Un peu de bonté dans ce monde de brutes

Bonjour, j’espère que vous allez merveilleusement bien.

Je vous partage ce matin une histoire qui m’émeut.

« J’habite dans une rue tranquille de l’Ohio. La même maison depuis quarante-deux ans. Je m’appelle Lucia. J’ai soixante-trois ans. Chaque matin, je m’assois sur mon porche avec ma tasse de thé. Je regarde le monde passer. Une chose simple. Mais cela me tient compagnie.

Pendant dix ans, M. Evans a vécu à côté. C’était un homme discret. Toujours vêtu d’une chemise propre. Chaque jour, sans exception, il arrosait son petit carré de fleurs. Des roses, surtout. D’un rouge éclatant. Il restait là, le tuyau d’arrosage à la main, se mouvant lentement. Mais jamais il ne saluait. Pas une fois. Pas un bonjour. Il arrosait, puis rentrait chez lui. Mon mari, John, plaisantait : « Lucia, cet homme-là a plus de secrets que ma boîte à outils. »

Depuis ce jour, j’ai commencé à l’observer davantage. Surtout après sa retraite de la poste. Il paraissait… plus petit. Comme si le monde s’était rétréci autour de lui.

Un mardi, je l’ai vu en difficulté. Il essayait de soulever un lourd arrosoir. Ses mains tremblaient. L’objet lui échappa. L’eau se répandit partout. Il resta planté là, à fixer l’herbe mouillée. Sans ramasser. Sans bouger. Il avait l’air si fatigué. Si seul. Mon cœur s’est serré. J’ai failli ne pas frapper à sa porte. Et s’il me trouvait indiscrète ? Et s’il me disait de partir ? Mais j’ai entendu la voix de John dans ma tête :

« Lucia, la bonté n’a rien à voir avec le courage. C’est voir que quelqu’un a besoin d’un coup de main, et tendre le tien. »

J’ai frappé. Ma main tremblait un peu. Il a ouvert. Semblait surpris. De près, il paraissait plus âgé. Le regard un peu perdu.

« Monsieur Evans, » dis-je, la voix vacillante. « Je vous ai vu laisser tomber l’arrosoir. Moi aussi, l’arthrite me joue des tours. Puis-je… puis-je vous aider à arroser vos roses ? Elles ont l’air d’avoir soif. »

Il n’a pas dit oui. Il n’a pas dit non. Il s’est juste écarté, en silence. J’ai pris cela pour une permission. J’ai rempli l’arrosoir. Mon dos me faisait mal, mais j’ai arrosé. Il se tenait là, à regarder. Sans parler. Mais sans me chasser non plus.

Je suis revenue le lendemain. Puis le jour d’après. Je me contentais d’arroser les roses. Parfois, j’apportais une tasse de thé en plus. Je m’asseyais sur sa petite marche. Sans forcer la conversation. Juste là. Les semaines ont passé. Un matin, alors que je lui tendais le thé, sa main a effleuré la mienne. Elle était froide. Il m’a regardée. Vraiment regardée, pour la première fois.

« Ma femme, » murmura-t-il, si bas que j’ai failli ne pas l’entendre. « Elle aimait ces roses. Elle est morte au printemps dernier. Je… je ne sais pas pourquoi je continue de les arroser. » Sa voix s’est brisée. Une larme solitaire a roulé sur sa joue. Il l’a essuyée rapidement, honteux.

« Oh, Monsieur Evans, » répondis-je doucement. « Elle voudrait que vous continuiez. Parce qu’elles sont belles. Comme son souvenir. »

Après cela, il ne parla pas beaucoup plus. Mais il commença à saluer. Un petit signe de tête depuis son porche. Puis un discret « Bonjour, Lucia. » Un jour, il me demanda des nouvelles de John. Je lui ai raconté. Nous nous sommes assis au soleil, partageant des histoires sur ceux que nous avions aimés et perdus. Ce n’était pas grand-chose. Juste deux vieux voisins, se souvenant.

Puis, quelque chose a changé. Mme Gable, du bout de la rue, a commencé à apporter à M. Evans une part de tarte chaque vendredi. Le jeune Tommy, du numéro 42, a pris l’habitude de tondre sa pelouse sans qu’on le lui demande. Je n’avais rien prévu. Je n’avais rien demandé. Les gens l’ont simplement… remarqué. Comme moi.

