Faut il être sociapathe pour adhérer au WEF ?

Je me demande chaque jour si le monde est devenu fou. Je vous partage un artice de Robert F.Kennedy, Jr et, après l’avoir lu, vous devriez vous poser la même question que moi.

Les enfants virtuels n’existeraient qu’à l’intérieur du métavers et les parents interagiraient avec eux en utilisant des portables High Tech comme des gants qui peuvent fournir des commentaires tactiles pour reproduire des sensations physiques.

Qu’en pensez-vous ?

Mabelle

Le rejet

Bonjour je vous souhaite en pleine forme. Je vous partage ce matin un texte de Diane Gagnon sur le rejet.

Belle lecture.

Mabelle

Pourquoi le rejet est la clé d'accès à l'harmonie ? - Libre d'être soi

Le rejet est le meilleur moyen que l’Univers utilise pour nous protéger des gens et des situations qui ne sont plus favorables pour nous.

Plutôt que de vivre le rejet avec émotion, colère ou tristesse, rappelons-nous que la Vie veut toujours notre bien.

Si quelque chose ou quelqu’un à quoi ou à qui nous tenons s’éloigne de nous, sachons reconnaître que c’est parce que son passage dans notre vie est terminé. N’allons pas tenter de récupérer ce qui est déjà parti : la Vie sait ce qu’elle fait. Laissons aller.

Tenter de retenir ce qui a fait son temps dans notre vie c’est comme continuer à porter nos chaussures d’enfant : elles sont trop petites, elles ne nous vont plus, elles nous font mal mais nous continuerions de les porter quand même? Bien sûr que non! Sachons reconnaître quand une étape de notre vie est terminé.

Personne ne peut nous rejeter. Chaque être humain est libre de faire ce qu’il veut, selon ce qu’il croit juste ou nécessaire de faire. La seule personne qui peut nous rejeter, c’est nous-mêmes. Et la plupart d’entre nous, nous le faisons régulièrement, même sans nous en rendre compte, quand nous ne choisissons pas ce qui est bon pour nous, quand nous choisissons de passer en dernier, quand nous n’écoutons pas l’élan de notre coeur.

Nous ne perdons rien dans notre vie. Ce qui semble nous être enlevé avait tout simplement terminé sa mission dans notre vie. Tout passe. Les choses, les gens, les situations. Il ne sert à rien de nous faire souffrir trop longtemps sur ce que nous croyons perdre.

Accueillons l’émotion qui est là sur le coup, mais accueillons aussi la sagesse de la Vie qui sait toujours mieux que nous ce dont nous avons besoin.

Il n’y a pas de rejet. Il n’y a qu’une situation qui nous déplaît royalement parce qu’elle échappe à notre besoin de contrôler afin que tout fonctionne comme nous le voudrions.

Mais nous n’aurons jamais le dernier mot avec la Vie. Elle décide, nous accueillons. C’est ainsi. Même si cela nous irrite, c’est ainsi. À quoi bon se faire souffrir à y résister. Accueillons tout simplement ce qui vient et faisons du mieux que nous pouvons avec les nouvelles données qui composent notre existence. Plus tôt nous comprendrons ceci, plus longtemps nous pourrons être heureux à faire équipe avec la Vie.

Natalité en baisse

Les masques, un futur scandale sanitaire ?

Oui, je sais je reviens souvent sur le sujet, mais je suis toujours autant sidérée de croiser au quotidien des personnes masquées. Elles ont été tellement soumises à la dissonance cognitive qu’elles sont devenues incapables de réfléchir par elles-mêmes pour peu qu’elles l’ai déjà fait dans le passé.

Déjà si ces personnes se donnaient la peine de s’informer plutôt que d’écouter naïvement les médias, elles comprendraient que leur comportement n’a aucun sens. Mais, le pire c’est qu’en croyant protéger leur santé elles la détruisent.

Les masques contribuent à implanter des micro plastiques profondément dans les poumons. Je pense que, même un enfant de 5 ans comprend que ce n’est pas là la place des plastiques.

Les scientifiques découvrent des microplastiques dans les poumons profonds. Cela est dû aux masques jetables que les gens ont été encouragés à porter constamment et qui sont faits de ces mêmes plastiques. Evidemment les médias essayent de noyer le pois(s)on dans le cadre de la crise climatique … et sans doute certains y croiront ils encore.

Certains des plastiques trouvés dans les poumons profonds ont également des propriétés œstrogéniques prouvées, ce qui signifie qu’ils interagissent avec les récepteurs des œstrogènes et perturbent le système endocrinien. Déjà on sait que de nombreuses femmes en âge de procréer qui ont accepté les injections se retrouvent avec de gros soucis de cycle menstruel, font des fausses couches, perdent leur bébé quelques jours après la naissance, se retrouvent ménopausées dans la vingtaine … (excellent moyen de réduire la population comme le souhaite les globalistes) mais en plus le plastique des masques provoque un désordre hormonal qui mène probablement lui aussi à la stérilité.

Tu comprends pourquoi « ils » veulent mettre des masques à l’école aux enfants pendant que les dirigeants ne les ont portés que pour les photos mais uniquement durant quelques minutes. Oui oui, je sais, certains vont encore me dire que je radote. J’ai vu assez de vidéos où des politiciens parlaient, s’embrassaient, se touchaient tout à fait normalement puis, pour la photo qui va paraître dans les médias, hop, tout le monde sort son masque de sa poche, la photo est faite et le masque retourne au fond de la poche. Assez de vidéos ont circulé sur le net pour le dénoncer, mais c’est clair que seuls ceux qui ont vraiment cherché à s’informer ailleurs qu’à la télé ont pu le voir. Il est plus que temps d’ouvrir les yeux si tu ne veux pas les fermer à jamais.

Mabelle

Encore s’aimer quand on a été mal aimé

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage un texte de Martine SDY BENZAQUEN.

Bonne lecture

Mabelle

Peut-on cesser d'aimer du jour au lendemain ? - Quora

C’est qu’on ne veut pas s’avouer combien a eu mal d’aimer, combien on n’a pas été aimé comme on l’avait rêvé, on ne veut pas savoir combien l’autre nous a blessé, torturé, déchiqueté …

On est sûr qu’on est indemne, que tout est comme avant, idem, et qu’on s’aime.

On ne voit pas ce qui nous a séparé de nous-mêmes, ce doute de soi qui nous a rongé, pendant des années.

On ne réalise pas qu’on ne croit plus dans les autres, qu’on n’a plus confiance en l’amour, qu’on n’est plus très convaincu qu’on puisse être aimé, qu’on le mérite, qu’on est beau, qu’on est bon, qu’on est quelqu’un de bien ….

Quand tu as été mal aimé, quand on t’a méprisé, rejeté, bafoué, ignoré, insulté, frappé mais que tu as réussi à t’échapper, que tu as survécu à tes manques, à tes douleurs, tu crois que tu as tout gagné …

C’est vrai.

Sauf que, voilà, tu ne sais plus t’estimer, te regarder tel que tu es, t’aimer …

Pour se réapprendre, il y a un secret : pour guérir d’avoir tout donné, il faut encore plus donner.

Un peu comme Musset.

Et puis, savoir recevoir. Se laisser aimer, émouvoir. Se permettre la bonté. Oser laisser les autres nous gâter. Accepter la véritable amitié. Rejeter ceux qui nous rejettent. Fuir ceux qui nous aiment à moitié, avec tiédeur, pas assez de chaleur et de bonheur.

Éloigner ceux qui pensent savoir qui nous devons être, ceux qui nous jugent, ceux qui nous aiment avec un peu de condescendance, pas assez de conscience, ceux qui pensent nous connaître mieux que nous nous connaissons, ceux qui veulent changer nos pantalons, nous donnent sans cesse des leçons, sont certains qu’ils auraient fait mieux et nous expliquent avec un mépris -qu’ils nomment affection- leurs « il faut », leurs « tu dois », ceux qui n’ayant jamais rien vécu te montrent qu’ils n’ont jamais perdu !

Je connais un loup solitaire, une vieille panthère, un chat qui n’aime pas qu’on l’appelle comme cela, un loup-garou d’un peu partout, une souris qui sourit, qui a commencé à s’aimer après plusieurs millions d’années, qui a retrouvé sa liberté en osant retrouver l’amour total et absolu qu’elle portait à l’humanité, en risquant de se laisser aimer, en risquant la profonde bonté, en risquant de se détacher de ceux qui aimaient avec modération comme la boisson, en risquant d’aimer son prochain avec enfance, sans défiance, sans méfiance, sans penser aux risques.

En risquant de se regarder.

Connaissez-vous Anja Ro Zen ?

Il est fort probable que ce nom ne vous dise absolument rien. Pareil pour moi, je ne l’ai découvert que hier. Anja Ro Zen une fille de 13 ans qui vit en Slovénie. Et le dessin ci-dessous est le sien. Elle a éta la gagnante du concours international Plakat MIRU. Je trouve que son dessin mérite bien de faire le tour du monde. Puisse t il ouvrir les yeux de certains. Merci à elle

« Mon poster représente la terre qui nous relie et nous unit. Les gens se tissent entre eux. Si quelqu’un se lâche, les autres tombent. Nous sommes tous connectés à notre planète et entre nous, mais malheureusement nous en sommes peu conscients »

Nous sommes tissés/liés les uns avec les autres. Les autres tricotent à côté de moi, ma propre histoire.
Et moi, je tricote la leur.

Mabelle

Je suis une femme

Bonjour, comment allez vous ?

Un petit texte pour toutes les femmes … et pour les hommes qui les respectent aussi

Merveilleuse journée.

Prenez soin de vous. Mabelle

Je suis une femme libre, qui s’aime, qui s’écoute, qui prend soin d’elle, qui se remet en question afin d’être mieux qu’hier, qui est passionnée, une femme douce et sauvage à la fois.

Et je suis aussi une femme qui doute, qui pleure, qui fatigue, qui parfois ne fais rien, qui a peur, qui a tort.

Mais je suis une femme qui ne reste pas dans le doute, qui pleure parce que c’est bénéfique et humain, qui fatigue parce qu’une journée à été beaucoup plus riche que l’autre, qui prend une journée pour ne rien faire car c’est normal, qui essaye de comprendre d’où vient la peur et de la vaincre et qui apprend de son cheminement.

Je suis une femme, oui, j’ai mes faiblesses, oui, mais je les tranforment afin qu’elles deviennent une force.

Je suis une femme, oui, j’ai mes poids, oui, mais je travaille sans cesse afin de pouvoir les soulever le plus facilement.

Je suis une femme, oui, et je me construit en tant que telle, comme la femme que je voudrais être demain, et je le deviens.

Je n’attends rien de personne, je ne cours après personne, je ne dépend de personne, je ne compte sur personne car je sais que tout doit venir de moi, et lorsque l’univers fait que quelqu’un m’apporte quelque chose sans que je l’ai demandé, je l’accueille comme un cadeau.

Je suis une femme consciente, éveillée et qui s’éveille encore chaque jour car je sais que l’éveil n’a pas de fin.

Je suis une femme connectée, intuitive et je fais en sorte de voir au delà de ce que mes yeux me montrent car je sais que là est la clé de tout.

Je suis une femme aimante, bienveillante j’aime qui je suis, j’aime ce que tu es, tels que nous sommes.

Je suis une femme divine, une âme qui vient de la lumière et qui est lumière.

Je suis une femme entière qui connait sa valeur, qui ne se salit pas, qui ne se mettra jamais dans des situations qui ne vibrent pas ce que je suis.

Je suis une femme qui choisit qui elle est, qui elle veut devenir.

Je suis une femme, je peux être une mère, seulement si j’en ai envie et pas parce que quelqu’un a décidé que toutes les femmes doivent êtres mères.

Je suis une femme et je vis pleinement cette chance de l’être.

Je suis une femme et je revendique des droits sans pour autant encrasser mon prochain.

Je suis une femme, j’ai conscience d’être femme, et je prends en considération celui qui est homme, j’admire celui qui est homme et qui se conduit comme tel, je reconnais sa part d’homme divin et je le remercie d’exister.

Je suis une femme qui a été blessée par l’homme, mais je fais la différence entre l’homme qui blesse et l’homme qui repart, je sais qu’ils ne sont pas tous pareils et je pardonne.

Je pardonne oui, mais je me pardonne moi en tant que femme d’avoir accepté certaines choses qui n’étaient pas moi, je me pardonne d’avoir laissé certaines choses se passer alors que je ne voulais pas.

Je suis une femme qui se pardonne car je mérite le pardon.

Je prends en main ce pouvoir de femme, ce pouvoir de création puissant, ce pouvoir à la source infiniment grande et majestueuse, je le ressens en moi ce pouvoir et je le manifeste.

Je m’ouvre à cette femme. Je suis cette femme. J’aime cette femme.

Tu mérites

Peut être une image en noir et blanc de 1 personne, position debout, océan et plage

Tu mérites quelqu’un de bon pour ta santé mentale,

Quelqu’un qui, même dans ta folie, te comprend.

