Archives de catégorie : Textes à méditer

Des petits textes pour nous donner à réfléchir

La femme médecine

Bonjour, je vous espère en pleine forme.

Je vous partage ce matin un texte de Ana Otero

 » La «femme médecine» est l’un des archétypes féminins les plus oubliés et les plus réprimés de l’histoire de l’humanité.

Elle est la femme sage, la visionnaire, la voyante, l’intuitive, la guérisseuse, la prêtresse sexuelle et celle qui possède la vérité de la sagesse.

Elle détient les dons de guérison, d’énergie et de conscience élargie. Elle voit le passé et l’avenir et voit profondément dans le cœur des autres.

Sa passion est de servir et de restaurer l’harmonie, l’équilibre et la guérison de l’humanité et de la Terre.

Elle est l’aspect en nous qui est prêt à revenir dans le cadre d’un plus grand réveil humain. Dans notre passé pré-patriarcal, pendant des centaines de milliers d’années, la médecine des femmes occupait une place de choix dans la société.

Elle a servi sa communauté partout dans le monde d’innombrables façons en tant que chamane, femme sage, sage-femme, herboriste, femme oracle, prêtresse, danseuse sacrée, voyante et reine.

Sa vision et ses dons de guérison ont été honorés et intégrés dans chacune des vies de ceux qu’elle a servis.

Elle apporta sagesse et humilité à de puissantes souveraines grâce à ses dons d’oracle qui guidèrent l’esprit.

Elle a enseigné le culte de la déesse en respectant les cycles et la fertilité de la Terre. Sa vision chamanique était un ancien remède pour l’âme.

Leurs mythes et leurs histoires ont redonné un sens même aux souffrances les plus profondes.

Elle avait les clés de son pouvoir sexuel et de l’union divine entre le masculin et le féminin.

Pendant un certain temps, à travers de nombreuses cultures, son archétype a été réprimé, condamné, puni, déformé et finalement oublié, car les systèmes de gouvernement patriarcaux fondés sur la domination ont nié la valeur de la femme médecine.

Elles ont été dénigrées et la Terre, symbole du féminin, était considérée comme mauvaise et inférieure.

Le cœur du pouvoir féminin a été oublié et même les femmes ont oublié de se considérer comme puissantes.

Cependant, la femme médecine revient maintenant. Des millions de femmes sur cette planète ont cet archétype au fond de leur cœur et de leur ventre.

Beaucoup d’entre nous ont en mémoire leurs pouvoirs ancestraux et les nombreuses vies que nous avons vécues dans lesquelles nous avons mis ces pouvoirs au service.

Nous portons également la blessure d’avoir été niées, punies et réprimées.

Nous sommes maintenant prêtes à ressurgir dans la complexité du monde moderne.

Un monde où certaines femmes jouissent de libertés sans précédent, et d’autres vivent encore dans la suppression de leurs droits comme à l’époque médiévale.

Cependant, ce que toutes ces femmes ont en commun, c’est qu’en ce moment dans l’humanité, nous avons le pouvoir et la responsabilité de revendiquer et de vivre dans notre sagesse sacrée, en éveillant les dons que nous sommes venues chacune apporter à la société.

Nous ne pouvons attendre des autres pour nous dire que nous existons ou recevoir la permission d’exprimer notre pouvoir à nouveau.

Nous savons que nous avons le pouvoir et que nous sommes nécessaires. Et si nos âmes ont choisi de s’incarner maintenant, c’est dans un but formidable, que nous seules pouvons découvrir.

Il nous appartient d’examiner nos vraies motivations et nos vraies passions, de nous reconnaître comme femmes médecine, de nous guérir et de découvrir comment notre passion pour la vie devient notre objectif sacré.

Nous sommes des enseignantes, des guérisseuses, des conseillères, des guides, des formatrices, des organisatrices de cérémonies, des militantes sociales et spirituelles, des femmes d’affaires, des visionnaires, des communicatrices et des artistes.

Nous devons nous rappeler qui nous sommes et réveiller nos pouvoirs et notre passion innés. Lorsque nous le ferons, notre travail apportera l’équilibre et la guérison nécessaires au monde.

Vous êtes nécessaires !

* Nous Sommes Nécessaires !

