
citation de la semaine

Bonjour,
J’espère que vous allez bien et que vous avez profité de la nature en ce beau dimanche automnal. Chez moi, un beau ciel bleu, pas le moindre chemtrails. Cela fait des semaines que ça n’était plus arrivé ! Les pilotes seraient ils en grève ?
Les énergies de ces dernières semaines nous ont fait travailler à lâcher prise sur nos parts d’ombre, puis sur les émotions liées à celles-ci. Aller voir en nous et accueillir, sans résister, pour nettoyer et faire de la place.
Aujourd’hui on nous demande de continuer cette libération intérieure, avec ce qui est certainement l’un des processus les plus difficiles pour l’être humain, mais des plus libérateurs.
On nous demande en effet de lâcher prise, de tourner la page et de pardonner : il est des moments dans la vie où nous devons pardonner – ou risquer de se voir devenir l’otage de la colère, de la frustration, des déceptions et des ressentiments.
Attention, tourner la page ne veut pas dire oublier. La déchirer ne veut pas dire oublier. Il ne s’agit pas non plus de tolérer un mauvais comportement ou de minimiser un préjudice qui vous est fait ! Le pardon est un engagement de vous-même envers vous-même à cesser de ressasser une vieille histoire pour ne plus en porter le fardeau.
Cela veut seulement dire que nous choisissons d’être heureux au lieu d’être blessés, que nous choisissons de sortir de la soumission, de la dualité et de l’attachement. Cela veut seulement dire que nous choisissons d’être heureux au lieu d’être blessés, de sortir de la soumission, de la dualité et de l’attachement. Cela veut dire que nous choisissons la douceur, la paix intérieure et l’harmonie.
Même si nous avons vécu une déception, il est impératif d’aller de l’avant en choisissant d’écrire un nouveau chapitre de notre vie, pour nous aider à avancer, à grandir, à évoluer. Un chapitre qui nous pousse à nous débarrasser des émotions qui torturent inlassablement la profondeur de notre être. Un chapitre qui nous libère des chaînes du passé, nous montre ce qui compte vaiment et qui nous permet d’être libre.
Lorsque vous ne parvenez pas à pardonner, les vieilles blessures s’enveniment et vous êtes pris au piège, dans une prison que vous avez vous-même érigée : celle de l’histoire dont vous jugez être la victime.
Il est temps de reprendre votre pouvoir, de couper les liens toxiques qui vous rattachent à cette situation et vous empêchent d’avancer ! Pardonnez-vous et pardonnez aux autres. Dites non au drame sous toutes ses formes. Quelle que soit la méthode choisie (EFT, bonhommes allumettes, prière, ho’oponopono, …) le pardon est la clé de la liberté.
Mabelle
Bonjour, j’espère que vous allez bien.
Je vous partage ce matin un texte de Monique Damel, illustré par Amanda Cass
Prenez soin de vous.
Mabelle
Fais les choses avec le cœur, ou ne les fais pas.
Ne fais rien par intérêt, par calcul, par manipulation, cela marchera un moment, mais comprends que les autres ne sont pas, aussi dupes que tu le penses.
Lorsque ton action est dictée par un bénéfice qui peut t’apporter, tu n’es pas vrai, pas dans l’échange, contrairement à l’image que tu veux donner de toi.
Certains ne verront rien, et continueront à être à tes côtés, d’autres, ceux qui ont compris ton jeu, s’éloigneront sans bruit, à ta grande surprise, si ton comportement est inconscient.
Si tu sais exactement ce que tu fais, cela déclenchera de la colère en toi, si tu te sens découvert, si ta petite » entreprise » manipulatrice est mise à jour.
Ne fais rien qui ne soit juste et bien. Tu ne tireras aucun avantage, seulement de la solitude et de la rancœur.
Tu es un bel être, ne le gâche pas.
Ma grand-mère disait déjà :Ne laissez pas vos casseroles briller plus que vous.
Ne prenez pas si au sérieux le nettoyage de la maison.
La vie est courte, profitez-en !
Enlevez la poussière si nécessaire mais prenez du temps pour peindre un tableau ou écrire un poème, promener ou rendre visite à un ami, cuisiner ce que vous voulez, arroser vos plantes…
Ayez du temps libre pour boire une bière, nager à la plage (ou piscine), escalader des montagnes, jouer avec des chiens, écouter de la musique, lire des livres, cultiver vos amis et profiter de la vie.Enlevez la poussière si nécessaire mais la vie continue à l’extérieur. Tu sais que ce jour ne reviendra jamaisEnlève la poussière si nécessaire mais n’oublie pas que tu vieilliras et que beaucoup de choses que tu peux faire maintenant ne seront pas si faciles à faire dans la vieillesse. Et quand tu sortiras, puisque nous partirons tous un jour, tu deviendras aussi poussière.Et personne ne se souviendra du nombre de factures que vous avez payées, ni de votre propre maison, mais ils se souviendront de votre amitié, de votre joie et de ce que vous avez enseigné.
De nombreux journalistes qui ont couvert la Seconde Guerre mondiale étaient proches de personnes du Bureau des Services Stratégiques (le prédécesseur de la CIA en temps de guerre) ; plus important, ils étaient tous du même côté.
Au sein de la CIA, les journalistes se sont vu accorder un statut d’élite, conséquence de l’expérience commune que les journalistes partageaient avec les hauts responsables de la CIA. Beaucoup avaient fréquenté les mêmes écoles que leurs gestionnaires de la CIA, évoluaient dans les mêmes cercles, partageaient des valeurs politiques libérales et anticommunistes à la mode qui constituait une sorte « d’élite de l’establishment » dans les médias, politique et universitaire de l’Amérique d’après-guerre.
DES DÉTAILS TROUBLES SUR LES RELATIONS DE LA CIA avec des individus et des organes de Presse ont commencé à se répandre en 1973, lorsqu’il a été révélé pour la première fois que la CIA avait employé des journalistes.
L’utilisation par l’Agence de journalistes dans des opérations d’infiltration a été la plus répandue :
Dans les années 1950 et 1960, les journalistes ont servi d’intermédiaires – pour repérer, payer, transmettre des instructions – aux membres du parti chrétien-démocrate en Italie et des sociaux-démocrates en Allemagne, qui ont tous deux reçu secrètement des millions de dollars de la CIA.
Comme exemple, dans les années 60, les reporters ont été largement utilisés dans l’offensive de la CIA contre Salvador Allende au Chili ; ils ont fourni des fonds aux opposants d’Allende et ont écrit de la propagande anti‑Allende pour des publications exclusives de la CIA distribuées au Chili…
Obscurcir les faits était relativement simple. Aucune mention n’a été faite des 400 résumés ou de ce qu’ils montraient. Au lieu de cela, le Rapport notait simplement qu’une cinquantaine de contacts récents avec des journalistes avaient été étudiés par le personnel de la Commission, donnant ainsi l’impression que les relations de la CIA avec la presse s’étaient limitées à ces cas. Le rôle des cadres de Presse coopérants a été négligé. Le fait que l’Agence ait concentré ses relations dans les secteurs les plus en vue de la presse est passé sous silence…
Pour conclure, on peut observer la partialité de la part des principaux médias américains et occidentaux entre 1950 et les années 70.
Aujourd’hui, les Médias appartiennent en large majorité aux hommes d’affaires multimilliardaires (voir notre Tableau « A qui appartiennent les Médias (https://t.me/RevuesCitoyennes/52) ? ») qui fabriquent 80% de l’opinion publique (comme dirait la Journaliste Aude Lancelin).
Ces derniers utilisent ces médias pour favoriser ou défavoriser un Homme Politique (qui, une fois élu, le lui rendra bien en créant des lois favorables à l’industriel en question)
Vous connaissez certainement l’adage qui dit : « on ne mord pas la main qui nous nourrit »
Source 👉https://www.carlbernstein.com/the-cia-and-the-media-rolling-stone-10-20-1977
Ca vous donne envie de les croire ? Moi non !
Mabelle
Juste une petite vidéo pour ceux qui persistent à croire qu’ils ne sont pas manipulés https://www.youtube.com/watch?v=h8X-SZYWxqs
Douce soirée
Mabelle
Bonjour, Comment allez vous ?
Je vous propose de visionner un documentaire de 2016, de Denis Delestrac Cargos : la face cachée du fret
Il s’agit d’une enquête audacieuse qui nous entraîne dans les coulisses du transport maritime pour révéler la mécanique et les dangers de cette industrie clé de notre économie, de notre environnement et de notre modèle de civilisation.
Environ 90% de ce que nous consommons transitent sur les quelque 60 000 bateaux qui sillonnent sans relâche les mers du globe. C’est dire notre dépendance et l’importance du frêt maritime, tentaculaire réseau d’artères maritimes qui structure la mondialisation. Mais celle-ci n’est rendue possible que parce qu’une armada de cargos voguent à son service. Ces dizaines de milliers de bateaux gros comme des buildings sillonnent les mers et les océans sans relâche afin de faire fonctionner notre système économique. Une activité phénoménale ! Il est vrai que le système semble tombé sur la tête… Ici, du poulet américain est découpé et mis sous vide en Chine. Là, du whisky écossais embouteillé en Australie revient à la case départ, avant d’être distribué dans le monde entier… Et si peu de monde en a vraiment conscience, c’est que ces autoroutes tracées dans l’immensité des mers échappent aux regards.
VISIONNER LE DOCUMENTAIRE : https://odysee.com/@AKINA:7/2022-10-24-DI68-Cargos-La-face-cach%C3%A9e-du-fret-HD4:7
Prenez soin de vous. Mabelle
Bonjour, j’espère que vous allez bien.
Vu que je n’ai toujours pas trouvé comment faire pour partager une vidéo sur wordpress, je vous partage le lien de la vidéo que j’ai postée sur VK.
https://vk.com/wall616596240_14801
Prenez soin de vous avez amour
Mabelle
«Tout, autour de nous, change sans cesse. Chaque jour, le soleil illumine un monde nouveau.
Ce que nous appelons routine est rempli d’occasions nouvelles, mais nous ne savons pas voir que chaque jour est différent du précédent.
Aujourd’hui, quelque part, un trésor vous attend. Ce peut être un petit sourire, ce peut être une grande conquête, peu importe.
La vie est faite de petits et de grands miracles. Rien n’est ennuyeux, car tout change constamment.
L’ennui n’est pas dans le monde, mais dans la manière dont nous voyons le monde.» – Paulo Coelho