Archives mensuelles : juillet 2020
Citation de la semaine
Quelques petites réponses
Bonsoir,
Suite à mes derniers articles, certains m’ont demandé d’autres infos, et où faire des recherches, me disant qu’ils avaient un peu de mal à expliquer les choses à leur entourage.
Je tiens à vous avertir, ne tentez pas de convaincre qui que ce soit. En effet, la plupart du temps, plus on essaie d’expliquer, et plus les gens se braquent et ne veulent rien entendre.
En inventant cet argument de taille de « la théorie du complot », on empêche les gens de raisonner. On annihile leur intelligence, leur libre arbitre. On les paralyse. Je suis contente d’être ce que beaucoup nomment une complotiste, ça prouve que je suis capable de réfléchir par moi même. Mais vu que, depuis notre naissance la société nous dit que faire et de quelle manière, quoi manger et à quel moment, comment se divertir et avec qui, … nous sommes tous formatés pour être comme tout le monde, se fondre dans la masse. Et, sortir de là n’est pas si simple. Je pense que personne n’acceptera jamais ce que vous lui dites si vous lui sortez subitement trois ou quatre vérités que vous connaissez. Déjà une chose c’est compliqué à entendre, alors il ne faut pas s’imaginer pouvoir en révéler plusieurs à la fois, mais laisser mûrir les choses, le temps de digérer et que la personne se pose des questions. Alors, en votre âme et conscience vous déciderez s’il s’agit d’une connerie ou de quelque chose qui vaut la peine d’être approfondi.
Certains vous traiteront d’imbécile, de naïf qui croit n’importe quoi et se laisse manipuler. Ils n’entendront jamais la moindre vérité. Pour eux les révélations seront très dures à encaisser le jour venu, mais on ne peut pas forcer quelqu’un à entendre ce qu’il refuse d’entendre. Les médias nous racontent des mensonges depuis des décennies, alors contredire une actualité telle qu’on nous l’abreuve, ce n’est pas si simple puisqu’on n’a pas forcément les preuves de ce qu’on avance à montrer sur un média mainstream vu que partout on raconte autre chose pour défendre d’occultes intérêts.
Comme le disait Jean-Jacques Crévecoeur, plutôt que de tenter de démontrer quoi que ce soit, il sera plus profitable pour tous de poser des questions afin d’ébranler les convictions. Voici la vidéo dans laquelle il en parle, ça peut être utile :
https://www.youtube.com/watch?v=sg-uBY4Net4
Quand on se pose des questions, on fait des recherches, on s’informe, on se conscientise, et on se pose d’autres questions … c’est un cercle vertueux. A la base je voulais vivre en paix, librement, qu’on me laisse tranquille, comme la plupart d’entre vous. Je me suis posé une question et les réponses ne me paraissant pas claires, j’ai cherché. J’ai découvert certaines choses que j’aurais peut-être préféré ne pas savoir parce que, c’est vrai que c’est plus confortable d’ignorer toutes les horreurs, de penser que tous ces salauds n’existent pas, mais quand on sait on ne peut pas faire semblant de ne rien savoir, ça entraîne d’autres questions et j’ai continué de chercher pour comprendre le lien entre différentes choses. Quand on découvre certaines vérités on ne peut plus les ignorer et continuer de vivre comme avant, et sans doute que cela fait peur à beaucoup de monde. Il est aussi bien plus simple de nier, de ne rien vouloir savoir plutôt que de devoir remettre en question tout ce qu’on nous a appris depuis toujours, d’admettre qu’on a été trompé et qu’on s’est trompé. Ils sont partout, dans tous les secteurs et inventent des concepts monstrueux. Il faut vraiment s’accrocher, mais personnellement je préfère savoir que de me retrouver face à tout ça le jour de la révélation.
Si vous êtes prêt à savoir réellement ce qu’est le monde dans lequel nous vivons, vous trouverez des réponses. A partir du moment où on s’ouvre à les recevoir, certaines viendront à vous sans la moindre difficulté et parfois de directions totalement inattendues. Il y a chaque jour de plus en plus de personnes éveillées et le fait de s’éveiller soi même fait que les semblables s’attirent.
Vous m’avez demandé des endroits où chercher, vous pouvez également vous informer sur différentes chaînes youtube en plus de celle de Jean-Jacques Crèvecoeur : https://www.youtube.com/channel/UCCPk… qui a aussi une chaîne privée
Ema Krusi : https://www.youtube.com/channel/UCp2rcO8R6UkBSLs6NjCp-Cw
Silvano Trotta : https://www.youtube.com/channel/UCgJsFMb8rF_aO1qZgvu_2AQ
Fils de Pangolin : https://www.youtube.com/c/FilsdePangolin/featured
Alexis Cosette de Radio Quebec : https://www.youtube.com/channel/UCxLJZvb6-tlvk5Lq_vyETOQ
Chloé F. : https://www.youtube.com/channel/UCYgeUtQwry3VGNinJ0zu6mQ
Salim Laïbi : https://www.youtube.com/channel/UCAWbpsb5YQKxE8F62TEVCww
Tal Schaller : https://www.youtube.com/channel/UCsErDjBW330E-axwjFIUiLQ
Sophie Meulemans : https://www.youtube.com/channel/UCW0C
Cette liste est bien loin d’être exhaustive. Il y a bien d’autres francophones mais, si vous parlez d’autres langues, il y a pas mal d’américains, de brésiliens, d’espagnols. Parce que, des « complotistes » il y en a sur toute la planète, qui tentent de vous défendre, de défendre votre personne. Nous sommes à l’heure de vérité, la lumière n’est plus bien loin. Beaucoup on compris que certaines choses n’étaient pas « normales » en voyant que l’OMS n’a aucun but de santé mais est une organisation politique qui aide les labos pharmas à s’enrichir, avec l’aide de tous les gouvernements. Ecoutez les bonnes infos car vos oreilles sont tout ce qui vous reste , vous avez déjà perdu symboliquement la parole avec les masques et vous risquez bien de perdre la santé cet automne à force de respirer de l’air vicié.
