
La procrastination

Via maxime brown
J’ai besoin de partager quelque chose de profondément personnel avec vous ce matin – et croyez-moi, vous voudrez entendre chaque mot.
C’est une vraie histoire à propos des remplissages de mercure, d’une décision dentaire tordue, d’un tour en ambulance, de quatre jours à l’hôpital ….
En 2007, j’ai fait un choix intelligent : je suis allé me faire enlever TOUS mes remplissages au mercure. J’en avais fini avec le poison qu’ils nous ont mis dans la bouche quand nous étions enfants. J’ai demandé de la porcelaine – sûre, propre, inerte.
Mais qu’a fait le dentiste ? (et oui j’ai un dentiste incroyable maintenant)
Il a REMPLI l’une des plus grandes cavités de mercure… avec plus de MERCURE.
Sans demander. Sans prévenir. Il a juste glissé le poison dans ma bouche comme si ce n’était pas grave. Et quand j’ai flippé , il m’a dit que la seule option était d’enlever entièrement la dent Mais à l’époque, j’ai hésité. C’était une grosse molaire. J’ai quitté ce bureau avec une bombe à retardement dans la bouche. Et des années plus tard, ce mercure a failli me coûter la vie.
Avance rapide vers 2012 – j’avais beaucoup voyagé, beaucoup de radiations dans les aéroports. Petit à petit, cette molaire remplie de mercure a commencé à se détériorer. En 2016, la dent était pratiquement creuse. Je pouvais sentir le cratère avec ma langue. J’avais peur, mais j’ai évité plus de travail dentaire – parce que les radiations à ma tête avaient déjà causé des migraines chroniques.
Mais cette hésitation a failli me tuer.
Un jour, je me suis évanoui dans la cuisine. Je me suis effondré sur le lave-vaisselle ouvert. Il y avait des couteaux, des fourchettes et du verre tout autour de moi. Je n’étais pas blessé. Mais mon cœur ? C’était une autre histoire.
Ma tension artérielle était de 190/120. Mon rythme cardiaque était irrégulier. Je ne pouvais même pas marcher avec le coeur qui s’emballait à 170. J’étais MALADE Et personne ne pouvait comprendre pourquoi.
Mais je savais. C’était la dent. Cette putain de dent de mercure.
Je l’ai fait enlever par un dentiste en qui j’ai confiance (plus mes deux canaux racinaires). Je les ai avertis que c’était du mercure pour qu’ils puissent utiliser les précautions appropriées – et OUI, j’ai pris une grosse dose de charbon actif avant et après la procédure. (Si vous jouez avec du mercure, vous feriez mieux de savoir ce que vous faites. )
Puis j’ai fait une désintoxication complète. Et mon cœur s’est stabilisé, les symptômes ont disparu. Pas de médicaments. Pas de pilules.
🛑 Mais voici la partie qui m’a vraiment eu : J’ai demandé ma dent arrachée. Le dentiste a dit NON – parce que c’était « trop toxique pour l’environnement. ”
Donc c’est trop toxique pour le mettre dans un sac mais PAS trop toxique pour rester assis dans ma bouche 24h/24 ?! 😳
Nous sommes empoisonnés. Ils profitent de votre douleur. Ils médicamentent tes symptômes. Et ils appellent ça « soins de santé ».
Tu dois regarder dans ta bouche. Les toxines dentaires sont des assassins silencieux qui créent des maladies chroniques.
Et si vous ne pouvez pas encore enlever le métal, commencez au moins à vous désintoxiquer maintenant.
Si vous luttez contre des symptômes bizarres – palpitations cardiaques, fatigue chronique, brouillard cérébral, crises de panique, migraines – cela pourrait être la pièce manquante de votre puzzle de guérison.
Je vous confirme que ce métal dans la bouche provoque de nombreux problèmes de santé et qu’il ne suffit pas de l’enlever comme tout autre amalgame. Il est important de prendre des précautions pour le faire pour éviter une intoxication encore plus importante. Il est donc indispensable de faire appel à un dentiste conscient du problème. Et, même si les précautions ont été prises, de faire une détoxination correcte en même temps si vous ne souhaitez pas vous retrouver gravement malade. Le poison se diffuse lentement dans votre corps, créant divers problèmes mais si vous voulez enlever ce métal, il y a des risques d’empoisonnement importants. La prudence et le professionnalisme s’imposent donc
Mabelle
Certains enfants ne comprendront jamais le message silencieux derrière les avertissements d’une mère.
