Archives de catégorie : Textes à méditer

Des petits textes pour nous donner à réfléchir

Quand tu cesses d’aider les gens

Bonjour, je t’espère en forme

Parfois, quand tu cesses d’essayer de sauver les gens, ils n’aiment pas ça.

Ils te traitent de sans cœur, de méchant, de traître.

Au lieu d’aller à la rencontre de leurs propres sentiments de rejet, de peur et de honte, ils essaient de te culpabiliser.

Ils se déchaînent : Ils t’accusent de leur malheur.

Ils veulent le retour du  » vieux toi  » ; ils veulent le toi de leur fantasme.

Ils veulent leur sauveur.

Ils ne veulent pas de ta personne, ils veulent que tu entretiennes leur rêve.

La leçon la plus libératrice que tu apprendras jamais :

-Personne ne peut te rendre heureux.

-Tu n’es pas responsable du bonheur des autres.

-Tu es libre.

La liberté est ta nature, et l’a toujours été💚💜

Alors, comme le Soleil, tu brilles.

Tu n’attends pas que les autres brillent, tu n’as pas besoin d’une excuse pour briller, tu brilles simplement.

Tu ne te sens pas responsable de tous les soleils qui n’ont pas encore découvert leur propre éclat.

Tu brilles simplement.

Tu marches sur ton chemin avec courage.

Tu enseignes par l’exemple.

Et si d’autres sont contrariés par ton éclat, s’ils te jugent, s’ils deviennent jaloux, s’ils t’attaquent pour ne pas faire d’eux le centre de ton monde, c’est OK.

C’est leur affaire.

C’est leur chemin, leur douleur à traiter et à ressentir.

Tu leur souhaites bonne chance.

Tu leur témoignes de la compassion, peut-être.

Mais tu ne leur appartiens plus.

Tu es libre.

On peut aimer les autres suffisamment pour les laisser partir.

Car le véritable amour a le parfum de la liberté dans un sentiment exaltant d’immensité.

🖋Jeff Foster

Ne t’abandonne pas

Bonjour, je vous espère en forme. Je vous partage ce matin un texte de Diane Gagnon. Prenez soin de vous. Mabelle

Ne t’abandonne pas. Reste avec toi.

Reste! Malgré l’inconfort d’une discussion difficile, ne fuis pas! Reste présent, ouvre ton cœur et laisse passer cette peur de t’affirmer, de perdre le lien ou de ne plus être aimé. Reste présent à tes émotions afin de pouvoir les transcender. Demeure vertical et accueille l’inconfort de la discussion difficile comme une occasion magnifique de croissance spirituelle.

Reste! Malgré tous les mécanismes de survie que tu as mis en place depuis ton enfance, reste présent à ces mécanismes qui tentent de se réactiver à la moindre occasion. Regarde-les s’agiter mais ne t’y attache pas. Essaie cette fois-ci de rester présent à ce qui précisément déclenche ces mécanismes de défense et regarde au fond de toi ce qui est touché. Une fois ce mécanisme vu, il est déjà désamorcé.

Reste! Malgré les élans de colère qui remontent de tes profondeurs, ne cherche pas à blâmer les autres de cette colère. Reste présent à toi, au chagrin et à la peur qui toujours se cachent derrière tes colères. Plus la colère est puissante, plus l’enfant en toi a peur. Reste présent à cet enfant qui a besoin de ton regard bienveillant et de ton réconfort.

Reste! Malgré la tension entre toi et ton ou ta bien-aimée, reste là. Ne fuis pas. Reste présent à ce qui demande à être guéri en toi dans cette tension, dans cette relation. N’accuse pas l’autre d’en être responsable : tu es le seul capitaine de ton navire. Regarde ce qui en toi vient d’être réveillé et accueille, malgré l’orgueil, malgré la douleur, malgré la peur. Cette ouverture du cœur laissera passer la tension afin de grandir en vous élevant mutuellement.

Reste! Malgré la douleur, de quelque origine qu’elle soit, reste présent à la douleur. Ne te cache pas, ne cherche pas d’échappatoire, ne fuis pas. Ne cherche même pas à l’apaiser, ni à l’amplifier pour te victimiser. Reste-lui présent afin de recevoir le message qu’elle t’apporte, inévitablement. Ne cherche pas à l’interpréter, tu n’as qu’à l’écouter.