Ce blog n’a pas été créé dans le but de divulguer ce genre d’informations et si je me suis permise d’en parler c’est parce que, à la base cette pseudo pandémie était sensée être une question de santé, de bien-être, ce qui est le thème du blog. Je pensais juste informer sur comment rester serein malgré les circonstances mais les choses se prolongent et voilà qu’ils nous remettent une couche avec les masques obligatoires d’abord en Belgique puis en France, sans la moindre raison et je suis en colère de voir que tout le monde accepte silencieusement. Donc j’ai ressenti le besoin de donner mon avis, qui est commun à de nombreux thérapeutes et médecins, même si peu osent parler, de peur de se voir radiés. Mais je pense que j’en ai dit suffisamment pour que vous cherchiez par vous même et vous avez quelques pistes à suivre pour trouver les bonnes informations, à votre rythme, même si les informations les plus nombreuses circulent en messages privés et que si vous n’avez pas des contacts qui « savent », vous ne trouverez pas d’infos de ce côté là surtout avec toutes les censures. Il y a tout de même certains groupes Facebook dont vous pouvez devenir membre sans devoir faire trop de recherches.
A ceux qui se battent contre tous les mensonges du NOM, priez, méditez, envoyez de la lumière au maximum. Je vous dis merci. Ceux qui s’éveillent, je vous aime. Et ceux qui ne veulent pas savoir, je suis triste pour vous et espère que vous comprendrez rapidement car, sachez qu’en plus de toute cette escroquerie au niveau de la santé, d’autres choses bien plus graves nous ont été cachées et devraient sortir au grand jour assez rapidement. Vous risquez d’être choqués si vous ne vous ouvrez pas à ce qui se passe derrière le rideau. Et, là, le choc risque d’être terrible.
Quand on commence à s’éveiller, on retrouve sa source divine, c’est ce que je vous souhaite à tou(te)s
Prenez soin de vous
Mabelle
Décryptage de la situation
Bonsoir,
En ce 14 juillet, jour de liberté en France, une amie m’a envoyé le message suivant auquel je ne changerai pas un mot parce qu’il me tient à coeur de vous le partager avec exactitude en ses propres termes.
Je me souviens parfaitement vous avoir dit, il y a de cela maintenant précisément 4 mois, que je ne tenais pas à écrire plusieurs articles sur le sujet d’actualité. Et pourtant me revoici encore à en parler. A l’époque je ne voyais pas l’intérêt de m’étendre sur quelque chose dont tout le monde parlait déjà et en quoi je ne croyais pas vraiment. Comme déjà dit, pour moi cette histoire de virus n’a pas le moindre sens, si on suit la vision de Béchamp plutôt que celle de Pasteur. Or, c’est mon cas. Donc il n’y avait pas grand chose à en dire si ce n’était « prenez soin de votre système immunitaire ».
Mais, même pour ceux qui croient au mythe pasteurien, là ça commence vraiment à friser le ridicule, pour ne pas dire autre chose. Sérieusement, comment est il possible que tout le monde continue d’écouter les médias qui nous racontent qu’on risque nos vies à cause d’un minuscule petit virus mais qui ne font jamais la moindre allusion à notre système immunitaire, nous martelant que la seule issue possible est un vaccin qui modifiera nos gènes. Après qu’on nous ai menti en falsifiant les chiffres, qu’on nous ai dit que les masques ne servaient à rien, que l’OMS déconseille de le porter, on nous oblige à le porter parce qu’ils ont des stocks à vendre. Comment peut on obéir en portant un masque devenu obligatoire quasiment partout et qui semblerait il va aussi le devenir sur les marchés, soit en plein air, en plein été quand la pandémie est terminée (oui j’emploie le mot tout en continuant de dire qu’il n’y avait pas de pandémie et qu’il a fallu modifier les chiffres pour le prétendre) . Chaque jour, on nous a pris un peu de nos libertés, et nous avons accepté sans discuter. Et cela continue et tout le monde baisse la tête, sans rien dire. Moi, je refuse de cette vie et je me permets de le dire et il m’importe peu que cela déplaise à certain(e)s. Ce que disent les médias et les politiques (sans la moindre preuve scientifique de ce qu’ils avancent et contre l’avis de médecins renommés) me déplaît et ça ne les empêche pas de continuer à s’exprimer, donc j’estime avoir moi aussi le droit de le faire. Comme a le droit de le faire la personne qui a écrit le texte ci-dessous qui est très bien documenté. Je vous laisse en juger par vous même.
Prenez soin de vous, informez vous ailleurs que dans les médias payés grassement payés pour vous museler.
Mabelle
Ce temps de manipulation a trop duré :
- A nous de faire le choix d’agir pour la liberté
- Ou de subir, laisser faire un système mafieux, qui ne nous veut pas de bien.
Nous pouvons faire beaucoup en partageant les informations.
Y mettre beaucoup d’Amour et de Lumière, pour aider au réveil des consciences.
Nous n’avons pas à porter de muselière, voir les arguments de spécialistes
Trois raisons de (re)jeter le masque
1. Le masque, ça ne protège pas
- Le masque, c’est mauvais pour la santé
- Le masque, les médecins s’en passaient bien
Trois raisons sanitaires basées sur des argumentaires scientifiques et cliniques
Néosanté Hebdo, par Yves Rasir, 27 mai 2020 https://www.neosante.eu/3-raisons-de-rejeter-le-masque/
Pandémie, fin de partie ! Comme l’avaient bien prévu le Pr Didier Raoult et quelques autres spécialistes clairvoyants, le Covid-19 s’est comporté comme une banale virose saisonnière et n’a pas résisté au retour des beaux jours. L’hiver n’a pas été rigoureux mais il a été long, les températures ne remontant vraiment qu’à partir du 15 avril. Et c’est précisément à partir de ce moment-là, avec l’arrivée du printemps climatique, que le nombre de cas a piqué du nez et que la très relative affluence dans les hôpitaux – en Belgique, l’occupation des lits en soins intensifs n’a jamais dépassé 60% – s’est brusquement tarie. L’épidémie est terminée depuis un bon mois et il n’y aura pas de deuxième vague, cette autre divagation née dans l’imagination des experts conseillant le pouvoir. Maintenant, la question est de savoir si l’on va retrouver la 7ème Compagnie, je veux dire la grippe annuelle qui a mystérieusement disparu des statistiques françaises de mortalité, comme le révèle l’article de notre collaboratrice Pryska Ducoeurjoly que nous avons mis en ligne (1).
Quoi, c’est pas possible, on aurait aussi amalgamé ce fléau prétendument dévastateur avec la bonne vieille « crève » hivernale ? Il n’est pas interdit de le penser. Pour rappel (voir mes infolettres précédentes), certaines études montrent que 80% des syndromes grippaux hivernaux ne sont pas associés au virus Influenza. Et d’autres travaux indiquent que la famille des virus Corona intervient dans 7 à 15% des infections respiratoires qualifiées de grippes. Or celles-ci dégénèrent fréquemment en pneumonies typiques ou atypiques.
Tous covidés ?
Les complications de cette deuxième catégorie, caractérisées par une dyspnée prononcée malgré une faible atteinte pulmonaire et des images thoraciques en « verre dépoli », étaient déjà observées en automne en Italie, mais aussi dans l’Est de la France et aux États-Unis dès le mois de novembre. En Belgique, certains chercheurs ont retrouvé la trace du SRAS-Cov-2 dès le début du mois de février. Il est par conséquent probable que cette grippe saisonnière un peu inhabituelle rôdait déjà sous nos latitudes depuis un bon bout de temps. Et donc que son taux de létalité – évalué pour l’instant à 0,5% en étant parti de 5 % – devrait encore être revu à la baisse grâce à l’augmentation des tests sérologiques. L’autre jour, je discutais avec ma vieille voisine de 78 ans qui avait dû se faire amener en ambulance fin octobre et qui m’a raconté ses symptômes : si ce n’était pas un Covid, c’était très bien imité ! Une amie m’a également parlé de sa grippe de janvier accompagnée de pertes de goûts et d’odorat, deux signes cliniques qui ne sont pas particuliers au Covid mais qui ont été maintes fois signalés cette année. Moi-même, je me souviens avoir été sérieusement grippé au début de l’automne, période où je suis assez sensible parce que c’est la pleine saison des acariens et que ce contexte environnemental (les premiers froids + l’omniprésence des arachnides ) réveille
un douloureux traumatisme de ma prime enfance. Je me rappelle m’être réveillé plusieurs nuits essoufflé et avoir dû faire des exercices de cohérence cardiaque pour réguler ma respiration et retrouver le sommeil. Bref, on peut se demander si beaucoup d’entre nous n’ont pas été « covidés » sans le savoir et si cette étiquette n’a pas été collée – en sus de tous les autres diagnostics abusifs et du gérontocide commis dans les EPAHD – sur la très traditionnelle grippe annuelle. Pryska va essayer de retrouver la 7ème compagnie et nous vous tiendrons au courant.
La jugeote de mon coiffeur
En attendant que les chiffres parlent, il faut bien endurer la prolongation du Corona Circus et se farcir le dernier numéro de ce spectacle navrant, celui de la paranoïa grotesque nous incitant, voire nous contraignant, à bien garder nos distances et à porter un masque pendant le déconfinement. Hier, j’ai enfin pu retourner chez le coiffeur. Respect des consignes oblige, Umberto m’attendait affublé d’un masque blanc très élégant mais il ne m’a pas demandé d’en mettre un. Cool, j’aurais été capable de
faire demi-tour et d’attendre encore jusqu’à l’été avant de me faire couper les tifs. Son indulgence m’a soulagé car si le port des cheveux longs m’a rappelé ma jeunesse sixties et seventies, je commençais à en avoir marre de les avoir dans les yeux. Engageant la conversation, j’ai demandé à mon figaro s’il se souvenait avoir déjà « chopé » le rhume ou la grippe d’un de ses clients. « Jamais en 25 ans de métier, m’a-t-il répondu, car j’ai une bonne immunité et je ne tombe jamais malade ». Intéressant, non, ce témoignage attestant que des centaines, voire des milliers de contacts rapprochés avec des porteurs de microbes n’ont aucune influence sur un terrain
robuste ? Encouragé par son bon sens, je lui ai parlé de la controverse Béchamp/Pasteur et lui ai dit que moi, je ne croyais pas du tout à la contagion. Que j’y croyais si peu que j’étais prêt à passer tout un mois en compagnie d’une jolie covidée et à l’embrasser à longueur de journée, avec la certitude de ne rien attraper. Ça l’a bien fait rire et il a eu cette réplique épatante : « Logique que tu n’attraperas rien puisque tu auras pris ton pied sans penser à autre chose ». Franchement, en entendant ça, je me suis dit que la compréhension de la santé était bien plus répandue dans les salons de coiffure que dans les facultés de médecine. Car les médecins, il ne faut pas trop compter sur eux. Après avoir pleuré sur la pénurie des masques, ils sont nombreux – j’ai reçu beaucoup d’échos allant dans ce sens – qui l’arborent en consultation, l’imposent à leurs patients et leur conseillent de le porter en permanence. Mais bon sang, leur arrive-t-il encore de réfléchir et de lire autre chose que les slogans officiels ? Voici à leur intention, mais aussi à la vôtre, trois bonnes raisons de ne pas porter cet objet ridicule et de le jeter à la poubelle. (*)
1. Le masque, ça ne protège pas
Quand il n’y en avait pas assez, les politiciens et les experts nous disaient que les masques ne servaient pas à grand-chose. Maintenant qu’une industrie locale a été relancée et que les pays à bas coût salarial inondent le marché, les mêmes nous certifient que les bouts de tissu ou de plastique protègent efficacement. Qu’en est-il exactement ? En fait, il n’est pas scientifiquement démontré que le port du masque présente un quelconque intérêt sanitaire. Des citoyens canadiens ont passé en revue la littérature médicale et ils n’ont trouvé aucune évidence plaidant pour le port du masque. Voici le « rapport technique » (2) où ils ont compilé les études prouvant plutôt le contraire. De son
côté, sur le blog (3) où il déconstruit méthodiquement le « mythe infectieux », le scientifique David Crowe a pris la peine de lire les quelques études favorables au masque et a trouvé qu’elles étaient entachées de biais de confusion, notamment le fait que les groupes contrôles étaient composés d’individus en meilleure santé que les groupes observés. Sa conclusion ? « Il y a une large évidence contre le port du masque par la population générale, généralement vu comme inefficace et
pouvant contrarier les autres mesures préventives». David Crowe a aussi retrouvé les opinions formulées par certaines sommités médicales estimant que la propagation du virus ne pouvait pas être freinée par la généralisation du masque. Piquant : il a même retrouvé une déclaration de l’OMS
datée du 6 avril et selon laquelle il n’y a pas de bénéfice avéré à porter un masque en public, ni entre personnes en bonne santé ni lors de leurs contacts avec des gens malades. C’est d’ailleurs sur cette absence de preuve que le Danemark s’est appuyé pour… déconseiller le port du masque ! Seul pays européen à ne pas émettre une telle recommandation, le royaume scandinave a en effet choisi l’option inverse et a dissuadé sa population de sortir masquée. Le microbiologiste Hans Jorn Jepsen Kolmos, un des experts conseillant le gouvernement danois , l’a justifié ainsi : « Ce n’est pas une question de croire au masque ou pas (…). La position des autorités sanitaires est que, pour l’instant, nous n’avons pas de preuve clinique, scientifique, disant que les masques peuvent protéger efficacement le grand public ». (Journal International de Médecine, 22 mai 2020). Préférer la science à la croyance, n’est-ce pas raisonnable ?
2. Le masque, c’est mauvais pour la santé
Ce pavé a été lancé dans la mare par le Dr Russel Blaylock. Dans un article qui a fait le tour de la toile (4), ce neurochirurgien américain réputé déclare carrément que « les masques faciaux peuvent poser de sérieux risques pour la santé » de ceux qui les portent. En premier lieu, il désigne les personnes âgées fragiles et les personnes atteintes de maladies respiratoires, telles que la bronchite chronique obstructive, l’emphysème ou la fibrose pulmonaire. Pour cette catégorie de patients, le port du masque entraine potentiellement une grave détérioration de la fonction pulmonaire. Cela inclut également les patients atteints de cancer du poumon et les personnes ayant subi une chirurgie pulmonaire, en particulier avec une résection partielle ou l’ablation d’un poumon entier. Mais le Dr Blaylock va beaucoup plus loin : il estime que les gens en bonne santé masquées sont également à
risque car elles sont exposées à un risque accru… d’infection ! Des études ont en effet montré que l’hypoxie (baisse de l’apport d’oxygène) peut inhiber les lymphocytes T CD4+, les principales cellules immunitaires mobilisées lors des infections virales. « Cela prépare le terrain pour contracter toute infection, y compris Covid-19, et rendre les conséquences de cette infection beaucoup plus graves. » Dans son document, David Crowe mentionne aussi deux études scientifiques accablantes. La première montre que le personnel hospitalier portant un masque fermé « attrape » plus facilement la grippe que les autres travailleurs de santé porteurs d’un simple masque chirurgical. Les analyses en laboratoire ont confirmé que la pénétration de particules virales était de 97% pour le masque fermé, contre 44% pour les masques médicaux. L’air de rien, voilà encore un immense caillou dans la chaussure de la théorie pasteurienne ! La seconde étude indique que les soignants (médecins, infirmières, paramédicaux..) engagés dans la bataille contre le Covid-19 ont constaté un accroissement de la fréquence et de la sévérité de leurs maux de tête, symptômes notoires d’un déficit en oxygène. Sans être versé en physiologie, on peut aisément comprendre que se boucher la bouche et le nez gêne la respiration et n’est pas sans effets négatifs et contre-productifs. Puisque la recherche scientifique en fournit les preuves, il faudrait détruire les stocks de masques ou les renvoyer à l’expéditeur au lieu de propager, à grand renfort de propagande, la fausse idée que cet équipement contribue à l’hygiène de vie. C’est exactement le contraire.
3. Le masque, les médecins s’en passaient bien
Il y a très longtemps de cela, à une époque dont on se souvient à peine, c’est-à-dire il y a quelques mois, les disciples d’Hippocrate recevaient ou visitaient leur patientèle sans porter de masque ni de gants, sans éviter les contacts physiques et sans s’arroser de gel hydro-alcoolique. Depuis toujours, les médecins de terrain affrontent les épidémies sans protection particulière. Tombaient-ils malades pour autant ? Évidemment que non ! Ces dernières années et surtout dans mon infolettre du 20 mars 2019 (5), j’ai soulevé ce paradoxe : lors des épidémies de grippe, les toubibs ne contractent pas cette infection pourtant considérée comme hautement contagieuse. Ils devraient tomber comme des mouches, succomber massivement à l’agent viral qu’ils côtoient tous les jours, s’aliter à leur tour et déserter leurs cabinets, mais non, ils restent au poste et ne semblent nullement affectés par
l’ « ennemi invisible ». Si c’était le cas, ça se saurait car il manquerait cruellement de praticiens lors des pics hivernaux de syndromes grippaux. Question à la hiérarchie de l’église
pasteurienne : comment expliquez-vous ce grand mystère de votre foi ? Question
subsidiaire : comment expliquez-vous que le Covid-19, contrairement à ce qui est rabâché dans les médias, ait fait si peu de victimes dans le corps médical ? Depuis le début de la « pandémie », le château de cartes de la théorie du germe craque de toute part et le virus à couronne est en train de révéler que la contagiosité est une absurdité sans fondement : le microbe ne peut absolument rien sur un terrain suffisamment sain. Heureusement, il y a des médecins qui en prennent conscience. Et d’autres qui le pensaient déjà tout bas et qui osent désormais l’affirmer très haut. Le Dr Jean-Michel Crabbé est de ceux-là. Collaborateur occasionnel de la revue Néosanté et auteur du livre « Tempête sur le diabète », ce généraliste de Besançon n’a guère apprécié l’injonction à se masquer et il a pris sa plume pour le faire savoir au Conseil de l’Ordre. Ci-dessous, je partage et reproduis sa lettre car elle pose bien le débat et contient quelques arguments percutants. Face à la tuberculose, les médecins d’antan étaient également et curieusement « immunisés » bien qu’il combattaient sans rien – à mains, bouches et narines nues – le très contagieux bacille ! Voilà le genre de prises de parole qui font réfléchir et qui pourraient, si elles se multipliaient, faire vaciller la dogmatique médecine académique emprisonnée dans ses croyances d’un autre âge. Il n’est que temps, comme nous tous, de la déconfiner complètement !
