Un peu de saumon ?

Bonsoir,

J’espère que vous avez vécu une belle journée, et soirée également.

Je vous partage bien vite un petit message de Michel Dogna avant de faire une petite séance de Psio et de me coucher.

Certains feront peut-être des courses demain dans la journée et cet article pourrait leur permettre de penser à un petit changement de menu pour ceux qui célèbrent Noël et avaient l’intention de consommer du saumon.

Pourquoi faut-il éviter de mettre du citron sur le saumon fumé ? : Femme  Actuelle Le MAG

Le saumon fumé… en mangez-vous encore ?

Les ¾ de ces saumons proviennent des milliers de fermes aquacoles installées dans les fjords norvégiens. Le marché, c’est maintenant 600 000 tonnes par an de ce poisson qui en sont exportées.

Mais il y a un problème de taille : les saumons sont élevés dans de telles conditions concentrationnaires (l’équivalent de 27 truites dans une baignoire), qu’il s’est installé un parasite, le pou de mer, provoquant de gros trous dans leur peau ainsi que des abcès les rendant malades et invendables. Pendant 20 ans ce problème a été traité par les antibiotiques mais comme d’habitude, une résistance s’est installée. Alors les services sanitaires ont appliqué une solution radicale, le Diflurobenzuron, un pesticide pourtant interdit en Europe (sauf en France !) dans les milieux aquatiques pour son extrême dangerosité.

La visite de fermes avec des cages de 400 000 saumons a révélé que la moitié des saumons meurent par l’effet combiné du manque d’espace, du manque d’oxygène, et des poux. Alors, toutes les 6 semaines en moyenne, on verse des sceaux de Diflurobenzuron dans le parc ; il s’ensuit à chaque fois la mort de 2 à 300 saumons par jour pendant une semaine.
Puis le produit se répand aux alentours tuant immédiatement toutes les espèces de poissons qui s’approchent du site. Les saumons sont les seuls à résister (partiellement) à ce toxique légalisé en Norvège. Bien sûr, aucune étude n’a été effectuée sur l’incidence du « Diflumachin » sur la santé humaine…

Le lobby de l’aquaculture est devenu tellement puissant qu’il encadre tous les organismes de contrôle. La Norvège ne faisant pas partie de l’Europe, sa règlementation n’est pas assujettie à la législation européenne. Mais en raison d’un accord de libre échange (obligé par l’OMC), aucun contrôle  n’est effectué à nos frontières…
C’est comme cela que le Diflurobenzuron, classé hautement cancérogène arrive tranquillement dans votre assiette. Renseignements pris,

aucun des éleveurs interrogés ne consomment de leur  production…

Maintenant, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas. A vous de voir ce qu’il vous reste à faire.

Douce nuit

Mabelle

Elever nos consciences

Je suis consciente que d’être authentique et transparente ne plaît pas à tout le monde. Il est parfaitement clair qu’il est bien plus confortable de rester dans sa zone de confort, même si elle est devenue moins confortable en 2020 que les années précédentes mais, au moins ne pas remettre en question tout ce qu’on nous a toujours raconté depuis l’enfance est plus rassurant que ma version des choses. J’ai reçu le message d’une lectrice qui me disait que si je n’avais rien d’autre à faire que de faire peur aux gens, je ferais mieux de me taire. Il est évident que d’accepter la possibilité que la réalité est bien différente que ce qu’on nous a toujours raconté n’est pas simple. Mais, en même temps, je n’oblige personne à me lire et j’invite cette personne à regarder la télé si elle trouve ça plus rassurant. J’avoue que je ne vois pas en quoi ce que je publie est moins rassurant que le nombre de morts, de cas, d’infectés répétés encore en encore à longueur de journées, semaines, mois. Mais elle est libre de préférer ça et de ne jamais remettre en question les discours complètement contradictoires et infantilisants qu’on lui impose et la manipulation génétique qu’on nous promet à l’échelle de la planète, elle peut l’accepter également si cela lui plaît.

Personnellement je ne juge personne et chacun est libre de vivre comme il l’entend, même s’il risque sa vie en le faisant. Chacun est responsable de sa propre vie. Je trouve ça insensé de participer à une expérimentation génétique à l’échelle de la planète. On retombe sur le coup du code de Nuremberg et je refuse d’être un cobaye pour un petit nombre de malades mentaux qui veulent m’empêcher d’utiliser ma glande pinéale et m’élever en conscience.