Reste! Malgré ce bonheur que tu vis peut-être en abondance en ce moment, reste présent et honore-le. Ne t’y accroche pas, ne t’en sens pas coupable, ne t’en cache pas, n’aie pas peur de le perdre. Savoure-le en lui étant totalement dévoué. Exprime ta gratitude pour cette Grâce que tu vis.

Reste! Malgré ta hâte que tout ce chaos soit terminé, reste ici. Car c’est ce que tu as à vivre en ce moment, pour corriger ce qui doit l’être et apprendre des égarements passés et actuels. Reste pour construire un nouveau monde sans rejeter l’ancien mais en en tirant toutes les leçons abondantes qu’il t’offre.

Reste! Malgré les apparentes difficultés, malgré ton apparente solitude, reste et apprécie tout ce qu’il t’est donné de vivre. Ne t’attends pas à ce que la Vie fonctionne comme tu le veux, tu n’as aucun pouvoir sur elle. Accueille tout ce qui vient et dis un grand Oui à la Vie, même si ce grand Oui est inévitablement composé de petits oui et de petits non dans le quotidien.

Reste! Malgré ce qui se vit autour de toi, ne te compare pas, ne te sous-estime pas, ne te vante pas. Nous sommes tous égaux, nous sommes tous Un, tu n’as pas à performer, ni à changer le monde, ni à sauver qui que ce soit. Tu n’as qu’à être pleinement Toi et à laisser briller ta lumière.

Reste! Malgré toutes tes croyances limitantes, toutes tes blessures du passé, toutes tes peurs du futur, reste ici dans le moment présent. Ce moment présent est le seul endroit où tu peux tout guérir, où tu peux tout réaliser, à condition de lui être totalement présent.

Reste! Observe, accueille et écoute. Car il n’y a qu’un seul Toi et que le monde a besoin de ta lumière.

Reste! Ne t’abandonne jamais, ne te fuis pas, reste avec toi, quoi qu’il arrive.

Tu crois me connaître … vraiment ?

Tu crois me connaître et pouvoir me coller des étiquettes,

Tu projettes sur moi des mots, des changements, des plus ceci, plus cela, en fonction des amitiés et des activités,

Sache que je me ris des étiquettes qu’on me colle,

Je ne suis pas de celles qu’on enferme dans des cases,

Je suis moi, cyclique, changeante, fille du Vent et de l’Eau,

Je suis moi, stable, lumineuse ou féroce, fille de la Terre et du Feu,

J’ai revendiqué il y a longtemps mon appartenance au clan du vivant, à celui qui pulse, qui bat, qui vibre,

Je suis Une,

Je suis toutes,

Prêtresse, guerrière ou chamane,

Sorcière, fée ou harpie,

Je fais fondre les cages et la distance qui sépare mes multiples facettes,

Indomptée,

Indescriptible,

Incontrôlable,

Et peut être que ça fait trop,

Mais de tout temps j’ai été Celle qui était Trop,

Alors si tu dois me coller une étiquette que ce soit celle ci,

Que pour toujours je sois Celle qui était trop,

Celle qu’on ne pouvait définir, Celle qui échappait aux cases des esprits étroits,

Que pour toujours je sois, Femme Sauvage courant librement, aimée du Peuple des chevaux et de la forêt, Femme aux multiples facettes dont aucune ne vaut plus que les autres,

Femme,

Insoumise,

Et fière.

Que je sois celle là.

~ Mabulle Fanfan

Vive les vieux

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage ce matin un beau texte sur nos ainés, même si je commence à en faire partie 😉

▪︎ On a tout faux. Les aînés ne sont pas derrière nous. Ils sont devant nous. Les aînés ne sont pas notre passé. Ils sont notre avenir. Ils sont déjà rendus là où l’on s’en va. Ils nous ont devancés. Ils ont marché avant nous. Parlé avant nous. Dansé, chanté, aimé, volé, gagné, avant nous. Trahi, chuté, perdu avant nous, aussi.

▪︎ Ce ne sont pas les derniers. Ce sont les premiers. Ce sont Léonard de Vinci Nos découvreurs. Nos pionniers. Ce que l’on sait, ils nous l’ont appris. Lire, compter, s’intéresser, donner. Ignorer, blesser et prendre, aussi. Selon qui ils étaient sur notre chemin, on peut tout leur devoir ou leur en vouloir pour tout. Ils sont bons ou cons, comme nous. Ou, plutôt, on est cons ou bons, comme eux.