La semaine dernière, M. Evans m’a tendu une seule rose rouge, parfaite. Ses mains ne tremblaient plus. « Pour John, » dit-il. « Et pour vous, Lucia. Merci de m’avoir vu. »

J’ai pleuré un peu. Là, sur le porche. »

Les gens pensent que la vraie bonté demande de grands gestes. Des parades. Des projets impressionnants. Mais parfois ? C’est juste être présent. Arroser les roses d’un voisin qui avait oublié comment saluer. Voir la douleur silencieuse derrière une porte fermée. Cela ne coûte rien. Juste un instant de votre temps. Et le courage de frapper.

Nous sommes tous sujets à la solitude. Nous avons tous besoin d’être vus par quelqu’un. Peut-être que la chose la plus puissante que nous puissions faire, c’est simplement nous remarquer les uns les autres. Pas réparer le monde. Juste arroser les roses. Une main tremblante après l’autre. C’est ainsi que la solitude meurt. Pas dans un cri, mais dans un simple « Bonjour. Je suis là. »

Allez arroser les roses de quelqu’un aujourd’hui. Vous ne savez pas quel monde vous pourriez ramener à la vie.

Mabelle

Le petit déjeuner de vos enfants empoisonné

Kellogg annonce qu’il cessera d’empoisonner les céréales pour enfants avec des colorants artificiels d’ici 2027

C’est absolument ahurissant qu’ils reconnaissent qu’ils empoisonnent les gens et continuent quand même de les vendre encore pendant deux ans.

Qui va être assez stupide pour continuer d’acheter leurs produits ?

https://abcnews.go.com/Business/wireStory/kellogg-remove-artificial-dyes-cereals-end-2027-124658743

Certains paniquent et ils ont vraiment de quoi avoir peur !

J’ai vu la semaine dernière une vidéo dans laquelle Michel Cymes, médecin de plateau bien connu pour ses positions sur les injections Covid. Il parlait de censure concernant la désinformation et d’un site qui regroupait toutes les vérités médicales.

Personnellement, rien que le fait qu’il recommande ce site, je n’ai nullement l’envie d’aller le visiter.

Et s’il veut à tout prix censurer les informations c’est parce que la vérité est de plus en plus exposée de l’autre côté de l’océan et il doit trembler de se retrouver derrière les barreaux.

Quoi qu’il fasse, la vérité finira toujours par arriver

L’éolien c’est vraiment bien

Bonjour,

Je vous espère en pleine forme.

On nous l’a vendu comme l’outil incontournable de la transition énergétique, le symbole d’une énergie propre, renouvelable, respectueuse de la planète. Mais les faits s’accumulent et démontrent exactement l’inverse : l’éolien, loin d’être une solution écologique, est en réalité un véritable scandale environnemental.

L’étude internationale dirigée par le Bundesamt für Seeschifffahrt und Hydrographie (BSH) et publiée dans le Marine Pollution Bulletin, vient de lever un nouveau voile inquiétant : les parcs éoliens offshore rejettent potentiellement 228 substances chimiques dans l’environnement marin. Pire, 62 de ces substances figurent sur la liste noire de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) ou de la directive-cadre sur l’eau : des composés toxiques, persistants, cancérigènes, capables de s’accumuler dans la chaîne alimentaire. Les principales sources sont connues : les systèmes de protection contre la corrosion (70 %), mais aussi les huiles, graisses, produits de refroidissement ou même les agents d’extinction. Autrement dit, sous couvert de « vert », l’éolien répand dans la mer une pollution chimique insidieuse.

Et ce scandale ne s’arrête pas là. Avant même cette révélation, on savait déjà que l’éolien offshore produisait un vacarme sous-marin perturbant gravement les mammifères marins, que ses pales massives représentaient une hécatombe pour les oiseaux migrateurs, et que ses gigantesques mâts défiguraient certains des plus beaux paysages naturels, véritables plaies visuelles infligées à nos littoraux. Les chercheurs signalent même des impacts potentiels sur les courants marins eux-mêmes, preuve que l’homme joue aux apprentis sorciers avec des équilibres que nous ne maîtrisons pas.

Au regard de ces données objectives, il faut avoir le courage de le dire clairement : l’éolien ne résout en rien nos besoins énergétiques, car son intermittence le rend structurellement incapable d’assurer la sécurité d’approvisionnement, et il engendre, en revanche, des dégâts multiples et irréversibles. L’étiquette « renouvelable » ne doit pas masquer la réalité : l’éolien pollue, détruit, et ruine les paysages, au profit d’intérêts financiers massifs et de grands groupes industriels qui se parent de vert pour mieux masquer l’ampleur des nuisances.

https://www.welt.de/wissenschaft/article68ad5e08d6fbb97dca47a1a3/gefaehrliche-chemikalien-offshore-windparks-und-ein-neues-oekologisches-risiko.html?fbclid=IwY2xjawMlK1FleHRuA2FlbQIxMAABHjwmef-xiwyeFIlKuH8RMDQ2LJHf9s9i_ywau1fMl27ifGxGOTIHDWtrphGq_aem_Je_4zje78tsquyyFtf_0SQ

La conclusion s’impose : si l’on cherchait une solution propre et durable, l’éolien est le contraire de la promesse. Ce n’est pas l’avenir, mais une impasse écologique, énergétique et démocratique. La question s’impose : à qui profite le crime ?

Prenez soin de vous

Mabelle

Est-ce moi la folle ou ces eugénistes ?

Bonjour, j’espère que vous allez bien.

Certains préfèrent rester dans le déni, je peux le comprendre, c’est plus facile que de voir la réalité en face.

En face de nous, nous avons des psychopathes qui se pensent supérieurs. En réalité leur supériorité est leur fric (plus précisément celui qu’ils nous ont volé), le fait qu’ils soient nés dans une famille sioniste et eugéniste et estiment avoir tous les droits sur un peuple qu’ils estiment à leur service. Or, le développement de l’I.A. fait qu’ils n’ont plus besoin d’une bonne partie d’entre nous. Nous sommes donc à éliminer.

Bill Gates ne s’en cachait pas puisqu’il disait publiquement qu’il réduirait la population avec des vaccins.

Attali écrivait « ils iront d’eux mêmes à l’abattoir » et beaucoup ont couru au vaccinodrome par peur de mourir sans réaliser que c’était justement le meilleur moyen de se retrouver 6 pieds sous terre, ou pour recevoir une Jupiler ou un hamburger (rappelons nous que certains pays sont allés jusqu’à offrir une maison sous forme de loterie pour les injectés ou une fellation, quel monde de dingues). Mais la majorité n’a rien vu d’anormal à se voir proposer une récompense pour être protégé d’une maladie. Ils n’ont pas compris qu’ils servaient de cobayes, il suffisait pourtant de réfléchir deux secondes pour voir une incohérence totale entre « on veut votre bien, mais vu que vous n’êtes pas trop coopératif, on vous offre des cadeaux pour vous y pousser »‘.

Schwab ne cache nullement sa vision d’un monde où les inutiles sont éradiqués pendant que les élites profitent de la planète à leur guise. Eh oui, encore une fois, nous sommes bien dans « soleil vert ».

Ces personnages devraient se trouver derrière les barreaux, mais ce sont les alerteurs (traités de complotiste, ça en est presque risible, qui complote ? Celui qui dénonce les faits ou celui qui tue ?) qui s’y trouvent à leur place pendant qu’ils vivent tranquillement dans leur villa 35 pièces, font 100km en jet privé, voitures avec chauffeur, et yachts géants.

Personnellement, à mon âge, je m’en fiche, ma vie est derrière moi. Mais je ne peux m’empêcher de penser à toutes ces personnes qui ne sont que de jeunes adultes, des ados, des enfants et qui seront éliminés. Le processus a commencé mais va aller en s’accélérant si on ne bouge pas.

Et, au final, bouger comment ? J’avoue que je ne le sais même plus. On les a laissé aller beaucoup trop loin. La plupart des policiers ne sont même pas européens, se fichent du peuple, obéissent sans réfléchir. Il y a des caméras partout. Le ciel est rempli de poison, l’eau aussi, la nourriture également. Alors, oui, je sais comment me détoxiquer au quotidien de toutes ces saloperies qu’on peut difficilement éviter puisqu’elles sont partout, mais je vois bien que très peu de monde autour de moi le fait.

Tout va merveilleusement bien sur cette planète.

Prenez soin de vous.

Mabelle

Lire, inutile !

Bonjour, je t’espère en pleine forme.

Tu as lu une centaine de livres, peut-être un millier. Les titres s’effacent de ta mémoire, le contenu semble s’évanouir. Tu crois alors que tout s’est dissipé, que tu as perdu ton temps et ton argent.

Mais en réalité, rien ne s’est envolé. Chaque page lue a laissé en toi une empreinte invisible, façonnant, à ton insu, ta vision du monde et le cours de tes pensées. Subtilement, silencieusement, ces mots qui t’ont traversé continuent de vivre en toi, influençant ton regard et nourrissant ton esprit, même si tu ne le perçois pas pleinement.

Mes lectures du moment (oui, je l’écris au pluriel parce que j’ai généralement un livre dans ma chambre, un autre dans ma chambre et un troisième dans la voiture que je ne lis que de manière occasionnelle – dans la salle d’attente chez le dentiste généralement)

https://amzn.to/4fSkUwG Lise Bourbeau, les clés de la vitalité

Natacha Calestrémé, Trouver ma place https://amzn.to/4p5qGiK

https://amzn.to/45MtBUv La santé métabolique de Evelyne Bourdua-Roy et Sophie Rolland (mis dans la voiture pour le commencer demain chez le dentiste)

Prends soin de toi

Mabelle

Votre cerveau est-il sous contrôle ?

Je vous ai partagé il y a bien longtemps que les injections expérimentales prétendument sauveuses de vie n’avaient pas pour but de vous protéger de quoi que ce soit mais d’insérer des choses pas du tout sympathiques dans vos corps.

On le voit tous les jours vu le nombre de décès et de personnes souffrant d’effets secondaires à ces injections immondes, ainsi que les caillots et fibres retrouvés dans le corps par le personnel des pompes funèbres.

Je vous avais partagé aussi que les personnes injectées avaient une adresse bluetooth repérable avec un téléphone portable, même après décès puisque certains ont fait des tests dans des cimetières.

Certains pensaient que ça n’avait pas le moindre intérêt mais personne ne se souciait du fait qu’ils avaient installé les antennes nommées 5G un peu partout en Europe pendant le confinement. Il y avait donc un dangereux virus mortel mais on envoyait des hommes pour placer des antennes puis pour ajouter des relais dans l’éclairage public pour bien s’assurer que l’entièreté du pays était couvert. A ca certains me répondaient « c’est normal il y a beaucoup de télétravail, internet rame ». Si je suis ce raisonnement, cela signifierait que le travail à domicile était plus important que la vie des installateurs et que le travail à la maison n’était pas compensé par toutes les entreprises complètement à l’arrêt n’utilisant pas internet. La personne qui ne se pose pas de question se contente de cela. La personne qui s’intérroge, pas du tout.

Le fait qu’ils tentent de nous imposer une puce dans le bras pour effectuer des paiements ou ouvrir une porte ne crée pas beaucoup de réactions négatives. J’ai même une amie qui me disait jeudi dernier qu’elle avait vu la dame devant elle payer des courses de cette manière. Ils nomment ça le progrès et ne s’inquiètent nullement du matériel introduit dans leur corps.

Qui se pose la question d’où ils veulent en venir ? Qui sait qu’ils veulent avoir le contrôle total sur nos actes, nos pensées, nos émotions, bref sur nos vies ?

https://www.facebook.com/watch/?v=2672938386210114&rdid=GS54fvhusmMOgKm7

Ils veulent des citoyens obéissants, des marionnettes qui font précisément ce qu’on leur dicte de faire et rien de plus, rien de moins. Et ils ont très probablement les moyens d’y arriver. D’ailleurs j’imagine que si la majorité n’avait pas le corps rempli de saloperies « vaccinales » en plus de ce qui se trouve dans l’eau, la nourriture, l’air, … il y a bien longtemps que les dirigeants ne seraient plus là à nous presser comme des citrons en remplissant leurs comptes à l’étranger.

Qu’en pensez-vous ?

Etre acteur de sa vie, être soi en pleine conscience