la tiédeurs des sentiments, c’est leur absence.
Il y a pire que de jouer les blasés, c’est de ne plus rien admirer, ne plus rien sentir, ne plus rien voir, ne plus rien aimer…
Prenez soin de vous et de vos proches
Mabelle
Bonjour, je vous espère en pleine forme.
Je vous partage ce matin un texte de Ana Otero
» La «femme médecine» est l’un des archétypes féminins les plus oubliés et les plus réprimés de l’histoire de l’humanité.
Elle est la femme sage, la visionnaire, la voyante, l’intuitive, la guérisseuse, la prêtresse sexuelle et celle qui possède la vérité de la sagesse.
Elle détient les dons de guérison, d’énergie et de conscience élargie. Elle voit le passé et l’avenir et voit profondément dans le cœur des autres.
Sa passion est de servir et de restaurer l’harmonie, l’équilibre et la guérison de l’humanité et de la Terre.
Elle est l’aspect en nous qui est prêt à revenir dans le cadre d’un plus grand réveil humain. Dans notre passé pré-patriarcal, pendant des centaines de milliers d’années, la médecine des femmes occupait une place de choix dans la société.
Elle a servi sa communauté partout dans le monde d’innombrables façons en tant que chamane, femme sage, sage-femme, herboriste, femme oracle, prêtresse, danseuse sacrée, voyante et reine.
Sa vision et ses dons de guérison ont été honorés et intégrés dans chacune des vies de ceux qu’elle a servis.
Elle apporta sagesse et humilité à de puissantes souveraines grâce à ses dons d’oracle qui guidèrent l’esprit.
Elle a enseigné le culte de la déesse en respectant les cycles et la fertilité de la Terre. Sa vision chamanique était un ancien remède pour l’âme.
Leurs mythes et leurs histoires ont redonné un sens même aux souffrances les plus profondes.
Elle avait les clés de son pouvoir sexuel et de l’union divine entre le masculin et le féminin.
Pendant un certain temps, à travers de nombreuses cultures, son archétype a été réprimé, condamné, puni, déformé et finalement oublié, car les systèmes de gouvernement patriarcaux fondés sur la domination ont nié la valeur de la femme médecine.
Elles ont été dénigrées et la Terre, symbole du féminin, était considérée comme mauvaise et inférieure.
Le cœur du pouvoir féminin a été oublié et même les femmes ont oublié de se considérer comme puissantes.
Cependant, la femme médecine revient maintenant. Des millions de femmes sur cette planète ont cet archétype au fond de leur cœur et de leur ventre.
Beaucoup d’entre nous ont en mémoire leurs pouvoirs ancestraux et les nombreuses vies que nous avons vécues dans lesquelles nous avons mis ces pouvoirs au service.
Nous portons également la blessure d’avoir été niées, punies et réprimées.
Nous sommes maintenant prêtes à ressurgir dans la complexité du monde moderne.
Un monde où certaines femmes jouissent de libertés sans précédent, et d’autres vivent encore dans la suppression de leurs droits comme à l’époque médiévale.
Cependant, ce que toutes ces femmes ont en commun, c’est qu’en ce moment dans l’humanité, nous avons le pouvoir et la responsabilité de revendiquer et de vivre dans notre sagesse sacrée, en éveillant les dons que nous sommes venues chacune apporter à la société.
Nous ne pouvons attendre des autres pour nous dire que nous existons ou recevoir la permission d’exprimer notre pouvoir à nouveau.
Nous savons que nous avons le pouvoir et que nous sommes nécessaires. Et si nos âmes ont choisi de s’incarner maintenant, c’est dans un but formidable, que nous seules pouvons découvrir.
Il nous appartient d’examiner nos vraies motivations et nos vraies passions, de nous reconnaître comme femmes médecine, de nous guérir et de découvrir comment notre passion pour la vie devient notre objectif sacré.
Nous sommes des enseignantes, des guérisseuses, des conseillères, des guides, des formatrices, des organisatrices de cérémonies, des militantes sociales et spirituelles, des femmes d’affaires, des visionnaires, des communicatrices et des artistes.
Nous devons nous rappeler qui nous sommes et réveiller nos pouvoirs et notre passion innés. Lorsque nous le ferons, notre travail apportera l’équilibre et la guérison nécessaires au monde.
Vous êtes nécessaires !
* Nous Sommes Nécessaires !
Le monde a besoin de femmes comme vous pour accéder au pouvoir et à la visibilité et devenir un symbole d’espoir, de lumière et de guérison. «
Prenez soin de vous et de vos proches
Mabelle
Bonjour, je vous espère en forme.
Je vous partage un écrit de Maxence Van Der Meersch
Prenez soin de vous – Mabelle
» On a beau s’être compris, s’estimer, reconnaître les torts de chacun: les coups qu’on s’est mutuellement portés ont marqué.
On n’en souffre plus, les plaies sont refermées.
Mais le cœur s’est durci, à la place des cicatrices.
Et la vie est trop courte pour qu’ait le temps de refleurir ce qui est mort.
On ne devrait jamais se haïr.
On a déjà si peu le temps de s’aimer « .