▪︎ Ce qu’ils sont aujourd’hui, c’est ce que nous serons demain. Les crèmes, la chirurgie esthétique et les filtres Instagram n’y changeront rien. On ne rajeunit pas. On vieillit. Tous autant que nous sommes. Les jeunes, aussi. Le temps d’une virgule, ils sont déjà moins jeunes. On vieillit. Chaque seconde de notre vie. Parce que vieillir, c’est vivre. Et mourir, c’est ne plus vieillir.

▪︎ Alors, voulez-vous bien me dire pourquoi, nous qui sommes si remplis de promesses pour l’avenir, sommes si peu préoccupés du sort des aînés ? Ce que nous leur faisons, c’est ce qu’on nous fera. Ce que nous ne leur faisons pas, c’est ce qu’on ne nous fera pas. Si on n’agit pas envers eux par altruisme, agissons, au moins, envers eux par égoïsme.

▪︎ Vous pouvez même le faire pour vos enfants. Parce que, je vous le souhaite, vos enfants seront vieux un jour. Pourquoi tant de sacrifices pour qu’ils aient une belle vie, si leur fin est triste et malheureuse ? Tous les vieux sont les enfants de quelqu’un.

▪︎ La société a laissé de côté les personnes âgées. Pas juste depuis le virus. Depuis une éternité. Parce qu’on ne veut pas se voir en eux. La société vit bien dans le déni. La société croit qu’elle a 18 ans et se fait croire qu’elle s’amuse tout le temps.

▪︎ Le plus dérangeant dans cette histoire, c’est lorsqu’on lit le chiffre des décès, et que ça nous rassure de constater que les victimes sont surtout des gens de 70 ans et plus. Comme si c’était moins grave. Honte à nous. Une vie est une vie. Un être humain n’est pas un char. Il ne perd pas de la valeur avec le temps.

Je sais que la mort d’un enfant nous brise le cœur. La mort d’un vieil enfant devrait le briser aussi. On comptera en combien de morceaux après. On part toujours trop tôt quand on aurait pu partir plus tard.

▪︎ On se console trop rapidement de la mort des aînés. Ça explique pourquoi leur existence n’est pas notre priorité. Ça explique leurs destins de délaissés.

▪︎ Ce n’est pas juste en disant « ça va bien aller » que ça va bien aller. C’est en se faisant aller. Il faut changer notre rapport avec la vieillesse. Permettre de vieillir dans la dignité. Cesser d’écarter les gens plus âgés. Tout le monde fait partie de la gang. De 0 à 200 ans.

▪︎ L’âge n’est pas une défaite. L’âge est un exploit. On peut en être fier. J’ai 40 ans, ça fait 40 ans que je suis là ! J’ai 50 ans, ça fait 50 ans que je suis résistant ! J’ai 60 ans, ça fait 60 ans que je passe au travers. J’ai 70 ans, ça fait 70 ans que j’aime ce monde-là !

▪︎ Ça passe vite comme ça. Hier, tu regardais Pierre Elliott Trudeau dire « finies les folies » dans ta commune. Un claquement de doigts et tu regardes son fils te dire de ne pas sortir de ton centre d’accueil.

▪︎ La vie est trop courte. Chaque seconde compte. Autant celles du début que celles de la conclusion. Il y a des débuts interrompus et des conclusions interminables ; peu importe où on est rendu dans le livre, c’est la page du présent qui compte le plus. Et le présent appartient aux vivants. À tous les vivants. De toutes les origines, de tous les sexes et de tous les âges.

▪︎ Il a fallu trop d’horreurs pour éveiller les consciences au racisme, espérons que cette horreur éveillera nos consciences à l’âgisme.

On a toujours tort quand on catégorise les gens. On est tous nés à la même place, sur la terre. Et on est tous de la même époque. Tous des contemporains. Le reste, ce ne sont que des milliards de différences. Les aînés ne sont pas tous pareils. Pas plus que les jeunes. Voilà pourquoi on ne peut pas dire « les aînés sont comme ci, les aînés sont comme ça ». Ça n’existe pas, le bloc des aînés. Ce qui existe c’est ton père, ta mère, le grand-père de ton ami, la grand-mère de la voisine. Bref, des êtres humains.