- https://www.neosante.eu/ou-est-passee-la-grippe-saisonniere-enquete-sur-les-statistiques-du- nombre-de-deces-lies-au-coronavirus/
- https://www.researchgate.net/publication/340570735_Masks_Don’t_Work_A_review_of_science_ relevant_to_COVID-19_social_policy
- https://theinfectiousmyth.com/coronavirus/Masks.php
- https://www.technocracy.news/blaylock-face-masks-pose-serious-risks-to-the-healthy/
- https://www.neosante.eu/super-toubib-se-rit-de-la-grippe/
Dr Jean-Michel CRABBÉ
Qualifié en Médecine Générale et biologie appliquée aux sports
21 C, rue Jean Wyrsch 25 000 Besançon
tél : +33 3 81 50 39 93 – gsm : +33 6 80 20 32 48
Conseil de l’Ordre des Médecins du Doubs, Copie : M. Pierre Laurent, L’Est Républicain,
Besançon, le 13 mai 2020
Monsieur le président, mes chers confrères,
Dans le contexte épidémique covid-19, j’ose rappeler des faits incontestables qui devraient être connus de tous à propos des épidémies.
Au début du XXe siècle, au plus fort de l’épidémie de tuberculose, un confrère a écrit ceci : « Au sanatorium de Bligny, où tout le monde vit en promiscuité avec les malades, le Dr Guinard n’a jamais vu, ni dans le personnel, ni dans les familles du personnel, un seul cas de tuberculose pouvant être attribué à une contamination dans un service du sanatorium. » (Larousse médical illustré 1924, page 1258/1400).
Dans les années 1920, le personnel médical soignait les tuberculeux sans gants, sans masques, sans matériel à usage unique, et il n’était pas contaminé. Après la Deuxième Guerre mondiale, alors que l’épidémie régressait, les autorités sanitaires ont présenté la tuberculose comme une maladie très contagieuse, imposé des règles sanitaires rigoureuses, et rendu obligatoire la vaccination par le BCG sans apporter la preuve de son utilité (La Recherche, n° 356, septembre 2002).
En 2003, dans un service parisien de patients immunodéprimés, un cas de tuberculose très contagieuse chez un soignant n’a donné lieu à aucune contamination parmi les 180 patients très fragiles et les membres du personnel soignant exposés (BEH n° 10-11, 18 mars 2003).
Comme une majorité écrasante de mes collègues et du personnel soignant, j’ai exercé 45 ans dans le milieu médical sans protections particulières, j’ai traversé des dizaines d’épidémies de grippe très contagieuses sans vaccin, sans jamais être contaminé par la grippe ou par aucune autre maladie transmise par un patient. Comme mes collègues, j’ai constaté que la majorité des maladies infectieuses ne sont absolument pas contagieuses et que dans les familles, il y a rarement plus d’un malade à la fois. Nous sommes tous exposés quotidiennement à des milliards d’agents infectieux sans jamais contracter la moindre maladie, y compris à un âge très avancé.
L’histoire des grandes épidémies (Pr J-Ch Sournia, revue du Palais de la découverte – Vol. 15 – N° 146) nous enseigne que les phénomènes de contagion – peste, choléra, tuberculose, etc – n’ont jamais respecté les lois statistiques que nos épidémiologistes utilisent pour justifier des règles de confinement et d’hygiène à toute la population.
Il est amplement démontré que la notion de contagion pastorienne, qui fait la loi aujourd’hui, est inexacte et appliquée sans aucun discernement. En pratique, le terrain est essentiel.
De nombreux facteurs fragilisent un individu. Certains sont endogènes comme l’âge, les spécificités génétiques, les antécédents, les carences, l’hygiène individuelle. D’autres facteurs sont exogènes comme les stress physiques, l’épuisement professionnel et le travail de nuit, l’exposition à des toxiques et la pollution atmosphérique, les effets secondaires de médicaments ou de vaccins. Même un stress psychologique diminue l’amplitude respiratoire, provoque une stagnation de l’air alvéolaire et favorise la pullulation du bacille de la tuberculose et d’autres agents infectieux comme ce coronavirus.
Depuis très longtemps, on sait que la meilleure vaccination, c’est un ou deux ans d’allaitement maternel, grâce auquel la mère transmet ses propres cellules immunitaires à l’enfant qu’elle allaite (Pouvert C. et coll., Immunologie fondamentale et immunopathologie, Marketing, 1991).
La situation actuelle est une perversion de la médecine, une maltraitance de populations entières privées de véritables soins et livrées au pouvoir arbitraire, non des médecins de terrain expérimentés, mais de l’administration et de la police. Cette fausse conception des épidémies et de la contagion est le prétexte à la mise en place d’un système répressif à l’échelle de la planète. Ce système maltraite les jeunes, les travailleurs, les personnes âgées, il réduit l’humanité en esclavage, il neutralise les relations sociales et familiales indispensables à la vie et crée une hystérie collective.
