Bonjour, je vous espère en pleine forme. Je vous partage ce matin un texte d’Alejandro Jodorowsky.
Ils t’appelleront « bizarre » ou « dingue » parce que tu es née avec le don de voir les choses autrement, différemment, et cela leur fait peur!
Ils t’appelleront « intense » parce que tu l’es, car tu es née avec la valeur bien mise pour te permettre de tout essayer pleinement, et cela les intimide.
Ils t’appelleront « égoïste » parce que c’est le cas, oui tu as découvert que tu es la chose la plus importante dans ta vie et cela ne leur convient pas.
Ils t’appelleront de nombreuses façons, avec beaucoup de jugements, pendant longtemps.
Mais surtout, reste immobile en toi et dans ce que tu veux, et je te promets qu’un jour, ils t’appelleront pour te dire : « Merci d’Exister! »
Bravo à ceux qui sont sortis de cette bulle et qui en paient le prix en silence, courage et honneur à vous…. Pour les autres l’histoire vous le rappellera……
Nous sommes totalement responsables de notre dépendance à ce néant, à ce consumérisme, à ce matérialisme, à ce monde imaginaire qui fait de nous des êtres possédés et arrachés à nos origines, à notre vraie vie !
C’est à nous de cesser d’être les larbins, d’être les idiots très utiles de ce système qui n’a que faire de nos misérables conditions tant qu’ils s’engraissent.
C’est à nous de cesser de l’alimenter, à nous de désobéir, à nous de renoncer à cette bulle faussement étincelante qui sous peu va éclater.
C’est à nous, de non pas désigner qui sera leur prochain VRP via les urnes, mais de fuir cette fabrication commerciale, et toutes ces idéologies elles aussi créées de toutes pièces pour nous diviser et nous faire appartenir à des clans, des sectes.
Là est notre liberté et notre pouvoir de ne plus alimenter ce monde purement trompeur, illusoire, mensonger.
Tout leur système repose sur notre adhésion ou pas.
Bonjour, je vous espère en forme. Je vous partage un très beau texte sur la mort :
La Mort, c’est l’Âme hors…
A toi qui pleures mon départ …
Remets de la lumière dans ta vie.
J’en fais encore partie
N’aie aucun doute.
Je te vois, je t’entends, je sens la chaleur de ton souffle et je frôle tes larmes. Je n’ai pas les moyens physiques de manifester ma présence, mais je suis là, à tes côtés.
J’ai un peu perdu la notion du temps et de l’espace. Tout est si grand ici ! Tu devrais voir les couleurs magnifiques que je ne peux décrire et tous ces êtres d’amour qui m’entourent. Oui il y a un paradis ! Il est beau, tellement beau ! Tout comme cet amour que je te porte.
Je crois rêver et pourtant ma réalité est bien palpable. Que de légèreté ! C’est ce que je ressens … la légèreté. Tout est possible ici. Je ne suis pas « en fin de vie »,
je suis « ENFIN EN VIE » … alors que vous, vous parlez de ma mort.
Ne laisse pas le chagrin alourdir ton cœur alors que la joie déborde pour moi en ce moment. Mes moments de tristesse surviennent lorsque je te vois pleurer. Ne perds pas ce temps précieux. Vi s! C’est ton devoir actuel. Souviens-toi de ta mission…oui je sais sur terre on ne se souvient pas de cette mission. Alors écoute ton âme, ton cœur. Ils désirent te parler et te dire comment profiter pleinement de ton passage sur terre.
À toi qui pleures mon départ, je t’offre mon sourire et mes rires que tu connais si bien. Prends-les et distribue-les. Cette joie de vivre ne doit pas se perdre. Je veux t’entendre chanter, te voir danser ! Remets de la lumière dans ta vie. J’en fais encore partie, n’aie aucun doute !
Même d’ici, je t’aime toujours …💖
Témoignage reçu par l’auteure Denise Morais-dans mes mots
Un voyageur quitta l’Inde pour se rendre en Afrique afin d’y acheter des produits locaux et des animaux. Alors qu’il se trouvait dans la jungle, il vit des milliers de magnifiques perroquets bariolés qui savaient parler. Il décida de capturer l’un de ces perroquets doués de parole et de le ramener chez lui pour en faire un oiseau domestique. Une fois arrivé chez lui, il mit le perroquet en cage et le nourrit de délicieuses graines et de miel. Il faisait écouter de la musique à son oiseau et le traitait bien.
Lorsque le moment fut venu de retourner en Afrique, deux ans plus tard, il demanda à son perroquet s’il souhaitait faire parvenir un message à ses amis dans la jungle. Le perroquet pria son maître de leur dire qu’il était très heureux en cage, que chaque journée était très agréable et qu’il les aimait tous.
Quand le voyageur arriva en Afrique, il transmit ce message aux perroquets de la jungle. Juste au moment où il finissait de leur donner ce message, les yeux de l’un des perroquets s’emplirent de larmes et il tomba raide mort. L’homme en fut alarmé et conclu que ce perroquet avait probablement eu des liens très étroits avec celui qui se trouvait dans la cage et que tel était la raison de sa tristesse et de son décès.
Lorsque le voyageur rentra en Inde, il raconta à son oiseau domestique ce qui s’était passé. Au moment où il termina son histoire, les yeux du perroquet domestique s’emplirent de larmes et il tomba raide mort dans sa cage. L’homme en fut stupéfait, mais il conclut que son oiseau était mort de désespoir d’entendre les nouvelles du décès de son grand ami dans la jungle.
Le commerçant ouvrit la cage et jeta l’oiseau mort sur un monceau de déchets.
L’oiseau domestique déploya alors immédiatement ses ailes et se percha sur une branche dans le jardin. – Eh bien, tu n’es pas mort du tout ! Mais pourquoi as-tu agi ainsi ? Tu m’as dupé ! – Car cet oiseau d’Afrique m’a envoyé un message très important. – Quel était ce message ? – Il m’a dit que si l’on veut s’échapper de sa cage, il faut mourir pendant qu’on est en vie.
« Mourir pendant que nous sommes en vie nous donne la seule occasion que nous n’aurons jamais de sortir de cet emballage qui nous contient temporairement. » – Dr Wayne Dyer
Je vous partage, ce matin, un texte de Paul Degryse
Selon les chamans toltèques, il y a deux sortes d’humains sur Terre : ceux qui prennent le temps de s’interroger sur les gens et sur le sens de l’univers et de se demander qui ils sont et ce qu’ils font là, des hommes que les réponses toutes faites proposées par la société dans laquelle ils vivent ne satisfont pas et qui vont faire de ces deux questions le fondement d’une vie nouvelle, imprégnée d’un irrésistible parfum de liberté.
Et puis il a les autres, ceux qui, riches ou pauvres, cultivés ou non se seront très tôt laissés hypnotiser par le brouhaha, les nécessités et les mirages de la vie quotidienne au point de ne jamais trouver le temps de se poser ce genre de questions, les trouvant inutiles ou même absurdes, une attitude et un choix que les chamans appellent « succomber à l’hypnose socialitaire ».
Aventuriers de l’esprit, les premiers, s’ils persévèrent ont une chance de devenir les créateurs de leur vie, portés par l’énergie du mystère de l’existence parce qu’ils l’auront regardée en face et acceptée. Les seconds vivront le plus souvent dans le conformisme de leur époque, serviteurs du système en place, tournant le dos à l’inexpliqué et, par là, à eux-mêmes.
Le monde est en effet le miroir que chaque individu perçoit, une projection de soi, un processus circulaire que les chamans appellent « l’anneau de pouvoir ». Comme le miroir, le monde ne nous renvoie que la représentation qu’en fabriquent nos perceptions personnelles, nos croyances et nos humeurs. Le vrai pouvoir de changer les choses se découvre et s’exerce à l’intérieur de soi, sur l’intérieur de soi.
Tous les psychothérapeutes dignes de ce nom et tous les chamans pratiquant la guérison spirituelle depuis de longues années sont amenés un jour ou l’autre à se demander pourquoi il est si difficile pour l’être humain de changer des croyances ou des comportements qui sont pourtant, à l’évidence, la cause de tant de souffrances, de mal-être et même de graves maladies. Mais il leur suffit de se rappeler combien de mémoires ancestrales, prénatales familiales, éducatives et socialitaires ont façonné leur personnalité pour avoir la réponse : l’homme est littéralement et jusqu’au plus profond de ses cellules infiltré de programmations d’ordre karmique, culturel et affectif qui sont autant d’obstacles à tout changement.
Travailler sur soi devient ainsi le seul espoir pour l’homme de se libérer et de devenir celui que, tout au fond de lui, son nagual lui murmure qu’il peut-être. Il est bien placé pour cela puisqu’en lui résident tous les changements et les potentiels créatifs de l’univers !
« L’homme ne naît pas libre mais il est libre de se libérer ». C’est donc pour lui à la fois une chance extraordinaire d’en avoir un jour le désir et sa plus grande responsabilité.
Les sages taoïstes désignent le travail sur soi par l’expression « chevaucher le tigre ». Le tigre représente à leurs yeux cette force irrépressible qui fait mourir et renaître en permanence tous les êtres. En travaillant sur soi, on ose affronter au lieu de fuir, on bondit sur son dos, on l’enfourche et on se fond dans sa force pour mieux orienter celle-ci pendant que s’éveille peu à peu la conscience de notre identité avec lui.
« Bien sûr tu m’as trahi mais, tu sais, je me suis trahi(e) moi-même toute ma vie. Je n’ai pas suffisamment écouté la petite voix qui me parlait, j’étais trop pressé(e) d’être aimé(e). Bien sûr tu m’as rejeté mais, tu sais, je me suis rejetée(e) moi-même toute ma vie. Je n’ai fait que m’acclimater et m’accommoder dans l’espoir d’être aimé(e). Bien sûr tu m’as humilié mais tu sais, je me suis humilié(e) moi-même toute ma vie en acceptant moins que ce que je méritais. Bien sûr tu m’as abandonné, mais tu sais, je ne t’avais pas attendu pour l’être. Cela faisait des années que je l’étais, ma vie était un immense chantier où seul comptait le fait d’aider et d’avoir une utilité. Bien sûr tu ne m’as pas respecté, mais tu sais, je ne savais pas me respecter moi-même ni me faire respecter. J’étais corvéable à merci, mon corps, mon coeur, mon temps, mon espace étaient des tapis sur lesquels on pouvait allègrement s’essuyer les pieds. Alors promis, je ne t’accuserai plus jamais. Parce que maintenant, je ne me trahirai plus. Parce que maintenant, je ne me rejetterai plus. Parce que maintenant, je ne m’humilierai plus. Parce que maintenant, je ne m’abandonnerai plus. Parce que maintenant, je vais enfin me respecter et à mon essence me connecter. Et tu verras, ma vie, comme par magie, va s’éclairer et s’illuminer. Tout va changer. »
Elle peut paraître si dure et si compliqué,si belle et si douce
On a l’impression qu’elle passe en un clic et parfois elle est si longue…..
Elle nous apporte son lot de bonheur, de fous rire, de pleurs ,de questionnement , de malheur et de douceur.
La vie nous donne une leçon.
Cette leçon n’est pas équitable d’un individu à un autre mais elle nous apprend chaque jour à voir ce qui est beau.
On se plaint de courir partout pour les enfants mais combien ici aimeraient à nouveau être épuisé pour son enfant qu’ils n’ont plus ?
On se plaint de beaucoup de choses mais sommes nous les plus malheureux par rapport à d’autres pays ou population ?
La vie nous apprend à apprécier tout ce que l’on possède et aujourd’hui sachez que la richesse du cœur est vraiment le principal.
Cette richesse personne peut nous la prendre.
Il faut savourer la vie.
Levez les yeux pour regarder les oiseaux, écouter le vent dans les arbres, sentir l’herbe coupée et les oiseaux chanter.
Il faut vraiment profitez des gens que vous aimez, leurs dire ce que vous ressentez pour ne jamais rien regretter. Il faut arrêter de vous détester et si tel est le cas les réseaux sociaux n’est pas un défouloir de haine. Le silence est la plus belle intelligence. Focalisez vous sur vous et sur le positif qui vous entoure. Vous verrez que votre santé ira mieux et que votre moral sera moins impacté.
Il faut aider quand vous le pouvez et quand cela est nécessaire. Même un sourire à quelqu’un ne coûte rien mais donne beaucoup.
La vie c’est profiter de chaque instant en ce disant qu’il est important de les vivre
Texte de là haut
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience