Des expériences pour se libérer

Bonjour, Comment allez-vous ce matin ?

Je vous partage un texte de Joeliah

Prenez soin de vous

Mabelle

La trahison, la haine, la méchanceté, la colère ou la violence ne peuvent se manifester dans sa vie uniquement si l’on porte en soi une blessure ou une émotion assortie.

Idem pour la gentillesse, l’empathie, la douceur ou la paix ou toute autre qualité alignée au cœur.

Le hasard n’existe pas dans les relations.

Les êtres sont attirés par « l’aimant énergétique » que nous possédons et vibrons, et par les expériences que notre âme choisit de vivre pour évoluer.

La vie nous donne des expériences pour nous libérer et nous sublimer.

Les autres sont des miroirs de ce que l’on attire, en principe pour grandir mais parfois, c’est l’inverse qui se passe par l’afflux d’émotions involutives

Observer ce qui se passe est la meilleure manière de se connaitre.

Le regard est une porte de manifestation de l’âme, comme les pleurs ou le sourire.

Prendre du temps pour observer ce que l’on vit, comment on les vit, ce que l’on a pu émettre pour attirer ou ce que les autres peuvent émettre pour nous attirer est du temps bien occupé.

Alors on peut transformer ce que l’on ne désire plus reproduire.

Remplacer le : ‘c’est la faute de l’autre’ par ‘quel cadeau m’apporte l’autre ?’ est une bonne base de modification. Cela demande de la grandeur d’âme, du courage, du respect et de l’amour pour soi et pour la vie. Toute une œuvre alchimique.

Les personnes qui se réjouissent de détruire les personnes qui sont leurs miroirs, se détruisent intérieurement sans se rendre compte qu’elles s’attachent aux autres âmes. Le retour négatif est alors inévitable, bien souvent sous forme de maladie ou de pertes.

Pour se libérer en toute conscience :

« Merci X de me révéler une part ombragée de ce que je suis au plus profond de moi.

Je la découvre, je la libère, je te libère, je me libère, je nous libère.

Je te bénis, je me bénis, je nous bénis.

Merci pour cette transformation »

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Plus on se libère et plus on s’allège.

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