▪︎ Vous vous demandez alors pourquoi mon titre « Vive les vieux ! ». Parce que ça rassemble tout le monde. Nous sommes tous des vieux. Quand j’avais 5 ans, mon frère en avait 12, et je le trouvais tellement vieux. On est tous les vieux de quelqu’un, qu’on soit vieux d’un jour ou vieux de douze mille jours.

▪︎ Assumons-le. Surtout que l’âge ne mesure rien. Parce que ce qui nous identifie en est à l’abri. Ce n’est pas l’âge qui fait qui nous sommes, mais c’est un mot qui lui ressemble. Changez le g pour un m. L’âme. La petite voix en nous. Qui nous fait rire, pleurer, réfléchir et frémir. Invisible et omniprésente. Sans âge. C’est pour ça qu’on est toujours étonné quand on inscrit sa date de naissance en remplissant un formulaire. Je ne suis pas vraiment rendu là !

▪︎ Notre âme a toujours l’impression qu’elle vient tout juste d’arriver. Elle reste intemporelle jusqu’au jour où il faut la rendre.

▪︎ Si on veut la garder le plus longtemps possible, il faut se soucier de celles et ceux qui nous ont permis d’en avoir une.

▪︎ Car, tant qu’à jouer au Scrabble, remplaçons le v de vieux par un d, et nous ne serons pas loin de la vérité. Ce sont eux qui nous ont créés…

Tout le contraire de ce qu’on nous a appris

Bonjour, comment allez-vous ce matin ?

Je vous partage un texte de Diane Gagnon

Prenez soin de vous

Mabelle

TOUT LE CONTRAIRE DE CE QUE L’ON NOUS A APPRIS

Nous passons la majeure partie de notre vie à faire les choses aussi près que possible de ce que l’on nous a enseigné. On s’évertue à se fixer des buts, faire une planification détaillée, envisager les différentes étapes. Puis, nous travaillons sans relâche pour atteindre nos buts, assurés que nous sommes qu’une fois rendus, nous y serons enfin heureux. Nous forçons, fournissant tous les efforts, outrepassant les refus pour atteindre nos objectifs. Pourtant, il nous manque toujours quelque chose. Nous remplissons tous nos temps libres d’activités de toutes sortes et nous nous agitons dans tous les sens car avoir l’air occupés, c’est tellement valorisant!

Et puis un jour, tôt ou tard, nous réalisons que tout cela ne sert à rien! Nous comprenons que la vraie Vie, c’est tout le contraire de ce que l’on nous a appris! Nous n’avons pas besoin de faire tant d’efforts, nous n’avons pas besoin de combattre quoi que ce soit, nous n’avons pas besoin de faire quoi que ce soit, de demander quoi que ce soit, de gagner quoi que ce soit. Lorsqu’enfin nous nous arrêtons, au début, il est possible que nous ressentions un vide, car passer de super occupés à relaxes, il y a tout un pas à franchir! Mais si nous osons rester dans ce vide, nous réalisons qu’il est plein de tout! Il est plein de la Vie, il est plein d’Amour, il est surtout plein de Conscience et de présence à soi.

Ne plus chercher à forcer et réaliser enfin qu’il n’y a rien à faire ne signifie pas que nous ne fassions plus rien. Cela nous incite à demeurer constamment à l’écoute de la Vie et à ne poser que l’action juste, à prononcer que les paroles justes. Et bien que la Vie nous demande parfois d’œuvrer de façon plus intense, tout cela se fait sans effort puisque nous nous laissons guider par la Vie.

Nous ne cherchons plus quelle est notre mission car la Vie nous indique à chaque instant ce qu’il est juste de faire. Nous ne nous fixons plus de buts et nous acceptons enfin de nous laisser porter par la barque de la Vie car c’est elle, toujours qui nous mène à bon port.

Nous ne cherchons plus à trouver des solutions à notre vie, nous vivons plutôt pleinement notre vie au moment présent, en étant à l’écoute de notre cœur et de ce que la Vie attend de nous.

Nous ne prions plus pour obtenir quelque chose ou pour éviter autre chose, car nous savons que ce que nous vivons est exactement ce qui est bon pour nous en ce moment.

Nous ne nous affolons plus lorsque nous regardons les nouvelles, car nous savons que si nous restons en paix en nous-mêmes, ce qui arrivera à l’extérieur sera ce que la Vie aura décidé qu’il arrive et que ce sera toujours pour favoriser l’évolution de l’humanité.

Nous ne ressentons plus d’anxiété face au futur ni de culpabilité face au passé puisque tout ce qui se produira est prévu par la Vie seule et que tout ce que nous avons vécu était ce qui était nécessaire pour notre plus grand bien.

Nous voyons désormais les pièges de notre ego et même si nous nous y faisons encore reprendre parfois, nous pouvons nous en amuser car nous en sortons plus rapidement sans nous y maintenir en position de victime.

Nous savons qu’il n’y a jamais ni victime ni bourreau mais simplement des aspects différents de la Conscience qui s’expérimentent et qui jouent leurs rôles comme il en a été décidé antérieurement, jusqu’à ce que chacun apprenne et comprenne que la voie de l’Amour sera toujours la seule option.

Nous ne voyons plus les problèmes comme des obstacles mais plutôt comme des occasions de croissance et d’éveil.

Nous ne voyons plus les autres comme des ennemis, même ceux qui pensent le contraire de nous, car nous savons qu’il s’agit là de pensées qui s’agitent non pas pour nous diviser mais pour nous permettre d’avoir une vision plus complète de la réalité actuelle.

Nous n’avons plus envie de courir, de nous agiter, de nous activer sans cesse : nous avons besoin de paix, de calme, de douceur car c’est dans notre demeure intérieure que nous y refaisons nos forces et que nous y puisons l’Amour pour le répandre ensuite autour de nous, comme des poussières d’étoiles.

Nous ne cherchons plus rien, car c’est lorsque nous arrêtons de chercher que nous trouvons enfin tout ce dont nous avons besoin. Nous ne demandons plus rien, car c’est en ayant la Foi que tout nous est offert, bien au-delà de nos plus grandes aspirations.

Nous ne ressentons plus le besoin d’être aimés, car nous aimons les autres et nous-mêmes de manière inconditionnelle. Nous comprenons aussi que l’autre c’est nous, c’est un autre visage de la même Conscience, comme le sont tous les êtres vivants. Chaque être vivant que nous rencontrons est animé de la même Conscience qui nous anime. Nous sommes cette Conscience, nous sommes cette Vie. Et ce n’est qu’en aimant pleinement que nous ne ressentons plus jamais le manque d’Amour.

Pensée du jour

Tu sais , tu n’as pas à être la personne parfaite que tout le monde attend ,

Tu n’as pas à te soumettre à ce qui ne rentre pas dans tes cordes ,

Tu n’as pas à devoir dire oui contre toi-même pour dire oui à ce qui ne vibre pas en ton âme et conscience ,

Tu n’as pas à devoir faire bonne figure lorsque cela ne résonne pas pour toi ,

Et tu n’as pas a être obligé de sourire en tout temps .

Lache-toi la grappe ! Respire !

Fais ce que bon te semble . Fais ce qui te semble juste sans t’occuper de ce que pensent les autres .

Vis ta vie à ta manière et tu verras comme les choses prennent du sens lorsqu’on prend seulement son être en urgence .

Charlotte Cellier

La vie

Bonjour,

J’espère que vous allez bien. Je vous partage ce matin un écrit de Katherine Pancol

La vie ……. Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire.

C’est une personne, la vie, une personne qu’il faut prendre comme partenaire.

Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t’attrape par les cheveux et te dépose plus loin.

Parfois elle t’écrase les pieds, parfois elle te fait valser.

 Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse.

Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc.

Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu’elle t’envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.

Prenez soin de vous – Mabelle

Il y a des gens qui vous sauvent

💙Par un mot d’encouragement,

💙Par une salutation,

💙Par leur bonne humeur,

💙Par un câlin,

💙Par leur présence,

💙Avec votre tendresse,

💙Avec votre amitié,

💙Avec votre main tendue,

💙Avec votre pardon,

💙Par votre écoute attentive,

💙Par vos paroles et vos conseils,

💙Avec leurs gestes d’amour…

💙Et ils ne savent même pas qu’ils vous ont sauvé d’une mauvaise journée, d’une tristesse ou d’une vie sans intérêt…

💙Soyez de ceux qui sauvent des vies…

💙 Essayez-le… Cela ne coûte pas grand-chose, sauver des vies est une question d’amour !..

Source : Josée de Vivons le moment présent

Il y a toujours bien un minimum

Bonjour, je vous espère en forme par ce samedi pluvieux

Je vous partage un article de Diane Gagnon.

Avez-vous remarqué comment parfois on se contente de peu? De vraiment peu? Dans certaines relations, nous tolérons un manque de respect, puis deux, puis trois, puis cent, puis nous perdons de vue notre propre respect à l’égard de nous-mêmes.

Nous acceptons parfois que certaines personnes s’expriment peu dans notre relation avec elles. Puis la communication s’étiole de jour en jour jusqu’à ce qu’un silence vraiment inconfortable s’installe entre nous et ne nous permette plus de discuter franchement et sainement.

Voulant demeurer zens, nous arrivons de temps à autre à rester stoïques devant certaines personnes susceptibles, à qui on ne peut rien dire de peur de déclencher une colère ou une crise. Alors nous nous retenons, nous nous taisons pour acheter la paix, jusqu’à ce que nous ne puissions plus être nous-mêmes dans la relation pour ne pas provoquer d’explosion. La relation subsiste alors sur des bases fausses et inégales.

Une amie me disait récemment : « Il y a toujours bien un minimum dans toute relation! » :

• Un minimum de respect entre nous

• Un minimum d’efforts de la part de chacun

• Un minimum d’amour

• Un minimum de communication

• Un minimum de patience

• Un minimum d’ouverture

Je pourrais continuer la liste de minima encore longtemps! Bien entendu nous voulons plus que le minimum et c’est normal. Nous voulons que la relation soit optimale et qu’elle évolue. Mais pour cela, ça prend la base, le minimum acceptable, probablement différent pour chacun d’entre nous. Mais il faut ce minimum.

Il arrive parfois que nous oublions que, pour qu’une relation fonctionne, qu’elle soit amoureuse, amicale, professionnelle, il y a des seuils minimum en-deçà desquels ladite relation n’en vaut peut-être pas la chandelle.

Nous tolérons ainsi des manques de respects, de l’absence de communication, des efforts inexistants, des susceptibilités fragiles parce que nous oublions qu’il existe un minimum et que nous méritons tous AU MOINS ce minimum.

Si la relation n’a pas d’importance pour nous, il vaut mieux poursuivre son chemin que de laisser un « manque de minimum » nous blesser, nous faire perdre notre temps et notre énergie.

Si nous tenons à la relation, alors nous avons le devoir de nous exprimer pour faire savoir à l’autre que nous avons besoin de ce minimum pour être bien dans la relation. Si l’autre ne collabore pas, il nous faudra vraiment découvrir EN NOUS pourquoi nous tolérons qu’il n’y ait pas ce minimum : Par peur d’être seul? Par manque d’estime de soi? Par répétition d’un pattern qui vient de l’enfance? Par dépendance affective? Parce que la relation est toxique et que nous ne nous en sommes pas encore rendus compte?

Une introspection est essentielle alors : autant nous méritons tous le droit d’exister, autant nous nous valons chacun bien plus que le minimum! Mais il y a toujours bien un minimum acceptable pour qu’une relation soit viable.

Prenez soin de vous

Mabelle

Observe toi

Bonjour, comment allez-vous ?

Je vous partage un texte de Renée-sens

Observe toi….

Observe toi dans tes attitudes

Observe toi dans tes paroles

Observe toi dans tes gestes

Observe toi dans la solitude

Observe toi dans la tristesse

Observe toi dans ta colère

Observe toi dans la joie

Observe toi dans la paix

Observe toi dans l’Amour

Qui es tu vraiment ?

Joues tu un rôle ?

Tes sentiments sont ils profonds ?

Ta vérité est elle la vérité ?

Observe toi

Prends du temps pour toi

Médite sur tout cela

Avec un regard bienveillant

Sans jugement

Juste le temps et toi

Présent Ici et Maintenant

Observe toi

Jusqu’à ce que tu t’acceptes

Complétement

Observe toi tout simplement❀

Prenez soin de vous – Mabelle