Tu mérites quelqu’un qui t’aide, te soutient, quelqu’un qui t’inspire, qui te motive quand tu en as besoin.

Tu mérites quelqu’un qui te parle après une dispute, qui te redonne le sourire,

Quelqu’un qui te veut, qui t’attend.

Tu mérites quelqu’un avec qui les heures passent comme des minutes, quelqu’un qui te fait perdre la notion du temps.

Tu mérites bien plus qu’un corps, un visage ou d’être avec quelqu’un juste pour être avec quelqu’un.

Choisis la bonne personne pour la bonne raison.

Choisis ton autre, le miroir de ton âme,

Quelqu’un que ton cœur reconnaîtra…

Mon âme

La mort est-elle une issue favorable ?

Bonsoir, je vous espère en pleine forme. Un petit article en vitesse avant d’aller me coucher.

Il y a encore quelques mois, voire même quelques semaines, quiconque remettait en cause le décompte des morts du Covid ou accusait les vaccins de provoquer des effets secondaires était accusé d’irresponsable, de connard, de partisan d’extrême droite, de nazi mais surtout de complotiste. La « bonne nouvelle » est que ces nouvelles vérités, assises sur des explorations scientifiques, commencent à être rendues publiques, un petit peu chaque jour.

Connaissez-vous le terme efficacité négative ?

L’Efficacité Négative est le langage médical d’un effet favorisant la maladie dans un médicament. Dans le cas d’un vaccin, l’efficacité négative signifie que la personne vaccinée est plus susceptible d’être infectée que la personne non vaccinée. Dans le monde réel, chaque fois que nous voyons l’expression « Efficacité Négative » associée à un médicament expérimental, cela signifie généralement que le risque de décès, d’infection ou de maladie grave est plus élevé avec le médicament que sans. L’efficacité négative est souvent associée à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues.

Actuellement nous assistons à une épidémie de problèmes cardiaques, qui sont liés pour les médias à différentes causes naturelles … Ils rivalisent de créativité pour inventer des causes plus folles les unes que les autres. J’avais entre autres relevé : le froid, le fait de se promener dans la nature et d’y rencontrer un très très vilain insecte

,

Mais aussi la chaleur, le jardinage

s’endormir devant la télé, prendre trop de temps pour nouer ses lacets

manger souvent des pâtes, le sifflet de l’arbitre pour expliquer les crises cardiaques sur les terrains de foot (comme si l’invention des sifflets datant d’avant-hier ! Et lors des sports sans sifflets, ils ont oublié de nous sortir une belle explication), … Et maintenant, le thé

Pourtant, plusieurs études ont déjà établi une relation causale probable entre les vaccins Covid et la myocardite, « principalement chez les enfants, les jeunes et les adultes d’âge moyen ». Les tentatives précédentes pour voir s’il y avait un lien entre la myocardite et les vaccins ont été difficiles en raison des problèmes de sous-déclaration et de surdéclaration des systèmes d’autodéclaration. Et bien pour info, cette étude de cohorte israélienne qui portait sur 196 992 adultes NON vaccinés n’avait trouvé « aucune augmentation de l’incidence de la myocardite et de la péricardite » après l’infection à la COVID.

Qu’est-ce que ça veut dire ?

Le fait de blâmer l’augmentation de la pathologie cardiaque sur l’infection Covid et non sur la cause réelle qui est l’injection, est INEXACT !! Avant d’injecter votre enfant (une décision qui est irréversible), demandez-vous si vous voulez que votre propre enfant fasse partie de l’expérience médicale la plus radicale de l’histoire de l’humanité…

L’incidence de la myocardite et de la péricardite chez les patients non vaccinés post-COVID-19 – Une vaste étude basée sur la population ⬇️⬇️

https://www.mdpi.com/2077-0383/11/8/2219

Augmentation des événements cardiovasculaires d’urgence parmi la population de moins de 40 ans en Israël pendant le déploiement du vaccin et la troisième vague de COVID-19 via https://t.me/vivrecorrectement/3595

Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade si une continuation de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental… https://t.me/vivrecorrectement/3567

« La vaccination par un vaccin ARNm augmente le risque de myocardite et celui de péricardite dans la semaine suivant la vaccination. » ANSM ⬇️⬇️

https://ansm.sante.fr/actualites/le-risque-de-myocardite-et-pericardite-apres-la-vaccination-covid-19-est-confirme-mais-peu-frequent-et-devolution-favorable

Peu fréquente ? S’ils indiquaient les chiffres dans leur article, tout un chacun pourrait constater que c’est loin d’être peu fréquent. Et s’ils considèrent un handicap à vie ou la mort comme une évolution favorable, ce n’est pas mon point de vue !

Belle fin de soirée

Mabelle

La vie nous apporte ce dont nous avons besoin

Bonjour,

Je vous espère en pleine forme et profitant de l’été.

Je vous partage ce matin un texte de Delphine Orieux.

Bonne lecture et merveilleuse journée.

Mabelle

Nous sommes tellement soutenus, tellement protégés, par ce qui existe de plus grand en nous. Nous avons tout ce dont nous avons besoin dans notre quotidien et dans nos relations. La vie nous amène sur un plateau ce qui est juste pour nous. Et la société reflète ce qui se vit pour chacun, dans l’ensemble.

Nous pouvons ressentir de l’injustice, du dégoût, du rejet, de l’abandon, de l’humiliation, de la trahison, et toutes sortes de blessures qui découlent de tout ce que nous avons vécu et de ce que les autres vivent autour de nous. Tout ça fait partie intégralement de ce dont nous avons eu besoin jusqu’à maintenant pour comprendre, intégrer et se renouveler en tant qu’être plus unifié.

Tant que l’incompréhension règne, tant que les croyances persistent et tant que nous ne souhaitons pas changer de direction de vie, c’est qu’il y a encore besoin de vivre ces situations, de rejouer des blessures, pour ressentir au plus profond que tout ça n’était qu’un moyen de comprendre.

En tant qu’être humain expérimentateur de ses propres découvertes et de celles du collectif, nous vivons nos aventures quotidiennes ensemble, pour nous aider à nous faire voir, à nous faire entendre, à nous faire sentir, ce que nous avons découvert de nous-mêmes.

Si l’expédition collective de l’humanité engendre moult blessures et crée une société à son image, les découvertes relatives à ce voyage de la vie humaine, permettent de redécouvrir la nature réelle de ce que nous sommes et pour ce faire met en évidence ce que nous ne sommes pas.

Un pauvre et un riche montrent à quel point tout est question de point de vue. Pourtant ces humains vivent des histoires similaires dans leur quotidien, agrémentées de blessures de toutes sortes, propres à leur histoire de vie et de famille.

Le pauvre convoite la même ressource que le riche, et le riche vit dans la peur de perdre sa ressource et pour cela en convoite davantage, pour assurer ses arrières. Le pauvre construit sa vie autour de croyances que cette ressource ne lui est pas accessible et qu’il faut qu’il se contente de ce qu’il a, ou bien qu’il faille lutter pour en avoir, alors que le riche construit sa vie autour de croyances qu’il faut qu’il en gagne plus encore, car il pourrait perdre.

La société s’est construite à cette image, les riches se murent dans leurs forteresses pour se protéger des pauvres ou des autres riches qui pourraient leur prendre. Les pauvres luttent dans leur vie pour avoir des ressources ou se contentent du peu qu’ils ont pour survivre. Et ainsi des guerres et des conflits sont alimentés par la peur de perdre ou la lutte pour sa survie, et les riches jouent avec cette peur pour tirer profit de ces situations et s’enrichir encore.

Grâce à la répartition décidée de ces ressources, les besoins de base comme le logement et l’approvisionnement en nourriture sont contrôlés par des taux de banque, immobiliers, des taxes, des impôts et par des conditions pour en bénéficier. Ce qui permet de parquer les pauvres dans des boîtes en béton, dans des villes et de les laisser lutter entre eux pour leur survie, tandis que les riches vivent gracieusement dans leurs forteresses, en quête de plus de pouvoir et de richesse.

Et maintenant nous pouvons associer les deux, le riche et le pauvre, pour les transformer en Un

La peur de perdre ses biens avec la peur de manquer de ressources. Pour comprendre que l’abondance se trouve au point de neutralité, dans la confiance que tout est déjà en nous. Pour comprendre que les ressources sont déjà en nous et que le chemin pour y accéder se crée avec la libération de tous les obstacles limitants qui permettent enfin de les voir.

Et nous pouvons remplacer ressource d’argent par l’Amour, par l’affection, par la santé. Et tous les sentiments comme la colère, la haine, la rancœur, la jalousie, la cupidité, etc. découlent de la souffrance créée par ces manques. Et tous les états d’être déficients comme le mensonge, l’injustice, la manipulation, la maladie, la trahison, l’humiliation, etc., découlent de ces sentiments.

Parmi toutes nos vies, nous avons été les deux, dans tous les domaines, avec toutes les ressources, dont nous avions besoin pour grandir, pour comprendre, pour intégrer.

Dans cette belle école de la vie, nous avons tout ce dont nous avons besoin, pour retrouver l’équilibre et le point de neutralité, dans chaque aspect des ressources que nous apporte la vie.

Le mode d’emploi est fourni avec la vie, là encore, vivre ses expériences permet de décortiquer les étapes, pour les intégrer petit à petit.

Même si les parts d’ombre nourrissent l’ombre, la mise en lumière grandissante illumine l’ombre, en nous, si tant est que nous lui accordons l’autorisation d’intervenir, dans tous les aspects de notre vie.

Votre cerveau peut vous guérir

Bojour, je vous espère en forme, Je vous partage rapidement un petit article de nospensées.fr et vous souhaite une merveilleuse journée.

Notre cerveau change avec chaque nouvelle pensée, chaque nouvel apprentissage et chaque expérience que vous ajoutez à votre vie. Cet organe plastique, complexe et fascinant peut être notre meilleur allié lorsqu’il s’agit de prévenir et de traiter des maladies. Ainsi, comprendre que votre cerveau peut aussi vous guérir -avoir une influence positive sur un processus de guérison- peut vous permettre d’appliquer de nouveaux outils et de nouvelles approches mentales.

L’un des plus grands experts en matière de plasticité est sans aucun doute le docteur Álvaro Pascual-Leone. Chercheur et professeur à l’Ecole de Médecine d’Harvard, est l’une des référence les plus inspirantes en ce qui concerne le cerveau humain et son potentiel.

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Nous sommes conscients que la phrase “votre cerveau peut aussi vous guérir” peut nous faire penser à des choses erronées. Cet organe, par exemple, ne pourra pas nous guérir d’une maladie chronique. Cependant, il pourra nous permettre de l’empêcher dans de nombreux cas. Il pourra même freiner son impact si nous améliorons nos habitudes de vie.

Ainsi, comme nous le révèle le professeur Pascual-Leone, nous devons être capables de comprendre que nous avons le pouvoir de “sculpter” notre propre cerveau pour qu’il soit un allié et non un ennemi. Nous entourer d’un réseau social de personnes significatives, être curieux, réceptifs, penser de façon positive ou réduire l’impact du stress nous permettra sans doute de gagner du terrain sur la santé et le bien-être.

Votre cerveau peut aussi vous guérir: soyons les sculpteurs de notre propre cerveau

Le cerveau est comme un univers empli de constellations complexes. Chaque jour, nous en apprenons plus sur cet océan cosmique qui s’étend au-delà de notre petite planète. Désormais, nous sommes comme des astronautes qui explorons et découvrons des données importantes sur les processus de nos réseaux neuronaux.

• Nous savons, par exemple, que chaque expérience, pensée et comportement peut modifier notre cerveau

• Nous avons aussi découvert ce processus qui porte le nom de neurogénèse, cette preuve évidente que notre système nerveux central peut continuer à générer de nouveaux neurones à n’importe quel moment de notre vie.

• Des études comme celle réalisée par les docteurs Chunmei Zhao et Fred H. Gag, de l’Université La Jolla en Californie, nous indiquent l’importance que ce processus peut avoir au moment d’empêcher et de pallier l’impact de réalités comme la dépression, la perte de mémoire ou les maladies neurodégénératives.

Cet aspect est assurément l’une des aires les plus intéressantes des neurosciences. Surtout si nous pensons que jusqu’à très récemment, nous croyions que la capacité à générer de nouveaux neurones était restreinte jusqu’aux premières années de l’enfance.°

Les gènes ne déterminent pas la chimie de notre cerveau °

Nous devons toujours prendre deux aspects en compte lorsque nous parlons de neurobiologie: celui de la génétique et de l’épigénétique.

Que nous le voulions ou non, ces facteurs détermineront toujours le fait que notre cerveau a une plus grande ou une plus faible probabilité de souffrir de certaines pathologies.