Aujourd’hui, les hommes sentent que notre société va mal, et ils ont peur. Le non-sens règne partout avec le scientisme, le consumérisme, l’inversion des valeurs traditionnelles, la violation des lois de la nature, la perversion de la notion de famille et de communauté. Le respect des lois naturelles, cela s’appelle la Sagesse, et quand l’humanité viole la Sagesse, elle se met en danger. Alors, avec ou sans confinement, l’humanité s’expose à être ravagée par une épidémie.
Recevez mes meilleures salutations confraternelles Dr Jean-Michel Crabbé
Arrêtez de vous expliquer
Je cherche la vérité
Bonsoir,
J’espère que vous allez bien.
Comme je l’avais dit dans un précédent article, je n’oblige personne à me croire et je ne prétends absolument pas détenir une quelconque vérité.
Cependant, oui, je le revendique, je suis une chercheuse de vérité. Appelez moi complotiste, comme certaines me l’ont dit dernièrement, si cela peut faire votre bonheur.
J’ai toujours cherché à comprendre le monde dans lequel je vis et je m’aperçois qu’il y a très peu de monde qui en fait autant, que toutes les personnes qui se posent de nombreuses questions sont soit traitées de folles, soit de complotistes. Cependant je ne complote absolument rien du tout. Je pense même que le complot se trouve là où personne ne veut le voir. Parce que, oui, de nombreuses choses ne me paraissent pas « normales » et donc je continue de chercher une explication plausible à tout ce qui arrive. Si derrière tout ce que nous vivons il y a des personnes qui tirent les ficelles afin que les choses se déroulent à leur avantage, pour moi c’est plutôt eux qu’il faudrait qualifier de complotistes. Mais, finalement, ce n’est jamais qu’une question de vocabulaire, et qu’importe comment ils se nomment ou me nomment, je cherche simplement à comprendre et ceux qui veulent continuer à fermer les yeux sont libres de le faire, chacun est libre de ses choix et je respecte les vôtres. Si mes écrits ne vous plaisent pas, passez simplement votre chemin, vers des écrits qui sont en accord avec vos valeurs. Si c’est votre choix, je vous souhaite bonne route.
Je vous partage aujourd’hui un article de Yves Rasir, qui se pose également des questions : Comment expirer pour ne pas … expirer
Avant de prendre un peu de repos et de mettre l’infolettre en pause pendant 3 semaines, permettez-moi de revenir sur la thèse que je défends depuis maintenant 6 mois : cette pseudo-pandémie virale est pour l’essentiel une pandémie de peur. Dans le sillage d’un Didier Raoult et de quelques autres scientifiques, je soutiens évidemment que cette virose saisonnière a suscité une psychose excessive et que celle-ci a été contre-productive : les mesures adoptées ont créé de l’anxiété chez beaucoup, de l’angoisse chez certains et une détresse intense chez les personnes âgées confinées dans leurs maisons de retraite. Nuisible pour la santé en général et pour l’immunité en particulier, ce genre de stress est également connu pour aggraver les assuétudes (tabac, alcool…) et augmenter la consommation de certains médicaments psychotropes. Selon le SNDS (Système Français de Données de Santé), les prescriptions d’hypnotiques étaient supérieures de 5 à 8% eu cours du confinement , ce qui révèle l’augmentation des troubles du sommeil et la prévalence accrue des symptômes dépressifs. Mais ce ne sont là que des dégâts collatéraux mineurs en regard du pouvoir méconnu de la peur, celui de faire mourir ceux qui en sont les proies ! Loin d’être seulement une conséquence de l’alarmisme des experts, de la « sur-réaction » des autorités et de l’emballement des médias, la peur distillée par ces trois catégories d’acteurs est à mes yeux la CAUSE principale de la mortalité erronément attribuée à un agent infectieux. Depuis le début, je pense que nous avons affaire à une épidémie fictive mais auto-réalisatrice, c’est-à-dire générée par sa narration « hallucinée », pour reprendre le terme employé par Jean-Dominique Michel.
Mourir de la peur de mourir
Qu’est-ce qui me permet de tenir de tels propos ? C’est bien sûr le « nouveau paradigme médical » dont les éditions Néosanté ont fait leur cheval de bataille. Fondée notamment sur les travaux d’Henri Laborit, les découvertes du Dr Ryke Geerd Hamer, les intuitions de quelques autres pionniers de la psychosomatique et la synthèse de tout cela effectuée sous le nom de « biologie totale » par le Dr Claude Sabbah, cette nouvelle vision de la santé postule que les maladies ont un sens en terme de survie et qu’elles découlent, dans leur grande majorité, de chocs émotionnels ingérables par le psychisme. Depuis que nous existons, nous avons maintes fois souligné que la frayeur de la mort se somatisait le plus souvent dans les poumons et qu’elle pouvait y semer des tumeurs alvéolaires. A fortiori, la terreur ressentie par un individu peut se traduire par des pathologies moins dangereuses que le cancer, comme la grippe ou la pneumonie. Dans la revue Néosanté du mois de mai, nous avons publié deux articles montrant comment la peur impactait, non pas tant le système immunitaire, mais surtout le système nerveux autonome. Pour peu que son système neurovégétatif soit faible et encore affaibli par un ressenti de grave danger pour la sphère pulmonaire, un être humain très effrayé peut ainsi trépasser sous le seul effet de ses émotions. Il peut – ironie tragique – mourir de la peur de mourir ! Et ça, ce ne sont pas seulement quelques soignants « sectaires » qui l’affirment. Depuis sa création en 2011, notre mensuel a interrogé des dizaines de médecins et chercheurs convaincus des pouvoirs de l’esprit sur le corps, tant pour le meilleur ( la pleine santé, la guérison) que pour le pire (la maladie et la mort prématurée). Pour notre numéro de juin, nous avons interrogé le Dr Patrick Clervoy, psychiatre français qui a suivi des soldats engagés lors de plusieurs opérations militaires à hauts risques. Il a vu clairement que les émotions intenses pouvaient déclencher une mort subite et que celle-ci était fréquemment précédée – tiens, tiens – d’une détresse respiratoire aiguë. Dans le numéro de juillet-août, notre journaliste Carine Anselme interviewe Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale, spécialiste des émotions extrêmes et auteur du livre « La contagion émotionnelle » (Albin Michel). Et que nous dit-il ? Accrochez-vous : il faut à peine 21 millièmes de secondes pour qu’une émotion soit transmise d’un individu à l’autre. Pas besoin de se tousser dessus et inutile d’adopter des gestes barrières car cette contagion immatérielle – la seule, la vraie – s’opère à distance, par exemple par téléphone ou via la télévision. S’il existe, le coronavirus a probablement moins tué que le Journal de 20 heures ou le discours va-t-en-guerre du président Macron !