Lorsqu’une mère te demande de ne pas fumer ou boire, ce qu’elle veut vraiment, c’est que tu vives plus longtemps qu’elle.
Quand elle te conseille de te méfier de certaines fréquentations, c’est parce qu’elle perçoit ce que toi, tu ne vois pas encore, et qu’elle veut te protéger.
Quand une mère t’appelle plusieurs fois pour savoir où tu es, ce n’est pas pour te déranger, mais parce que son cœur ne se calme qu’en sachant que tu es rentré en sécurité.
Une mère t’aime d’un amour profond et désintéressé. Elle fait du mieux qu’elle peut. Tout ce qu’elle souhaite, c’est te voir vivre une vie plus belle et plus heureuse que la sienne.
Peut-être comprendras tu lorsque tu seras toi même parent et que tu te feras du souci pour ton enfant. Peut-être même pas et tu y repenseras seulement quand elle ne sera plus là et qu’il ne sera plus possible de lui dire « merci d’avoir toujours veillé sur moi ».
Bonne fête à toutes les mamans, à celles qui seront fêtées, mais surtout aux mamans oubliées, reniées, abandonnées par des enfants trop exigeants, jugeants, tête en l’air, égoïstes, non reconnaissants, …
Chaque maman est mère-veilleuse quoi qu’en pensent ses enfants.
Mabelle
Bonjour,
J’espère que vous êtes en forme, mais si vos parents ou grand-parents sont toujours vivants, comment vont ils ?
Voici le mot d’une dame âgée, Mamie Marie :
J’ai 82 ans. Ma maison fait maintenant 12m², une chambre de maison de retraite. Chaque matin, une aide-soignante m’apporte mon repas, me demande si j’ai bien dormi. C’est gentil. Mais ce n’est pas la voix de mon fils. Ce ne sont pas les rires de mes petits-enfants.
Autrefois, ma maison sentait le gâteau au four, résonnait des éclats de joie, des disputes légères, des étreintes sincères. Aujourd’hui, elle est silencieuse. On dit que la vieillesse est un privilège… alors pourquoi ai-je l’impression d’être oubliée ?
Si tu as encore tes parents, appelle-les. Embrasse-les. Un jour, leurs voix ne sonneront plus au bout du fil. Et ce jour-là, il sera trop tard.
Prenez soin de vous, mais aussi de vos proches. Bien souvent ils ne demandent pas grand chose, une petite visite, un appel téléphonique, même un petit sms pour leur dire qu’ils sont dans vos pensées fera de leur journée une belle journée. Pensez-y
Mabelle
Bonjour,
Je vous espère en forme
Je vous partage ce matin le texte dur à admettre, laissé par Le professeur « BERT HELLINGER », mondialement connu pour la création de la méthode thérapeutique « Constellation familiale », mort en 2019 à 93 ans, est tellement vrai dans bien des cas, que même si ça vient vous confronter, il est essentiel de le lire pour le mettre à l’épreuve de sa propre vie et voir avec quoi il résonne.
« La vie va retirer ce que vous avez, jusqu’à ce que vous arrêtiez de vous plaindre et que vous commenciez à remercier.
La vie envoie des personnes conflictuelles pour vous soigner, pour que vous arrêtiez de regarder dehors et que vous commenciez à refléter ce que vous êtes à l’intérieur.
La vie vous permet de retomber et de nouveau, jusqu’à ce que vous décidiez d’apprendre la leçon.
La vie vous éloigne de la route et vous présente des carrefours, jusqu’à ce que vous arrêtiez de vouloir tout contrôler et que vous couliez comme une rivière.
La vie met vos ennemis sur la route jusqu’à ce que vous arrêtiez de ′′ réagir « .
La vie vous fait peur et vous fera peur autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce que vous perdiez la peur et que vous retrouviez votre foi.