Quoi qu’il en soit, je ne peux pas jouer le jeu de ce système où on nous colle des étiquettes sur le front et nous enferme dans des boîtes, où on nous dit ce qu’on doit faire, manger, penser, dire, … Je ne peux pas jouer ce jeu dans lequel tant de monde ment depuis des mois, racontant des mensonges plus gros les uns que les autres. Aussi délicat que cela puisse être, j’ai bien l’intention de continuer à dire ce que je pense même si ça déplaît. Je ne gagne pas le moindre cent avec ce blog, au contraire, cela me coûte de l’argent puisque je dois payer l’hébergeur et le nom de domaine. Donc le nombre de lecteurs que j’ai ne va pas changer ma vie. Par contre je suis convaincue que ce que je publie peut, sans aucune prétention de ma part, changer la vie de certains. Et, même s’il ne s’agit que d’une seule personne, c’est toujours ça de gagné. Ce dont je vous fais part est délicat vu que certains se sont vus enfermés en hôpital psychiatrique pour avoir dénoncé les mêmes choses que moi. Mais j’ai néanmoins choisi de le faire.

Au début de la crise j’avais, comme beaucoup de monde, cru à l’existence de ce virus mortel plus dangereux et contagieux que la peste ou la grippe espagnole. Au départ, j’ai cru qu’après la saison des grippes passée, tout serait terminé.

J’ai travaillé en milieu hospitalier dans le passé et j’ai très rapidement réalisé que quelque chose clochait, d’autant que ça fait déjà bien longtemps que je n’ai plus cette vision pasteurienne de la médecine. Même si je ne regarde pas les médias, par les discours relayés sur le net, j’ai vu que tous les pays utilisaient un vocabulaire similaire, des mesures identiques, les incohérences se multipliaient. Les travails d’éminents chercheurs étaient ignorés, ridiculisés, pendant que des médecins avec d’énormes conflits d’intérêts faisaient la une des plateaux télé. Les traitements nous étaient interdits et on a commencé à euthanasier les personnes âgées plutôt que de vouloir booster leur immunité.

On nous a confiné malgré le fait que cela était déconseillé par l’OMS. Des centaines de grands spécialistes ayant un message différent que celui qui faisait l’unanimité des médias ont été réduits au silence, menacés, rayés de l’ordre des médecins, censurés. La censure s’est étendue à tous les lanceurs d’alerte, tous ceux qui se posaient des questions légitimes sur la situation. Tous les discours des médias n’allaient plus que dans le sens de la pensée unique, aucun discours contradictoire possible.

Diaporama exemples de censure | L'armée et l'information de 1914 à nos jours

La censure m’a touchée plus personnellement quand on a fermé ma chaîne youtube, bloqué ma page Facebook, ainsi que les chaines et pages de personnes que j’apprécie simplement parce que des personnes y exprimaient leurs doutes ou leurs mécontentements. J’ai constaté qu’il n’était possible de rouvrir qu’à la condition de ne plus rien publier concernant certains thèmes, sous peine de se voir fermé définitivement.

La liberté d’expression est importante pour moi. Le fait de la voir bafouée m’a incitée à chercher plus loin, à comparer des chiffres, à regarder d’autres sources d’informations, m’intéressant plus encore aux communications allant à contre-courant du discours officiel. J’ai vite compris que cette histoire n’avait rien de sanitaire. Moi qui n’y ai jamais prêté le moindre intérêt, je me suis renseignée sur la politique internationale.

Ce que je pense aujourd’hui c’est que l’humanité est face à tout autre chose qu’un virus. Le défi est bien plus grand puisqu’on se retrouve face à une bande de dingues qui jouent avec nous comme avec des rats de laboratoire et ont pour objectif de nous modifier génétiquement par peur de notre élévation de conscience. Il est là l’enjeu réel, nous faire croire à une pandémie pour nous imposer une expérimentation génétique pour empêcher l’humanité de passer en 5ème dimension qui sera leur perte. Il s’agit donc de l’avenir de l’humanité.

