Un tarif minimal pour rejoindre Roger

Bonjour à toutes et tous,

Vous avez été nombreux à suivre les formations gratuites de Roger Lannoy sur l’abondance.

Si, pour une raison ou une autre vous n’avez pas pu rejoindre son programme de suivi annuel pour changer radicalement de vie, il n’est pas encore trop tard.

Inscrivez vous ici sans perdre un instant : https://mj223.isrefer.com/go/cdladp/Anita/

En effet, Roger a décidé de permettre aux retardataires de rejoindre son programme unique de coaching en dernière minute, pour un délai maximal de 48 heures, soit jusqu’à ce jeudi minuit dernier délai. Lorsque j’avais suivi la formation je m’en souviens, après de nombreuses hésitations, je ne m’étais pas inscrite et je le regrettais. Puis lorsque Roger a remis les inscriptions en ligne, j’ai saisi ma dernière chance de pouvoir participer au programme. Et je m’en félicite encore.

roger

Roger a démarré de zéro, sans diplômes et endetté. Il est donc bien placé pour savoir que tout le monde n’a pas forcément pu le rejoindre pendant la période disponible, parfois par manque de motivation, et plus souvent parce que les finances n’étaient pas au rendez-vous

Alors il a décidé de, non-seulement ré-ouvrir une dernière fois les portes pour une période limitée, mais aussi en donnant la possibilité de s’engager pour un tarif minimal lors du 1er mois. Cela vous donne le temps de vous rendre compte des capacités de son programme avant d’aller plus loin.

Aujourd’hui, malgré des débuts parfois pénibles, Roger est millionnaire et vit la vie dont il rêvait.

Lorsqu’il vous parle de manque et d’abondance, il sait de quoi il parle, il sait ce que vous vivez peut-être en ce moment, il peut vous guider vers un changement de vie exceptionnel. Allez-vous rater ça ?

Je vous laisse prendre votre décision et vous souhaite une lumineuse journée

Mabelle

Défi 3 semaines : faire du sport

jogging

Il y a quelques semaines je vous avais parlé de faire de temps à autre des défis durant quelques semaines, jours, voire heures pour les plus difficiles.

Alors, aujourd’hui je me lance un défi que je vous lance également si vous voulez me suivre.

Cela fait maintenant bien longtemps que j’ai abandonné tout sport pour diverses raisons, principalement le manque de temps. Mais il faut bien être réaliste, les excuses sont faites pour s’en servir et celui qui veut réellement trouve des moyens.

Après avoir fait de la gymnastique en salle, de la natation, du vélo, de l’aquagym,  et avoir tout arrêté je m’aperçois que j’ai usé de nombreux stratagèmes pour ne pas m’y remettre :

– Mauvais temps : je n’aime pas faire du sport sous la pluie, dans le brouillard ou la neige (je suis de plus en plus convaincue que mon gps a du faire une erreur de quelques milliers de kilomètres lorsque je suis arrivée sur cette terre, c’est bien plus au sud que j’aurais du arriver, là où il y a du soleil toute l’année ou presque). Je n’aime pas le sport en salle avec les culturistes qui me regardent un petit sourire aux lèvres en se demandant ce que je fais là parce que, si je n’ai pas 10 kilos de trop, je n’ai pas non plus une musculature développée avec des tablettes de chocolat en guise d’abdominaux. Du coup je fais un peu tache entre les personnes en surpoids courageuses et motivées (mais que je félicite au passage), et les « Monsieur muscles » qui ressemblent à Hulk lorsqu’il est très très en colère et qui débordent du singlet qu’ils ont sans doute emprunté à leur petite soeur.

J’ai arrêté la piscine parce que sortir l’hiver avec les cheveux mouillés ce n’est pas sympa, et pas le temps de les sécher parce que je devais être à l’heure pour récupérer ma fille à l’arrêt de bus. Puis après l’hiver il n’y avait plus de place disponible, si ce n’est à une tranche horaire qui ne me convenait pas du tout pour diverses raisons (ou devrais je dire diverses excuses encore)

– Plus de chaussures adaptées pour courir, comme si les magasins n’étaient pas remplis de tous les baskets possibles et imaginables, et même quand on n’a pas le temps de se rendre dans un magasin, il y a des milliers de sites internet qui n’attendent que ma commande, et sont ouverts 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. Là, l’excuse n’était pas très crédible, je le reconnais

– Et justement ce manque de temps parce que je devais m’occuper de ma trop grande maison et de son immense jardin, puis de sa mise en vente, et ensuite préparer le déménagement, puis aménager, et après je me trouvais encore l’excuse qu’il faut peindre, installer les stores … Mais pourquoi donc nous mettons nous tous ces impératifs, tous ces « il faut » que nous nous imposons n’ont aucun sens, sinon être une excuse supplémentaire pour ne pas me bouger. Il n’est pas nécessaire de courir 4 heures par jour, je n’ai pas l’intention de m’inscrire au marathon de New York. En m’organisant il est clair que je peux ajouter ça dans mes journées sans de trop grand chamboulements, si ce n’est profiter des vertus du sport.

Parce que, oui, tout le monde le sait, le sport est indispensable pour garder la ligne, la santé, et un bon niveau d’énergie. Donc la question n’est pas de savoir s’il est utile de faire du sport, mais comment se motiver pour faire du sport, ou s’y remettre sérieusement, sur le long terme.

Personne ne tient longtemps, si faire du sport est vu comme une contrainte que l’on s’inflige pour sa santé ou sa beauté. Il est indispensable que le sport soit autre chose qu’une obligation, qu’il nous apporte autre chose, du plaisir, du bien-être, de la satisfaction …

 On peut lire partout qu’il est nécessaire de choisir un sport qui nous convient selon nos goûts, notre âge, et notre état de santé. Chacun, donc, doit trouver sa voie.
Je ne suis plus toute jeune mais pas encore vieille, je pourrais sans doute encore faire divers sports si je les aimais. Mais, en fait je n’aime pas grand chose en matière de sport.

Certains aiment la vitesse du vélo (j’avoue préférer celle de la moto nettement moins sportive), la force d’un cheval qui franchit des obstacles (j’ai un peu peur de ces grandes bêtes que je ne me sans pas capable de contrôler, j’en garde de mauvais souvenirs d’enfance lorsque Kiwalda m’a ouvert la main, ce qui m’a valu 17 points de suture), les joies des jeux de balle (trop violent pour moi), la compétition de l’athlétisme, la beauté des mouvements de gymnastique, l’étourdissement du patinage artistique, … Tout ça ne me déplaît pas forcément, mais ne me fait pas vibrer au point de vouloir le faire au quotidien.

Comme je l’ai écrit plus haut, je ne suis pas à l’aise dans une salle. Je ne veux pas être liée à des contraintes horaires de cours certains jours et à certaines heures de la journée.

Oui, je dois probablement avoir un petit côté rebelle au fond de moi, je n’apprécie pas vraiment de devoir suivre le rythme d’un groupe, certains exercices me semblent se traîner en longueur alors que d’autres me paraissent beaucoup trop rapides pour moi.

Du coup ca limite pas mal les choses. Puis je n’aime pas trop faire du sport face à un mur, je préfère de loin pouvoir profiter du soleil sur ma peau, même si c’est plus souvent la pluie dans ce pays, voir les champs, les vaches dans les prés, et les oiseaux dans le ciel.

Donc je choisis d’opter pour le jogging, qui me permet de le pratiquer dans la nature puisque je vis en pleine campagne, et d’y aller à mon rythme sans avoir un coach qui me pousse au derrière pour dépasser des limites que je n’ai aucune envie de m’imposer si cela doit rester un plaisir.

Donc, voilà, le choix étant fait, il ne reste plus qu’à s’y mettre. J’ai donc consulté mon agenda, cherché des plages horaires où il m’était possible d’aller courir et je vous avoue ne pas avoir pu trouver un moment pour faire du sport quotidiennement. En tous cas pas en hiver. En effet, je dois conduire ma fille au travail certains jours et il n’est pas possible d’aller courir avant car il fait encore noir. Courir dans la campagne, c’est bien mais s’il fait noir c’est nettement moins motivant. Et comme les chemins agricoles ne sont même pas éclairés, c’est carrément dangereux. Alors, je veux bien faire de petits efforts pour me remettre au sport, mais courir dans le noir avec une lampe sur le front pour voir où je mets les pieds, ce n’est pas pour moi.

En plus me préparer pour conduire ma fille, rentrer me changer, aller courir, et repasser sous la douche, ça fait tout de même un peu trop à mon goût. Je préfère sauter du lit, enfiler mes vêtements de sport, et aller faire mon jogging sans devoir me changer trois fois avant 10 heures du matin.

Bon, le mardi et le mercredi je le ferai tout de même car il n’est pas possible de m’organiser autrement. Et le jeudi, pas de sport, là pas de possibilités si ce n’est après 17 heures et une fois encore en hiver il déjà fait noir.

Voilà les choses sont organisées, il ne reste plus qu’à …

On entend souvent dire que ce sont les premières semaines qui sont les plus dures, qu’ensuite le sport est un réel moment de bonheur. On en reparlera dans quelque temps. Qui sait, je vais peut-être devenir une vraie accro ? 😉

Je vous partage mon jogging du jour. Il faisait un peu froid mais sec. Ouf la pluie n’était pas au rendez-vous, elle n’est prévue que pour demain.

J’ai donc pu profiter d’un sol sec, de peu de boue dans les chemins agricoles.

J’avoue être absolument incapable de courir tout le parcours que j’avais choisi. J’ai donc alterné footing et marche rapide, c’est déjà pas si mal pour un début.

J’ai apprécié des chèvres dans un pré qui sont venues à la clôture pour me regarder passer, l’ai de dire « c’est quoi cette folle qui court au lieu de rester tranquillement à brouter l’herbe avec nous ». Puis, plus un joli petit veau couleur caramel. Et , sur le chemin du retour, à deux pas de la maison, une conversation avec un de mes nouveaux voisins, plutôt sympathique.

J’ai même réussi à apprécier le vent qui était dérangeant au début, mais bien rafraîchissant en fin de course lorsque j’avais un peu chaud.

Je pense que mon corps était content et a apprécié lui aussi. Je me dis finalement que c’était moins difficile que je le pensais. Mais, bon je ne vais pas m’avancer trop vite, je n’aurai peut-être plus le même avis ce soir ou demain si j’ai mal partout.

Et vous : faites-vous du sport parce que cela vous fait plaisir ? Ou parce que vous vous sentez obligé ? Avez vous des trucs pour vous motiver ?

 Je propose aux personnes voulant me suivre dans ce défi de se remettre au sport de me laisser un petit commentaire, de partager vos progrès, vos déboires, vos découragements, vos joies.

Sportive ou non, je vous souhaite une magnifique journée

Mabelle