La vie vous éloigne des gens que vous aimez, jusqu’à ce que vous compreniez que nous ne sommes pas ce corps, mais l’âme qu’elle contient.
La vie se moque de vous plusieurs fois, jusqu’à ce que vous arrêtiez de tout prendre si au sérieux et que vous puissiez rire de vous-même.
La vie vous brise autant de parties autant que nécessaire, pour que la lumière pénètre en vous.
La vie vous confronte aux rebelles jusqu’à ce que vous arrêtiez d’essayer de contrôler.
La vie répète le même message, si nécessaire avec des cris et des couvercles, jusqu’à ce que vous l’entendiez enfin.
La vie envoie des éclairs et des tempêtes pour vous réveiller.
La vie vous humilie et parfois elle vous défait encore et encore jusqu’à ce que vous décidiez de laisser votre ego mourir.
La vie vous refuse des biens et une grandeur jusqu’à ce que vous arrêtiez de vouloir des biens et de la grandeur et commenciez à servir.
La vie coupe vos ailes et élague vos racines, jusqu’à ce que vous n’ayez plus besoin d’ailes ou de racines, que vous disparaissiez juste dans les formes et que votre être vole.
La vie vous refuse des miracles, jusqu’à ce que vous compreniez que tout est un miracle.
La vie raccourcit votre temps, pour que vous vous pressiez d’apprendre à vivre.
La vie vous ridiculise jusqu’à ce que vous vous ne fassiez plus cas de rien, ni personne, pour qu’alors vous deveniez tout.
La vie ne vous donne pas ce que vous voulez mais ce dont vous avez besoin pour évoluer.
La vie vous blesse et vous tourmente jusqu’à ce que vous lâchiez vos caprices et vos colères et appréciez votre respiration.
La vie vous cache des trésors jusqu’à ce que vous appreniez à sortir dans la vie et à les chercher.
La vie vous refuse Dieu, jusqu’à ce que vous le voyiez en tous et en tout.
La vie vous réveille, vous élague, vous brise, vous déçoit… mais croyez-moi, c’est pour que votre meilleur moi se manifeste… jusqu’à ce que seul l’amour reste en vous ».
Prenez soin de vous – Mabelle
Bonjour, je vous espère en forme.
Je vous partage ce matin une publication du Dr Humbert.
A coté de l’ivermectine, il existe de nombreux aliments et plantes antiparasitaires qui peuvent vous aider, ainsi que des huiles essentielles. Renseignez-vous.
Prenez soin de vous
Mabelle
« Ma grand-mère nous vermifugeait plusieurs fois par an. »
Combien de fois ai-je entendu cette phrase ?
Nos anciens savaient inconsciemment que bon nombre de problèmes étaient liés à la présence de « vers » dans le tube digestif.
Par exemple, chez le petit garçon ou la petite fille de trois ans qui fait encore pipi dans sa couche, chez ce grand enfant en état d’excitation, ou encore chez tel autre ayant la peau sèche et des dartres…
Les anciens se transmettaient l’information oralement, de génération en génération, et c’est ainsi qu’à leur époque on vermifugeait régulièrement les enfants.
Vous allez voir que cette tradition était pleine de sens, et qu’elle mériterait de perdurer aujourd’hui, autant chez les enfants que chez les adultes…
Bienvenue dans la grande famille des parasites
Mais de quoi parle-t-on exactement ?
De parasites plus ou moins grands, dont la taille peut aller de 5 mm à 3 cm, répartis principalement dans deux familles différentes :
• Les nématodes, qui sont de petits vers ronds (et qui regroupent notamment les ascaris)
• Les plathelminthes, aussi appelés vers plats.
Parmi les vers plats, on retrouve notamment le fameux ver solitaire, qui est un ténia du porc ou un ténia du bœuf (c’est donc en mangeant la viande de ces animaux que l’on peut se contaminer).
Cette famille comprend aussi le ver de l’échinococcose alvéolaire, et celui du kyste hydatique, l’un transmis par le renard, l’autre par le mouton.
Ils donneront différentes manifestations. Les ténias colonisant l’intestin peuvent provoquer une pâleur par anémie, une grande fatigue et un amaigrissement…
Pour l’anecdote, il y a quelques années, une société commerciale avait eu l’idée de mettre dans des gélules, des anneaux de ténia pour que, une fois le ver reconstitué dans l’intestin du consommateur, il aille jouer son rôle pathologique… et faire maigrir son propriétaire !
Heureusement les ténias sont relativement rares. En revanche, il est beaucoup plus fréquent d’héberger dans son intestin des nématodes (ces fameux petits vers ronds).
Car les parasites sont universels : on les trouve partout, aussi bien chez nous que dans les pays exotiques.
Ils peuvent se retrouver sur les aliments qui ont été en contact avec des matières fécales. Or les cultures maraîchères se font de plus en plus souvent avec des engrais d’animaux (quand ce ne sont pas des matières fécales humaines).
Fausse cystite, vrai parasite…�Quand devez-vous suspecter la présence de vers ?
Tout d’abord, il y a des signes courants très évocateurs. Par exemple les démangeaisons à l’anus, ou au niveau des organes génitaux externes chez la femme.
Il faut aussi suspecter les parasites, si vous pensez avoir eu régulièrement des cystites, des infections urinaires ou des mycoses vaginales.
Si on y regarde de plus près, par la lecture des analyses d’urine, on se rend compte qu’il ne s’agit généralement pas d’infections urinaires. En effet, si les résultats montrent bien de très nombreuses bactéries, il n’y a pas en revanche un nombre suffisant de globules blancs, les leucocytes, pour retenir l’existence d’une infection.
De même, ce que vous appelez « mycose », c’est-à-dire des démangeaisons vulvaires avec des sécrétions et des pertes (en réalité des glaires ou du mucus), sont généralement sans rapport avec candida albicans, la bactérie responsable des mycoses.
Ainsi, ces symptômes génito-urinaires sont, dans mon expérience, la preuve d’une présence de parasites au niveau intestinal. J’ai d’ailleurs reçu d’innombrables messages de satisfaction ou de remerciements de femmes chez qui ces troubles répétés étaient un véritable enfer et qu’elles ont vu disparaître après traitement antiparasitaire.
Chez les enfants, le portage parasitaire peut être responsable d’une certaine excitation et, dans certains cas, d’énurésie (le « pipi au lit »). Chez la petite fille, ce sera souvent une vulvite, c’est-à-dire une inflammation de ses organes génitaux externes entraînant des démangeaisons. Le grattage de cette zone à proximité de l’anus conduit souvent à une infection, c’est-à-dire une vulvite bactérienne ou parfois candidosique.
Si ça gratte…
Le prurit (c’est ainsi que dans leur jargon les médecins appellent les démangeaisons), est un symptôme courant qui n’inquiète pas forcément.
Et pourtant, un prurit chronique ou répété devrait toujours conduire le médecin à en rechercher la cause.
Dans ce contexte, et après avoir formellement écarté une maladie générale ganglionnaire, il faudra tester l’efficacité d’un antiparasitaire.
Cela n’est pas encore bien connu dans la communauté médicale, mais les démangeaisons qui surviennent dans la journée, ou au cours de la nuit signalent souvent l’existence d’une maladie parasitaire au niveau intestinal. Cela devra alors être confirmé par un interrogatoire de la part du médecin.
D’une manière générale, les démangeaisons au niveau de la peau, du cuir chevelu ou des muqueuses sont les expressions les plus courantes de maladie parasitaire.
C’est particulièrement vrai s’il n’existe qu’un ressenti perçu par le malade, sans lésion cutanée autre parfois que les signes du grattage (excoriations).
Vous conviendrez qu’il y a donc maintes raisons pour mettre en route un traitement antiparasitaire, ce que les anciens appelaient une purge.
Les liens étonnants entre les parasites�et ces maladies
À côté de ces prurits, d’autres pathologies cutanées devront convaincre votre médecin de rechercher des anticorps contre le parasite, qui indiquent sa présence passée ou persistante.
Par exemple, si vous avez une urticaire chronique (qui dure depuis au moins six semaines), on devra sans nul doute vous recommander un traitement antiparasitaire.
L’urticaire, caractérisée par des plaques rouges qui démangent, est le mode le plus commun de révélation de vers. C’est aussi le cas de ses variantes telles que les œdèmes de Quincke et des dermographismes (rayures en relief qui démangent lorsque vous vous grattez la peau).
Un autre symptôme de maladie parasitaire, mais souvent attribué par erreur à un champignon du cuir chevelu, ce sont les démangeaisons de la tête accompagnées de squames (pellicules).
Dans ce cas, votre médecin vous proposera généralement des shampooings antifongiques. En cas d’échec ou de récidive rapide, il sera souhaitable d’envisager l’existence d’un parasite intestinal.
Les dartres chez l’enfant signeraient aussi la présence de parasites intestinaux dans 50% des cas. Ce sont des plaques d’eczéma sèches, arrondies, touchant le visage ou la partie supérieure du corps, légèrement prurigineuses, avec de fines squames.
Autre maladie de la peau de mécanisme immunoallergique, l’eczéma, symétrique ou non, présent dans les territoires classiques de l’eczéma atopique ou non, alertera sur la présence dans votre intestin de parasites.
Sur le plan digestif, les vers participent à l’entretien d’une maladie inflammatoire intestinale, et donc à ses manifestations comme la diarrhée. Cet aspect est important à considérer. La présence de vers intestinaux signifie le plus souvent qu’il y a une maladie de la muqueuse intestinale (j’y reviens plus loin). D’ailleurs, on s’enquerra de la présence de glaires, c’est-à-dire du mucus dans les matières fécales.
Pourquoi vous devez garder toutes�vos prises de sang (même celles d’il y a 20 ans)
Pour détecter un parasite, il est parfois nécessaire d’analyser toutes vos analyses sanguines, y compris celles qui datent de plus de 20 ans.
Je vois parfois arriver en consultation des malades, tenant en main leur dernière prise de sang.
Ce qu’ils ignorent, c’est que les indicateurs biologiques font partie intégrante de qui vous êtes au même titre que la couleur de vos yeux, l’aspect de votre chevelure ou votre taille…
Vos cheveux peuvent être différents d’un jour à l’autre : plus ou moins bouclés, plus ou moins secs, en fonction de la saison, de votre cycle menstruel, etc.
Mais derrière ces modifications subtiles, demeure l’aspect général qui fait que l’on vous reconnaîtra quelle que soit la nature de votre chevelure.
Eh bien c’est pareil avec vos analyses sanguines.
Par exemple, le nombre de vos globules blancs peut varier au cours du temps ou si vous tombez malade. Mais comment un médecin peut-il connaître votre vraie « nature » – en termes de globules blancs – s’il n’a pas les prises de sang précédentes ?
Il faut parfois aller très loin dans le passé pour connaître votre statut et observer des variations sur plusieurs années. L’évolution de vos globules blancs décrira une courbe particulière qui peut être très significative, notamment si on s’intéresse au nombre des polynucléaires éosinophiles.
Ainsi, si je constate, qu’il y a 12 ans, votre taux de ces globules blancs particuliers a augmenté, avant de diminuer et de se stabiliser, bien qu’il demeure dans le cadre des valeurs dites « normales », cela peut révéler que vous avez bien attrapé un parasite à cette époque.
Mais où étiez-vous alors ? En France ou à l’étranger ? Un interrogatoire détaillé nous permettra alors de déduire quel est le type d’helminthes qui vous a infecté.
Vous comprenez donc pourquoi votre médecin doit prendre connaissance de toutes vos prises de sang passées, et ceci à chaque nouvelle consultation.
Les vers préfèrent s’installer�dans les intestins malades…
Il y a toujours une cause à tout.
La présence de vers sur la paroi intestinale indique que votre muqueuse est pathologique : inflammatoire, suintante (je dirais même gluante), et donc relevant d’une entéropathie, c’est-à-dire une maladie de l’intestin.
Les vers peuvent d’ailleurs entretenir, voire aggraver, cette pathologie sous-jacente.
Dans la plupart des cas, il s’agit d’une inflammation intestinale due à une intolérance alimentaire, en particulier au lait de vache (et tous ses dérivés) ou au gluten.
Dans d’autres cas, il s’agit d’une MICI (maladie inflammatoire chronique de l’intestin), aussi désignée par le terme de maladie de Crohn.
On voit donc ici tout l’intérêt d’évoquer et de diagnostiquer cette infection parasitaire.
D’ailleurs, ces pathologies de la paroi intestinale peuvent fragiliser la barrière intestinale, et laisser passer dans le sang des produits toxiques (responsables par exemple des symptômes articulaires de la maladie de Crohn) ainsi que certaines larves de parasites.
Celles-ci peuvent alors pénétrer dans le corps et y entrainer des maladies sérieuses, comme la toxocarose, maladie parasitaire systémique.
Ce n’est pas parce que vos résultats sont négatifs�que vous n’avez pas de parasite
En médecine, lorsqu’une recherche est négative, cela ne veut pas dire que ce que vous recherchez n’existe pas.
Ainsi, si vous allez pêcher dans le lac avec un fil et un hameçon il est vraisemblable que vous ne ramènerez pas de poisson. Allez-vous en déduire qu’il n’y a pas de poissons dans ce lac ?
Pendant des dizaines d’années, on s’est évertué à chercher des vers ou des traces de leur présence (larves, œuf) dans les selles, sans jamais se poser la question suivante :
Que feraient des vers sur vos matières fécales ?
Peut-on être sûr qu’ils ne sont pas dans l’intestin sous prétexte qu’on ne les voit pas ?
C’est ainsi qu’il a fallu attendre 2015 pour qu’on démontre enfin que la recherche de parasites dans les selles était négative à 90% chez des personnes pourtant infestées.
En réalité, cet examen n’a pas d’autre utilité que de connaître le nom du parasite dans le cas éventuel où on aurait la chance de le découvrir.
Combien de malades ont souffert de démangeaisons anales durant des années sans que jamais on ne leur ait donné un antiparasitaire, simplement parce que leurs analyses des selles étaient négatives !
Les 3 problèmes avec la prise de sang
Il existe aussi un sérodiagnostic pour rechercher dans le sang des anticorps dirigés contre des protéines du ver.
Le premier problème, c’est que cette analyse n’est pas spécifique : on cherche des anticorps dirigés contre des protéines que l’on espère universelles, potentiellement présentes sur toutes les familles de vers ronds, alors que ce n’est pas toujours le cas.
Le deuxième problème, c’est qu’on ne cible pas toujours les bons anticorps.
La plupart du temps, on teste les anticorps dits immunoglobulines G. Or la réponse immunologique de l’organisme contre les vers repose le plus souvent sur la production d’immunoglobulines E.
Troisièmement, il y a des patients qui ne produisent aucun anticorps alors qu’elles sont infectées. Et vous imaginez bien que ce sont vraisemblablement des personnes plus gravement atteintes !
Et dernièrement, si on a la chance de découvrir chez vous des anticorps IgG contre les « ascaris », vous pourrez lire par exemple dans le commentaire du résultat : « 7 Unités : résultat négatif ! seuil de 15 ».
Ainsi, tant que vous n’avez pas un taux d’anticorps de 15 unités, le laboratoire considère que ce résultat est négatif. Mais comment pourriez-vous produire des anticorps, même à des taux faibles, sans qu’il n’y ait la présence du parasite ?
Ce que vous risquez si vous êtes infesté
Certains scientifiques estiment que la présence de ces vers serait protectrice pour l’organisme.
Ils suggèrent même que ceux-ci auraient un potentiel face à certaines maladies inflammatoires de l’intestin.
Voici pourquoi j’ai une vision à l’opposé de ces théories.
La présence de ces vers induit une immunodépression qui favorise les infections au virus de l’herpès : j’entends par là la maladie herpétique (le fameux bouton de fièvre), mais aussi l’herpès génital, beaucoup plus dangereux car présent dans les sécrétions vaginales, le zona, mais aussi le virus Epstein-Barr responsable notamment de la mononucléose infectieuse et aussi de lymphomes.
Il a aussi été démontré que la présence d’helminthes favorise la prolifération du papillomavirus dans le liquide du conduit du col de l’utérus. Il est désormais recommandé d’administrer un traitement parasitaire chez toute femme présentant un cancer du col de l’utérus.
Je ne peux pas non plus m’empêcher de faire un parallèle avec l’efficacité démontrée dans plusieurs études de l’ivermectine contre le COVID.
Il s’agit là d’un médicament antiparasitaire.
J’émets donc l’hypothèse que la disparition des parasites pourrait contribuer à restaurer le système immunitaire qui, dès lors, sera plus efficient pour éliminer le coronavirus.
Ne serait-il donc pas pertinent d’étudier le bénéfice éventuel d’un traitement antiparasitaire chez les personnes ayant un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) et donc porteur du virus VIH.
Il serait aussi intéressant d’étudier l’effet d’un tel traitement chez les enfants qui ont un impétigo, maladie bactériologique cutanée due au staphylocoque et au streptocoque cutané.
Malheureusement, la parasitologie est encore trop peu développée en médecine et à peine enseignée en troisième année dans les cours de pathologie fondamentale.
Rares sont les services hospitaliers qui discutent des parasitoses, dont les conséquences directes ou indirectes sont pourtant importantes.
Ne devrait-on pas envisager une telle pathologie parasitaire dès que l’une ou l’autre des situations décrites plus haut se produit ?
Ne devrions-nous pas reconsidérer la présence des helminthes dans l’intestin même si nous ne les voyons pas dans les selles, notamment en cas d’urticaire ou de démangeaisons ?
Et finalement, ne faudrait-il pas se vermifuger tous les 6 mois, comme nous le faisons pour nos animaux de compagnie… ou comme le faisaient nos grands-mères ?
Bien à vous,
Pr Philippe Humbert
Je m’appelle Philippe Humbert et je suis médecin (dermatologie, médecine interne, allergologie et oncologie), Professeur à la faculté de Besançon et chercheur. Je suis ce que l’on appelle un clinicien, c’est-à-dire un médecin très proche de ses malades.
Dans mon livre Avez-vous un bon médecin ? je pointe du doigt les erreurs que font les patients. Il faut apprendre à être un bon malade, pour être sûr que le médecin va véritablement prêter attention à vos problèmes. Je montre au travers d’histoires parfois dramatiques, comment des solutions auraient pu être trouvées si le médecin avait pratiqué sa médecine comme il le fallait.
Après avoir lu ce livre, vous ne direz plus « mon docteur me connaît », vous n’accepterez plus qu’on vous affirme que tout va bien, alors que vous vous tordez de douleurs, vous irez à l’encontre de certaines idées reçues (par exemple : la consommation de vitamine C le soir peut être une bonne idée)…
Bonjour, je t’espère en forme.
Pour guérir, il faudra parler des fausses couches.
Pour guérir, il faudra parler des infidélités.
Pour guérir, il faudra compter la violence, les abus et les maltraitance.
Pour guérir, il faudra exprimer la haine, la jalousie et la rage.
Pour guérir, il faudra reconnaître et compter ces amours frustrées qui n’ont jamais pu être.
Pour guérir, il faudra parler des arnaques, des vols et des dettes.
Pour guérir, il faudra parler des exclus et des ′′ méchants ′′ de chaque histoire.
Pour guérir, il faudra parler des vivants et des morts.
Pour guérir, il faudra parler de dépendances et de duels bloqués.
Pour guérir, il faudra enterrer tous les bébés et enfants morts de mon histoire.
Pour guérir, il faut pleurer et compter les douleurs.
Pour guérir, il faut raconter les secrets et les dévoiler.
Pour guérir, il faut être prêt à dire la vérité et rien que la vérité.
Après tout, reconnaître que c’était juste ′′ ma ′′ vérité selon mon histoire. Et quand tout cela arrivera, tu réaliseras qu’il n’y avait rien à guérir. Que tout était là exprimé en forme de symptôme, pour que tu transcendes cette histoire.
Pour guérir, il faut que tu saches qu’il n’y a rien à guérir mais tout à intégrer.
Pour guérir, il faut intégrer dans notre quotidien les ordres de l’amour.
Accepter tout comme il est et tout ce qu’il s’est passé. Nous ouvrir à la réconciliation.
Accepter tout le monde comme ils sont.
Comprendre que nous sommes tous un, mobilisés par quelque chose de plus grand qui est le mouvement de l’esprit et que tout est bien et parfait.
Prends soin de toi
Mabelle