Tous les grands médias à la solde des quelques familles les plus riches de la planète ont complètement hypnotisé une très grosse partie de la population mondiale avec des messages mensongers. A tel point que tout le monde se retrouve dans la peur de mourir, comme si la mort n’avait jamais existé avant 2020 et nous attendait maintenant au coin de notre porte à chaque pas qu’on pourrait faire à l’extérieur. Voire, maintenant, même dans nos maisons nous devons avoir peur et porter un masque, qui n’a jamais protégé d’aucun virus. Mais cela a beau être indiqué en toutes lettres sur toutes les boîtes, tout le monde y croit et beaucoup pensent même que ce que les médias nomment un vaccin (et qui n’en est pas un puisqu’un vaccin contient le virus atténué et que là il s’agit d’ARN messager qui n’a jusqu’à présent jamais été expérimenté sur l’homme) va les sauver d’une mort certaine.

J’ai choisi pendant un moment de ne plus rien publier sur ce blog parce que je voulais être certaine des informations que je pouvais trouver ci et là après de très nombreuses heures de recherches, ma réalité s’est transformée non seulement sur cette crise, mais aussi sur tant d’autres choses découvertes par la même occasion parce que la supercherie ne date pas de hier, ni même de l’an dernier. Ca fait des décennies qu’on nous manipule. D’autres vérités se sont révélées à moi et il est difficile de me taire. D’ailleurs pourquoi le faire ? Nous sommes tous concernés.

Qu’on soit prêt à l’admettre ou non, nous sommes tous dans le même bateau, il pourrait se nommer Titanic car il n’est pas loin de couler dans une grosse tempête. C’est à nous de faire en sorte que cela n’arrive pas, de jeter le capitaine par-dessus bord et de prendre la barre pour choisir une autre destination.

Une photo de l'iceberg qui aurait coulé le Titanic a refait surface

De mon côté, quoi que l’humanité choisisse aujourd’hui, je suis alignée, je suis en paix et confiante. Je crois en la grandeur humaine et j’ai foi dans le fait que la Lumière gagne toujours même si la situation est pour l’instant apocalyptique.

Malgré toutes les censures, ils ne peuvent pas empêcher l’information de se répandre comme une traînée de poudre et de plus en plus de personnes nous proposent leur aide pour accéder à une conscience plus élevée et, ensemble nous allons y arriver même si ces derniers jours de l’année et le début de 2021 risquent bien d’être assez redoutables.

Si l’humanité veut vivre, elle doit revoir ses croyances, entrer dans nouveau paradigme, un nouvel état de conscience dans cette période importante du solstice d’hiver qui est très certainement le point de bascule vers un nouveau monde. Car, oui, tout peut basculer rapidement selon le nombre de personnes conscientes. Rappelons nous que nous sommes «Un » et qu’ensemble nous pouvons tout changer.

Je vous propose de participer avec cette magnifique communauté qu’est celle de Conversation Papillon, du 21 décembre (oui, c’est ce soir, je m’y prends encore en dernière minute, je sais !!!) jusqu’au 12 janvier à 14h du Québec, 20h de Paris.à une série de conférences pour nous permettre de clôturer 2020 dans la conscience.

Ce soir, Antoinette Layoun sera présente pour la conférence « Respirons le bonheur et faisons briller notre étoile ». Elle nous fera vivre une méditation puissante pour la paix.

Notre planète a besoin que chaque être humain s’installe dans l’amour et la joie du cœur. Partagez votre lumière et faites suivre cette invitation à quelqu’un qui est cher à votre cœur, partagez la sur les réseaux sociaux, envoyez là à vos amis : https://conversationpapillon.com/la-grande-celebration/.

Des intervenants nous feront vivre des moments de prises de conscience avec des outils précieux

Inscrivez-vous maintenant et retrouvons nous ce soir.

Mabelle

Gratitude

Bonjour, Comment allez-vous en ce début de semaine ?

Si vous n’avez pu pratiquer la sylvothérapie hier, que cela vous paraît trop compliqué vu votre lieu de vie, emploi du temps, … je vous suggère de pratiquer la gratitude. Le positif de cette technique est que vous pouvez la pratiquer à toute heure, en tout lieu, et qu’elle ne demande qu’un carnet, de quoi écrire et quelques minutes de votre précieux temps.

J’en ai déjà parlé précédemment, retournez voir l’ancien article si cela vous tente.

Pratiquer la gratitude, même si beaucoup trouvent ça puéril ou difficile, permet d’abaisser le niveau du stress, d’avoir une meilleure qualité de sommeil, une diminution du risque de dépression.

Des études pratiquées par Robert Emmons et Michael McCullough ont permis de démontrer que les sujets ayant participé se montraient plus enthousiastes, positifs et plus optimistes sur l’avenir. Cette étude a également permis d’observer une diminution des soucis de santé, et les participants avaient tendance à vouloir prendre plus soin d’eux.