La tragédie de l’hypoxie
Cette hypothèse me semble d’autant moins saugrenue qu’un phénomène bizarre s’est produit en marge de cette grippe baptisée Covid : une épidémie d’hypoxie silencieuse. Je vous en ai déjà parlé mais ça vaut la peine qu’on s’y attarde. Car si la terreur médiatisée est l’arme du crime, cette étrange manifestation somatique semble en être la signature traumatique. Pour rappel, l’hypoxie silencieuse est un manque d’oxygène dans le sang n’entraînant pas – du moins pas immédiatement – de difficulté à respirer. Elle peut survenir concomitamment à une détresse respiratoire mais pas nécessairement. La fréquence respiratoire est généralement plus élevée mais le malade semble respirer normalement. On l’appelle également « hypoxie heureuse » parce que les patients sont inconscients de leur état de sous-oxygénation et qu’ils sont même légèrement euphoriques, comme sous l’influence d’un gaz. Lorsque le corps médical s’aperçoit du problème par l’apparition de cyanose (marques bleues sur la peau et les muqueuses), il est déjà moins une car la carence en oxygène peut rapidement déboucher sur la défaillance du foie et/ou des reins. Un peu partout dans le monde, les hôpitaux ont vu affluer de nombreux « covidés » déjà cyanosés et qu’il a fallu placer dare-dare sous oxygène. Of course, la médecine a rapidement tenté d’attribuer le processus à l’action du coronavirus. Ce dernier serait tellement sournois qu’il provoquerait une infection très ciblée s’attaquant au surfactant pulmonaire, la substance qui remplit les alvéoles. Ce faisant, leur lien avec les poumons est coupé et les niveaux d’oxygène commencent à chuter. Et si c’était plutôt la rançon du stress subi à l’idée d’être atteint par un mal que certains ont carrément comparé à la peste ? Sans être physiologiste, tout le monde sait qu’une émotion forte est synonyme d’hyperventilation : on ingère goulument de l’air et cette façon de respirer produit un changement des proportions de gaz dans le sang, avec une hausse du taux d’oxygène (O2 ) et une baisse du dioxyde de carbone (CO2). Or l’organisme humain est ainsi fait qu’il ne supporte pas les changements de proportions entre ces deux gaz, il cherche toujours à rétablir l’équilibre. La présence de CO2 est indispensable à l’absorption de l’O2 par les poumons, puis à son passage dans le sang et de là, à l’imprégnation des cellules. Paradoxalement, l’individu qui stresse s’empoisonne à l’oxygène et compromet dangereusement son oxygénation sanguine et cellulaire. Dès lors, on peut imaginer l’impact iatrogène des interventions médicales consistant à fournir encore plus d’oxygène. Rappelez-vous la vidéo du Dr Caméron Kyle Sidell: au plus fort de l’épidémie, ce jeune médecin urgentiste new-yorkais a alerté sur le fait que la plupart des patients placés sous respirateur artificiel mouraient. Et il se demandait à juste titre si ce n’était pas ce geste médical qui les tuait. Quand ils intubent un « hypoxique heureux », les soignants ne font en effet qu’aggraver la situation, comme l’expliquait le Dr Zach Bush dans la vidéo que j’ ai partagée il y a 15 jours. L’introduction forcée d’oxygène à haute pression génère une lésion oxydative et inflammatoire sur des tissus impuissants à encaisser le choc gazeux. À New-York, 88% des personnes placées sous respirateur sont mortes. En Europe, où les deux principales comorbidités (diabète et obésité) sont moins répandues, on parle de 40 à 60% de décédés parmi les patients intubés. Question : aurait-on pu éviter cette tragédie si l’intubation n’avait pas été privilégiée par hantise du virus ? Autre question : ne faudrait-il pas, comme je le soulevais dès le mois de février, remettre en cause les bénéfices de l’oxygénation médicale sous toutes ses formes, lunettes et masques compris ? Autrefois, on réanimait les patients en pratiquant le bouche-à-bouche. Aujourd’hui encore, les pompiers procèdent de la sorte lorsque l’équipement fait défaut. Or cette technique efficace consiste à insuffler un air chargé en CO2 puisqu’il provient des poumons du secouriste. Je me demande si l’oxygénothérapie n’est pas le vrai problème révélé par cette « pandémie ». Et je soupçonne que les chiffres de mortalité sont étroitement reliés à son mésusage face à l’hypoxie silencieuse.
Le véritable fléau
Ce que j’espère surtout, c’est que le phénomène hypoxique « covidien » va servir de révélateur au véritable fléau qui ravage les pays industrialisés, à savoir l’hyperventilation chronique. Contrairement à une croyance aussi fausse que bien enracinée, le stress consubstantiel à nos sociétés « modernes » trépidantes n’est pas synonyme de respiration insuffisamment ventilante. Nous sommes au contraire très nombreux à hyperventiler en permanence. Nous respirons trop vite, trop fort, trop mal. Dans son article du mois de juin, notre chroniqueur Yves Patte expliquait que beaucoup d’hommes et de femmes ont la mauvaise habitude d’inspirer par la bouche. Ce n’est pas un penchant anodin car l’évolution a façonné l’être humain pour qu’il inspire par le nez. Les narines font office de filtres mécaniques (notamment pour les microbes !) et l’inspiration nasale joue un rôle de filtre chimique en stimulant la synthèse du monoxyde d’azote (NO), un composé extrêmement important pour notre corps. Ce gaz est en effet un vasodilatateur pour les vaisseaux sanguins, un régulateur du système nerveux parasympathique (celui qui calme le stress) et un acteur non négligeable du système immunitaire. Dans sa chronique de juillet-août, notre spécialiste du modèle paléo examine la façon d’expirer et fait le même constat navrant: nous expirons trop vite, trop peu, trop mal. C’est une catastrophe car il en résulte un déséquilibre constant entre le dioxygène et le dioxyde de carbone. Plus vite on expulse le CO2, moins on absorbe l’O2. Il y a un siècle, un individu moyen respirait 4,9 litres par minute. Nous en sommes aujourd’hui à 12 litres par minute ! Cette croissance vertigineuse de la consommation fait que nos cellules sont de moins en moins oxygénées. Le pire, c’est que nous sommes enfermés dans un cercle vicieux : nous hyperventilons parce que nous sommes stressés, nous aggravons le stress parce que nous hyperventilons. Pour échapper au piège, il faut revoir complètement sa façon de respirer, tant à l’inspir qu’à l’expir, et Yves Patte nous indique des solutions puisées dans la méditation et dans la tradition du Pranayama yoga (yoga du souffle). En gros, il s’agit de respirer mieux en inspirant plus calmement et en expirant plus profondément, jusqu’à vider complètement ses poumons par des exercices d’apnée. Le yoga aurait-il pu sauver les hypoxiques prétendument attaqués par un virus ? À mon avis, ce n’est pas du tout à exclure. Ma conviction est en tout cas que les « covidés » en hypoxie ont été mal traités, sinon maltraités, et que leur hyperventilation aiguë est survenue sur un terrain d’hyperventilation chronique. Par le plus grand des hasards (pour ceux qui y croient encore), j’ai rencontré récemment un jeune gars qui a été sévèrement atteint et qui présentait ces facteurs de risques caractéristiques. Il m’a aussi confié un vécu relationnel correspondant typiquement à la causalité conflictuelle des troubles pulmonaires. Je vous raconterai ce cas d’école à mon retour de vacances en France, en espérant que celles-ci ne soient pas gâchées par le soi-disant rebond épidémique et un éventuel reconfinement dont la rumeur circule depuis hier. Manquerait plus que les marchands de peur m’empêchent de me ressourcer un peu à l’abri de leurs délires virophobiques !
Prenez soin de vous
Mabelle
Imaginez
Imaginez une seconde que vous n’êtes
plus l’otage de vos peurs, que vous acceptez les vertiges de vos
contradictions.
Imaginez que vos désirs gouvernent désormais votre existence, que vous avez
réappris à jouer, à vous couler dans l’instant présent.
Imaginez que vous savez tout à coup être légèr(e) sans jamais être frivole.
Imaginez que vous êtes résolument libre, que vous avez rompu avec le rôle
asphyxiant que vous croyez devoir vous imposer en société. Vous avez quitté
toute crainte d’être jugé.
Imaginez que votre besoin de faire vivre tous les personnages imprévisibles qui
sommeillent en vous soit enfin à l’ordre du jour.
Imaginez que votre capacité d’émerveillement soit intacte, qu’un appétit neuf,
virulent, éveille en vous mille désirs engourdis et autant d’espérances
inassouvies.
Imaginez que vous allez devenir assez sage pour être enfin imprudent.
Imaginez que la traversée de vos gouffres ne vous inspire plus que de la joie
!!!
Alexandre Jardin
Des chiffres réalistes
Bonjour,
Je vous espère en pleine forme.
Mercredi après-midi, au téléphone avec une amie, qui a un site et publie très régulièrement des vidéos et articles intéressants, elle me disait avoir écrit un article sur les circonstances que nous vivons. Je vous partage son article qui remet, une fois encore les choses à leur juste place. Bonne lecture
Mabelle
On vit dans un monde devenu fou
Bonjour,
J’espère que vous allez bien en ce premier jour de juillet, bien gris et pluvieux chez moi.
Je tiens à vous partager aujourd’hui un article du site Santé Nature Innovation parce que, je n’ai vraiment pas envie de revenir encore une fois sur cette histoire complètement folle dans laquelle nous vivons depuis quelques mois et qui semble vouloir se prolonger.
Je n’ai pas plus envie de répondre aux personnes qui n’approuvent pas mon article sur le sujet parce qu’elles préfèrent croire les médias mainstream. C’est leur droit le plus strict et je respecte leur choix de continuer à se laisser diriger de la sorte, mais j’estime avoir aussi le droit d’avoir un autre avis sur la question. Jusqu’à présent nous ne sommes pas encore poursuivis parce qu’on pense autrement que ce vers quoi on nous pousse, donc j’en profite tant que je peux 😉
Par contre je constate que je ne suis pas seule à avoir cet avis, j’en suis ravie, et j’aime à partager cet article de Jean-Marc Dupuis, même s’il y a certaines redites par rapport à ce dont j’ai parlé dans mon dernier article. Vu que les merdias répètent les mêmes âneries depuis 4 mois, ça ne peut pas faire de tort de lire plusieurs fois de suite des choses bien plus sensées sur le sujet.
Je viens de voir que, même un média officiel s’interroge enfin sur le port du masque infondé et les dégâts sur l’équilibre de vie en général. Mieux vaut tard que jamais !
Je vous souhaite un très bel après-midi
Mabelle