Attraper le bonheur, c’est vouloir retenir un papillon dans sa main ou le prendre avec un filet.
Tu précipites le filet sur lui et il s’abîme, c’est un bonheur gâché. Si c’est un bonheur agile, on ne ne peut le faire prisonnier et l’on court sans fin, c’est une agitation inutile, le bonheur est parti. Parfois il se laisse prendre sans dommage, il ne s’est pas débattu et il reste bien sage, un peu frileux sous le filet. C’est un bonheur fragile, fatigué, malade peut-être. Si tu attrapes un beau bonheur, un papillon rare, sans l’abîmer, si tu le prends dans ta paume et que tu la refermes pour l’emprisonner, il ne reste que de la poussière de bonheur sur les doigts, si tu le piques sur un bois, il meurt. Il faut être comme l’arbre à papillons, prêt à accueillir le bonheur, et tu verras, il viendra sur ton épaule. Bernard Giraudeau
Dire NON parce que je suis fatigué et que j’ai besoin de repos.
Dire NON parce que ça dépasse mes limites physiques et/ou émotionnelles.
Dire NON parce que ce n’est pas une urgence.
Dire NON parce que ça ne correspond plus à ce que je veux. Dire NON parce que ça ne correspond pas à mes valeurs.
Dire NON parce que ce genre d’activité m’ennuie.
Dire NON parce que ce genre de personne me prend toute mon énergie.
Dire NON parce que je ne me sens pas respecté dans mon corps quand tu agis ainsi.
Dire NON parce que je ne me sens pas valorisé lorsque je suis en ta présence.
Dire NON parce que je n’ai pas de joie à faire cela.
Dire NON parce que ce n’est tout simplement pas ce que je veux !
Tous, nous avons nos limites qui sont personnelles et qui ne se comparent pas à celles des autres. Le plus souvent, la peur de perdre, la peur de blesser ou la peur de décevoir va faire en sorte que nous n’oserons pas nous choisir.
La culpabilité peut aussi être un facteur important qui joue dans nos décisions.
Prenez un moment pour regarder ce qui vous empêche de dire NON.
Par la suite, un pas à la fois, osez vous choisir.
Lors d’un séminaire consacré aux couples à l’Université de Fresno (Californie), un des conférenciers a demandé à une femme dans l’assistance : « Votre mari vous rend heureuse ? Vous rend-il vraiment heureuse ? »
À ce moment, le mari a relevé la tête, totalement sûr de lui. Il savait que son épouse répondrait par l’affirmative car elle ne s’était jamais plainte pendant leur mariage.
Cependant, sa femme a répondu par un « non » tonitruant, un « non » bien catégorique ! » Non, mon mari ne me rend pas heureuse ! »
Son mari était complètement déconcerté, mais elle a continué : « Mon mari ne m’a jamais rendu heureuse et Il ne me rend pas heureuse ! Je suis heureuse. Le fait d’être heureuse ou pas ne dépend pas de lui, mais de moi. Mon bonheur ne dépend que d’une seule personne : MOI ! C’est moi qui décide que je serai heureuse dans chaque situation et à chaque moment de ma vie, car si mon bonheur dépendait de quelqu’un, de quelque chose ou d’une circonstance sur la face de la terre, j’aurais de graves problèmes.
« Tout ce qui existe dans cette vie change en permanence : l’être humain, la richesse, mon corps, le climat, ma volonté, les plaisirs, les amis, ma santé physique et mentale. Enfin, … la liste est interminable.
Je dois décider d’être heureuse indépendamment de tout le reste. Que ma maison soit vide ou pleine, je suis heureuse !
Que je sorte accompagnée ou seule, je suis heureuse ! Que je gagne un bon salaire ou non, je suis heureuse ! Je suis aujourd’hui mariée mais j’étais déjà heureuse célibataire. Je suis heureuse par moi-même .
J’appelle « des expériences » les autres choses, personnes, moments, situations. Elles peuvent ou non m’apporter des moments de joie ou de tristesse.