Cependant, au moment de prévenir ces réalités, nous ne devons pas oublier une chose: les gènes ne nous déterminent pas à 100%. Nous avons le pouvoir d’initier de nouvelles pratiques et de meilleures approches mentales.

Par conséquent, devenir les véritables sculpteurs d’un cerveau plus sain et surtout plus plastique nous aidera à réduire l’impact d’un grand nombre de maladies physiques et psychologiques.°

Un cerveau plastique est un cerveau sain et résilient °

Votre cerveau peut aussi vous guérir parce qu’il a une capacité exceptionnelle: celle de la plasticité. Mais que signifie exactement ce terme?

• La plasticité est la capacité qu’à notre système nerveux de se modifier lui-même pour répondre à l’environnement qui l’entoure.

• Il s’agit également d’un avantage évolutif qui nous permet de mieux nous adapter aux défis et aux difficultés

.• Lorsque nous parlons de plasticité, nous faisons référence à tous ces changements qui apparaissent dans notre cerveau après nos expériences.

• La résilience est un clair exemple de neuroplasticité car elle définit cette capacité exceptionnelle à surmonter les adversités en générant de nouvelles stratégies et en en tirant des leçons.°

Comment pouvons-nous “sculpter” notre cerveau pour qu’il intervienne dans notre santé? °

Votre cerveau peut aussi vous guérir mais comment? C’est peut-être la question que vous vous posez. Nous savons déjà que la plasticité cérébrale est un outil essentiel pour affronter les défis de notre environnement.

On a aussi découvert que des facteurs comme la réserve cognitive nous permettent de mieux faire face aux maladies neurologiques.

Les clés pour devenir ces architectes de notre santé cérébrale sont, en réalité, accessibles pour la majorité d’entre nous. Il s’agit de processus extrêmement bénéfiques pour le cerveau qui génèrent de nouvelles connexions, le stimulent, l’optimisent, prennent soin de lui…

Voyons quels sont ces points que nous conseille le neurologue Pascual-Leone.°

Alimentation adéquate ° Une alimentation variée et équilibrée est synonyme de santé. Nous devons toujours chercher des produits frais et biologiques et éviter l’abus de sucre ou de graisses saturées. Par ailleurs, nous devons consommer en priorité des aliments riches en oméga 3, en magnésium, en tryptophane, en vitamine K, en antioxydants…° (Je ne le rappelerai jamais assez, il est de plus en plus compliqué de s’alimenter sainement avec tous les nutriments, minéraux, oligo-éléments, vitamines, dont le corps a besoin. Pensez à vous supplémenter avec des compléments de qualité, contactez moi au besoin)

Exercice régulier °La sédentarité est un ennemi vorace pour la santé et pour l’humeur. Il est donc recommandé d’inclure un type d’exercice à notre routine. Sortir marcher une demi-heure par jour peut même suffire.°

Méditation et pensées positives °La science étudie depuis des années l’impact de la méditation sur notre santé. L’université d’Harvard nous révèle par exemple les bénéfices du mindfulness pour réduire la symptomatologie de l’anxiété et du stress.Par ailleurs, si votre cerveau peut aussi vous guérir, c’est parce que vous avez réussi, à un moment donné, à garder un point de vue positif et résilient. Les pensées positives améliorent la santé cérébrale, régulent les tensions et améliorent même la capacité à intégrer de nouveaux apprentissages.°

Sommeil profond et réparateur ° Certaines personnes n’ont besoin que de six heures de sommeil, d’autres en ont besoin de neuf… Quoi qu’il en soit, le plus important est que notre repos nocturne soit profond et réparateur. C’est un élément indispensable pour gagner en santé mentale.°

Relations positives °Ce conseil est sûrement le plus connu. Notre cerveau a besoin de connexion sociale pour ressentir du bien-être et une satisfaction vitale. Qui plus est, pouvoir compter sur un réseau de soutien significatif nous aide à faire face à la dépression, renforce les connexions neuronales et nous fait gagner en réserve cognitive. L’amitié est synonyme de santé, l’amour est source d’énergie… Les relations qui nous rendent heureux et ne nous créent pas de préoccupations nous font gagner en santé mentale.

Pour conclure, maintenant que vous savez que votre cerveau peut aussi vous guérir, n’hésitez pas, améliorez vos habitudes de vie. Souvenez-vous, tous les jours, que vous pouvez être le sculpteur de cet organe prodigieux capable d’influencer votre bien-être et d’empêcher certaines maladies.

Source : nospensees.fr

Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience