Archives de catégorie : Textes à méditer

Des petits textes pour nous donner à réfléchir

Une nouvelle épidémie se propage rapidement

L’OMB prévoit que des milliards d’individus seront contaminés dans les dix ans à venir.

Cette maladie est extrêmement contagieuse !

Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible.

Une épidémie mondiale de sobriété heureuse est en train de se propager à une allure vertigineuse

Voici les symptômes de cette terrible vague de ré-enchantement  :

1 – Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d’agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.

2 – Manque total d’intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits.

3 – Perte complète de la capacité à se faire du souci (ceci représente l’un des symptômes les plus graves).

4 – Plaisir constant à apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont, ce qui entraîne la disparition de l’habitude de vouloir changer les autres.

Un indicateur pour mesurer le bonheur des Français chaque trimestre | Les  Echos

5 – Désir intense de se transformer soi-même pour gérer positivement ses pensées, ses émotions, son corps physique, sa vie matérielle et son environnement afin de développer sans cesse ses potentiels de santé, de créativité et d’amour.

6 – Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit « merci » et donne un sentiment d’unité et d’harmonie avec tout ce qui vit.

7 – Ouverture sans cesse croissante à l’esprit d’enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.

8 – Moments de plus en plus fréquents de communication consciente avec son Ame, non-duelle… Être, ce qui donne un sentiment très agréable de plénitude et de bonheur.

9 – Plaisir de se comporter en facilitateur qui apporte joie et lumière plutôt qu’en critique ou en indifférent.

10 – Capacité à vivre seul, en couple, en famille et en société dans la fluidité et l’égalité, sans jouer ni les victimes, ni les bourreaux, ni les sauveurs.

11 – Sentiment de se sentir responsable et heureux d’offrir au monde ses rêves d’un futur abondant, harmonieux et pacifique.

12 – Acceptation totale de sa présence sur terre et volonté de choisir à chaque instant, le beau, le bon, le vrai et le vivant.

Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, la dépendance, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes.

Les traitements médicaux peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes mais ne peuvent s’opposer à la progression inéluctable de l’âme.

Aucun vaccin anti-bonheur n’existe.

L’OMB (Organisation Mondiale du Bien-Être)

Mes ancêtres

Bonjour, je vous espère en super forme.

Je vous partage un texte de Annie ARMAND-NOUVEL

Bonne lecture.

Mabelle

Ils se multiplient tous en remontant les ans

S’évanouissent ensuite dans la nuit des temps.

Leur nombre exponentiel me donne le vertige.

Ils forment une branche, un rameau, une tige.

De plus en plus petits, de plus en plus lointains.

Mais que serait mon arbre sans cet apport sans fin ?

Peut être une illustration

C’est dans cette abondance qu’il vient puiser sa sève, dans cet aspect touffu qu’enfin prend corps mon rêve.

Avant de s’en aller, hélas, à tout jamais, ils ont pleuré, dansé et ils se sont aimés.

Ils ont connu des joies, des drames, des souffrances, la famine, le froid, le bonheur, les errances.

Les invasions, la peur, le progrès et la paix, ont manié la faux, le rouet ou l’épée, se déplaçant à pied, à cheval, en carrosse,

Rrestant près du clocher ou bien roulant leur bosse.

A travers les époques, les coutumes, les lois,

Avec des empereurs, des présidents, des rois

Du fabricant de drap au maréchal ferrant

Du pauvre journalier au riche paysan.

Sur une vaste fresque que chacun d’eux a peinte.

Sans se douter, qu’un jour, sur un ordinateur

Leur existence enfin serait mise à l’honneur !

Sans cette chaîne humaine, sans ces précieux maillons

Qu’ils soient en beaux atours ou qu’ils soient en haillons,

Sans ces vies, ces naissances, ce cycle interminable

Qui n’était pas pour eux toujours très charitable,

Sans ce fil qu’ont tissé maintes générations,

Avec persévérance, avec obstination,

Je ne serais pas là pour leur dire merci.

Oui, ce sont mes ancêtres !

Peut-être les vôtres aussi ?

Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer

Bonjour, comment allez-vous ?

Je vous partage ce matin un message d’Anthony Hopkins.

Belle lecture

Mabelle

Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer.

C ‘est la chose la plus difficile que tu auras à faire dans ta vie et ce sera aussi le plus important.

Peut être une image de 1 personne, montre-bracelet et texte

Arrête d’avoir des conversations difficiles avec des gens qui ne veulent pas changer.

Cesse d’apparaître pour les personnes qui ne t’intéressent pas.

Je sais que ton instinct est de faire tout ce qui est possible pour gagner l’appréciation de ceux qui t’entourent, mais c’est un élan qui vole ton temps, ton énergie, ta santé mentale et physique.

Quand tu commences à te battre pour une vie avec joie, intérêt et engagement, tout le monde ne sera pas prêt à te suivre à cet endroit.

Cela ne veut pas dire que tu dois changer ce que tu es, cela signifie que tu dois laisser partir les personnes qui ne sont pas prêtes à t’accompagner.

Si tu es exclu, insulté, oublié ou ignoré par les personnes à qui tu offres ton temps, tu ne te rends pas service en continuant à leur offrir ton énergie et ta vie.

La vérité c’est que tu n’es pas pour tout le monde et que tout le monde n’est pas pour toi.

C ‘ est ce qui rend si spécial quand tu trouves des personnes avec qui tu as de l’amitié ou de l’amour mutuels. Tu sauras à quel point c’est précieux parce que tu as expérimenté ce qui ne l’est pas.

Il y a des milliards de personnes sur cette planète et beaucoup d’entre elles tu ne les trouveras pas à ton niveau d’intérêt et d’engagement.

Peut-être que si tu arrêtes d’apparaître, ils ne te chercheront pas. Peut-être que si tu arrêtes d’essayer, la relation s’arrête. Peut-être que si tu arrêtes d’envoyer des messages, ton téléphone restera silencieux pendant des semaines.

Ça ne veut pas dire que tu as ruiné la relation, ça veut dire que la seule chose qui la soutenait était l’énergie que tu donnais pour la maintenir.

Ce n’est pas de l’amour mais de l’attachement. C ‘ est donner une chance à ceux qui ne le méritent pas !

Tu mérites beaucoup plus.

La chose la plus précieuse que tu as dans ta vie, c’est ton temps et ton énergie, puisque les deux sont limités.

Aux gens et aux choses à qui tu donnes ton temps et ton énergie, cela définira ton existence. Lorsque tu réslises cela, tu commences à comprendre pourquoi tu es si impatient lorsque tu passes du temps avec des personnes, des activités ou des espaces qui ne te conviennent pas et ne doivent pas être proches de toi. Tu commenceras à réaliser que la chose la plus importante que tu puisses faire pour toi-même et pour tous ceux qui t’entourent, c’est de protéger ton énergie plus férocement que tout autre.

Fais de votre vie un abri sûr, où seuls les personnes ′′ compatibles ′′ sont autorisées. Tu n’es responsable de sauver personne. Tu n’es pas responsable de les convaincre de s’améliorer. Ce n’est pas ton travail d’exister pour les gens et de leur donner ta vie !

Tu mérites de vrais amitiés, de vrais engagements et un amour sincère avec des personnes saines et prospères.

La décision de prendre des distances avec des personnes nocives te donnera l’amour, l’estime, le bonheur et la protection que tu mérites. Anthony Hopkins

Qu’est ce que la foi ?

Bonjour, je t’espère en forme.

« LA FOI » Lorsqu’on parle de foi, certaines personnes s’imaginent automatiquement que nous parlons de religion

La foi : c’est le souffle sur tes ailes, c’est la confiance qui brûle ton coeur, c’est la petite voix qui te guide sur ton chemin, c’est la lumière qui brille en ton âme.

La foi : c’est l’amour que tu offres à tes rêves. C’est la compassion que tu as pour toi, et pour les autres, c’est le sourire que tu portes sur tes lèvres

.La foi : c’est lorsque tu n’essaies pas de contrôler les événements dans ta vie, c’est quand tu lâches prise et que tu vas de l’avant.

La foi : c’est quand tu tends l’oreille aux murmures des anges, à l’énergie qui vibre en toi, à la Source, à ces instants de plénitude.

La foi : c’est quand tu vis l’instant présent, et que tu l’apprécies pleinement.

Peut être une image de type animation de arbre et plein air

La foi : c’est quand tu es reconnaissant de ta vie, de chaque moment de ton existence, de l’air que tu respires, du soleil sur ta peau, de la nourriture dans ton assiette, et du toit sur ta tête.

La foi : c’est un ensemble et non une frontière ni un obstacle.

La foi : c’est toi et c’est moi. Ayons foi en nous, en la vie, en l’amour.

Ayons foi dans le respect de soi mais aussi le respect de l’autre.

Ayons foi en des jour meilleurs car nous savons tous qu’après la pluie vient toujours le beau temps.

F = Force O = Originelle I = Intérieure

Prends soin de toi et des tiens

Mabelle

Je suis une femme

Bonjour, comment allez vous ?

Un petit texte pour toutes les femmes … et pour les hommes qui les respectent aussi

Merveilleuse journée.

Prenez soin de vous. Mabelle

Je suis une femme libre, qui s’aime, qui s’écoute, qui prend soin d’elle, qui se remet en question afin d’être mieux qu’hier, qui est passionnée, une femme douce et sauvage à la fois.

Et je suis aussi une femme qui doute, qui pleure, qui fatigue, qui parfois ne fais rien, qui a peur, qui a tort.

Mais je suis une femme qui ne reste pas dans le doute, qui pleure parce que c’est bénéfique et humain, qui fatigue parce qu’une journée à été beaucoup plus riche que l’autre, qui prend une journée pour ne rien faire car c’est normal, qui essaye de comprendre d’où vient la peur et de la vaincre et qui apprend de son cheminement.

Je suis une femme, oui, j’ai mes faiblesses, oui, mais je les tranforment afin qu’elles deviennent une force.

Je suis une femme, oui, j’ai mes poids, oui, mais je travaille sans cesse afin de pouvoir les soulever le plus facilement.

Je suis une femme, oui, et je me construit en tant que telle, comme la femme que je voudrais être demain, et je le deviens.

Je n’attends rien de personne, je ne cours après personne, je ne dépend de personne, je ne compte sur personne car je sais que tout doit venir de moi, et lorsque l’univers fait que quelqu’un m’apporte quelque chose sans que je l’ai demandé, je l’accueille comme un cadeau.

Je suis une femme consciente, éveillée et qui s’éveille encore chaque jour car je sais que l’éveil n’a pas de fin.

Je suis une femme connectée, intuitive et je fais en sorte de voir au delà de ce que mes yeux me montrent car je sais que là est la clé de tout.

Je suis une femme aimante, bienveillante j’aime qui je suis, j’aime ce que tu es, tels que nous sommes.

Je suis une femme divine, une âme qui vient de la lumière et qui est lumière.

Je suis une femme entière qui connait sa valeur, qui ne se salit pas, qui ne se mettra jamais dans des situations qui ne vibrent pas ce que je suis.

Je suis une femme qui choisit qui elle est, qui elle veut devenir.

Je suis une femme, je peux être une mère, seulement si j’en ai envie et pas parce que quelqu’un a décidé que toutes les femmes doivent êtres mères.

Je suis une femme et je vis pleinement cette chance de l’être.

Je suis une femme et je revendique des droits sans pour autant encrasser mon prochain.

Je suis une femme, j’ai conscience d’être femme, et je prends en considération celui qui est homme, j’admire celui qui est homme et qui se conduit comme tel, je reconnais sa part d’homme divin et je le remercie d’exister.

Je suis une femme qui a été blessée par l’homme, mais je fais la différence entre l’homme qui blesse et l’homme qui repart, je sais qu’ils ne sont pas tous pareils et je pardonne.

Je pardonne oui, mais je me pardonne moi en tant que femme d’avoir accepté certaines choses qui n’étaient pas moi, je me pardonne d’avoir laissé certaines choses se passer alors que je ne voulais pas.

Je suis une femme qui se pardonne car je mérite le pardon.

Je prends en main ce pouvoir de femme, ce pouvoir de création puissant, ce pouvoir à la source infiniment grande et majestueuse, je le ressens en moi ce pouvoir et je le manifeste.

Je m’ouvre à cette femme. Je suis cette femme. J’aime cette femme.

La vie nous apporte ce dont nous avons besoin

Bonjour,

Je vous espère en pleine forme et profitant de l’été.

Je vous partage ce matin un texte de Delphine Orieux.

Bonne lecture et merveilleuse journée.

Mabelle

Nous sommes tellement soutenus, tellement protégés, par ce qui existe de plus grand en nous. Nous avons tout ce dont nous avons besoin dans notre quotidien et dans nos relations. La vie nous amène sur un plateau ce qui est juste pour nous. Et la société reflète ce qui se vit pour chacun, dans l’ensemble.

Nous pouvons ressentir de l’injustice, du dégoût, du rejet, de l’abandon, de l’humiliation, de la trahison, et toutes sortes de blessures qui découlent de tout ce que nous avons vécu et de ce que les autres vivent autour de nous. Tout ça fait partie intégralement de ce dont nous avons eu besoin jusqu’à maintenant pour comprendre, intégrer et se renouveler en tant qu’être plus unifié.

Tant que l’incompréhension règne, tant que les croyances persistent et tant que nous ne souhaitons pas changer de direction de vie, c’est qu’il y a encore besoin de vivre ces situations, de rejouer des blessures, pour ressentir au plus profond que tout ça n’était qu’un moyen de comprendre.

En tant qu’être humain expérimentateur de ses propres découvertes et de celles du collectif, nous vivons nos aventures quotidiennes ensemble, pour nous aider à nous faire voir, à nous faire entendre, à nous faire sentir, ce que nous avons découvert de nous-mêmes.

Si l’expédition collective de l’humanité engendre moult blessures et crée une société à son image, les découvertes relatives à ce voyage de la vie humaine, permettent de redécouvrir la nature réelle de ce que nous sommes et pour ce faire met en évidence ce que nous ne sommes pas.

Un pauvre et un riche montrent à quel point tout est question de point de vue. Pourtant ces humains vivent des histoires similaires dans leur quotidien, agrémentées de blessures de toutes sortes, propres à leur histoire de vie et de famille.

Le pauvre convoite la même ressource que le riche, et le riche vit dans la peur de perdre sa ressource et pour cela en convoite davantage, pour assurer ses arrières. Le pauvre construit sa vie autour de croyances que cette ressource ne lui est pas accessible et qu’il faut qu’il se contente de ce qu’il a, ou bien qu’il faille lutter pour en avoir, alors que le riche construit sa vie autour de croyances qu’il faut qu’il en gagne plus encore, car il pourrait perdre.

La société s’est construite à cette image, les riches se murent dans leurs forteresses pour se protéger des pauvres ou des autres riches qui pourraient leur prendre. Les pauvres luttent dans leur vie pour avoir des ressources ou se contentent du peu qu’ils ont pour survivre. Et ainsi des guerres et des conflits sont alimentés par la peur de perdre ou la lutte pour sa survie, et les riches jouent avec cette peur pour tirer profit de ces situations et s’enrichir encore.

Grâce à la répartition décidée de ces ressources, les besoins de base comme le logement et l’approvisionnement en nourriture sont contrôlés par des taux de banque, immobiliers, des taxes, des impôts et par des conditions pour en bénéficier. Ce qui permet de parquer les pauvres dans des boîtes en béton, dans des villes et de les laisser lutter entre eux pour leur survie, tandis que les riches vivent gracieusement dans leurs forteresses, en quête de plus de pouvoir et de richesse.

Et maintenant nous pouvons associer les deux, le riche et le pauvre, pour les transformer en Un

La peur de perdre ses biens avec la peur de manquer de ressources. Pour comprendre que l’abondance se trouve au point de neutralité, dans la confiance que tout est déjà en nous. Pour comprendre que les ressources sont déjà en nous et que le chemin pour y accéder se crée avec la libération de tous les obstacles limitants qui permettent enfin de les voir.

Et nous pouvons remplacer ressource d’argent par l’Amour, par l’affection, par la santé. Et tous les sentiments comme la colère, la haine, la rancœur, la jalousie, la cupidité, etc. découlent de la souffrance créée par ces manques. Et tous les états d’être déficients comme le mensonge, l’injustice, la manipulation, la maladie, la trahison, l’humiliation, etc., découlent de ces sentiments.

Parmi toutes nos vies, nous avons été les deux, dans tous les domaines, avec toutes les ressources, dont nous avions besoin pour grandir, pour comprendre, pour intégrer.

Dans cette belle école de la vie, nous avons tout ce dont nous avons besoin, pour retrouver l’équilibre et le point de neutralité, dans chaque aspect des ressources que nous apporte la vie.

Le mode d’emploi est fourni avec la vie, là encore, vivre ses expériences permet de décortiquer les étapes, pour les intégrer petit à petit.

Même si les parts d’ombre nourrissent l’ombre, la mise en lumière grandissante illumine l’ombre, en nous, si tant est que nous lui accordons l’autorisation d’intervenir, dans tous les aspects de notre vie.

Apprendre une leçon chaque jour

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage un texte de C.Carter-Scott

Bonne lecture.

Mabelle

Chaque jour, l’occasion nous est donnée d’apprendre une leçon.

Qu’elle nous plaise ou non, elle est inscrite au programme.

Chaque circonstance de la vie est une occasion supplémentaire d’apprendre.

Si vous souffrez, vous apprenez une leçon.

La peur de souffrir est pire que la souffrance elle-même - Nos Pensées

Si vous éprouvez de la joie, vous en apprenez un autre.

Chacun de vos actes, chacun des événements de votre existence, vous enseigne quelque chose de nouveau.

Il n’y a aucun moyen d’échapper à cette évidence.

Peut-être ne comprendrez-vous jamais pourquoi vous avez la chance d’avoir trouvé le partenaire idéal, alors que vos amis se déchirent en vaines querelles et finissent par se quitter ou par divorcer, ni pourquoi vous vous débattez dans les difficultés financières alors que vos amis n’ont qu’à ouvrir leur portefeuille pour résoudre leurs problèmes.

Mais une chose est sûre : un jour ou l’autre, la leçon dont vous avez besoin pour progresser se présentera.

À ce moment-là, il vous appartiendra d’accepter ou non de l’apprendre.

Ne cédez pas à la tentation de comparer votre destin à celui des personnes qui vous entourent.

N’oubliez pas que les leçons qui vous attendent sont toujours adaptées à vos besoins et que vous êtes capable de faire face.

C’est le seul moyen d’avancer sur le chemin de la vie.

Si vous êtes capable de relever ce défi,

Vous comprendrez ce que vous faites sur terre, et vous vivrez plus intensément ce mystère.

Vous cesserez d’être une victime des circonstances ou du destin, et vous donnerez libre cours à la force qui est en vous, pour maîtriser votre vie.

En cherchant à vivre l’existence pour laquelle vous êtes fait, vous verrez s’épanouir des dons inattendus, à côté desquels vous auriez pu passer sans jamais les voir.

Le processus n’est pas simple, mais les résultats valent très largement les efforts que vous serez appelé à faire.

L’homme ne nait pas libre mais il est libre de se libérer

Bonjour,

J’espère que vous allez bien. Je vous partage ce matin un texte de Paul Degryse.

Bonne lecture.

Mabelle

Selon les chamans toltèques, il y a deux sortes d’humains sur terre : ceux qui prennent le temps de s’interroger sur les gens et sur le sens de l’univers et de se demander qui ils sont et ce qu’ils font là, des hommes que les réponses toutes faites proposées par la société dans laquelle ils vivent ne satisfont pas et qui vont faire de ces deux questions le fondement d’une vie nouvelle, imprégnée d’un irrésistible parfum de liberté.

Et puis il a les autres, ceux qui, riches ou pauvres, cultivés ou non se seront très tôt laissé hypnotiser par le brouhaha, les nécessités et les mirages de la vie quotidienne au point de ne jamais trouver le temps de se poser ce genre de questions, les trouvant inutiles ou même absurdes, une attitude et un choix que les chamans appellent « succomber à l’hypnose socialitaire ».

Aventuriers de l’esprit, les premiers, s’ils persévèrent ont une chance de devenir les créateurs de leur vie, portés par l’énergie du mystère de l’existence parce qu’ils l’auront regardé en face et accepté. Les seconds vivront le plus souvent dans le conformisme de leur époque, serviteurs du système en place, tournant le dos à l’inexpliqué et, par-là, à eux-mêmes.

Le monde est en effet le miroir que chaque individu perçoit, une projection de soi, un processus circulaire que les chamans appellent « l’anneau de pouvoir ».

L'effet miroir : l'autre est un autre soi | Omalaya voyage initiatique,  spirituel et en conscience en Inde, Nepal, Tibet, Bouthan, Bali

Comme le miroir, le monde ne nous renvoie que la représentation qu’en fabriquent nos perceptions personnelles, nos croyances et nos humeurs. Le vrai pouvoir de changer les choses se découvre et s’exerce à l’intérieur de soi, sur l’intérieur de soi.

Tous les psychothérapeutes dignes de ce nom et tous les chamans pratiquant la guérison spirituelle depuis de longues années sont amenés un jour ou l’autre à se demander pourquoi il est si difficile pour l’être humain de changer des croyances ou des comportements qui sont pourtant, à l’évidence, la cause de tant de souffrances, de mal-être et même de graves maladies. Mais il leur suffit de se rappeler combien de mémoires ancestrales, prénatales familiales, éducatives et socialitaires ont façonné leur personnalité pour avoir la réponse : l’homme est littéralement et jusqu’au plus profond de ses cellules infiltré de programmations d’ordre karmique, culturel et affectif qui sont autant d’obstacles à tout changement.

Travailler sur soi devient ainsi le seul espoir pour l’homme de se libérer et de devenir celui que, tout au fond de lui, son nagual lui murmure qu’il peut-être.

Il est bien placé pour cela puisqu’en lui résident tous les changements et les potentiels créatifs de l’univers !

« L’homme ne naît pas libre mais il est libre de se libérer ».

C’est donc pour lui à la fois une chance extraordinaire d’en avoir un jour le désir et sa plus grande responsabilité.

Les sages taoïstes désignent le travail sur soi par l’expression « chevaucher le tigre ». Le tigre représente à leurs yeux cette force irrépressible qui fait mourir et renaître en permanence tous les êtres.

En travaillant sur soi, on ose affronter au lieu de fuir, on bondit sur son dos, on l’enfourche et on se fond dans sa force pour mieux orienter celle-ci pendant que s’éveille peu à peu la conscience de notre identité avec lui.

Etre libre demande du courage

Etre libre demande un certain courage, le courage de se libérer d’un semblant de sécurité.

Peut être une image de plein air

Le courage d’oser être soi.

Le courage d’assumer ses choix.

Le courage de se détourner de ce que les autres attendent.

Le courage de se faire passer en priorité.

Le courage de se responsabiliser.

Le courage de ne plus rien attendre de personne.

Le courage d’apprendre toujours plus.

Le courage de donner le meilleur de soi.

Le courage de choisir, se choisir et le courage d’aimer qui on veut.

Oui, dans cette société basée en grande partie sur la conformité, qui nous conforte par habitude, dans une forme de victimisation, il faut un certain courage pour oser briser ses chaînes, prendre soin de soi, et être.

Sortir du cocon devenu inconfortable, et Vivre. Tout simplement.

Alexandre JOLLIEN

Je regarde ma vie

Je me suis assise un instant au bord de ma vie ! J’ai regardé passer les gens qui l’avaient remplie…

Il y avait des bons, des gentils et des méchants.

Vus d’ici, je pouvais les contempler en pensant

Que certains l’avaient comblé de beaucoup de joies,

Que d’autres, en revanche, avaient abusé de moi.

Jeune Femme Avec Sac à Dos Assis Sur Le Bord De La Falaise Et En Regardant  Vers Les Montagnes Et Le Ciel Clair. Été Randonnée Aventure Banque D'Images  Et Photos Libres De

Fallait-il, de ces derniers, regretter leur passage ? Sachant qu’avec eux j’avais fait l’apprentissage

De la méfiance, du mensonge et de la trahison… Et qu’ils avaient été une leçon, me réveillant de mes songes !

J’étais assise, sereine et à voir l’ensemble ainsi, je me rendais compte qu’il ne restait que les bons et les gentils.

À regarder dans ma direction avec franchise, je ne voyais plus les visages de mes méprises.

Je me suis levée et vers la franchise j’ai tendu les bras…

J’ai, d’un battement de cil, déshumanisé les scélérats !

Le regard droit vers le reste de mon chemin, je me suis prise, pour le reste de la route, par la main,

Et j’ai dit : « Viens, on part ensemble vers demain ».

Marie Buisson