Le monde a besoin de femmes comme vous pour accéder au pouvoir et à la visibilité et devenir un symbole d’espoir, de lumière et de guérison. « 

Prenez soin de vous et de vos proches

Mabelle

Ne vous blâmez pas

Bonjour, je vous espère en forme. Je vous partage un texte de Rania Naim qui touchera probablement beaucoup de monde car nous avons tous tendance à nous blâmer.

Ne vous blâmez pas d’être la personne,

La plus grande ou la plus gentille.

Ne vous blâmez pas,

D être par moment vulnérable,

Car il faut beaucoup de force,

Pour entrer en contact avec ses émotions,

Et s’ouvrir.

Ne vous blâmez pas de vous être montré,

Parce que cela prouve,

Que vous êtes courageux.

Il est courageux de montrer,

À quelqu’un vos sentiments,

Dans un monde qui ne cesse de vous dire,

Que vous devez simplement cacher,

Ce que vous ressentez.

Il est courageux d’être honnête et transparent,

Dans un monde qui glorifie,

Ceux qui jouent au jeu,

Et ceux qui manipulent les autres,

Pour les aimer.

Ne vous blâmez pas d’être réel car c’est rare,

Et cela révélera toujours,

Les véritables intentions des gens,

Sans perdre votre temps.

Ne vous blâmez pas,

De poser trop de questions,

Ou d’exiger des réponses,

Parce que vous préférez connaître la vérité,

Que vivre avec les mensonges.

Ne vous blâmez pas d’avoir critiqué

Quelqu’un sur son comportement,

Même si cela signifie le repousser,

Parce que vous n’êtes pas la personne,

Qui va tolérer rien de moins,

Que ce que vous méritez.

Ne vous blâmez pas d’être franc,

Et de dire ce que vous pensez vraiment,

Parce que vous êtes authentique,

Et que vous dites ce que vous ressentez.

Ne vous blâmez pas non plus d’être trop.

Trop intense, trop passionné,

Trop aimant, trop fort, trop profond.

Ne vous blâmez pas pour les parties,

Éblouissantes qui émanent de votre être.

Les parties que vous ne pouvez,

Pas vraiment cacher ou contrôler.

Les parties qui vous font vous sentir vivant.

Ne vous blâmez pas de vouloir,

Vous sentir vivant, heureux et épanoui.

Ne vous blâmez pas de vouloir,

Vivre votre puissance dans un monde,

Qui a appris à se contenter d’être médiocre.

Ne vous blâmez pas de vouloir plus,

Car cela ne signifie pas que vous êtes égoïste.

Ne vous blâmez pas de vouloir,

Que les gens vous rencontrent là où vous êtes,

Ou correspondent à votre énergie,

Et ne vous blâmez pas,

S ils ne vous suivent pas.

Vous n’êtes pas le genre de personne,

Qui se laisse faire,

Vous n’êtes pas le genre de personne,

Qui laisse facilement éteindre sa passion,

Ou éteindre le feu en elle.

Ne vous blâmez pas pour les mots,

Que vous dites dans un monde,

Qui veut que vous soyez silencieux.

Vous n’êtes pas le genre de personne,

Qui va se taire sur les choses qui comptent,

Surtout quand il s’agit de vos sentiments

Parce que vous ressentez aussi beaucoup,

Et dans un monde qui maudit,

Ceux qui ressentent trop,

Vous savez toujours que c’est une bénédiction.

Restez convaincu de votre vérité,

Et vous finirez par vous retrouver.

🩵Prenez soin de vous et prenez ce qui resonne pour vous 🩵

Mabelle

Que cherches tu ?

Si tu cherches l’amour, trouve le en toi.

Si tu cherches à guérir, guéri toi.

Si tu cherche l’équilibre, harmonise toi.

Si tu cherches le respect, respecte toi..

Si tu cherches la vérité, soi vrai envers toi.

Si tu cherches à progresser, depasse toi.

Si tu cherches la paix, fais la avec toi.

Si tu cherches la douceur, soi la douceur.

Si tu cherches du positif, il y en a en toi.

Si tu cherches la passion, trouve ta vibration.

Si tu cherches ton monde, soi le monde que tu cherches.

Si tu passes ta vie à chercher à l’extérieur tout ce que tu possèdes à l’intérieur, tu passeras à côté de tes plus belles valeurs.

Il n’y a pas plus belle histoire que celle que tu comprendras de toi.

🍃 Auteur de ce magnifique texte : Luna Terra 🌙🌏

J’ai trois ans, je suis grande !

Je vais à l’école, maman et papa travaillent, je me lève à 6h30. J’avale mon bibi en 5 mn et peut-être un biscuit…

Maman m’habille -ou Papa- et je mets mes « adadas », qui courent vite, toute seule : elles ont des scratchs.

Papa caresse ma joue : un ptit câlinou. Il part, il m’aime, il me l’a dit !

Maman cherche ses clés et elle s’énerve ,on est en retard ! Je prends mon doudou et ma susu : trop important !

Il est 7h05 houla, houlala : on a 5 mn de retard. On fonce, j’arrive à la garderie à 7h25. Maman m’embrasse tendrement 1 seconde. Elle m’aime : elle me l’a dit et elle est partie !

Je ne suis pas toute seule… Non ! Il y a mes copains, mes copines mais on joue pas encore. On a pris nos doudous et susus. Je ne pleure pas : je suis grande mais Maman me manque déjà, je suis sage.

Sophie me coiffe, Maman a oublié.

Sophie est gentille, elle me câline 1 seconde : il y a pas que moi

Il est 8h20 : je vais en classe, la maîtresse est là. Je pose doudou et susu : j’en ai plus besoin parce que je suis grande. J’ai 3 ans !

Il y a des livres, des puzzles, le coin dînette, le coin poupée, les constructions… La maîtresse dit : « on range » : il est 8h40.

On va au regroupement et la maîtresse explique le programme, je me rappelle que de la fin.

Je suis un peu triste mais pas le temps pour ça, on est 27 dans la classe et puis c’est l’heure du passage aux toilettes. On descend tous ensemble. Je passe devant mon sac -il y a doudou et ma susu dedans- mais non… je suis grande ! J’ai 3 ans !

Je donne la main, j’apprends vite, c’est bien, je cours pas dans le couloir. Sophie chante et sourit. Elle fronce les sourcils, on fait pipi, on ne joue pas avec l’eau, on boit si on a soif et on se lave les mains.

Allez… on se dépêche ! On retourne en classe et je repasse encore devant doudou et susu. Maman me manque mais non, je vais travailler c’est la maîtresse qui l’a dit. Je vais faire l’atelier peinture avec Sophie, j’aime la peinture mais pas longtemps parce qu’on est 6 à la table. On met les tabliers, on peint, on se lave les mains encore.

Il est 9h30 et la maîtresse dit : « on range » ! On va en motricité.

On se range, la salle est grande et j’ai envie de courir partout mais non, on s’assoit et on écoute.

Il est 9h45 enfin et on fait les animaux : la grenouille, le kangourou, l’ours, le serpent…

C’est fini ! On met les vestes parce que c’est la récréation : il est 10 h ! La maîtresse dit « essaie de la mettre toute seule ». C’est dur mais j’essaie : je suis grande, oui, j’ai 3 ans ! Sophie m’aide, elle est gentille !

Il est 10h10, je cours en récréation. Au milieu, je m’arrête, il y a tellement de monde. Je vois la maîtresse, 2 enfants par main, plus de place pour moi ! C’est pas grave, je vais la suivre, peut-être une place se libérera, Maman me manque.

Il est 10h30, la récréation est finie et la maîtresse avec Sophie, tapent des mains. On se range, ça prend du temps, on apprend. La maîtresse crie, Sophie court pour récupérer les enfants qui n’ont pas compris je crois. Moi, je suis rangée, j’ai compris je suis grande, on repasse aux toilettes et tout le tintouin…

Il est 10h45 Sophie s’en va manger, la maîtresse raconte une histoire, je suis fatiguée, je veux mon doudou et ma susu. Maman me manque de plus en plus.

Il est 11h15, Sophie revient : on repasse aux toilettes et tout le tintouin… Puis, on va à la cantine. On est 48 dans le réfectoire et ça fait un bruit énorme : je n’ai pas très faim, il y a de la salade ! Sophie dit : « on mange, on se dépêche ». Il y a le 2ème service, elle débarrasse la salade : ouf, je n’aime pas. Il y a des pâtes : génial ! Et des légumes dedans… Du rôti de boeuf : c’est dur, je mâche longtemps, les légumes dans les pâtes : je n’aime pas. Sophie dit « on goûte, c’est bon les légumes… ». Elle débarrasse ouf, enfin le dessert ! J’adore le dessert, c’est une pomme énorme. Sophie dit « allez on croque, la peau c’est plein de vitamine ». Maman, elle enlève la peau et coupe des petits morceaux mais on est trop nombreux ! Je suis fatiguée, je ne finis pas ma pomme : elle est trop grosse et trop dure aussi…

La cantine est finie et il est 12h15 ! On retourne dans la cour Sophie est sur le banc, aujourd’hui j’ai une place à côté d’elle, elle me câline j’en profite.

Il est 12h30. Sophie tape des mains : on va au dortoir, mais avant, on repasse aux toilettes et tout le tintouin…

Enfin je retrouve mon doudou et ma susu. J’enlève mes « adadas » toute seule. Oui, elles ont des scratches : je l’ai déjà dit !

Le dortoir est chaud, j’ai mon lit toujours à la même place. Je rentre dans mes draps, Sophie tire les rideaux, met la musique, met les couvertures, allez, on se repose.

Sophie passe sa main dans mes cheveux et je peux dormir : il est 13h.

14h30 : Sophie ouvre les rideaux, « allez on se lève », j’ouvre les yeux, j’ai oublié que je suis à l’école. Je veux encore dormir et je serre mon doudou, il y a du bruit dans le couloir. Sophie aide les enfants pour mettre les chaussures, maîtresse vient dans le dortoir : « allez debout, on pose doudou et susu, on met les chaussures toute seule et on va faire pipi ».

Il est 14h45, je suis dans la cour, tout va trop vite autour de moi, ma maîtresse n’est pas dehors, ni Sophie. Des grands viennent me parler, j’ai un peu peur ! Maman me manque terriblement mais moi aussi je suis grande, alors j’attends.

Enfin 15h15, on tape des mains on se range, toilettes et tout le tintouin.

15h30, retour dans la classe, activités autonomes, en gros je fais ce que je veux, sans bruit.

16h00, la maîtresse dit : « on range, on se regroupe, c’est bientôt l’heure ». Elle raconte une histoire, Sophie range et nettoie.

16h20, la maîtresse ouvre la porte, mon cœur bat la chamade. Elle appelle les enfants, mais moi… non ! Ma gorge se serre, je ne suis pas toute seule, Sophie nous prend dans ses bras. On va aller goûter et maman va bientôt arriver : je mange ma compote et mon biscuit.

La maîtresse est partie, Sophie nous laisse jouer sur les structures, j’aime bien. Je fais attention, je suis grande. J’ai 3 ans.

Il est 17h45, Maman arrive. Elle et là !! Mon cœur explose, c’est trop intense…

Je me laisse enfin aller, je pleure dans ses bras. Elle m’a tellement manqué. Maman dit « tu es grande, ne pleure pas comme un bébé ! ». C’est vrai, je viens de passer plus de 10h sans toi !

Le temps de rentrer à la maison il sera déjà 18h. Entre le bain, le repas et la petite histoire, nous aurons bien profité l’une de l’autre et si j’ai de la chance, je verrais peut-être papa avant de m’endormir à 20h30…

Mais tout ça n’a pas d’importance puisque j’ai 3 ans et que je suis grande et que je vais vivre jusqu’à 100 ans ! »

~Sophie ATSEM membre du collectif indépendant ATSEM de France.

Merci à Sophie pour ce superbe texte qui nous fait prendre conscience de la réalité d’une journée en petite section de maternelle.

Tu vibreras ta connexion

Bonjour, j’espère que vous allez bien.

Je vous partage ce matin un texte de Davonte Sheard

Tout est maintenu et maintenu ensemble par fréquence

Les fréquences agissent comme un aimant et une force gravitationnelle qui unit d’autres fréquences similaires

Imaginez que chaque objet, lieu, pensée, émotion, intention ait un nombre invisible attaché à lui qui dénote sa fréquence

Votre relation a aussi un numéro de fréquence qui agit comme de la colle

La toxicité a un numéro de fréquence vibratoire très faible (appelons 0-300 hz)

Dans les fréquences toxiques votre relation est maintenue ensemble par la peur, la luxure, la faible estime de soi, la jalousie, le stress, la survie, le manque d’amour propre

Donc tant que vous restez sur ces fréquences la connexion sera maintenue

Cependant, dès qu’une personne dans la relation commence à guérir et à grandir, ce qui augmente sa fréquence au-dessus de la plage de 300hz, la relation commencera à se briser.

Il n’y a plus d’aimant pour les tenir ensemble car une personne vibre plus haut que le lien

Donc l’univers va commencer à les diviser, attirant les événements qui les divisent

Un partenaire de basse fréquence essaiera toujours de baisser la fréquence du partenaire vibrant au-dessus de la relation juste pour qu’il puisse rester connecté.

Donc en ce moment quel est l’un des choix les plus difficiles que vous devrez faire est entre votre croissance ou votre relation ?

Si vous vous supprimez pour rester connecté, vous aurez gagné la bataille (relation) mais vous avez perdu la guerre (évolution spirituelle) donc vous ressentirez les fréquences de la défaite de façon constante.

Alors tu blâmeras ton partenaire pour tes obstacles mais ton choix depuis le début était de sacrifier ta propre élévation

Peur d’être seul et de laisser tout ce que vous savez plonger dans l’inconnu

Cette même peur est ce qui vous maintient enfermé dans les basses fréquences, ce qui vous maintient en dehors de votre relation vibratoire basse.

Vous devez apprendre à choisir votre croissance spirituelle quoi qu’il arrive, sans culpabilité car c’est la seule chose que vous pouvez emporter avec vous dans la prochaine vie

Et si vous avez le courage de choisir la croissance plutôt que votre relation, alors elle sera remplacée par un partenaire vibratoire supérieur qui veut grandir avec vous.

Il faut d’abord croire que tu mérites mieux et ensuite l’univers te servira

Vous n’êtes pas ici pour rester dans des relations et des liens qui limitent votre plein potentiel juste parce que vous avez passé du temps et passé un bon moment ensemble.

La chenille sait qu’une fois évolué en papillon, elle ne peut plus traîner autour des chenilles.

Il serait déraisonnable qu’une chenille dise « Hé, je resterai une chenille pour toujours, donc je n’aurai jamais à te quitter. « 

La douleur que vous ressentez dans ces relations vient du fait que vous avez déjà des ailes et que vous ne volez même pas vers de nouveaux sommets.

Donc vous gaspillez toute votre énergie à essayer de faire en sorte que d’autres chenilles se transforment en papillons avec vous avant de partir.

La vie développe chaque chenille en son temps, ce n’est pas votre travail d’essayer de développer d’autres chenilles ou de les attendre

Certaines chenilles prennent toute une vie à se développer et vous gaspilleriez votre vie entière à attendre et à essayer de les forcer à le faire

Vous n’êtes pas une mauvaise personne car vous voulez vler si vous avez des ailes

Si vous êtes aligné pour eux, ils voleront avec vous quand ils auront assez d’expérience pour vouloir évoluer.

Libérez-les pour que vous puissiez monter à des fréquences plus élevées d’amour, de bonheur, de prospérité et d’abondance divin

Vous méritez de choisir votre grandeur dans la transformation !

Vous méritez de voler aussi aut que vous le pouvez !

Vous méritez d’attirer les connexions de haute vibration !

Prenez soin de vous

Mabelle

Les 3 types de personnes dans votre vie

1. Les personnes feuilles

2. Les personnes branches

3. Les personnes racines

🍃LES PERSONNES FEUILLES :

Ce sont des gens qui entrent dans votre vie juste pour une saison.

Vous ne pouvez pas compter sur eux. Ils ne viennent que pour prendre ce qu’ils veulent, mais si le vent souffle un peu seulement, ils partent !

Vous devez faire attention à ces gens parce qu’ils vous aiment quand tout va bien, mais quand le vent commence à souffler, plus personne.

🍃 LES PERSONNES BRANCHES :

Elles sont là, mais vous devez aussi faire attention à elles.

Elles se détachent lorsque la vie devient difficile et qu’elles ne peuvent pas supporter trop de poids.

Elles peuvent rester avec vous durant certaines saisons, mais elles partiront quand cela deviendra plus difficile .

🍃 LES PERSONNES RACINES :

Ces gens sont très importants parce qu’ils ne font pas les choses pour être vus.

Ils vous soutiennent même si vous traversez une période difficile. Rien ne les effraient, car ils voient les difficultés avec courage et lucidité, et ils vous aiment juste pource que vous êtes, cas ils resteront avec vous peu importe la saison que vous traversez. Très peu de personnes sont comme ça. »

Source : Jp Bernard

Je vieillis

Tu vois mon enfant chérie, je poursuis mon chemin.

Je vieillis, il paraît que c’est comme ça « la vie », que l’on change tout doucement, avec le temps…

Enfin du moins c’est ce que l’on nous apprend.

Je vois bien les rides sur mon visage, les sillons creusés par mes vécus et mes souffrances.

Pourtant en moi, et c’est étrange, je ne vieillis pas vraiment.

Je suis comme toi mon enfant intérieur, je ris, je vis, je joue car je ressens tellement ta présente à mes côtés.

Tu me rappelles à chaque instant que je suis éternité dans ma passion à aimer, à créer, à m’émerveiller.

Alors, pour toi qui brille d’une

joyeuse légèreté, je continue de voir la vie comme un grand jeu où j’ai à cœur de m’amuser.

Je souhaite que tu sois fière de moi, mon enfant intérieur que je continue de choyer.

Et pardon pour toutes les fois où je t’ai oubliée.

Désormais je t’écoute me transmettre ta force de vie.

Désormais je te donne ma sagesse qui t’apaise.

Jamais plus nous ne serons séparées car nous sommes à nous deux une magnifique lumière d’éternité.

🌹Auteur : Brigitte BIANCONI

Ne remettez rien à demain

Bonjour, j’espère que vous allez bien.

Je vous partage un texte qui a pour titre « le sablier de la vie »

Ah, si j’avais lu ce texte plus jeune, j’aurais peut-être agi différemment. À mon âge, ce Sablier de la Vie me rappelle que mon Temps s’achève et qu’un jour, probablement pas si lointain, ce Sablier aura laissé échapper ses Derniers Grains.

À peine la journée commencée que… c’est déjà six heures du soir. 

À peine arrivé le lundi que c’est déjà vendredi. 

… et le mois est déjà fini. 

… et l’année est presque écoulée. 

… et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés. 

… et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis. 

… et on se rend compte qu’il est trop tard pour revenir en arrière.

Alors… essayons de profiter pleinement du temps qui nous reste… 

Ne cessons jamais de chercher des activités qui nous plaisent. 

Mettons de la couleur dans notre grisaille. 

Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs. 

Et malgré tout, continuons de profiter avec sérénité de ce temps précieux. Éliminons les « après »… 

Je le ferai après… 

Je dirai après… 

J’y penserai après… 

On laisse tout pour plus tard, comme si « après » nous appartenait.

Car ce que nous ne comprenons pas, c’est que : 

Après, le café se refroidit… 

Après, les priorités changent… 

Après, le charme est rompu… 

Après, la santé s’en va… 

Après, les enfants grandissent… 

Après, les parents vieillissent… 

Après, les promesses sont oubliées… 

Après, le jour devient la nuit… 

Après, la vie se termine… 

Et après, c’est souvent trop tard…

Alors… ne laissons rien pour plus tard… 

Car en attendant toujours « après », nous risquons de perdre les meilleurs moments, les meilleures expériences, les meilleurs amis, et la meilleure famille… 

Le jour est 𝗮𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱’𝗵𝘂𝗶. L’instant est 𝗺𝗮𝗶𝗻𝘁𝗲𝗻𝗮𝗻𝘁.

Nous ne sommes plus à l’âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite.   

𝗟𝗲 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲, 𝗻𝗲 𝗹𝗲 𝗴𝗮𝘀𝗽𝗶𝗹𝗹𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗮𝘀

Vivez, maintenant, n’attendez pas – Mabelle

Sois bienveillante envers toi

Que la bienveillance fleurisse en toi, en commençant par te traiter avec la même douceur que tu réserves aux autres.

N’oublie jamais que tu mérites tout l’amour que tu donnes.

Au cœur des défis du quotidien, il est simple d’oublier ta propre valeur, et ce manque de rappel subtil peut affaiblir ton énergie et tes liens.

Permets à ton cœur de s’ouvrir à la clarté de la compassion et suis cette lumière bienveillante dans ta vie.

En t’enveloppant de tendresse, tu attires des énergies alignées avec la tienne, créant un réseau d’amour et d’acceptation dès à présent.

Laisse cet amour briller en toi, illuminant chaque moment de ta vie d’une douceur réconfortante et amicale.

Prends soin de toi et des tiens

Mabelle

Dis ta foutue vérité

J’ai vu des miracles se produire, quand les gens disent la vérité. Pas la « belle » vérité. Pas la vérité qui cherche à plaire ou à réconforter. Mais la vérité sauvage. La vérité féroce. La vérité qui dérange. La vérité tantrique. La foutue vérité. La vérité que tu as peur de dire.

L’horrible vérité sur toi que tu caches pour « protéger » les autres. Pour éviter d’être «trop». Pour éviter d’avoir honte et de te sentir rejeté. Pour éviter d’être vu. La vérité de tes sentiments les plus profonds. La rage que tu as ressassée, dissimulée, maîtrisée. Les terreurs dont tu ne veux pas parler. Les pulsions sexuelles que tu as essayé d’engourdir. Les désirs primaires que tu ne peux supporter de formuler.

Les défenses se décomposent enfin, et ce matériel «dangereux» émerge du plus profond de l’inconscient. Tu ne peux plus le retenir. L’image du «bon garçon» ou de la «gentille fille» s’évapore. Celle du «parfait», de «celui qui a tout compris», de l’évolué : ce sont des images qui brûlent.

Tu trembles, tu transpires, tu es au bord des vomissements. Tu penses que tu pourrais en mourir, mais finalement tu la dis cette putain de vérité, cette vérité dont tu as profondément honte. Pas une vérité abstraite. Pas une vérité « spirituelle », soigneusement formulée et conçue pour prévenir l’offense. Pas une vérité habilement emballée. Mais une vérité humaine désordonnée, enflammée, bâclée. Une vérité sanglante, passionnée, provocatrice, sensuelle. Une vérité mortelle, indomptée et sans fard. Et fragile, collante, suante, vulnérable. La vérité de ce que tu ressens. La vérité qui permet à l’autre de te voir à l’état brut. La vérité qui fait haleter, qui fait battre ton cœur. C’est la vérité qui te libérera.

J’ai vu des dépressions chroniques et des angoisses permanentes s’effacer du jour au lendemain. J’ai vu s’évaporer des traumatismes profondément enracinés. J’ai vu de la fibromyalgie, des migraines à vie, de la fatigue chronique, des maux de dos insupportables, des tensions corporelles, des troubles de l’estomac, disparaître, ne jamais revenir. Bien sûr, les «effets secondaires» de la vérité ne sont pas toujours aussi dramatiques. Et nous n’entrons pas dans notre vérité avec un résultat en tête. Mais pense aux énormes quantités d’énergie nécessaires pour réprimer notre sauvagerie animale, engourdir notre nature farouche, réprimer notre rage, nos larmes et notre terreur, soutenir une fausse image, et faire semblant d’être «bien».

Pense à toute la tension dans le corps, et aux dommages causés à notre système immunitaire, quand nous vivons dans la peur de  » nous montrer ». Prends le risque de dire ta vérité. La vérité dont tu as peur. La vérité dont tu crois que le monde dépend. Trouve une personne sûre – un ami, un thérapeute, un conseiller, toi -même – et laisse-les entrer. Laisse-les te tenir alors que tu te brises. Laisse-les t’aimer alors que tu pleures, rages, trembles de peur, que tu es en plein gâchis.

Dis ta putain de vérité à quelqu’un – cela pourrait simplement te sauver la vie, te guérir du plus profond de toi et te connecter à l’humanité d’une manière que tu n’avais jamais imaginée. »

Auteur du texte : ◦ ○ 💛 ○ ◦ Jeff Foster …..⭐️