Il nous arrive souvent d’oublier d’être reconnaissant envers les choses que la vie nous apporte car nous focalisons sur ce qu’elle nous prend. Or, prendre note chaque jour de 5 choses pour lesquelles vous pouvez ressentir de la gratitude permet de voir le vide à moitié vide plutôt qu’à moitié plein. Cela peut être des événements exceptionnels comme une bonne nouvelle ou les premiers pas d’un enfant, mais des choses si simples qu’un rayon de soleil, un bon livre ou une mésange venue se poser devant votre fenêtre. Certains pensent ne rien avoir à écrire dans leur carnet parce qu’ils n’ont pas d’enfant, il pleut et ils sont seuls à la maison. Cela peut paraître un exercice compliqué. Si c’est le cas, commencez par des basiques, comme le fait d’être en bonne santé, d’avoir un toit sur la tête, l’eau courante, de quoi manger, ou internet pour lire cet article. Et, s’il le faut écrivez la même phrase que la veille. Avec le temps vous réaliserez tout ce pour quoi vous pouvez ressentir de la gratitude. En faisant cet exercice chaque soir, avant de vous coucher, vous vous assurez de vous endormir sur un sentiment positif et d’avoir ainsi un sommeil plus profond et plus réparateur.

Je vous souhaite joie et pleine santé

Mabelle

Solstice d’hiver 2020

Bonsoir, j’espère que vous avez eu un beau week-end, que vous avez mis en pratique mon conseil de la journée concernant la sylviothérapie, le temps était idéal pour ça.

Je reviens vers vous ce soir à propos du solstice.

Le solstice d’hiver, du 21 décembre au 25 décembre, sont les instants les plus importants de l’année car c’est à ce moment-là que les énergies spirituelles sont les plus fortes. Ce moment où les nuits sont les plus longues devraient nous inviter à plonger à l’intérieur de nous et à faire le bilan de notre année, un moment d’introspection duquel peut émerger de nouvelles aspirations pour l’année à venir.

Cette année, le solstice d’hiver coïncide avec un événement rarissime sur le plan astronomique qui lui donne une puissance d’impact inimaginable. Jupiter et Saturne auront leur grande conjonction le 21 décembre, jour du solstice. Ces deux planètes seront visibles dans notre ciel, et au plus proche de nous depuis l’époque médiévale, en 1226. C’est un solstice très puissant et spécial.

Certains astronomes suggèrent que la proximité de ces deux corps célestes pourrait même apparaître comme une brillante étoile de Noël, déversant la lumière des étoiles sur notre belle planète.

Comme le solstice, cette conjonction Jupiter-Saturne est profondément symbolique. Les astrologues anciens et modernes associent Jupiter aux forces de la lumière et du bien, et Saturne aux forces des ténèbres. Saturne impose des règles, des règlements et des traditions, tandis que Jupiter représente des bénédictions, de nouvelles façons de voir et d’être, et des intuitions spirituelles.

Espérons que cela puisse être la naissance d’une nouvelle ère, plus belle, plus juste pour tous.

Je ne sais pas pour vous, mais de mon coté, je me sens prête à accueillir une transformation positive pour l’humanité et pour cette belle terre que nous chérissons tous. J’ai envie de croire que de belles choses vont se passer de manière imminente.

Pas de panique s’il y avait des pannes d’internet, nous ne risquons rien, seulement de voir le monde basculer dans la vérité.

Prenons soin de vous, restez calmes et positifs.

Mabelle

Se relier à la nature

La fin de l’année approche et la semaine dernière, nous avons eu les premières gelées. Le matin, ceux qui ont encore la liberté de travailler en dehors de chez eux quittent la maison dans l’obscurité et le soir, rentrent dans le noir. L’obscurité fait-elle baisser votre niveau d’énergie ? Faites le plein d’énergie le weekend en partant explorer la nature et profitez pleinement de votre jardin.

Une dame m’a récemment fait part d’un fait très intéressant, que moi-même je vis au quotidien, surtout ces derniers temps. Elle m’a dit qu’elle avait besoin de purifier son champ énergétique, des peurs et anxiétés des autres et de veiller – plus que jamais – à maintenir sa fréquence à un haut niveau.

En effet, beaucoup de personnes ressentent de l’anxiété, à juste titre. Il est vraiment important de gérer notre état d’être, de maintenir une haute fréquence.

Pour retrouver un peu de sérénité, nous avons tous nos propres petites recettes que nous utilisons depuis longtemps, ou découvertes depuis peu mais qui peuvent nous faire le plus grand bien pendant cette période. Je pourrais ajouter à cela de faire du bien à votre corps pour que votre esprit en profite, mais vu qu’il n’est pas possible de se faire prodiguer un massage, et même pas de se rendre chez la coiffeuse pour se sentir mieux dans sa peau, il va falloir trouver un autre moyen.

Il peut s’agir de pratiquer votre activité détente préférée : peinture, couture, lecture, cuisine, bricolage, chant, danse, yoga, …

Mais aussi d’éviter tout ce qui est anxiogène : médias écrits et télévisés, conversations sur les sujets du moment, la frustration ou la colère des uns, les croyances et la désinformation des autres.

Cependant si consacrer du temps à une chose qui nous plaît peut en effet distraire l’esprit le temps de l’activité et ramener un peu de calme, ça n’est sans doute pas suffisant pour beaucoup. Dans ce cas des techniques comme celles dont il est question sur ce blog devraient grandement vous aider. Je ne vais pas développer ici les sujets qui l’ont déjà été précédemment, et vous invite à regarder les anciennes publications selon ce qui vous intéresse le plus.

L’EFT que vous pouvez pratiquer seul(e) si vous ne vous attaquez pas à un gros trauma,

La méditation que vous pratiquerez seul(e) ou avec l’aide d’un soutien audio, ce n’est pas ce qui manque sur youtube ou ailleurs si celui-ci disparaît comme devrait sans doute être le cas vu les censures et l’ingérence dans les élections américaines. Pour ceux qui ont la chance d’avoir un Psio, c’est encore plus pratique pour se déconnecter complètement de l’instant avec lunettes et casque.

Ceux qui ne possèdent pas le Psio et souhaite s’offrir ce cadeau pour Noël, profitez du code promo :

Parlons aujourd’hui de sylvothérapie :

Du latin  » silva  » qui signifie  » arbre « , la sylvothérapie souhaite rétablir les liens primitifs qu’il peut exister entre l’être humain et la nature, par l’action que peut exercer un arbre sur lui. La sylvathérapie qui est donc  » Faire un câlin à un arbre », part du principe que les arbres, comme tout être vivant possèdent leur vibration. Connectés à la terre par leurs racines, et au ciel par leurs branches, possèdent une énergie particulièrement forte dont nous pouvons nous ressourcer. Des études scientifiques démontrent que la simple vue d’arbres a un effet anti-dépresseur, et que l’énergie des arbres réduit l’anxiété, aide les enfants souffrant de troubles de l’attention et permet même de diminuer les douleurs. En anglais, on dit « Tree Hugging ».

Et si vous vous mettiez à la sylvothérapie

En 1982, la pratique a été introduite au Japon où elle est reconnue comme une technique de relaxation à part entière et jouit aujourd’hui d’un statut médical officiel et se nomme  » Shinrin-yoku « ,  » bains de forêts « . Il ne s’agit toutefois pas d’un effet de mode.  » Il y a toujours eu des personnes qui allaient en forêt embrasser des arbres. De tout temps, les hommes ont voulu se rapprocher de la nature « , explique Jean-Marie Defossez, auteur du livre Sylvothérapie, le pouvoir bienfaisant des arbres.

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Avez-vous déjà fait un câlin à un arbre ?

J’imagine l’air dubitatif de certains, mais se ressourcer à l’énergie des arbres a fait l’objet de plusieurs livres et études scientifiques. Bon, je suis la première à dire qu’on ne peut plus se fier aux études scientifiques quand on voit à quel point elles sont manipulées selon qui les a financées. Il s’agit donc de toujours se poser l’éternelle question « A qui profite le crime ? ». Or, ici, à personne, que vous fassiez un câlin à un arbre ne rapporte d’argent à aucun laboratoire, que du contraire donc, je choisis de croire à ces études. Mais vous êtes libre de croire ce que bon vous semble. Je ne fais que partager ce que j’estime juste et profitable pour tous et chacun se fera sa propre idée, cherchera ailleurs des infos sur le sujet, pratiquera ou non.

Détrompez-vous, cela n’a rien de ridicule. Au contraire, cela a un réel effet apaisant, régénérant, tout à fait surprenant.

Prenons un moment pour nous enraciner dans le présent. Ce bel après-midi ensoleillé est un merveilleux moment pour profiter de Dame Nature est de ses multiples vertus pour le corps et l’esprit.

Choisissez votre arbre, dirigez-vous instinctivement vers celui qui vous appelle, ça sera forcément l’arbre parfait. Peu importe qu’il soit lisse ou rugueux, droit ou tordu. Vous pouvez pratiquer dans un parc, au risque d’être regardé bizarrement. Personnellement je me moque des personnes qui ne sont pas capables de comprendre ce que je fais et se permettent de me juger. Je suis convaincue qu’un jour tout le monde pratiquera la sylvothérapie, cela fera partie de nos habitudes quotidiennes.

Depuis que j’ai déménagé il y a 4 ans, je n’ai plus les grands arbres de mon ancien jardin et c’est seulement l’an dernier que j’ai aménagé l’extétieur et planté le figuier reçu en cadeau de fête des mères. Autant vous dire que deux doigts suffisent à faire le tour de son minuscule tronc. Or, plus l’arbre est grand, et plus il aura d’énergie à vous donner.

Si vous choisissez un arbre paraissant malade, il ne pourra pas vous donner d’énergie. Si vous le faites, ça sera au contraire pour lui donner de l’énergie et non pour lui prendre le peu qu’il lui reste.

Si le regard des autres vous gêne, et que vous avez un arbre dans votre jardin, rien ne vous empêche de pratiquer chez vous. Et, à partir du moment où vous en aurez ressenti les bienfaits, vous oserez le faire ailleurs, au vu des bienfaits par rapport à la moquerie des gens qui ne comprennent pas.

Lorsque vous avez trouvé votre arbre (à moins que ça ne soit lui qui vous a trouvé ?), prenez un moment pour l’observer. Demandez-lui intérieurement la permission de l’approcher.

Collez-vous contre lu, le front ou la joue contre l’écorce. Fermez les yeux. Restez dans l’instant et respirez calmement.

Lorsque vous serez installé dans ce câlin, sentez que vous ne faites qu’un avec l’arbre, vous êtes l’arbre et l’arbre est vous.

Inspirez profondément en ancrant un peu plus vos pieds dans le sol comme pour vous connecter aux racines. Faites remonter le souffle dans tout votre corps jusqu’au sommet de votre tête comme la sève qui monte vers la cime.

Et expirez vers le ciel.

Puis faites le chemin inverse. Inspirez du ciel et faites descendre le souffle jusque dans le sol, jusqu’à vos pieds, jusqu’aux racines de l’arbre.

Restez aussi longtemps que vous souhaitez dans ce câlin avec la nature en portant votre attention sur les battements de la vie qui circule dans ce duo entre vous et l’arbre.

Avant de repartir, n’oubliez pas de remercier l’arbre qui vous a insufflé de l’énergie, autant qu’une séance de sophrologie. Alors même s’il ne parle pas, remerciez-le !

Et emportez avec vous tous les bienfaits de ce moment de douceur.

Une autre technique, que j’aime moins personnellement, mais qui conviendra sans doute mieux à ceux qui s’inquiètent du passage de quelqu’un qui pourrait les surprendre en plein câlin, consiste à se mettre dos à l’arbre. Une main sur le sacrum, paume contre l’écorce de l’arbre. L’autre main paume sur le plexus solaire. Reposez l’arrière de la tête contre l’écorce de l’arbre et si possible les pieds entre les racines. Respirez profondément et restez dans cette position 5 min. Ensuite alternez les mains et recommencez (afin de respecter la polarité du corps).

Bonne recharge énergétique

Mabelle

Girimananda et Bouddha

L’Eveillé Bouddha demeurait près de Savatthi sur les terres de Anathapindika dans le bois de Jeta.

Le Vénérable Girimananada était affligé, souffrant et très malade. Il approcha Bouddha et s’assit à côté de lui. Il lui dit ceci :

– Maître, le Vénérable Girimananda est affligé souffrant et très malade. S’il vous plaît, Maître, puisse l’Eveillé s’approcher du vénérable Girimananda, ayant pitié de lui.

– Si vous, Ananda, répondit Bouddha, ayant approché le moine Girimananda, vous récitiez les dix perceptions, alors il est possible que, les ayant entendues, l’affliction du moine Girimananda disparaîtra immédiatement.

– Quelles sont-elles ? demanda Ananda.

– La perception de l’impermanence, la perception du non-soi, la perception de ce qui est repoussant, la perception du danger, la perception de l’abandon. La perception du non-désir, la perception de la cessation, la perception de la non-délectation à l’égard du monde, la perception de l’impermanence dans tous les processus, l’attention en plein conscience sur la respiration.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de l’impermanence ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : la forme est impermanente, les sensations sont impermanentes, les perceptions sont impermanentes, les processus (mentaux) sont impermanents, la conscience est impermanente.

Ainsi, au regard de ces cinq groupes constituants (de l’esprit et du corps) qui procurent du carburant à l’attachement, il demeure contemplant l’impermanence.

Ceci, Ananda, est appelé la perception de l’impermanence.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception du non-soi ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : l’oeil n’est pas le soi. La forme n’est pas le soi. L’oreille n’est pas le soi. Les sons ne sont pas le soi. Le nez n’est pas le soi. Les odeurs ne sont pas le soi. La langue n’est pas le soi. Les saveurs ne sont pas le soi. Le corps n’est pas le soi. Les éléments tangible ne sont pas le soi. L’esprit n’est pas le soi. Les pensées ne sont pas le soi.

Ainsi, au regard de ces six sphères sensorielles internes et externes, il demeure contemplant le non-soi.

Ceci, Ananda, est appelé la perception du non-soi.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de ce qui est repoussant ?

Ici Ananda, un moine réfléchit à ce corps de la plante des pieds vers le haut, des cheveux vers le bas, liés par la peau et remplis de nombreuses impuretés :

Il y a dans ce corps : les cheveux, les poils, les ongles, les dents, la peau, la chair, les tendons, les os, la moelle osseuse, les reins, le coeur , la foie, la plèvre, la rate, les poumons, les intestins, le mésentère, la nourriture non digérée, les excréments, la bile, le phlegme, le pus, le sang, la sueur, la graisse, les larmes, la salive, le mucus, le liquide, synovial, l’urine.

Ainsi, au regard de ce corps, il demeure contemplant ce qui est repoussant.

Ceci, Ananda, est appelé la perception de ce qui est repoussant.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception du danger ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi :

Ce corps a beaucoup de souffrances. Il comporte de nombreux dangers, ainsi, en connexion avec ce corps, de nombreuses afflictions apparaissent, comme telles :

une maladie des yeux, une maladie de l’oreille, une maladie de nez, une maladie de la langue, une maladie du corps, (i.e des maladies affectant les sphères sensorielles), une maladie de la tête, une maladie de l’oreille, une maladie de la bouche, une maladie des dents, une toux, de l’asthme, une catarrhe, une pyrexie, de la fièvre, un mal d’estomac, une perte de connaissance, une diarrhée, des coliques, le choléra, la lèpre, des furoncles, de ‘eczéma, la tuberculose, des crises d’épilepsie, une mycose, des démangeaisons, la gale, la varicelle, une hémorragie, du diabète, des hémorroïdes, un cancer, des ulcères, des afflictions résultant d’excès de bile, des afflictions résultant d’excès de flegme, des afflictions résultant d’excès de souffles, vitaux, des affliction résultant d’un conflit d’humeurs, des afflictions née d’un changement de saisons, des afflictions nées du fait d’être imprudent, des afflictions née du fait attaqué, des afflictions nées en tant que résultant d’actions,(antérieures malsaines), un corps de froid, de la chaleur, de la faim, de la soif, un problème de selles, de l’urine. Ainsi, au regard de ce corps, il demeure contemplant le danger.

Ceci, Ananda, est appelé la perception du danger.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de l’abandon ?

Ici, Ananda, un moine ne donne pas son consentement à des pensées de désir sensuels qui sont apparues, (ceci,) il l’abandonne, le dissipe, le conduit sa fin et le rend non-existant.

Il ne consent pas aux pensées de malveillance qui ont surgi, (celles-ci) il les abandonne, les dissipe, les conduit à leur fin et les rend no-existantes. Il ne consent pas aux moindres pensées mauvaise et malsaines qui ont surgi, (celles-ci) il les abandonne, les dissipe, les conduit à leur fin et les rend non-existantes.

Ceci, Ananda, est appelé la perception de l’abandon.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception du non-désir ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi :

C’est paisible, c’est excellent, c’est-à-dire l’apaisement de tous les processus, la lâcher-prise de toutes les bases de clivages, la fin de l’envie impérieuse, le non-désir, Nibbana [Nirvana].

Ceci, Ananda, est appelé la perception du non-désir.

Maintenant, Ananda, qu’est- ce que la perception de la perception ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : C’est paisible, c’est excellent, c’est-à-dire :

L’apaisement de tous les processus, le lâcher-prise de toutes les bases de clivage, la fin de l’envie impérieuse, la cessation, Nibbana.

Ceci, Ananda est appelé la perception de la perception.

Maintenant, Ananda qu’est -ce que la perception de la cessation ?

Ici Ananda, un moine qui s’est rendu sans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou un lieu isolé, considère les choses ainsi : C’est possible, c’est excellence, c’est-à-dire : l’apaisement de tous les processus, le lâcher-prise de toutes les bases de clivages, la fin de l’envie impérieuse, la cessation, Nibbana. Ceci, Ananda, est appelé la perception de la cessation.

Maintenant, Ananda, qu’est ce que la perception de la non-délectation à l’égard du monde ?

Ici, Ananda, un moine, au regard du monde et de tous les moyens et attachements égoïstes, ou déterminations mentales, croyance établies ou tendances que l’on y trouve, les abandonnent, n’y étant point attaché, il s’en abstient.

Ceci Ananda, est la perception de non-délectation à l’égard du monde.

Maintenant, Ananda, qu’est-ce que la perception de l’impermanence dans tous les processus ?

Ici, Ananda, un moine au regard de tous les processus, est affligé, il a honte et il est dégoûté.

Ceci, Ananada, est la perception de l’impermanence dans tous les processus.

Maintenant. Ananda, qu’est-ce que l’attention en pleine conscience de la respiration ?

Ici, Ananda, un moine qui s’est rendu dans la forêt, ou au pied d’un arbre, ou eu un lieu isolé, s’assoit. Après avoir croisé les jambes, gardant son corps droit et établissant l’intention en pleine conscience au niveau du nez, attentif en pleine conscience, il inspire, attentif en pleine conscience, il expire.

Tandis qu’il inspire longuement, il sait « j’inspire longuement ».

Tandis qu’il expire longuement, il sait « j’expire longuement ».

Tandis qu’il inspire de façon courte, il sait « j’inspire de façon courte ».

Tandis qu’il expire de façon courte, il sait ‘’ j’expire de façon courte ».

Il s’entraîne ainsi :

Expérimentant la totalité du corps, j’inspirerai. Expérimentant la totalité du corps, j’expirerai.

Rendant tous les processus corporels apaisés, j’inspirerai. Rendant tous les processus corporels apaisés, j’expirerai.

Expérimentant la joie, j’inspirerai. Expérimentant la joie, j’expirerai.

Expérimentant le plaisir, j’inspirerai. Expérimentant les processus mentaux, j’inspirerai.

Expérimentant les processus mentaux j’expirerai. Rendant les processus mentaux apaisés, j’inspirerai. Rendant les processus mentaux apaisés, j’expirerai.

Expérimentant l’esprit j’inspirerai. Expérimentant l’esprit j’expirerai.

Rendant l’esprit joyeux j’inspirerai. Rendant l’esprit joyeux, j’expirerai.

Concentrant l’esprit, j’inspirerai. Concentrant l’esprit, j’expirerai.

Libérant l’esprit j’inspirerai. Libérant l’esprit, j’expirerai.

Contemplant l’impermanence, j’inspirerai. Contemplant l’impermanence, j’expirerai,

Contemplant le non-désir j’inspirerai. Contemplant le non désir j’expirerai.

Contemplant la cessation, j’inspirerai. Contemplant la cessation, j’expirerai.

Contemplant le lâcher-prise, j’inspirerai. Contemplant le lâcher-prise, j’expirerai.

Ceci Ananda, est l’attention en pleine conscience de la respiration.

Si vous, Ananda, récitiez ces dix perceptions au moine Girimananda, il est possible que, les ayant entendues, l’affliction du moine Girimananda disparaîtra immédiatement.

Le vénérable Ananda, ayant appris ces dix perceptions de la bouche de l’Eveillé, approcha le vénérable Girimananda et lui récita ces dix perceptions.

Ayant entendu ces dix perceptions, l’affliction du vénérable Girimananda disparut immédiatement et il fut guéri de cette affliction. Par cela l’affliction du vénérable Girimanada prit fin.

Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience