Archives de catégorie : Textes à méditer

Des petits textes pour nous donner à réfléchir

La colère ne fait pas partie de notre nature profonde

Un étudiant Zen vint voir Bankei et lui dit :

– Maître, je souffre de colères irrépressibles. Comment puis-je m’en guérir ?

colère

– Montre-moi cette colère, dit Bankei, cela semble fascinant.

 – Je ne l’éprouve pas en ce moment, répondit l’étudiant, aussi je ne peux pas vous la montrer. »

 – Eh bien alors, continua Bankei, apporte-là moi quand tu l’auras.

 – Mais je ne puis l’apporter juste au moment où elle survient, protesta l’étudiant, elle fait irruption de façon inattendue, et je l’aurai sûrement perdue avant de pouvoir vous l’apporter.

 – Dans ce cas, dit Bankei, elle ne peut pas faire partie de ta vraie nature.

Si c’était le cas, tu pourrais me la montrer n’importe quand.

À ta naissance, tu ne l’avais pas, aussi doit-elle t’être venue de l’extérieur.

Je suggère que chaque fois qu’elle t’arrive, tu te frappes avec un bâton jusqu’à ce que la colère ne puisse plus le supporter et s’enfuie.

 Histoire Zen à méditer

Prenez soin de vous – Mabelle

Contempler le beau

Un maître zen (roshi) et son disciple se promènent au bord d’un lac.

bord d'un lac

Des ordures ont été déposées sur la berge, offusqué le disciple le fait remarquer à son Roshi.

Il constate le fait et répond : « oui je vois cela »

Et aussitôt il lève les yeux et dit : « Mais je vois aussi la splendeur de la nature, j’entends le chant des oiseaux qui berce mon âme, je sens le vent qui caresse mon visage … »

Ne laissez pas votre champ de conscience se rétrécir sur le négatif, n’oubliez pas de contempler le beau aussi.

Merveilleuse journée – Mabelle

Le temps

Un homme rentre chez lui, tard, comme d’habitude, fatigué et énervé. Son fils de 5 ans l’attend à la porte.

– Papa, je peux te poser une question ?

– Bien sûr !

– Papa, combien tu gagnes de l’heure ?

– Ça ne te regarde pas ! Quelle question ! répond le père, en colère.

– Je voulais juste savoir… S’il te plaît, dis-le moi, papa…

– Si tu tiens à le savoir, je gagne 35 euros de l’heure.

– Oh ! murmure l’enfant, tête basse. Puis il lève la tête:

– Tu peux me prêter 10 euros, s’il te plaît papa ?

heure

Le père est furieux.

– Si tu voulais savoir combien je gagne, juste pour m’emprunter de l’argent pour aller acheter une bêtise quelconque, tu peux filer dans ta chambre, et te coucher ! Serais-tu égoïste à ce point ? Je travaille dur et je n’ai pas de temps à perdre ainsi !

Le gamin s’en va et s’enferme dans sa chambre. Le père, lui, s’assoit, toujours très en colère.

 Au bout d’une heure, il se calme, et se dit qu’il a été quand même dur… Peut-être son fils voulait-il acheter quelque chose dont il avait besoin, quelque chose d’important à ses yeux.

Alors il va dans la chambre de son fils.

 – J’ai été un peu dur avec toi, voilà les 10 euros que tu voulais.

Le gamin se redresse, rayonnant.

– Merci Papa ! Puis, il sort des billets froissés de sous son oreiller, et les compte soigneusement.

– Pourquoi voulais-tu de l’argent, si tu en as déjà ? demande le père.

– Je n’en avais pas assez, Papa. J’ai 35 euros maintenant. Est-ce que je peux acheter une heure de ton temps ?

 Revenons à l’essentiel, et consacrons-y plus de temps

 L‘essentiel pour moi, c’est être juste, cultiver dans mon quotidien une présence à moi-même, sortir du « pilotage automatique » dans la course de chaque jour pour me connecter à l’instant présent.

L’essentiel, c’est avoir autour de soi une structure, une famille, même d’adoption, d’élection du coeur, pour pouvoir partager, faire et donner.

Vivez une merveilleuse journée dans la paix du coeur

Mabelle

La vie c’est beaucoup trop

Ce matin je partage avec vous un texte de Charlie Chaplin. C’est juste magnifique et il n’y a rien à ajouter. Je vous laisse apprécier à sa juste valeur la qualité de ces paroles :

charlie chapin.jpg

« J’ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j’ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables.

J’ai agi par impulsion, j’ai été déçu par des gens que j’en croyais incapables, mais j’ai déçu des gens aussi.

J’ai tenu quelqu’un dans mes bras pour le protéger.
J’ai ri quand il ne fallait pas. Je me suis fait des amis éternels.

J’ai aimé et l’ai été en retour, mais j’ai aussi été repoussé.

J’ai été aimé et je n’ai pas su aimer. J’ai crié et sauté de tant de joies, j’ai vécu d’amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le cœur, tant de fois !

J’ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos.
J’ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d’un sourire.

J’ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et j’ai eu peur de perdre quelqu’un de très spécial (que j’ai fini par perdre)… Mais j’ai survécu ! Et je vis encore !

Et la vie, je ne m’en passe pas…
Et toi non plus tu ne devrais pas t’en passer. Vis !!!

Ce qui est vraiment bon, c’est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose et que LA VIE C’EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante ! »

Charlie Chaplin

Aimer ce que nous avons

Un jeune homme offre une jolie poupée à sa fiancée Marie. Mécontente, elle s’énerve, prend la poupée et la jette dans la rue en disant qu’elle n’aime pas ce cadeau.

Le fiancé se dirige vers la rue et ramasse la poupée, quand surgit une voiture qui le renverse. Il décède sur le coup.

poupée

Le jour de l’enterrement, Marie en larmes prend la poupée, la serre dans ses bras…

A ce moment, la poupée dit : « Veux – tu te marier avec moi ? »

Surprise, Marie laisse tomber la poupée, et de la poche de la poupée tombent 2 alliances …

Aimons ce que nous avons avant que la vie nous enseigne à aimer ce que nous avons perdu – Mabelle

Le garçon qui criait au loup

Il était une fois un jeune berger qui gardait tous les moutons des habitants de son village. Certains jours, la vie sur la colline était agréable et le temps passait vite. Mais parfois, le jeune homme s’ennuyait.

Un jour qu’il s’ennuyait particulièrement, il grimpa sur la colline qui dominait le village et il hurla : « Au loup ! Un loup dévore le troupeau!»

moutons

A ces mots, les villageois bondirent hors de leurs maisons et grimpèrent sur la colline pour chasser le loup. Mais ils ne trouvèrent que le jeune garçon qui riait comme un fou de son bon tour. Ils rentrèrent chez eux très en colère, tandis que le berger retournait à ses moutons en riant toujours.

Environ une semaine plus tard, le jeune homme qui s’ennuyait de nouveau grimpa sur la colline et se remit à crier : « Au loup ! Un loup dévore le troupeau ! »

Une nouvelle fois, les villageois se précipitèrent pour le secourir. Mais point de loup, et rien que le berger qui se moquait d’eux. Furieux de s’être fait avoir une deuxième fois, ils redescendirent au village.

Le berger prit ainsi l’habitude de leur jouer régulièrement son tour… Et chaque fois, les villageois bondissaient sur la colline pour trouver un berger qui riait comme un fou !

Enfin, un soir d’hiver, alors que le berger rassemblait son troupeau pour le ramener à la bergerie, un vrai loup approcha des moutons…

Le berger eut grand peur. Ce loup semblait énorme, et lui n’avait que son bâton pour se défendre… Il se précipita sur la colline et hurla : « Au loup ! Un loup dévore le troupeau ! »

Mais pas un villageois ne bougea… « Encore une vieille farce ! dirent-ils tous. S’il y a un vrai loup, eh bien ! Qu’il mange ce menteur de berger ! »

Et c’est exactement ce que fit le loup !

 D’après Esope

Merveilleuse journée – Mabelle

Avez-vous peur ?

Un chien a très soif. Il voit une mare et s’approche.

Il y a un autre chien devant lui. Il aboie et s’éloigne, la queue entre les pattes.

Mais la soif est là qui le tenaille. Il revient.

Le chien est toujours là, dans l’eau. Il ne comprends par qu’il est devant sa propre image reflétée par la surface de la mare. Il aboie et s’éloigne.

Plus tard, n’y tenant plus, il revient et finit par boire.chien boitNous sommes tous à l’image de ce chien.
Nous avons soif de connaissances, car nous savons que le savoir apporte confiance et richesse, mais nous avons en même temps peur.
Peur de ne pas être à la hauteur.
Peur de ne pas comprendre.
Peur d’être ridicule.
Peur de nos limites.
Et nous nous donnons plein d’excuses pour remettre à plus tard nos progrès.

Pourtant, c’est en surmontant cette peur et en apprenant que nous pouvons grandir, nous dépasser, progresser et réussir au-delà de tous nos espoirs.

Le mois d’août est un moment formidable pour lire, écouter, apprendre, progresser.

J’ai complètement oublié de vous parler de la promotion du Club Positif, qui  offre une réduction de 30% sur les ebooks et méthode les plus efficaces. La promo se termine très bientôt. demain 17 août (minuit heure de Paris).

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A très bientôt – Mabelle

La femme de ménage

Une petite leçon de vie intéressante dénichée sur le net et que j’ai envie de partager avec vous.

 ménage

Durant mon deuxième mois au collège, notre professeur nous a donné un petit examen surprise.

J’étais un étudiant consciencieux et j’ai répondu aisément à toutes les questions jusqu’à ce que je lise la dernière :
 » Quel est le prénom de la femme de ménage de l’école ? »

Il s’agissait certainement d’une blague.

Je l’avais rencontrée plusieurs fois. Elle était grande, cheveux foncés et dans la cinquantaine, mais comment j’aurais pu savoir son nom ?

J’ai remis mon examen en laissant la dernière question sans réponse.

Juste avant la fin du cours, un étudiant a demandé si la dernière question comptait pour la note de l’examen.

 » Absolument  » a répondu le professeur.

 » Durant vos carrières, vous allez rencontrer beaucoup de gens.
Ils sont tous importants. Ils méritent tous votre attention et vos soins, même s’il s’agit simplement d’un sourire et de dire bonjour.  »

Je n’ai jamais oublié cette leçon.
J’ai aussi appris qu’elle s’appelait Dorothée.

Source: Anonyme