Quand une personne que j’aime meurt, je suis une personne heureuse qui vit un moment inévitable de tristesse.
J’apprends grâce aux expériences passagères et je vis celles qui sont éternelles comme aimer, pardonner, comprendre, aider, accepter, consoler.
Certaines personnes affirment : Aujourd’hui, je ne peux pas être heureux parce que je suis malade, parce que je n’ai pas d’argent, parce qu’il fait très chaud, parce qu’il fait trop froid, parce que quelqu’un m’a insulté, parce qu’une personne ne m’aime plus, parce que je n’ai pas su me mettre en valeur, parce que mon mari n’est pas tel que je l’espérais, parce que mes amis ne me rendent pas heureux, parce que mon travail est inintéressant, et ainsi de suite.
J’aime la vie que je mène mais pas parce que ma vie est plus facile que celle des autres. C’est parce que j’ai décidé d’être heureuse et je suis responsable de mon bonheur.
Quand j’enlève cette obligation à mon mari et à toute autre personne, je les libère du poids de me porter sur leurs épaules. Leur vie est beaucoup plus légère. Et c’est ainsi que j’ai réussi à avoir un mariage heureux tout au long de ces années. »
Ne laissez donc jamais entre les mains d’une autre personne une responsabilité aussi grande que d’assumer et de susciter votre bonheur. Soyez heureuse et heureux, même quand il fait chaud, même quand vous êtes malades, même quand vous n’avez pas d’argent, même quand une personne vous a blessé ou blessée, même quand on ne vous aime pas ou qu’on ne vous estime pas à votre juste valeur.
Un conseil valable pour les femmes et les hommes de tout âge.
Bonjour, je vous partage un texte qui me parle, d’Alexander Hocq, Love Coach, auteur et conférencier expert dans les domaines de la séduction, de la dépendance affective, de la vie de couple et de la reconquête…
Pour une fille qui a été victime d’abus psychologique, l’amour devient une chose qu’elle a du mal à définir.
Son agresseur a changé sa façon de voir la réalité.
C’était normal pour lui de lui dire je t’aime un instant, et juste après l’insulter de tous les noms et lui dire les choses les plus cruelles.
Il l’embrassait et la prenait dans ses bras, puis lui criait dessus et cassait les assiettes pendant qu’ils se disputaient.
C’était toujours elle qui était coupable pour tout. Il avait tellement un don pour jouer la victime qu’elle pensait vraiment que le problème était en elle.
Elle pensait qu’elle devait changer. Elle pensait que c’était de sa faute si elle était malheureuse.
Vous voyez, l’abus psychologique lui a fait croire qu’elle n’était pas assez bien. Cela lui a fait croire qu’elle n’est pas digne d’amour et que la plupart des choses qui lui sont arrivées étaient en quelque sorte de sa faute.
Il lui a fallu beaucoup de temps pour réaliser qu’il ne s’agissait jamais d’elle.
Elle a dû reconstruire sa vie. Elle a travaillé sur ses insécurités et a retrouvé son estime de soi. Peu à peu, elle a appris à s’aimer à nouveau.
L’abus émotionnelle l’a appris à se méfier. Elle a retrouvé sa paix intérieure. Elle a renouvelé sa vie.
Elle est devenue heureuse toute seule, et il lui a fallu tellement de temps pour y arriver qu’elle a peur de le perdre.
Elle a peur que quelqu’un la blesse à nouveau, la ramène au début et que tous ses efforts aient été vains.
Elle n’arrête pas de se dire que tous les hommes ne sont pas son ex. Qu’ils ne sont pas tous pareils. Mais elle ne peut s’empêcher d’avoir peur.
C’est pourquoi elle a besoin de quelqu’un avec qui elle se sentira en sécurité. E
lle a besoin de quelqu’un en qui elle peut avoir confiance. C’est pourquoi elle croit qu’il faut prendre le temps pour faire avancer les choses et créer cette confiance avec son partenaire.
La confiance n’est plus quelque chose qu’elle donne gratuitement. Il faut la mériter.
Elle a besoin d’un homme qui comprendra cela. Un homme qui n’hésitera pas à baisser d’un ton et être tout ce dont elle a besoin.
Si elle trouve cet homme, elle baissera sa garde mais pas avant.
Elle a besoin de quelqu’un qui lui apprendra à arrêter de se battre contre ses sentiments.
Elle a peur de se laisser aller et d’avoir des vrais sentiments. C’est pourquoi chaque fois qu’elle voit qu’elle devient proche de quelqu’un et qu’elle s’attache trop, elle fait marche arrière. Elle s’éloigne, tout en espérant qu’il la ramène encore plus fort.
Elle espère qu’il la rassurera et lui dira que tout ira bien. Quand elle trouvera quelqu’un comme ça, elle donnera peut-être une chance à l’amour, mais pas avant.
Elle veut se sentir suffisamment en sécurité avant de prendre n’importe quel risque.
Elle croit toujours en l’amour, et elle en a toujours envie, mais elle a des normes plus élevées maintenant.
S’il y a une lueur d’espoir dans tout ce qu’elle a vécu, c’est qu’elle a appris à quel point elle est forte et qu’elle doit s’aimer et s’apprécier davantage.
Elle a appris ces leçons à la dure, mais au moins maintenant elle n’a aucun problème à laisser tomber quand elle voit des signes avertisseurs de comportements toxiques et abusifs qu’elle a endurés.
Elle ne tolérera plus jamais une telle chose. Elle a placé la barre plus haut, et ses standards sont plus élevés maintenant.
Elle n’est pas irréaliste. Elle sait juste à quoi l’amour ne devrait jamais ressembler.
Elle sait que l’amour ne devrait pas être une torture. Elle sait que l’amour ne devrait pas vous faire vous sentir mal dans votre peau.
Elle sait que l’amour ne doit pas vous tuer émotionnellement. Elle sait que l’amour devrait être bon et avoir de la complicité. Elle sait que l’amour ne devrait qu’ajouter au bonheur. Elle sait que l’amour ne fait pas mal. Elle sait que l’amour donne des ailes.
LA SOLITUDE DES ÊTRES ÉVEILLÉS – Dans l’histoire de l’humanité, il y a toujours eu des personnes qui se sentent seules malgré le fait d’être entourées de gens. Pourquoi ne s’intègrent-elles pas dans le monde commun ? Pourquoi semblent-elles être des personnes différentes ou rares ? Et pourquoi ne semblent-t-elles pas se conformer à rien ?
DE VIEILLES ÂMES – Parce que ces gens sont en fait de « vieilles âmes » leur conscience sait que leur corps est d’ici, mais leur esprit appartient aux cieux étoilés. Ce sont des personnes qui vivent dans le monde réel, celui de la magie et de l’esprit et non dans le monde des illusions vendu comme le monde réel. Le solitaire a peu d’ami(e)s parce que par vibration il ne se connecte qu’à peu de personnes. Sa maison est un sanctuaire de sa magie que tout le monde ne comprend pas ; les bougies, les cristaux, les encens, l’artisanat, les plantes, abondent partout.
DIFFÉRENT MAIS PAS OPPOSÉ – Il n’est pas ordinaire et son environnement non plus. Il n’est pas compris mais ne s’en soucie pas. Il ne parle ni de mode ni de l’actualité médiatique ; il parle d’Univers, de conseils, de rêves, de magie, d’esprits, de conscience, de spiritualité, d’amour… Il est hautement emphatique, sensible, vrais et ne s’adapte pas à un monde d’apparences, de déguisements ou de façades.
POURQUOI CETTE SOLITUDE ? D’abord, parce qu’il sait que le matériel n’est pas tout et qu’il reconnaît notre matière et notre esprit de dualité. Parce que l’esprit lui apprend d’abord à s’aimer et savoir être avec lui-même, puis à partager avec les autres et à s’étendre de lui-même aux autres. Une telle personne n’a pas peur de la solitude au contraire, elle l’utilise pour sa croissance, pour se regarder à l’intérieur et activer davantage ses sentiments qu’elle partage ensuite en cercles avec d’autres personnes, qui, bien qu’elles soient distantes, se sentent proches par affinité des fréquences vibrationnelles.
Une telle personne doit décomposer de nombreuses contre-vérités à sa manière sur son chemin avant de la rencontrer ou de se rencontrer elle-même, vivante dans d’autres corps. Mais quand elle se retrouve… sa famille d’âmes apparaît sur son chemin. Alors oui parfois nous nous éloignons des autres, mais c’est pour nous retrouver.
Les femmes traumatisées ont le potentiel de devenir les personnes les plus puissantes de ce monde.
Les membres les plus ignorants de la société qualifient ce type de femme ′′ d’endommagée. » Mais elle est le type de femme le plus puissant qui existe.
Ce qu’ils oublient c’est que les survivants ont l’avantage le plus dangereux de tous : la résilience
Lorsque vous essayez et que vous essayez mais vous ne pouvez jamais faire tomber une femme, vous savez qu’il n’y a pas de retour en arrière. Ne vous ridiculisez pas. Vous ne pourrez jamais la vaincre.
C’est la femme qui ressuscitera toujours d’entre les morts
Lady Lazarus, après avoir vécu l’enfer s’est brûlés les pieds dans les flammes à maintes reprises et vit toujours pour raconter une autre histoire même si elle doit revenir à la vie.
Elle n’a jamais reçu d’amour ou d’approbation sur un plateau d’argent, donc pour survivre, elle a dû s’aimer d’une manière dont les autres ne pouvaient que rêver. Elle s’est battue dent et ongle pour sa propre acceptation.
Personne ne l’a câlinée quand elle était enfant ou ne lui a dit de jolies choses ; elle a dû se débrouiller seule à chaque étape du chemin. Elle sait qu’elle peut survivre parce qu’elle l’a déjà et le fera encore.
Quand quelqu’un lui dit : ′′ Tu ne peux pas le faire, » elle dit : ′′ Regarde-moi. »
Elle possède ses ombres et les tisse sans faille dans le tissu de sa liberté, de sa créativité, de son imagination et de son indépendance.
Toute sa vie, elle a reçu toutes les preuves de cruauté humaine.
Elle a compris tôt que les monstres dont les gens rêvaient existaient dans la peau humaine.
Elle a vécu tous ses cauchemars en haute définition. On lui a donné toutes les raisons d’abandonner, a donné toutes les justifications pour ne jamais croire en elle-même ou en personne.
Mais il y a de la magie crue dans la façon dont elle cultive une foi en elle-même, pour manifester les rêves que son âme était destinée à faire émerger.
Malgré tout, elle conquiert toujours.
Elle survit encore et prospère.
La femme ′′ abîmée ′′ est capable d’une manifestation immense non seulement malgré, mais aussi à cause des traumatismes qu’elle a traversés.
Il n’y a personne de plus motivée qu’une femme à qui on a constamment dit ce qu’elle ne peut pas faire ou qui elle ne peut pas être tout au long de sa vie.
Il n’y a personne plus déterminée à réussir que quelqu’un qui n’a plus rien à perdre.
La femme ′′ abîmée ′′ ne s’inscrit pas aux épreuves de son voyage – mais elle joue complètement avec les cartes qui lui ont été distribuées.
La femme ′′ endommagée ′′ n’est pas endommagée du tout – elle est blessée, et dans la canalisation et la guérison de ses blessures, elle devient la source d’une énergie incroyable, le coeur d’un potentiel incroyable d’abondance et de changement.
Elle possède le pouvoir d’utiliser ses blessures pour le plus grand bien et son plus grand bien.
Elle construit son propre succès et devient son propre héros robuste ; elle s’occupe de ses propres genoux éraflés.
Elle utilise toutes les pierres qui lui sont jetées pour construire les bases de son empire.
Brique par brique elle se reconstruit – et malgré toutes les tentatives de démolir ses murs, elle se sauve encore et encore.
Malgré tout, ce type de survivante peut toujours être confrontée à la haine, à l’envie, à la cupidité de ceux qui l’entourent. Ils essaient de lui dire qu’elle est trop endommagée pour s’envoler.
Vous voyez, quand la société féminine qualifie de trop ′′ endommagée ′′ de performances meilleures que celles qui ne l’ont jamais été, cela a tendance à bouleverser le processus.
Résultat, elle devient la survivante d’innombrables chasses aux sorcières, la cible de nombreux persécuteurs. Pourtant, quand ils essaient de la brûler sur le bûcher, elle fait ce qui vient naturellement : elle se ressuscite.
Elle est la voix d’un million de vies vécues.
Elle est la voix des désespérés et des impuissants quand le feu est ramené à leurs yeux. Elle est l’auteur de la justice que les sans voix ont souhaité entendre, sentir et toucher.
Peu importe combien vous essayez et comment cela peut sembler, vous ne pouvez jamais vraiment mettre une survivante comme ça à genoux ; elle connaît déjà la valeur que ses cicatrices apportent.
Elle sait comment remplir les fissures entre ses blessures d’or.
Elle sait comment transformer chaque mot amer qu’elle a jeté en une volonté de fer qui la libérera, elle et d’autres oiseaux en cage.
Vous ne pouvez jamais vaincre une femme ′′ abîmée » parce qu’elle sait exactement comment se sauver.
Bonjour, j’espère que vous allez au mieux possible. Je vous partage un petit texte à méditer ce matin.
Un professeur de droit a demandé à un étudiant : Comment vous appelez-vous ?
L’étudiant a répondu, alors le professeur l’a expulsé sans raison.
L’étudiant a essayé de se défendre, mais le professeur l’a chassé et l’a fait sortir de la salle de conférence
L’étudiant est sorti sentant l’amertume de l’injustice devant le silence de ses collègues.
Puis le professeur a commencé la conférence et a demandé aux étudiants : Pourquoi des lois ont-elles été établies ?
L’un des étudiants a dit : Pour contrôler le comportement des gens. Un autre a dit : Jusqu’à ce qu’elles soient appliquées et un troisième a répondu: Pour que le fort n’opprime pas le faible!
Le professeur a dit : Oui. Mais ce n’est pas assez.
Une étudiante leva la main et répondit : Jusqu’à ce que la justice soit rendue!
Le professeur a dit : Oui. C’est la réponse. Pour que la justice prévale! Et maintenant. A quoi sert la justice ?
Un étudiant a répondu : Pour que les droits soient préservés et que personne ne soit lésé.
Le professeur dit : Maintenant, répondez sans crainte. Ai-je fait du tort à votre collègue quand je l’ai viré ? Et ils ont tous dit : Oui.
Le professeur dit, en colère : Alors pourquoi vous n’avez rien fait..?! Á quoi servent les lois si on n’a pas le courage de les faire respecter ?!
Si vous gardez le silence quand quelqu’un est victime d’injustice et ne défendez pas le droit, vous perdez votre humanité, et l’humanité n’est pas négociable.
Enfin le professeur a appelé l’étudiant expulsé et lui a présenté ses excuses devant tous les étudiants et a dit : C’est votre leçon aujourd’hui, et vous devez l’accomplir dans votre communauté aussi longtemps que vous vivrez…
Bonjour, je vous espère au mieux de votre forme. Je vous partage en ce samedi matin un texte de Sophie Bashfor.
Prenez soin de vous. Mabelle
Quelle que soit la situation dans laquelle vous vous trouvez en ce moment, c’est exactement ce dont vous avez besoin pour la croissance de l’âme. Il n’y a aucune exception à cette règle divine.
Votre âme attire toujours les scénarios parfaits et les personnes pour que vous soyez activé, poussé, stimulé et excité pour grandir à travers la peur.
Vous pouvez parfois créer des expériences similaires et répétitives afin de vraiment résoudre un problème, mais une fois que vous avez guéri les schémas internes qui sont soulevés par les événements, vous ne vous retrouverez pas dans les mêmes situations.
Ce qui se passe maintenant est vital pour votre croissance interne et votre développement spirituel.
Votre Âme vous demande toujours de regarder où vous avez le plus peur du changement. Vous êtes toujours obligé de vous déplacer dans des zones qui vous font sortir des zones de sécurité engourdies.
En ce moment, sentez-vous dans une situation qui vous cause de l’inquiétude, de l’anxiété, un bouleversement émotionnel ou de la confusion.
Demandez-vous : « Si je savais, qu’est-ce que mon Âme veut que je regarde ici ? Où est-ce que mon Âme veut m’emmener ensuite ? Comment mon Âme a-t-elle besoin que je développe mon esprit, mon cœur, ma conscience ? Qu’est-ce que l’Univers me demande de guérir ? »
Les endroits où votre âme veut vous guider nécessitent presque toujours de faire un acte de foi. Ils exigeront toujours que vous répondiez à vos peurs auto-limitantes.
Très souvent, ce que votre âme veut, c’est que vous fassiez la chose même qui vous fait le plus peur.
C’est généralement la voie vers la croissance la plus élevée et un nouveau territoire très sain, car seules vos peurs de « ce qui pourrait arriver » vous empêchent d’avoir une vie de rêve.
Céder à la peur à plusieurs reprises est une façon dangereuse de vivre, car la peur est si douée pour se faire passer pour l’option confortable, facile, sûre, éprouvée.
Mais une vie vécue dans la peur est une vie infirme, à moitié vécue.
Juste derrière la peur se trouve un pouvoir qui brise l’univers.
Toutes les peurs que vous nourrissez en ce moment – celles qui vous disent qu’il est plus sûr de rester fermé, plus sûr de rester caché, plus sûr de continuer à exister avec un cœur piégé, plus sûr de croire que vous échouerez si vous essayez – toutes d’entre eux sont sans fondement. Ils ne sont tout simplement pas vraies.
Sortir de votre coquille, entrer dans de nouvelles façons de vivre, laisser votre cœur et votre âme diriger : ce sont les moyens d’embrasser et d’entrer dans la vie que le Divin veut pour vous.
Où que vous vous trouviez en ce moment – et c’est très probablement avec un désir de changement mais avec la voix de la peur vous disant que ce n’est pas possible – vous devez savoir que votre Âme a créé cela pour votre croissance et votre transformation.
Habituellement, le chemin vers la transformation, l’expansion et la joie les plus profondes se trouve de l’autre côté de la confrontation à la peur.
L’action qui suscite le plus de résistance et de peur en vous est généralement la chose même que votre Âme a le plus besoin que vous fassiez pour recevoir et entrer dans la Lumière.
Oser être heureux c’est accepter de l’être tout de suite.
Oui, sans conditions, à l’aube de chaque instant, en étant capable d’accueillir simplement l’inouï du présent…
Être heureux c’est savoir entrer dans le fragile et l’éphémère de l’événement, de s’accorder avec lui dans le meilleur de ce qu’il recèle….
Être heureux c’est être à la fois le réceptacle et le don dans l’immédiateté d’un regard, l’intensité d’une intention, la liberté d’un geste…
La clef du bien-être ne doit pas être confondue avec la recherche du bonheur, elle est dans l’acceptation inconditionnelle du meilleur de soi dans la rencontre avec le meilleur de l’autre …
Quand je sais dire oui ou non, sans me blesser ou me culpabiliser. Quand je sais entendre et recevoir le oui ou le non de l’autre comme étant bien le sien…
Quand je sais sans réticence accepter mes possibles et me différencier de ceux de l’autre. Quand je sais me respecter et me définir face aux valeurs et croyances parfois si éloignées des miennes.
Un bonheur se reçoit et s’amplifie dans l’imprévu d’une rencontre, dans le rire d’un partage, dans l’étonnement d’un abandon. Quand je cherche à l’emprisonner dans la répétition ou l’exigence, il se dérobe et se perd à jamais.
Jacques Salomé.
Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience